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    Jusqu’à la Garde
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    4,1
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    574 critiques spectateurs

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    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    225 abonnés 1 597 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 février 2019
    Un couple séparé se déchire au sujet de la garde d'un enfant. Père violent ? Mère possessive et manipulatrice ? Dans une veine réaliste, sans effet superflu, le réalisateur signe un "thriller du quotidien" très maîtrisé, peu commun dans le paysage du cinéma français. Dialogues justes. Comédiens très convaincants. Résultat tendu, incertain, éprouvant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 février 2018
    Jusqu'à la garde : un titre bien trouvé pour ce film d'un réalisme poignant, dont - selon la formule traditionnelle - "on ne sort pas indemnes."
    Jusqu'à la garde = jusqu'à la garde des enfants lors d'un divorce et jusqu'à la garde du poignard !
    On découvre un Denis Ménochet bluffant, tout à fait convaincant dans le rôle d'un homme violent, prêt à tout tant il se sent humilié et rejeté en tant que mari et père.
    Un grand bravo au réalisateur, Xavier Legrand, pour son premier film, un coup d'essai qui s'avère un coup de maître..
    NarnoNarno
    NarnoNarno

    25 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2018
    Alors qu’il commence comme un film quasi-documentaire (très belle scène d’ouverture), et se poursuit dans un propos orienté sur une affaire de séparation, de suspicion de violences conjugales et de garde d'enfant, “Jusqu’à la Garde“ reste constamment filmé dans un réalisme empreint de quotidien, alors que derrière cette authenticité visuelle et verbale, on assiste réellement à un thriller, avec ses suspens, rebondissements et faux-semblants. Le mix entre le scénario réaliste dit « social », et sa mise en scène immersive (mais cadrée) très judicieuse, renforce un sentiment poignant qui prend toute son apogée à son final (la scène de la baignoire restera longtemps gravée dans les mémoires). Jamais moraliste, ni prenant parti, “Jusqu’à la garde“ prend suffisamment de recul sur les situations, comme il n’explique et ne montre jamais le passé qui a amené à la séparation et cette bataille qui se manifeste: le spectateur est le juge de cette affaire conjugale par les confrontations de point de vue et la culpabilité ambivalente des protagonistes. Le temps passe, les faits se précisent, la tension monte constamment et le verdict tombe, fatal. Les interprétations hallucinantes du couple L.Drucker - D.Ménochet ainsi que celle du jeune T.Gioria emmènent ce film vers des sommets qu’on attendait pas forcément du premier film de X.Legrand, étonnant de maîtrise technique et de propos. Ce sont les uppercuts qu’on attendait pas qui font les plus mal.
    Jeo Jo
    Jeo Jo

    9 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 février 2018
    Si le stress est bien là, le film ressemble à un long spot sur la violence parentale. Denis Ménochet remplit bien son rôle de beauf ahuri et l'enfant joue sa partition de souffre-douleur. Souvent pénible dans cette manière de tout surligner, certes oppressant mais désagréable à regarder, l'ennui et l'indifférence surviennent vite.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 février 2018
    Film poignant.
    À nous d'observer et de dénoncer toute situation similaire. Ce film fait réfléchir et donne envie de bouger afin d'éviter toutes situations similaires.
    Bravo a l'équipe !
    ungawa
    ungawa

    7 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 octobre 2018
    Encore un film récompensé par la bien-pensance, non pour ses qualités intrinsèques mais pour le thème qu'il aborde, surmédiatisé en ce moment. C'est de la démagogie. Ici, on nous présente un gros lourdaud très violent (association primaire lourd=violent, bourrin) avec tout le monde mais qui appelle son fils "mon cœur", c'est ridicule. Des personnages principaux, on ne saura à peu près rien. On aurait espéré un meilleur traitement d'un sujet assez peu représenté et intéressant. Quant aux films dont celui-ci s'inspire : "La nuit du chasseur", "Shining" et autres, ils sont d'une autre trempe.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 février 2018
    Déçu ;le film dépeint bien le climat d'une séparation difficile entre un homme et une femme . D’emblée on prend position pour la mère Pas un seul fois on s’apitoie sur le père qu'interprète magnifiquement Denis Ménochet . Le personnage caractériel et colérique nous embarque immédiatement dans l'univers impitoyable du parent coupable et mauvais mari . Tout le long du film on attend qu'il bascule dans l'insupportable . Léa Drucker est époustouflante dans ce rôle de femme apeurée et le petit Thomas Gioria excelle en enfant déchiré dans l'univers impitoyable des adultes qui se séparent dramatiquement
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    581 abonnés 2 749 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 octobre 2019
    La très grande force de Jusqu’à la Garde réside dans son atmosphère de doute et d’incertitude qui plane pendant une bonne moitié de film, sans que la révélation n’annihile la compassion envers le bourreau. Car le personnage de la mère demeure ambigu jusqu’à ce que se construise un lent crescendo qui emprunte aussi bien au tragique qu’au thriller hitchcockien. La violence reproduit ce mouvement ascendant : d’abord parsemée sur le récit avec une retenue néanmoins tensive, elle tend à en contaminer l’intégralité puis s’octroyer le devant de la scène lors d’un dernier acte anxiogène. Aucune partition musicale n’accompagne ce crépuscule familial qui peine à sortir de cette nuit du chasseur, contraint pour accéder à la lumière de se retrancher, d’extérioriser dans une baignoire autant la violence destructrice enfouie en chacun des membres que ce sentiment d’appartenir à un ensemble plus vaste et soudé, recomposition du noyau familial après dilatation et expulsion de son élément néfaste. Toutefois, cette refonte ne va pas sans l’affirmation pathétique d’une marginalisation croissante du père qui ne comprend les agissements de ceux qu’il persécute en pensant les aimer : grande œuvre sur la solitude, Jusqu’à la Garde brosse le portrait sans concessions dans la violence conjugale mais ose dépasser son postulat de base pour s’engouffrer dans les zones d’ombre d’une conscience tourmentée que la mise en scène de Legrand, répétitive et froide, saisit dans sa complexité fondamentale. Que serait le film, en outre, sans ses acteurs, tous éblouissants de justesse et de retenue émotionnelle ? Nous suivons des corps sensibles placés constamment sur la lame du rasoir, sans que le mélodrame jamais n’éclate. La menace agit à la manière du signal sonore qui indique, dans la voiture, que l’un des passagers n’a pas mis sa ceinture. Alerte paradoxale dans la mesure où la menace réelle n’est pas sur la route, mais assise à la place du conducteur. Il n’y a qu’à voir la scène de fête d’anniversaire organisée pour Joséphine et rester bouche bée devant la terreur qui, d’abord absente, gagne progressivement les espaces, tel un fil directeur venu raccorder des lieux que le montage s’efforçait de séparer. Long-métrage cathartique qui prolonge et transcende le court-métrage sorti cinq ans auparavant, Jusqu’à la Garde allume un feu aussi destructeur que vivifiant, tire de l’existence menée comme un combat quotidien un cri de révolte et d’espoir lancé dans la nuit. Et l’horizon vient à s’allumer. Enfin.
    Fanny
    Fanny

    23 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 septembre 2020
    Chiant, plat, inutile, je déconseille .Le jeu des acteurs sauvent ce navet. Un film français quoi.
    Marie L
    Marie L

    11 abonnés 207 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 février 2019
    Tellement juste.
    Tellement intense.
    J'étais scotchée par la qualité des acteurs et du scénario, la tension psychologique et la justesse de l interprétation. A voir absolument.
    eric B.
    eric B.

    7 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 mars 2018
    Une bonne idée de départ, une excellente fin et au milieu un trou noir... Une heure de trou noir, sans tension, sans dialogue, sans idée. Juste des plans de chaussures, des plans de personnages qui n'apportent rien au récit, des scènes insipides, sans intérêt, juste pour meubler. Et il faut attendre la 70 eme minute pour qu'enfin le film prenne son envol. Dommage...
    Romaric44
    Romaric44

    13 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juin 2020
    Léa Drucker en femme détruite et Denis Ménochet en mari violent sont tous les deux impressionnants de vérité.
    Ce film est juste et ne montre pas réellement de front la violence physique, en revanche, il nous met parfaitement dans l'ambiance de la violence psychologique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 11 février 2018
    C'est un film implacable, percutant sur un drame familial.
    Un véritable coup de poing difficile à regarder mais nécessaire.
    Le jeune garçon de 11 ans joue remarquablement bien.
    michel d
    michel d

    5 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 mars 2019
    la personne qui a fait ce film n'arrivait pas à combler c'est 1h30 vous allez voir des séquences qui dure une éternité et qui ne sert à rien strictement à rien. véritable ennui heureusement je ne l'ai pas vu au cinéma
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 17 février 2018
    Le film commence pourtant très bien avec une scène - la meilleure - dans le bureau d'un juge aux affaires familiales. Les avocats sont crédibles, ce qui est rare dans le cinéma français, la magistrate parfaite - revêche à souhait, aussi vraie que nature... Puis, plus rien ! Du remplissage. On aimerait savoir ce qui a mené ce couple à la rupture, nous n'en saurons rien. On aurait voulu que les personnages soient nuancés, ils sont caricaturaux. On aurait aimé être surpris, on sombre dans le convenu avec une histoire comme on nous en rabat les oreilles semaine après semaine en nous rappelant ad nauseam qu'une femme meurt tous les trois jours "sous les coups" de son conjoint. Fort heureusement, tel ne sera pas le cas ici : femme et enfant seront sauvés in extremis par la police. Ouf ! On regarde sa montre et on se dit que le principal mérite du film est de ne durer qu'une heure trente !
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