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    Underwater
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    Steefen Z
    Steefen Z

    5 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 janvier 2020
    J'ai bien aimé ! Certes pas très original comme Intrigue, mais j'ai bien aimé. Le film se regarde. Il n'y a pas de longueur. Dès le début, avant même de décompter 45 secondes ça décolle et ce jusqu'à la fin .
    kohsam
    kohsam

    26 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 janvier 2020
    Surement pas le meilleur de film SF / horreur.
    J ai passé malgrés tout un bon moment, même si on est un loin du niveau de alien, aliens ou abyss.
    Quelques moments de tensions assez sympas.
    Un genre qui meriterait d etre un peu plus exploité au cinéma.
    Une bonne serie B qui se laisse regarder malgrés un scenario un peu lisse et pas mal de défauts.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 174 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 janvier 2020
    Eh ! Vous voulez voir un film sympa de William Eubank ?
    Un film orienté fantastique / SF, avec de vrais beaux moments esthétisés ?
    Une sorte de série B de luxe qu’on est bien content d’avoir vu ?
    Eh bien n’hésitez plus ! Jetez vous sur… « The Signal ».

    Oui oui…
    « The Signal. » C’est le premier long-métrage de William Eubank.
    C’est très inégal. C’est loin d’être parfait. Mais ça se regarde plutôt bien.
    Donc faites-vous plaisir si vous vous sentez le public visé.
    Mais par contre, n’allez surtout pas voir cet « Underwater ».
    Ooooh non… Ça, ce serait vraiment une très mauvaise idée.

    Pourtant – ici aussi – on a dans cet « Underwater » cette volonté affichée de faire de la série série B qu’on va s’efforcer de faire grimper en gamme, mais…
    Mais le problème c’est ça ne marche pas quoi.

    Dès qu’on commence à rentrer dans le film catastrophe (en à peine dix minutes d’ailleurs), ça devient vite… triste.
    Ça gigote dans tous les sens.
    Ça clignote.
    Ça cute.
    Ça hurle.
    Ça vomit de la musique pompière.
    Mais aïe aïe aïe quoi…

    Alors bon, c’est vrai que les stéréotypes de personnages qu’on nous offre sont un peu moins horripilants que ce qu’on nous sert d’habitude dans ce genre de film. C’est vrai qu’ils ne disent pas trop de conneries à la seconde. Et c’est vrai que, parfois, il peut y avoir du style.
    Des combis assez classes d’un côté. Quelques (très rares) plans esthétisés de l’autre. Un rythme plutôt maitrisé. C’est pas ce qu’il y a de plus honteux dans le genre quoi…
    Mais bon… Ça n’en fait pas pour autant un film fameux. Même pas un film passable d’ailleurs…

    Premier gros souci, c’est l’absence totale de surprise.
    De la première à la dernière minute, l’intrigue suit un fil tout ce qu’il y a de plus attendu.
    Et le pire, c’est que moi je suis allé voir ce film en n’en sachant absolument rien : j’y suis juste allé pour William Eubank. Eh bah dites donc, je peux vous dire qu’à chaque moment où le film faisait son exposition, moi en retour je faisais de plus en plus la tronche des mauvais jours tellement les clichés étaient enfilés comme des perles.
    spoiler: « Hey ! On va vous descendre à 11km sous les océans ! - Hmmm… ça fait quand même peur. On ne sait pas ce qu’on peut trouver là-dessous. » OK. Ils vont tomber sur une saloperie sous-marine. « Voici l’équipe. Kristen Stewart. Vincent Cassel. Une jolie fille. Deux gros lourds. Et un noir. Vous en avez pour un mois. » OK. Ils ne vont pas tenir plus d’un jour. Le noir sera le premier à crever. Après ce sera le tour des gros lourds. En ce qui concerne les deux têtes d’affiche, elles devraient tenir jusqu’au bout. Et comme la jolie fille n’est ni vulgaire ni superficielle, elle devrait survivre à la fin. « BOUM ! Oh non ! Une catastrophe ! Que faisons-nous de tous ces personnages en difficulté ? » Hmmm… Ces personnages que tu viens de désigner n’ont parlé que dix secondes ou pas du tout depuis le début du film. Je crois que tu vas les sacrifier. « Ne pleure pas Kristen. Tu as bien fait de les sacrifier ! Tu ne pouvais pas faire autrement. Allez viens ! Maintenant trouvons une solution. Il doit y avoir d’autres survivants ! » Ah ça oui ! Je pense bien !Oui. Cassel est forcément encore vivant, vu son cachet ! Fouillez ! « Oh capitaine Cassel ! Incroyable ! Vous êtes vivant ! - Eh oui ! Et j’ai un plan pour nous sortir de là ! Voici un long parcours d’obstacles super-compliqué qui va nous permettre de choper les capsules de sauvetage de l’autre station qu’on a été trop cons pour penser à la relier à la nôtre. - Et ça c’est quoi ? C’est plus près on dirait. - Ça c’est la station Shepard. Elle nous a servi pour faire les repérages. Mais aujourd’hui elle ne sert plus à rien. Donc on oublie. » Bah voyons. Donc le parcours va être détourné pour finir à la station Shepard. Merci de l’info… J’espère juste qu’il ne va pas falloir tout le film pour juste aboutir à ça. Il faudra tout le film juste pour aboutir à ça.


    Alors OK, au petit jeu des prévisions, j’ai pas forcément eu tout bon, mais j’avais quand même les grandes lignes.
    spoiler: Bon, Cassel est mort plus vite que prévu, remplacé dans le final par un gros lourd que je pensais voir mourir. C’est vrai, c’est surprenant. Mais bon, pas de quoi se faire « usual-suspecter » non plus…

    Difficile en tout cas de se laisser prendre par une intrigue à ce point balisée ; surtout quand ces balises sont aussi faméliques.
    Du coup l’ami Eubank s’en retrouve à devoir piocher dans la boite à jumpscares et autres facilités pour essayer de tenir son spectateur en éveil. Donc autant vous dire que le résultat obtenu est assez triste.

    Et c’est d’autant plus triste qu’en fin de compte, le vide de ce film est en permanence comblé par du fade, du vent, et parfois même des clichés stupides.
    spoiler: Et vas-y que je te ramène un bébé monstre marin dans une soute ; que je te le touche à mains nues et que je ne m’assure même pas qu’il soit mort… Et vas-y aussi que je dis « eh on éteint nos lumières ! On passe en images infrarouges » …Mais que j’affiche ensuite les images dans le casque translucide de la combinaison. Et vas-y enfin que je te décide de faire sauter un réacteur nucléaire sous l’eau pour sauver deux personnes, ne se souciant absolument pas au passage du fait que ça va rendre radioactif tout un océan. (Et vas-y d’ailleurs que je suis capable de régler le souffle de l’explosion au millimètre près, en mode « ça éradique totalement ici mais ça épargne totalement là »…)

    Enfin bon, ce film c’est un condensé de tristesse cinématographique…

    Alors après d’accord. Il y aura bien deux trois trucs un peu « sauvables » dans ce terrible naufrage mais – encore une fois – tous ces trucs cools, vous les aurez décuplés dans « The Signal » donc bon…
    Franchement, suivez mon conseil : ne vous infligez pas inutilement du mal. William Eubank mérite mieux que le fait qu’on découvre dans ce mix raté d’« Abyss », d’ « Alien » et de « Half-Life ».
    A croire que la marche était trop haute pour lui.
    Que la pression des gros studios a été trop forte.
    En espérant en tout cas que ce bon William survivra à ces eaux troubles.
    C’est vrai qu’après ça, je ne sais pas si le petit gars s’en remettra.
    J’espère vraiment en tout cas. Car moi, au fond, je n’ai rien contre l’idée de films série B haute-gamme. Bien au contraire.
    Mais encore faudrait-il savoir en (re)faire.
    Donc bon courage à toi William…
    …et croisons les doigts.

    Mais bon… Après ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    Darius91
    Darius91

    25 abonnés 142 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 janvier 2020
    Décevant. Trop prévisible. Trop de scènes ressemblantes à Alien (Sigourney déambulant en slip) ou à Abyss et trop d'actions dans une eau laiteuse et noire ou l'on ne distingue rien. Si parfois ce genre de scènes met du piment, y avoir recours sans cesse est déprimant à un point qui laisse penser que ça doit moins coûter cher de le faire que de bons effets spéciaux.
    RedArrow
    RedArrow

    1 550 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 janvier 2020
    Pas le temps de souffler une seconde dans les fonds maritimes de "Underwater" ! Juste un générique nous martelant un contexte tout plein de mystères bien louches suivi d'un rapide aller-retour dans la tête de l'héroïne (Kristen Stewart) afin de signifier de dures conditions de vie en vase-clos dans une plateforme sous-marine de forage, et, badaboum, le lieu en question est ravagé par une mystérieuse déflagration mettant en danger tous ses occupants ! Dès lors, le rythme du film se calque sur l'urgence de la situation et part à toute blinde avec ses survivants chercher un échappatoire au milieu d'un environnement hostile rempli de "choses" méchamment allergiques à toute présence humaine...

    En découvrant la bande-annonce de "Underwater", on pouvait tabler sur une sorte de "Life - Origine Inconnue" aquatique, c'est-à-dire une proposition pas forcément des plus originales mais qui utiliserait astucieusement des références bien plus grandes (et adorées) pour aboutir sur un bon vieux film de monstre des plus divertissants. C'est en partie le cas ici sauf que "Underwater" joue dans une cour hélas bien plus insignifiante que le film de SF de Daniel Espinosa.
    En effet, si William Eubank ("The Signal") régurgite bien tout un tas des titres incontournables du genre à l'écran, il choisit d'en accumuler tous les stéréotypes les plus attendus jusqu'à oublier de donner une véritable identité à son long-métrage. Du groupe de personnages luttant pour sa survie, empilement d'archétypes d'une autre époque auquel le casting (bien pensé) parvient à donner un peu d'âme, aux péripéties qui va les décimer à tour de rôle, "Underwater" tape dans les poncifs les plus basiques pour aller directement à l'essentiel sans jamais envisager une seconde d'en faire plus ! La formule fonctionne quelque part, il faut le reconnaître, la courte durée du long-métrage (1h35) conjuguée à cette ligne de conduite tout autant bourrine qu'un brin nostalgique de la pure série B aquatique lui permet de ne laisser la place à aucun temps mort et évite à notre esprit de divaguer autour de trop grandes réflexions qui mettraient à mal la crédibilité scientifique de l'ensemble (il y aurait pas mal de choses à dire de ce côté mais bon...).
    Hélas, hormis les spécificités forcément curieuses des "ennemis", le revers de cette approche se traduit par un cruel manque de développements sur à peu près tout le reste: seuls les personnages de Kristen Stewart et Vincent Cassel héritent d'un background un minimum étoffé, le petit discours écolo de l'ensemble se résume à un incroyable "forer c'est pas bien !" et le déroulement du récit à un terriblement complexe "aller d'un point A à un point B" sans que l'on comprenne grand chose au niveau des distances parcourues par tout ce petit monde.
    D'ailleurs, du côté des prédateurs, "Underwater" joue évidemment un moment avec la nature de ses étranges assaillants et, soyons honnêtes, il parvient à titiller un temps notre fascination de cryptozoologiste en herbe quant à leurs apparences, à leurs origines, etc. Toutefois, comme le reste, et à l'exception d'une révélation finale sur... disons... leur mode de fonctionnement spoiler: (et une ressemblance frappante avec un monstre "lovecraftien" très connu sans que l'on sache si celle-ci est volontaire ou non, il y a pourtant moyen de gagner terriblement en envergure avec ça !)
    , ces monstres en resteront à leurs plus simples contours de menaces et ne marqueront sans doute pas le bestiaire des séries B aquatiques spoiler: (si ce n'est cette morphologie finale impressionnante, on le répète)
    ...

    Rien de bien neuf dans les abysses donc si ce n'est une simple redite d'un cocktail d'action et de suspense qui se contente de singer de bien plus illustres modèles dans le domaine sans parvenir à y de plus. Dans le silence des profondeurs, "Underwater" équivaut tout au plus au murmure étouffé d'un bulot en voix d'extinction. Dommage...
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    485 abonnés 929 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 février 2020
    Deux ans et demi. C'est le temps écoulé entre le tournage du film Underwater et sa sortie en salles.
    Surprenant au premier abord. Si on remonte le temps au moment de sa conception (avril-mai 2017), on réalise qu'un certain Alien Covenant déboulait en salles. Misant sur le succès du sixième film de la saga de science-fiction/horrifique, le film réalisé par William Eubank (auteur des films Space Time : L'ultime Odyssée et The signal) suivait le filon avec une variation sous la mer. Problèmes :
    1) Alien Covenant n'a pas rapporté grand chose
    2) Un film a déjà tenté le coup. Il s'appelle Léviathan (sorti en 1989) et c'était pas une réussite.
    Bref, l'excitation est retombée vite. Ajoutez le rachat de son studio d'origine par Disney. Déjà qu'il ne sait pas quoi faire avec la franchise Alien, imaginez l'indécision pour un dérivé comme Underwater...
    Finalement le voilà, arrivant sur les écrans dans l'indifférence générale. Cruel certes mais néanmoins logique si on s'en tient à ce que le film propose. C'est à dire pas grand chose. Résumons :
    - Une plate-forme sous-marine qui extrait du pétrole
    - Une catastrophe qui l'isole de la surface
    - Une présence inconnue menace les rescapés
    On peut difficilement faire plus limpide : hybrider Le huitième passager avec Abyss de James Cameron. Le long-métrage n'essaie même pas de faire semblant. Ne vous attendez donc pas à la moindre surprise, Underwater est en pilotage automatique du début à la fin. Rebondissements téléphonés, personnages à peine caractérisés, comportements parfois absurdes. À l'exception d'un ou deux moments de tension, le film peine à transmettre de l'émotion.
    Au moins, on s'en tient à 95 minutes. C'est concis. Cela dit, tant mieux puisque l'histoire n'a strictement rien à apporter au genre. Je me rabats sur la mise en scène plutôt pas mal, multipliant les procédés pour créer le suspense (vues subjectives, montage nerveux), et les comédiens investis.
    Dans le genre, Underwater se situe un cran en dessous d'un autre Alien-like, Life - Origine inconnue, à plusieurs longueurs du récent Crawl, et à 20.000 lieues sous le film séminal de Ridley Scott.
    Interchangeable.
    zorro50
    zorro50

    111 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 janvier 2020
    Ce film est vendu aux spectateurs comme étant un film catastrophe du genre « Survival » qui se passe dans une station sous-marine presque entièrement détruite suite à une probable secousse sismique, mais c’est une arnaque et bien vite, les protagonistes ressemblent à des cosmonautes et on se demande s’ils ne vont pas rencontrer la Sandra Bullock de Gravity, tellement çà sent le navet, mais non, finalement on se retrouve dans « The descent » mais en 1000 fois moins bien. Le film a été réalisé par des maladroits parce qu’on ne prive pas ce genre-là d’un prologue on l’on présente les personnages afin que l’on puisse s’attacher un minimum à eux, alors qu’ici tout le monde peut mourir on s’en fout comme de l’an 40 ! J’ai rarement vu un film aussi nul et aussi mal fait
    lmc-3
    lmc-3

    236 abonnés 438 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2020
    Bonne petite surprise de début d'année, le film est soigné dans ses décors, ses costumes, ses monstres, ses effets visuels et auditifs, son jeu d'acteur. Le film choisi d'installer l'élément perturbateur dès les premières minutes et d'installer l'univers durant les péripéties (qui occupent donc près de 100% du film), le début annonce du lourd, puis les idées s’essoufflent hélas vers quelque chose de très commun, et après 2-3 vraies moments proches du film d'horreur (ce que le film n'est pas) entrecoupés de scènes de sf catastrophe dans les abysses classiques, de messages écolos et de prises de directions pro-féministes, on atteint rapidement le dénouement sans l'avoir vu venir, tellement le film file droit, manquant cruellement de temps tant sa durée est courte par rapport à ses besoins, et semble un peu inachevé.
    Reste cependant un film pop-corn fort divertissant.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    611 abonnés 2 713 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 janvier 2020
    Une série B qui passe à côté de son concept simpl et efficace. Reste Kristen Stewart renversante.

    https://www.cineserie.com/critiques/cine/underwater-kristen-stewart-sauve-le-film-de-la-noyade-3038779/

    https://youtu.be/idMPPyfHh_Y
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