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    Patti Cake$
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    3,7
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    45 critiques spectateurs

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    dominique P.
    dominique P.

    785 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2017
    Je ne suis pas du tout fan du rap mais j'ai trouvé cette comédie dramatique américaine fort intéressante et divertissante.
    L'actrice principale est attachante et talentueuse.
    J'ai passé un bon moment dans l'ensemble.
    Ufuk K
    Ufuk K

    465 abonnés 1 399 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2017
    " patti cakes " présente lors du dernier festival de cannes est un drame musical réussit. En effet le film doit beaucoup à son interprète principale génialisme. Le film oscille habillement entre rire , émotions et moments musicaux.je suis ressorti de la salle avec une bonne énergie.
    Jorik V
    Jorik V

    1 196 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 septembre 2017
    Personnages iconoclastes, description d’une certaine Amérique citadine pauvre et white trash, bonnes ondes sous couvert de feel good movie cachant une sucess story, … N’en jetez plus, on est bien dans du cinéma indépendant américain pur jus. Pas celui des croûtes à Oscar ou véhicules à prestation hors normes, non, celui fauché qui peut parfois surprendre dans les festivals. « Patti Cake$ » semble donc un produit tout à fait formaté d’un certain cinéma qui existe encore grâce à ces manifestations comme la persévérance de petits auteurs et peut parfois révéler de bonnes surprises. S’il n’en est pas vraiment une inoubliable de par sa trame générale bien trop classique, il demeure néanmoins une proposition de cinéma convaincante, chaleureuse et bourrée d’énergie. Une énergie qui traverse l’écran et s’avère communicative surtout que le réalisateur Geremy Jasper peaufine une mise en scène dynamique, colorée et pleine d’idées visuelles tout à fait en adéquation avec le sujet.

    On apprécie l’équipe de bras cassés qui constitue le groupe de rap que va former cette Patti Cake$ avec des marginaux en tous genres formant une galerie de seconds rôles réjouissants. Du black sataniste adepte de métal à la grand-mère en fauteuil roulant qui jure comme un charretier en passant par la mère alcoolique, rien de très nouveau sous le soleil des banlieues américaines pauvres et désœuvrées mais la galerie vaut le coup d’œil et amuse sans tomber (de justesse) dans l’excès ou la caricature. En revanche, le film est souvent à deux doigts de tomber dans un misérabilisme à la « Precious », un film qui est justement cité dans « Patti Cake$ » mais se rattrape toujours par sa bonne humeur, son positivisme et ses bonnes ondes portées par une interprète principale qui bouffe l’écran, Danielle McDonald. Une révélation pour laquelle on ne peut avoir que de l’empathie et qui porte le film sur ses épaules.

    En revanche, pas de surprise au niveau de l’intrigue. Rien n’est gagné au départ, il y a des hauts, il y a des bas, des remises en question et tout est bien qui finit bien. C’est même trop prévisible mais c’est fait avec beaucoup de cœur alors on reste relativement indulgent. En revanche, pour qui n’aime pas le rap et le slam (et les vulgarités), mieux vaut ne pas pénétrer dans une salle projetant le film : en tant que profane ou allergique à ce type de musique, cela pourrait vite vous saouler. Et même si c’est un tantinet trop long, ce conte de fées cousu de fil blanc force le respect et inspire la sympathie. Alors à la sortie de la salle, on sait que ce n’est vraiment pas le film du siècle, loin s’en faut, et qu’il jouit d’une emballement médiatique de la presse spécialisée un peu exagéré mais force est d’avouer qu’on passe un agréable moment, sans plus, ni moins.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    99 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 août 2017
    La chronique douce-amère d’une Amérique white trash et d’une jeune femme qui veut aller au bout de ses rêves. Enthousiasmant.
    garnierix
    garnierix

    197 abonnés 413 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 septembre 2017
    Ce film n’est pas pour ceux qui n’aiment pas le rap et / ou les gros mots. C’est un film pour tous ceux qui conçoivent que l’envers du décor américain, la crasse, la graisse et la tôle ondulée, peut faire surgir l’envie de mieux, la passion de vivre, et une sorte d’innocence créatrice qui ne peut pas surgir du luxe ou du simple confort. C’est un film pour tous ceux qui vont et viennent, petitement, lentement, sans assurance. Pour tous ceux qui créent et qui souffrent de ne pas en vivre. Pour tous ceux qui ne suivent pas (Taylor Swift par exemple!). C’est un film pour tous ceux qui aiment regarder longuement pétrir le pain, s’évanouir la rosée, éclore la pivoine. En l’occurrence, là, on assiste à l’éclosion de musique, une fabrication tellement improbable, et finalement tout-à-fait probable. Le réalisateur est dingue de musique (Geremy Jasper), ça se sent, et c’est sans doute ce qu’il fallait pour réussir un tel film (qui en plus n’a rien coûté). Imparfait peut-être (ou forcément), à cause du scénario, mais imperfection qui n’est d’aucun poids face à l’émotion provoquée –la raison de son ovation à Cannes?. Patti est tout dans ce film (jouée par Danielle Macdonald, australienne), une belle grosse pétillante, qui a le sens du rythme et de la répartie. Shakespeare n’a qu’à manger son chapeau, lui dit son copain, mais à côté de ça, elle s’entend dire par un pro qu’elle est un charognard de la culture (un vautour) et qu’elle ferait mieux de rester en cuisine (préparer des absinthes). Elle est du côté de ceux qui sont derrière la porte du rêve américain, enfermés dehors, qui s’entrainent à la sortie d’un tunnel sous l’autoroute, qui galèrent. Pour l’instant. Mais qui gagneront à la fin –très bonne fin de film d’ailleurs.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 septembre 2017
    Un film coup de poing, sur fond de misère sociale et émotionnelle. La vie misérables de Patti vous prend aux tripes : un physique atypique, peu d'amis, une mère complètement à côté de la plaque, un boulot minable et que du mépris autour d'elle. Et pourtant, contre vents et marées, elle y croit. Elle sait qu'un jour elle connaîtra le succès et la gloire, et elle s'accroche à ce rêve. L'interprétation est remarquable, l'actrice principale crève littéralement l'écran. Elle a accepté de se montrer sous un jour pas du tout flatteur, cela force admiration. Ses partenaires, jouent à merveille ces autres laissé-pour-compte que personne ne regarde. Le personnage de la mère, une femme en apparence forte qui cache bien des fêlures, est très puissant. Le film est un peu tourné comme un clip vidéo, dans des tons plutôt glauques qui illustrent bien l'atmosphère lourde. L'Histoire tourne un peu au conte de fées, c’est presque une version moderne de Cendrillon, mais ne boudons pas notre plaisir. L'émotion est très présente, et j'ai passé un excellent moment
    Christoblog
    Christoblog

    741 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2017
    Patti Cake$ n'est certes pas le meilleur film de l'année en terme de surprises scénaristiques ou de profondeur de l'analyse sociale.

    C'est par contre sans aucun doute le meilleur dans le genre feel-good movie débordant d'énergie.

    Patti est une femme blanche en surpoids : trois bonnes raisons de ne pas percer dans le monde du rap. Elle a pourtant en elle le flow, et dans ce New Jersey plus habitué à voir éclore des Bruce Springsteen que des Eminem, elle va sérieusement galérer sur la route d'un hypothétique succès.

    Si on a déjà vu mille fois dans le cinéma américain l'histoire de l'artiste / du sportif / de l'homme public qui part de rien en se cognant à tout, elle est ici sublimée par l'énergie débordante de l'actrice australienne Danielle Macdonald, qui semble pouvoir tout renverser sur son passage. Le film parvient grâce à elle (et aux autres acteurs, tous formidables) à être plus que ce qu'il raconte : Patti Cake$ devient un grand huit émotionnel dans lequel on est tour à tour emporté par le rire, les émotions et les larmes.

    Le torrent émotionnel qu'il déverse n'évite pas toujours quelques facilités, et le mauvais goût rode au détour du chaque plan : l'incroyable puissance du film semble à la fois le remplir et menacer de le dépecer.

    Il faut la mise en scène toujours inventive de Geremy Jasper, ainsi que sa capacité étonnante à dessiner une ambiance en quelques images, pour que les courants d'énergie foutraques qui traversent le film ne l'emporte pas définitivement.

    Pour ma part, j'ai pris un pied immense et quasiment enfantin à suivre les aventures de Patti et de ses proches, me délectant de chaque péripétie, comprenant peut-être pour la première fois en quoi le rap est une poésie, admirant à la fois le caractère joyeux et optimiste de l'aventure proposée, me délectant de la beauté de ces personnages merveilleusement dessinés.
    Daniel C.
    Daniel C.

    131 abonnés 715 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 septembre 2017
    Le grand mérite de ce film américain, c'est de faire une large place à la diversité : diversité dans la couleur de peau, dans l'origine "ethnique", dans la surcharge pondérale, dans le partage entre des gens différents : une jeune fille obèse, un indien, un noir tous trois rassemblés par un projet commun autour du rap et de la possible extraction sociale, qu'il pourrait offrir. L'accession à la richesse, le goût du profit sont là. Certes, on est bien dans les valeurs américaines de la société du gain, du succès, du courage et de l'opiniâtreté nécessaires pour gagner. On ressort pourtant de ce film avec la pêche, avec l'idée qu'il est possible de s'en sortir, même quand on est dans la mouise. La question de l'absence de sécurité sociale pour prendre en charge les soins médicaux est très clairement exposée. L'exception française a quand même le mérite d'exister et c'est terrible qu'un tel système soit régulièrement attaqué. Nous voyons au travers du fait que là-bas ce système fait défaut, qu'on est chanceux d'en disposer ici. La médiocrité affligeante du roi du rap vénéré par Patricia Dombrowski, alias Patti Cake$, nous montre aussi que d'être en haut de l'affiche n'est pas toujours synonyme d'être quelqu'un de respectable ou d'admirable.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 septembre 2017
    La comparaison de Patti Cake$ avec 8 Miles est certainement la 1ère chose qui vient à l'esprit des cinéphiles en lisant le synopsis et en regardant la bande annonce. Toutefois ici point de battle (ou à peine). Le scénario n'est pas monté en success story. Patti Cake$ est un hommage aux rêves brisés, à l'Américain moyen qui tente de boucler les fins de mois après que "la vie réelle" l'ait rattrapé. Quelle sont belles et tristes Barb et Nana dans leur déchéance ! Face à ces modèles négatifs Patti ne peut que lutter de toutes ses forces pour protéger ses rêves et et ses espoirs.
    Laurent C.
    Laurent C.

    237 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2017
    19 ans tout au plus, cette Patti Dombrowski. Toute droite issue des provinces américaines désœuvrées, malgré les maisons qui bordent les avenues, ces mêmes provinces qui ont voté Trump en masse. On l'appelle Dumbo à cause de son embonpoint qui la caractérise, et on refuse de voir en elle la poète, révoltée et pathétique, sensuelle et sensible, entière et mal à l'aise avec elle-même et le monde qui l'entoure. "Patti Cake" est tout autant une histoire d'adolescence américaine, qu'un essai brillant sur l'acte de création. En effet, la manière dont le réalisateur filme la façon dont cette jeune prodige écrit ses chansons et les met en musique, pourrait être celle d'un peintre, d'un écrivain, ou d'un danseur. C'est un film qui parle d'art, dans ses fondamentaux esthétiques et moraux. L'artiste repose bien souvent son geste de création sur des tréfonds mélancoliques et sensibles. C'est tout le portrait de cette jeune Patricia qui vit dans un milieu familial carencé mais aimant, où l'alcool côtoie la violence parfois comme les embrassades. Le réalisateur parvient avec brio à faire aimer un Rap sensuel, sans jamais verser dans la démagogie ou la facilité. On tremble avec cette jeune artiste qui s'apprête à monter sur scène ou qui entonne un chant étincelant sur le capot de sa voiture. On sourit aussi autour de ces personnages lumineux, comme cette mère aigrie par la carrière qu'elle n'a pas menée, ce jeune chanteur d’originée indienne aux accoutrements les plus atypiques, ce jeune fils d'avocat noir, tourmenté et silencieux. "Patti Cakes" est un hymne tendre à une jeunesse américaine qui se bat pour survivre, créer et exister.
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    44 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 août 2017
    Une jolie histoire ou une jeune femme souhaite devenir une chanteuse de hip hop et je suis sur que vous craquerez pour Patti attachante à souhait à voir
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 septembre 2017
    Je n aime pourtant pas le RAP, j ai beaucoup aimé le style, l actrice, l histoire qui relate une vie normale américaine sans le bling bling! Très bien filmé ! Allez le voir en VO! Et nous pouvons voir autrement le RAP, ca fait ouvre les yeux sur un autre univers! À Voir!!
    deessedoree
    deessedoree

    28 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 septembre 2017
    Ça commence d'une manière glauque, le tout bercé par des paroles de rap sans beaucoup de finesse : je me suis demandé au début si j'e resterai jusqu'au bout du film. Et puis on finit par s'attacher à Danielle MacDonald et à son histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 août 2017
    Superbe film vu ce soir en avant-première à Nancy. Émouvant et poignant. On a vraiment envie de croire en cette histoire. L'actrice qui joue Patty est époustouflante.
    bsalvert
    bsalvert

    320 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 avril 2018
    Une impression de déjà vu de la petite provinciale qui se rêve talentueuse dans cette terre de tous les possibles.
    PLV : un jeu d'actrice impressionnant
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