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Un visiteur
3,5
Publiée le 21 octobre 2018
Tiré du roman de Stephen King du même nom, j'ai apprécié ce film mais par moment je trouve qu'il y a beaucoup de longueurs ce qui est dommage mais dans l'ensemble cela reste un bon film à voir au moins une fois.
Je ne le comparer pas au roman dont il est adapté, sauf au niveau du manque d'émotion pour le spectateur ; un manque d'empathie. Pour le reste, la mise en scène reste correct même si quelques chemins ont été pris pour la rapidité de la chose. Parfois à tord, parfois non. Mais il permet au film de ne pas trop nous ennuyer que si il avait durer 2h. Quelques passages longuet passent mais le film reprend assez vite son rythme. Pas spécialement rapide, mais son on va dire son rythme de croisière… Sans doute afin de nous mettre à la place du père ou du fils. Mais bizarrement, cela ne se fait pas même au final qui d'ailleurs n'aura guère de surprise sans même avoir vu la BA (juste le synopsis et admettons un quart d'heure du film…) et ne nous surprend pas, même les tentatives pensées de retournement de situation qui auraient pu être entrevu ; ne viennent pas (mais elle aurait trop été loin du roman). Mais à la lecture du synopsis on s'attend à quelques moments de tension…. Une ambiance vocale essaie parfois de nous plonger au cœur des choses, mais en vain. Et pour les effets, c'est le strict minimum donc ne pensait pas un film d'horreur en voyant le synopsis. Mais plutôt un drame. Pas inoubliable, mais à heure perdu ; c'est regardable même si cela montre trop de prévisibilité ; et un peu plus de surprises auraient été sympa.
Animé par une volonté de bien faire évidente, l'aspect film d'époque est plutôt réussi. Faisant preuve d'un certain savoir-faire en termes de mise en scène, Zak Hilditch suscite, du début à la fin, un véritable intérêt pour cette macabre fable paysanne – où l'on récolte ce que l'on sème –, explorant le registre de la tragédie familiale, de l'horreur psychologique mais aussi graphique, bien que cette dernière soit un peu allégée en comparaison avec la sanglante nouvelle. Critique complète sur le site Terreurvision.com
Ce film a déçu plusieurs personnes pour la simple raison que beaucoup voulait regarder un film d'horreur et non un thriller psychologique et c'est une chose que je comprend parfaitement. Mais cependant, j'ai personnellement passer un bon moment devant un film qui m'a proposer quelque chose de plus profond qu'un simple film rempli de sang et de jump scare. Donc voila j'ai plutôt aimé.
Wilfred James, fermier, est fortement attaché à sa ferme et sa propriété. Lorsque sa femme lui fait part de ses envies d'ailleurs, l'homme décide de commettre l'irréparable. Le film nous plonge dans les années 20, décennie riche en événements. Récession économique, banditisme, prohibition, après-guerre, l'automobile reflet d'une certaine aisance, sont autant de thèmes suggérés avec plus ou moins d'importance dans 1922. Ce drame se nourrit le plus simplement du monde de la culpabilité d'un homme et de sa méfiance à l'égard de ceux qui l'entourent.
Une petite merveille ! La photographie est superbe, les acteurs géniaux et l'histoire toujours à un cheveu du fantastique est passionnante. Ce film reflète la réalité des fermiers de l'époque plus obsédés par leurs terres que par leur famille. Quelle descente aux enfers il subit, tout en le méritant bien, vu ce qu'il a fait. J'ai adoré l'ambiance, la reconstitution de l'époque et ces spoiler: fantômes dont on ignore si ils sont réels ou le fruit de l'imagination de ce meurtrier devenu alcoolique et moitié fou.
Un navet de bout en bout. Ce film n'a rien. C'est long, c'est chiant, aucune intrigue, du Stephen King du pauvre. Netflix devrait s'abstenir ou réfléchir avant de lâcher des budgets pour ses productions long métrage.
Le nom du réalisateur de cette production Netflix me rappelait vaguement quelque chose. Après vérification, Hilditch est l’homme derrière le discret ‘These final hours’, peut-être bien le meilleur film post-apo (ou plutôt “just-before-apo�) des cinq dernières années, et cette réussite absolue tenait moins à l’univers ou à la maîtrise des poncifs du genre - il s’agissait d’un film à très petit budget - qu’à la profondeur psychologique dont il faisait preuve, dans sa description de la métamorphose rédemptrice d’un homme confronté à son inéluctable disparition. Hilditch semblait donc idéalement taillé pour adapter cette nouvelle de Stephen King tirée du recueil ‘Nuit noire, étoiles mortes’, qui traite d’un crime sordide et de ses conséquences dans l’Amérique rurale des années 20 : le fermier Wilfrid James assassine sa femme avec l’aide de son fils, afin de l’empêcher de vendre la ferme. La culpabilité des deux hommes et la fatalité du destin vont transformer leur futur en enfer, comme si une malédiction les poursuivait. Profitant de son talent pour croquer efficacement les personnalités troublées, Hilditch donne corps à ce trio infernal à l’écran, le fermier mutique et buté qui s’est abandonné à son instinct de préservation reptilien ; son fils influençable, exalté mais vite consumé par les remords ; la mère, qui rêvait simplement d’une vie plus libre et enthousiasmante - et en fait des figures presque aussi complexes que lorsqu’elles vivaient dans les pages de King. Il en ressort une petite peinture d’époque réussie, steinbeckienne et plombée, et une analyse intéressante de la psychose criminelle dans une Amérique reculée et loin des centres économiques. Cette fois encore, Hilditch semble moins à l’aise avec ce qui touche strictement au Genre puisque les éléments fantastiques, qui empruntent beaucoup au ‘Coeur révélateur’ de Poe pour les manifestations “physiques� de la culpabilité, s’avèrent plutôt anecdotiques, voire même un peu maladroites.
Sous le forme de la confession écrite d’une épave amputée et schizophrène qui se cache dans une chambre d’hôtel en 1930 s’étale le sombre récit de ses actes commis en 1922, avant que ce tueur rongé par le remords ne se fasse engloutir complètement par la douleur et les manifestations vengeresses et surnaturelles de ses méfaits. D’abord pris par les préoccupations rurales d’un fermier du centre des USA, par l’ambiance malsaine qui règne avec son épouse et par l’espoir qu’il place dans son fils, le film nous captive ensuite par un avant, pendant et après meurtre tout aussi domestique et maladroit, avant de s’enfoncer dans les mécanismes intimes de la culpabilité et la cascade de malédictions conséquentes qui s’acharneront à briser le coupable pour lequel va néanmoins toute notre sympathie. Version cinéma d’une nouvelle de Stephen King, voici la dure et singulière histoire d’une vengeance d’outre-tombe, et surtout du lent supplice et de l’irrépressible descente aux enfers d’un assassin, magnifiquement incarné par un méconnaissable et bluffant Thomas Jane, à des années lumière du Punisher ou du Mist. A la manière d’un conte pour enfants adultes, la morale stephenkinguienne s’adresse à tous les braves gens qui cachent aussi un assassin dans leur inconscient cupide et leur vision à court terme, en nous racontant comment l’enfer qu’on mérite ne se trouve pas après la mort mais bien avant.
Après les excellents ça et Jessie, cette autre adaptation de Stephen King se veut moyenne. Malgré la qualité du jeu des acteurs, le film demeure trop lent; A la base, la nouvelle (et non un roman) n'est peut etre pas assez riche pour en tirer un film. ça se regarde, on retrouve le coté Stephen King mais ça s'oubliera vite.
Je viens de voir le film,et franchement je l'ai trouvé pas trop mal, c'est pas le meilleur film traitant d'une nouvelle de Stephen King mais il reste assez fidèle a celle-ci. Par contre j'ai été un peut déçu par le jeux d'acteurs de certains personnages que j'ai a titre personnel trouvé un peut moue. Cependant j'ai quand même aimé le cadre du film, il y a aussi des plans ou on voit un certain charme de part les paysages et j'ai trouvé cela sympas. Je pense tout de même que le film aurait du être un peu plus long et l'intrigue peut être mieux exploitée.