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    Le mystère Picasso
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    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 357 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 octobre 2021
    Il s'agit d'un film documentaire de Henri-Georges Clouzo sur Pablo Picasso. Pablo Picasso est un peintre et il est très populaire dans le monde entier. Sa vie s'étend du 25 octobre 1881 au 8 avril 1973 et il est espagnol. Le tableau le plus typique de Picasso est Guernica et le thème de ce tableau est l'anti-guerre. Au début l'écran blanc est reflété ensuite la ligne est étendue à l'écran blanc. Lorsque le public regarde la ligne elle devient progressivement l'image de quelque chose et la ligne est appliquée par Picasso. Puis la première image se transforme en une autre image et le public semble aimer regarder le film d'animation après cela Picasso apparaît à l'écran. Le film reflète alors le processus de production de la peinture de Picasso. Ce film est une histoire simple Picasso dessine un tableau mais le public qu'il le veuille ou non est entraîné dans le film...
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 163 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 décembre 2020
    “Le mystère Picasso” est un documentaire d’Henri-Georges Clouzot sorti en 1955. Prix Spécial du Jury en 1956, le film n’est pourtant pas un chef d'œuvre. Le cinéaste se contente de filmer Pablo Picasso en train de peindre à une allure folle afin de terminer ses œuvres avant la fin de la pellicule. C’est un document précieux pour ceux qui admirent l’artiste et cherchent à voir comment il travaille. Mais “Le mystère Picasso” n’est qu’un témoignage expérimental de l’art où les photogrammes se succèdent. Pourquoi pas.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    regis L.
    regis L.

    1 abonné 23 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 août 2020
    N’étant pas très réceptif à la peinture de Picasso, je me suis plutôt ennuyé. Un film donc pour les amateurs de l'artiste
    DaftCold
    DaftCold

    12 abonnés 213 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 mars 2020
    Le film n'arrive pas à interesser un néophite de Picasso. J'adore l'art, mais je connais assez peu ce peintre et j'esperais en découvrir plus. Force est de constater que ce film est fait pour les fans de Picasso... et personne d'autre.
    Ricco92
    Ricco92

    175 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 octobre 2019
    On peut aller voir Le Mystère Picasso parce qu’on est attiré par le nom de Picasso ou par celui d’Henri-Georges Clouzot. C’est la première catégorie de spectateur qui sera le plus satisfaite par le film. En effet, tout le film montre diverses peintures s’exécuter sous les yeux du public. Sachant que le simple fait de montrer Picasso travailler risquerait d’être rapidement rébarbatif, Clouzot choisit d’offrir une forme originale et cinématographique à ce qu’il montre à l’écran. Ainsi, il fait travailler Picasso sur un papier spécial qui permet de filmer le tableau par derrière sans que l’on puisse voir le peintre : on a donc l’impression de voir le tableau se créer tout seul sous nos yeux. Visuellement, Clouzot s’amuse à jouer avec les différents ratios de cadre selon ceux des peintures : on peut donc passer du 4/3 au Cinemascope. De plus, le cinéaste n’applique pas le même traitement temporel à chaque tableau : si les premières œuvres sont dessinées en temps réel, plus le film avance plus les ellipses temporelles deviennent la règles (cela permet de montrer en 5 minutes un tableau se créer alors que cela a pris 5 heures dans la réalité). Clouzot décide aussi de jouer sur la bande sonore pour rythmer le tout : il choisit donc habillement les musiques en fonction de chaque tableau, en offrant à plusieurs reprises une ambiance hispanique pour rappeler les origines du peintre. Toutefois, pour relancer l’intérêt du spectateur, le réalisateur choisit d’introduire à plusieurs reprises des séquences "making of" où le peintre et le cinéaste font un point sur l’avancé du tournage. C’est sûrement pour cette forme originale que le film reçut le Prix spécial du jury au Festival de Cannes en 1956 lors d’une édition visiblement friande de documentaires puisque c’est Le Monde du silence de Jacques-Yves Cousteau et Louis Malle qui remporta la Palme d’or cette année-là. Toutefois, même s’il est intéressant de découvrir l’évolution de la création des tableaux, il est facilement possible de trouver le résultat trop long et un peu redondant si on n’est pas spécialement un grand amateur de peinture et se dire que sa forme idéal aurait été celle d’une série de courtes émissions télévisées si ce médium aurait été plus répandu à l’époque de sa réalisation. Le Mystère Picasso est donc un film qui s’adresse plus à des spectateurs adeptes de peinture qu’au grand public.
    nielrowbooks
    nielrowbooks

    21 abonnés 669 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 août 2018
    Nous ferons abstraction des rares dialogues, lesquels semblent plus que formatés, en nous attardant sur les images. Ce que nous révèle H.G. Clouzot ici, c'est tout simplement la méthode Picasso lequel dit lui-même que ses toiles, du moins certaines de ses toiles,que nous limiterons aux huiles, sont des accumulations picturales. Expliquons : du premier jet au dernier coup de pinceau, sont peints différents avatars du sujet. Si l'on fait la radiographie d'une de ces toiles, on s'apercevra du travail effectué et surtout de la superposition des différentes couches de peinture, lesquelles retracent l"évolution, la transformation effectuée au cours du travail de l'artiste. Une des oeuvres de Picasso, pour exemple, commence avec une figure qu'on peut qualifier de figurative, et se termine en représentation cubiste du premier aloi. Etrange. Inutile de raconter des bobards, Picasso tâtonnait, puis finissait ses toiles en génie. En ce qui concerne les dessins, c'est quelque peu différent, certains ayant été dessinés en quelques minutes sans retouches.
    Ce film finalement scelle la rencontre entre deux grands maîtres. Cinématographiquement parlant nous sommes en présence d"un film minimaliste. Avec un reproche que nous ferons relativement au choix des thèmes musicaux. Ils ne collent pas avec la peinture de Picasso pour la majorité d'entre eux. Illustrer musicalement le cubisme avec des pièces qui n'ont jamais révolutionné la musique cela fait tache. Il y avait à l'époque du tournage, bien des musiciens modernes dont les oeuvres auraient relevé le niveau. Mais quand on vit une époque, on ne sait pas toujours qui sera au panthéon de l'art musical dans le futur.
    Ceci dit, c'est un film que tout esthète se doit de regarder.
    Bernard D.
    Bernard D.

    100 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 février 2018
    « Le mystère Picasso » de HG Clouzot, prix spécial du jury à Cannes en 1956, est qualifié de « documentaire » mais j’avoue être sorti frustré !
    Le film nous montre effectivement en gros plan l’exécution par le maître de plusieurs toiles et Pablo Picasso âgé de 75 ans de reprendre les traits, les couleurs … et de reprendre à nouveau et ce jusqu’à une quinzaine de fois pour un tableau où il dit même « ça va très mal … c’est très mauvais … j’arrache tout » et de reprendre une nouvelle toile !
    Ce qui m’ennuie dans ce film dit « documentaire » c’est l’absence de didactisme sur la technique du maître ! Il me semble manquer par exemple
    1)Le fait de savoir si les toiles présentées sont des créations ou la reprise d’anciens tableaux ?
    2)Le temps passé … car pour au moins un toile Picasso dit avoir passé 15 h devant la caméra … alors que dans le film les reprises paraissent très fluides, spontanées.
    3)Et surtout le pourquoi de la reprise des contours, des couleurs … pour essayer de comprendre pourquoi Picasso n’aime pas ce qu’il vient juste de faire et éprouve la nécessité de reprendre son travail.
    Clouzot s’est manifestement fait un grand plaisir intellectuel en essayant de combiner 2 domaines de l’art et il dit d’ailleurs en voix off dès le début du film « On donnerait cher pour savoir ce qui s'est passé dans la tête de Rimbaud quand il écrivit "Le Bateau ivre", ou dans celle de Mozart quand il composa la "Symphonie Jupiter » ! Ici il s’attaque à la peinture ce qui est effectivement le plus facile, mais il le fait sans aucun prouesse cinématographique cad qu’on voit de façon un peu répétitive Picasso peindre une quinzaine de toiles avec heureusement une progression dans la richesse des compositions picturales … mais c’est tout même un peu répétitif avec un grand clin d’œil à la peinture et au cinéma, puisque le chef opérateur est Claude Renoir. La musique absente au début devient rapidement envahissante et parfois « emphatique ».
    Bref Clouzot n’a pas réussi à me transmettre le pourquoi du génie de Picasso auquel j’avoue ne pas trop accrocher (en dehors de son « Guernica ») et - comme dit plus haut - je suis sorti frustré car j’espérais apprendre voire comprendre le pourquoi du génie de Picasso !
    Yves G.
    Yves G.

    1 273 abonnés 3 283 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 janvier 2018
    Picasso peint. Clouzot le filme.

    "On donnerait cher pour savoir ce qui s'est passé dans la tête de Rimbaud quand il écrivit "Le Bateau ivre", dans celle de Mozart quand il composa la "Symphonie Jupiter"". Ces mots, prononcés en voix off par Clouzot, nous introduisent à un documentaire singulier. On y voit Picasso en train de peindre, le processus créatif en train de se réaliser.

    En 1955, Picasso et Clouzot sont chacun au sommet de leur art. À soixante-dix ans passés, le peintre espagnol n'a jamais été aussi productif, aussi célèbre, aussi polémique. De vingt ans son cadet, Clouzot vient de réaliser "Le Salaire de la peur" et "Les Diaboliques". La passion partagée de la corrida les rapproche. Clouzot s'essaie à la peinture. Il est fasciné par le génie et la créativité de Picasso.

    Clouzot utilise un procédé cinématographique particulièrement astucieux pour le mettre en scène. Il place la toile entre la caméra et le peintre. Picasso, invisible, utilise des pinceaux et des encres qui la traversent. La caméra filme le verso de la peinture en train de se faire, comme par magie. On voit ainsi Picasso réaliser une vingtaine d’œuvres. La réalisation des premières, à l'encre, est filmée en temps réel. Celle des secondes, à l'huile, plus longue, est filmée en plans fixes assemblés au montage. Entre les deux, un entracte nous révèle le dispositif : Picasso, torse nu, l’œil vif, qui peint et Clouzot qui le filme avec son chef opérateur Claude Renoir (le petit-fils d'Auguste et le neveu de Jean).

    La virtuosité de Picasso éclate. Quelques traits suffisent à esquisser une femme nue, un cheval, un torero. On essaie d'anticiper. On y réussit parfois ; on échoue souvent. Dans un cas comme dans l'autre, on est impressionnés.

    Alors d'où vient mon manque d'enthousiasme ? D'une part de la durée de film. Prévu au départ pour être un court-métrage d'une dizaine de minutes, il aurait gagné à conserver ce format. Malgré les tentatives de Clouzot d'en dramatiser l'action, les peintures se succèdent avec monotonie. D'autre part et surtout de mon manque de goût pur la peinture de Picasso. J'en reconnais volontiers la vitalité, l'énergie, la puissance. Mais je n'y ai jamais trouvé la sensualité, la délicatesse, la beauté susceptibles de me toucher.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    69 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 novembre 2016
    Ce film à part dans la carrière de Henri-Georges Clouzot est une formidable plongée dans le processus de la création artistique, plus particulièrement en peinture. Magnifique rencontre entre le cinéaste et la légende absolue Pablo Picasso, il nous offre à voir la naissance d'une quinzaine de toiles, en "direct", des mains du maître. Impossible de ne pas se laisser emporter devant le premier jet, le développement et parfois la déconstruction de ses compositions, de ne pas être séduit par la poésie du trait, mais aussi par la sincérité et la générosité de la démarche du génial peintre espagnol.
     Kurosawa
    Kurosawa

    512 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 octobre 2016
    Il y a indéniablement une réelle fascination à voir le cinéma rencontrer la peinture, à voir la caméra de Clouzot filmer un tableau de Picasso en train de se faire. Le parti pris du cinéaste est de ne pas montrer le peintre mais (presque) uniquement le tableau et aussi de ne pas filmer le processus créatif en temps réel (un des tableaux projeté en l'espace de cinq minutes a en réalité été peint en cinq heures). L'intérêt de ces choix de mise en scène est de renforcer l'attraction du spectateur pour le peintre car, en ne le voyant pas directement, c'est comme si le tableau se faisait de lui-même. Ce n'est pas Picasso qui corrige ou modifie son oeuvre, mais l'oeuvre elle-même qui change sous les yeux d'un spectateur se devant d'être attentif à tous les mouvements qui défilent sur la toile : Picasso est bien le maître, mais il est invisible; ce ne serait donc pas en le filmant qu'on percerait son mystère et qu'on comprendrait son génie. Pourtant, on peut se demander s'il n'aurait pas mieux valu filmer Picasso peindre un tableau en temps réel, ce qui aurait permis non seulement de représenter l'évolution complète de l'oeuvre mais aussi de saisir les pauses et les mouvements du peintre, afin de saisir de façon plus ample son travail. Cette idée, purement suggestive, aurait également brisé la monotonie d'un film qui se fait succéder un nombre exagéré de tableaux, un procédé qui n'évite en aucun cas la répétition et un sentiment de lassitude qui en découle. Clouzot réalise un exercice de style aussi impressionnant que frustrant, qui ne manque pas d'intérêt sur le principe mais qui montre ses limites sur la durée d'un long-métrage.
    mazou31
    mazou31

    80 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2015
    Rencontre d’un peintre de génie et d’un grand metteur en scène. Une expérience unique que de voir, par un procédé surprenant, une œuvre de Picasso se créer sous nos yeux. Ce n’est pas à proprement parler un film mais assurément une expérience inoubliable. À voir et à revoir de temps à autre pour se laisser emporter par la manifestation du génie.
    paul
    paul

    19 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2021
    Pablo Picasso à l'oeuvre, comme vous ne l'avez jamais vu. Clouzot excelle grâce à ce très bon documentaire aspirant à percer "Le Mystère Picasso", montrant avec brio tout le mécanisme créateur d'un artiste. Le génie du réalisateur a ainsi été de proposer une véritable décomposition des derniers tableaux de l'artiste permettant de suivre la composition de ces quelques œuvres, au gré des mouvements de pinceaux, des coloriages, des collages, des insatisfactions du maître. Tout en sobriété (musiques et esthétiques laissant part au mysticisme) sublimations et passions semblent être les maîtres mots d'un documentaire constituant de fait un véritable hommage au peintre.
    Angela Ki La
    Angela Ki La

    51 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 mai 2012
    Film témoignage complètement hors normes. On pourrait imaginer François Truffaut filmant Miles Davis au travail, ou Jean Renoir filmant Rodin, sauf que je ne sais pas si ça c’est historiquement crédible. Le pape de l’art moderne filmé par un cinéaste emblématique. Et comme souvent quand deux montagnes se rencontrent, le résultat est extrêmement simple et sans chichis. Picasso peint, Clouzot filme. On sent que le maître ne force pas son talent. Et je ne suis pas sûr que l’image en mouvement ça l'intéresse vraiment, (contrairement à son compatriote Dali). Reste son coup de crayon magistral, sa liberté créatrice et sa vision originale, identifiable au premier coup d’œil. Grâce à un trucage, on voit les tableaux se créer touts seuls à l’écran, comme par magie, en musique. Dommage que se soit sur le tard. Ce film aurait été énorme si quelqu’un avait eut l’idée de le réaliser à l’époque ou Picasso révolutionnait constamment sa pratique, quelques 20 ou 30 ans plus tôt. Là il se contente de gérer, on aurait tord de lui donner tort, il n’a plus rien à prouver. Debout torse nu tel un gladiateur qui sait, il se contente d’être là.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    128 abonnés 675 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 avril 2017
    Impressionnant, vraiment. De l'Art avec un grand A. Peut-on « mesurer » la valeur d'un tel film? La rencontre entre un maître du 7e art et l'un des plus grand génies de la peinture... La richesse du «Mystère Picasso» s'avère tout simplement inestimable. Sous nos yeux les toiles de Pablo Picasso prennent vie, et chaque nouvel ajout de couleur crée une nouvelle oeuvre, chaque couche de peinture supplémentaire vient bousculer l'ordre précédemment établi de la composition pour en constituer une nouvelle. Car le film repose sur une idée de génie de Clouzot : donner une nouvelle dimension à l'art pictural, le temps. On suit donc avec passion le processus créateur de l'artiste et on le voit tracer, hésiter, recouvrir, changer, tout recommencer ou simplement parfaire son travail... Et que dire des toiles qui nous sont présentées! Si toutes n'ont pas la même portée, inutile de préciser la beauté inouïe qui émane de chacune d'entre-elles. Un long métrage profondémment novateur et étonnant, parfait point de rencontre entre deux arts majeurs. Génial. [4/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/
    ygor parizel
    ygor parizel

    200 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2012
    Filmer Pablo Picasso entrain de créer était une bonne idée (même si on est pas adepte du peintre, comme moi). Mais bon le résultat est moyen, pas assez didactique on le voit peindre mais on ne comprend pas ses oeuvres, les dessins (gribouillis) du début du film sont médiocres mais ensuite la qualité s'améliore nettement. Un peu déçu car je pensais en apprendre plus que cela en regardant ce documentaire.
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