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    Amin
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    Yves G.
    Yves G.

    1 288 abonnés 3 295 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 novembre 2018
    Amin (Moustapha Mbengue) est sénégalais. Pour offrir à sa femme Aïcha (Marème N'Diaye) et à ses trois enfants, restés au pays, une vie meilleure, il a émigré en France. Installé dans un foyer, il travaille sur les chantiers.
    Gabrielle (Emmanuelle Devos) est infirmière. Après un divorce difficile, elle élève seule sa fille. Amin vient effectuer des travaux dans son jardin.

    Le succès surprise de "Fatima" (César 2016 du meilleur film) a révélé au grand public l’œuvre discrète et sensible de Philippe Faucon. Avec "Amin", ce réalisateur toulonnais poursuit sa radioscopie tout en finesse de l'immigration en France. "Samia" faisait le portrait d'une jeune beurette de la deuxième génération en pleine crise d'adolescence ; "La Désintégration" se frottait à la radicalisation intégriste (trois ans avant Charlie Hebdo et quatre avant le Bataclan) ; "Fatima" chroniquait l'intégration sans cesse recommencée.

    Avec "Amin", Philippe Faucon hésite entre deux thématiques.

    "Amin" est d'abord un film sur l'exil qui rend compte, mieux que de volumineux traités, de la solitude du travailleur émigré, obligé de quitter sa famille pour l'aider à vivre. Un montage alterné montre la double solitude d'Amin en France, réduit à un travail salissant et des conditions de vie misérables, et d’Aïcha au Sénégal qui peine à assumer seule les charges de son ménage.

    Mais "Amin" se veut surtout, comme l'annonce son affiche et le couple mixte qu'elle montre, un film sur l'amour qui unit son héros avec la femme blanche qui l'emploie. Il y aurait eu beaucoup à dire et à montrer sur cette relation déséquilibrée, lourde de fantasmes sexuels, pas toujours acceptée par la société. Philippe Faucon la filme avec une grande délicatesse. Trop peut-être. Il va trop vite sur la façon dont le couple se forme : un verre d'eau offert et hop... les voilà tous les deux au lit ! On comprend que deux solitudes se rencontrent, se réconfortent, qu'une page de tendresse s'écrit. Et ... c'est fini.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 octobre 2018
    J'ai été un peu déçue par ce film. On suit le quotidien de travailleurs étrangers en France, en particulier celui d'Amin qui est au demeurant sympathique. Dans la bande annonce, on s'attend à une histoire d'amour entre Gabrielle et Amin mais il n'en est rien : il s'agit juste d'une femme blanche qui profite de la lascivité d'un homme déraciné pour assouvir son désir sexuel, je n'ai vu aucun sentiment dans leur relation. Film assez pauvre.
    Pascal
    Pascal

    119 abonnés 1 399 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 octobre 2018
    film sobre, mais tout est dit sur un sujet politique. les acteurs sont très bons, le scénario est excellent. Film qui n'a sans doute eu aucun succès public (en deuxième semaine, il ne passait plus à Paris qu'à certains horaires dans deux salles). Il sera sans doute redécouvert un jour et placé au niveau qu'il mérite. Sans y paraitre Philippe Faucon réalise une œuvre filmographique de premier plan. L'esprit et le traitement de ce film font penser aux films de Samuel Collardey. Un des quinze meilleurs films de l'année.
    Delph I
    Delph I

    131 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 octobre 2018
    Un film simple qui ne peut qu’interpeller... un homme simple, immigré sénégalais dont la seule raison de vivre est de travailler dur pour faire vivre sa famille au pays ... Une histoire simple et touchante avec deux êtres seuls en mal de tendresse et d’écoute et une Emmanuelle Devos toujours aussi vraie.
    SansCrierArt
    SansCrierArt

    50 abonnés 414 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 octobre 2018
    Amin travaille en France pour faire vivre sa famille restée au Sénégal. Sur un chantier, il rencontre Gabrielle, infirmière, divorcée, mère d'une petite fille.

    On ne comprend pas très bien ce que veut nous dire ou nous montrer Philippe Faucon. Son histoire dénuée d'émotion ne conte que peut de choses. Les situations et les personnages sont le plus souvent caricaturaux.

    Malgré la présence d'Emmanuel Devos et du très beau Moustapha Mbengue, on s'ennuie très vite.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 octobre 2018
    Un bon film sur l'histoire d'un sénégalais qui subviens aux besoins de sa famille restée au pays et qui tombe amoureux (on ne sait trop comment) d'une française en plein divorce et qui décide d'entamer des travaux dans sa maison. Certains point aurait mérité d'être creusés d'avantage et la fin laisse un goût d'inachevé...
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    68 abonnés 482 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2018
    Amin ou la condition d'un travailleur immigré sénégalais en France. Un ton juste, avec beaucoup de délicatesse, d'humanité.
    De nombreuses difficultés sont évoquées sans jamais être envahissantes: le risque de la "double vie familiale" , le "décalage"
    quand Amin est de retour au Sénégal.
    On est pas chez soi en France, on n'est plus chez soi au Sénégal.
    Plus grave encore, on devient un étranger pour son épouse (et réciproquement). On ne voit pas ses enfants grandir....
    Le travail non déclaré et ses conséquences dramatiques (accident, retraite?).
    C'est le Foyer type sonacotra qui remplace la famille....J'en oublie sans doute mais le tout sans "pathos" excessif....
    Le film manque peut-être de dramaturgie mais ce qui le rend si proche de nous.
    Comme toujours Emmanuelle Devos, est impeccable et les autres comédiens aussi.
    C'est la signature de Philippe Faucon.
    Laurent C.
    Laurent C.

    238 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 octobre 2018
    Philippe Faucon, depuis qu’il fait du cinéma, n’a jamais cessé de s’intéresser aux personnes discriminées, d’origine immigrée, souvent mis en scène de façon caricaturale dans des récits policiers ou de vulgaires histoires dédiées aux fans de rap. Cette fois, le réalisateur pose son regard auprès de travailleurs migrants qui vivent isolés dans un foyer de type ADOMA en Ile de France. Le cinéma ne s’intéresse guère à ces travailleurs de l’ombre, qui se cachent dans l’antre de leur chambre quand ils ne sont pas sur les chantiers. Et le spectateur découvre en une heure et demi l’étendue de la problématique sociale et psychologique de ces gens exclus comme le vieillissement, la solitude, le déracinement, l’arrachement à leur famille, la pauvreté, la misère sexuelle et affective.

    talent de Faucon est à la fois de mettre en scène des comédiens non professionnels, touchés par la problématique, aux côtés d’acteurs reconnus, et de donner à voir une réalité cinglante et sans fard. Emmanuelle Devos évolue parfaitement bien auprès de cet acteur noir, magnifique de subtilité et de pudeur dans un rôle où il ne cède pas à la tentation de la caricature.

    Faucon voyage sa caméra en Ile de France, certes, pour appréhender les questions existentielles que tout migrant se pose. Surtout, le cinéaste s’intéresse à la façon dont le pays d’origine accueille le retour du migrant. On sait ô combien les envois de cash entre la France et les pays d’Afrique ou d’Asie contribuent aux équilibres économiques de ces derniers. Faucon ne cache en rien les ambivalences sexuelles, les faux-semblants dans les familles ou les couples d’origine, les manipulations de la famille pour recevoir l’argent de la France. Le film permet de sortir des sentiers battus de la question migratoire qui est très souvent réduite à des positionnements idéologiques ou politiques.

    Néanmoins, « Amin » n’est pas le meilleur de Faucon. On regrettera un rythme un peu lent et parfois des longueurs dans le scénario.
    Loïck G.
    Loïck G.

    284 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2018
    Autour de l’immigration, il est rare d’avoir les deux volets d’une situation plus qu’inconfortable. Ce que résume pourtant parfaitement Philippe Faucon en suivant l’aller-retour d’Amin entre son pays d’origine et celui de l’exil d’où il ramène l’argent nécessaire à faire vivre sa petite famille. Mais après neuf ans de sacrifice, celle-ci entend mettre fin à une séparation de plus en plus douloureuse. Un déracinement que le cinéaste révèle dans ses nuances et sa complexité, sans en rajouter sur une mise en scène dont le naturel renforce l’intérêt. En évitant les écueils d’un thème pathétique, le cinéaste réussit même la gageure d’une évocation amoureuse entre son héros et une femme blanche. Une sensibilité sans effusion, une évidence de tous les instants, qui pourtant nous échappe quotidiennement. Le travailleur émigré laisse souvent une famille au pays.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    AZZZO
    AZZZO

    268 abonnés 728 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 octobre 2018
    Emmanuelle Devos regarde une robe puis ressort de la boutique. Dans l'angle de la porte qui se referme est collée un sticker du guide "Lonely planet". C'est le sujet du dernier film de Philippe Faucon : la solitude des personnages suivis par sa caméra : le vieil immigré algérien, le travailleur sénégalais, l'épouse et les enfants qu'il a laissés au pays ou l'infirmière divorcée. Des récits calmes, discrets, bien filmés mais il faut reconnaître qu'il manque à "Amin" la tension et la subtilité de "Fatima", son précédent film. Une petite déception.
    Jmartine
    Jmartine

    150 abonnés 652 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 octobre 2018
    Après Fatima, que j’avais beaucoup aimé, portrait plein de tendresse et non dénué d’humour sur une mère courage, femme de ménage marocaine vivant en France, prête à tous les sacrifices pour assurer l’avenir de ses deux filles, film qui lui a valu un César, Philippe Faucon esquisse un portrait sensible et plein de pudeur de l’exil et de la solitude, dans les pas de Amin, ouvrier sénégalais formidablement interprété par Moustapha Mbengue…Amin n’est pas simplement le pendant masculin de Fatima, c’est le portait d’un écartement géographique et mental, d’une solitude contemporaine…Amin est un immigré, mais un immigré installé depuis plusieurs années, il a laissé femme et enfants au village, et fait vivre par son travail d’ouvrier du bâtiment, sa famille mais aussi une partie du village en récoltant de l’argent pour son école…sa famille souffre de cette séparation et vit dans le mirage d’une France certainement idéalisée, et Amin veut leur épargner la désillusion de la réalité …il vit dans un foyer de Saint Denis au milieu d’autres travailleurs exilés aux parcours divers, physique imposant mais du genre taiseux …le va-et-vient entre les deux pays est une fatalité, un non-choix…Amin revit au pays au milieu des couleurs flamboyantes des marchés et des femmes en boubou , il est plus éteint et résigné sur son chantier ou son foyer…
    Sur un chantier, Amin rencontre Gabrielle, incarnée avec beaucoup de justesse par Emmanuelle Devos, infirmière divorcée et mère d’une ado un peu revêche, avec qui il noue une liaison, non sans quelque incompréhension pour leur entourage. Union de deux âmes esseulées, rencontre de deux déshérences affectives, intrigue simple voire banale, filmée avec beaucoup de pudeur et de délicatesse… parenthèse heureuse dont la raison sonnera le clap de fin…trop tôt pour Gabrielle dont le divorce est trop récent, trop tard pour Amin qui a sa famille au pays…

    Philippe Faucon sait aussi donner de l’épaisseur aux seconds rôles qui révèlent une diversité de situations liées à ces vies de déracinés…Abdelaziz (Noureddine Benallouche) qui, lui, a construit une seconde vie en France et y a eu d’autres enfants, et qu'’une de ses filles française, qui a fait des études, vient aider à remplir sa demande de retraite pour découvrir que son père a trop souvent été exploité et employé au noir... Sabri (Jalal Quarriwa), qui un soir se paie les services d’une prostituée avec qui il n’arrivera pas à conclure, autre pendant d’une misère sentimentale …

    Sans oublier, Marème N’Diaye qui joue Aïcha, la femme de Amin et qui se révèle une formidable actrice…

    Par son style épuré qui ne laisse aucune place au sensationnalisme, Philippe Faucon a réalisé une œuvre d’une sensibilité et d’une cohérence remarquable…Par une émotion judicieusement distillée, il parvient, si nous l’étions déjà, à nous sensibiliser au sort de ces exilés de la vie quels qu’ils soient. Personnellement j’ai beaucoup aimé et je vous le conseille ce film sobre et fort…
    momo M.
    momo M.

    35 abonnés 277 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 octobre 2018
    Une autre manière de voir l'immigration, le déracinement, la solitude sans discours militant mais pourtant très efficace. Emmanuelle Devos est très bien comme d'habitude. Une impossible histoire sentimentale entre 2 personnes qui n'auraient pas du se rencontrer. spoiler: Chacun va retrouver son destin
    Bernard D.
    Bernard D.

    100 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2018
    Après « Fatima » que je n’avais pas du tout aimé, Philippe Faucon présente « Amin » dont l’histoire est simple : Amin (Moustapha Mbengue) est en France pour faire vivre sa famille au Sénégal et à l’occasion d’un chantier, son destin va croiser celui de Gabrielle (Emmanuelle Devos), infirmière divorcée, et une histoire d’amour de naître.
    Le point fort du film est de bien montrer que l’argent envoyé au pays sert à sa femme et à ses 3 enfants pour construire une maison à Thiès à 70 km de de Dakar pour que son fils puisse aller étudier à Dakar et avoir ainsi la vie qu’il veut … mais aussi à sa famille en l’occurrence son frère, Mohamed, qui projette d’ouvrir une boucherie et Mohamed de « diriger » fermement Aïcha, l’épouse d’Amin et de lui dire qu’elle doit absolument « soutenir son mari car ils ont tous besoin de lui » au cours d’une scène assez forte dans laquelle Marème N'Diaye (Aïcha) se révèle une actrice formidable. Le second point est de montrer le fossé qui va se creuser entre Amin et sa famille du fait de la distance : Aïcha qui se sent en décalage dira « Tu es un faux père, un faux mari » et inversement Amin de ne pas reconnaître sa fille voilée sur une photo.
    Amin succombe aux avances de Gabrielle mais il se force à garder ses distances ayant sous les yeux l’exemple d’un frère de misère dans le foyer Sonacotra de Saint Denis, Abdelaziz, qui lui a 2 familles l’une au Maroc et l’autre en France … mais finira pas mourir seul (scène très touchante à l’aéroport avec le morceau de flûte). La scène du flacon de parfum en est assez symptomatique.
    Le point faible du film me semble-t-il réside dans l’attitude de Gabrielle qui bien que semblant déterminée dans sa vie, très ferme vis-à-vis de son ex-mari, va – et même si elle voit l’hostilité manifeste de sa fille dans cette relation avec Amin (« ma mère baise ») – curieusement abandonner après avoir reçu une lettre anonyme pour le moins crue ! Gabrielle se contentera alors de téléphoner à Amin en lui disant « J’espère que tu retrouveras ta femme, tes enfants et que tu garderas un bon souvenir l’un de l’autre » et le film d’enchaîner sur la vue d’un immeuble qu’on détruit puis fondu au noir et fin.
    Je reste donc un peu frustré par cette fin plutôt facile et un développement plus subtil des points de vue d’Amin et de Gabrielle auraient été les bienvenus.
    Cela dit le film se regarde avec un grand plaisir et tous les acteurs y compris les rôles secondaires, sont remarquablement dirigés avec une grande humanité.
    vidalger
    vidalger

    292 abonnés 1 226 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 octobre 2018
    Voilà un film que l'on aurait aimé défendre, par les sujets graves qu'il aborde - la solitude des gens qui nous entourent, l'immigration, l'exploitation des travailleurs, la misère sexuelle - mais dont on sort déçu par le traitement minimal que lui a appliqué le réalisateur Philippe Faucon. L'interprétation, à l'exception de la toujours juste Emmanuelle Devos, est plus que moyenne à base de comédiens d'occasion. Le scénario, linéaire, manque de péripéties qui sortiraient le spectateur de la léthargie dans laquelle le font sombrer des dialogues sans surprises et des situations trop convenues. Les bons sentiments font rarement de bons films ! Dommage.
    stanley
    stanley

    57 abonnés 751 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2018
    Sans être le meilleur film de Philippe Faucon, on lui préfèrera sa magnifique série sur l'homosexualité ou Fatima, Amin a une façon fort originale de concevoir le problème de l'immigration. Il aborde cette fois le problème de la délocalisation des êtres et du mal du pays à travers le portrait de trois groupes de personnages : le jeune qui ne parvient à s'exciter, l'homme mûr au destin tragique et le trentenaire qui, entre les deux, parviendra à subsister. Jouée remarquablement par Emmanuelle Devos, son personnage de femme est également perdue et délaissée. L'acteur black joue d'une étrange façon, tel un zombie, mort vivant parmi les fantômes, hésitant et touchant. Ce qui frappe chez Philippe Faucon est sa mise en scène douce, délicate, sans la moindre emphase ni pathos. Pourtant la violence, quand elle éclate, est assourdissante et sans contrepartie. Notons, malgré quelques longueurs (le film peine à démarrer) de belles trouvailles scénaristiques dans les scènes tournées au Sénégal. Les relations entre les membres de la communauté et de la fratrie sonnent très justes. Elles posent la question du couple, de la solitude et de la fidélité. Saluons le très beau plan raccord où se succèdent le rêve d'Amin envers son pays et celui de sa femme rêvant d'Amin. Enfin la scène où la jeune fille joue de la flûte est très touchante. Le récit, malheureusement, ne tient pas toujours la distance et manque de surprise. Cependant, Amin est un assez bon film et Faucon un cinéaste très personnel.
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