Derniers Avis sur Underwater

Ca commence bien, ça se poursuit de façon convenable et puis plouf! le film plonge dans les clichés du genre, les scènes balisées. Dès lors, sans surprise, on devine chaque scène à venir sans guère frissonner. C'est dommage. Confier à un réalisateur plus inspiré et surtout à un scénariste moins flemmard, il y avait moyen de marquer les esprits avides de sensations horrifiques.

Le film est pas mauvais mais il lui manque de la profondeur au niveau du récit. On a du mal à s'attacher au personnage principal et les dialogues sont à revoir. Par contre j'ai bien aimé l'idée de créature sous-marine, ce n'est pas un sujet souvent exploité dans le cinéma en général. Ça rend le film plutôt intéressant à regarder

Très bon film, qui démarre a 100 a l'heure peut de temps mort, j'ai passer un bon moment. Je suis pas fan de l'actrice principale mais là j'ai beaucoup aimé sa prestation.

"Manque d'objectivité !"

Imaginez, en plein océan pacifique, des bases sous-marines de forages high-tech dans la fosse des Mariannes, des ouvriers en détresse en proie à des créatures antédiluviennes, Kristen Stewart en mode Ellen Ripley, notre Vincent Cassel national en Capitaine W.Lucien, de la pression (pas la bière), des scaphandres, de la bravoure, du sacrifice, le tout filmé en quasi-pénombre - 11.000 mètres de profondeurs oblige - Le kiffe total !!! “Calme tes ardeurs”, certains me diront ! Et ils ont peut-être raison. Mais pour les quarantenaires, voire les presque quinquas (dont je fais partie) qui ont été biberonnés aux séries B horrifiques et fantastiques qui pullulaient sur les étagères fournies des vidéo-clubs, ce “Underwater”, a le goût de la madeleine de Proust. Quel mécanisme incroyable que la mémoire, qui, à la vision des premières images du film de William Eubank (“The Signal”), nous embarque quelques 30 ans en arrière et nous pousse inexorablement à la comparaison avec le “Léviathan” de Georges P.Cosmatos ou bien encore le “Deep Star Six” (“Mutant Aquatique en liberté”, ça c’est du titre !), du papa de “Vendredi 13”, Sean S. Cunningham, et bien sûr, avec le “Alien” de Sir Ridley Scott, dont ce “Underwater” - toute proportion gardée, bien entendu - en est lui aussi, un ersatz aquatique. Mais la mémoire a aussi un petit côté pervers, car elle ouvre grand la porte d’une certaine nostalgie, ou plutôt d’une nostalgie certaine qui empêche parfois toute objectivité. Et à la vision de “Underwater”, moult souvenirs sont remontés à la surface (sans jeu de mots), me permettant peut-être d’apprécier ce petit suspense d’horreur qui sent le plancton, simplement de part son aura de divertissement à la patine vintage.

Malgré les avis mitigés, j'ai été agréablement surpris par ce film dont je n'avais absolument rien entendu avant sa sortie.
comme une grande course poursuite pour survivre, a la sauce abysse/alien. Pas aussi bien que ces deux film mais sympa quand même, l'ambiance est la si on oubli quelque maladresses.

Alien revisité sous l’eau, aucune introduction, seulement de l’action. Aucune explication et cohérence scientifique surtout quant à leur stock d’oxygène. Scènes flous, peu compréhensibles. Dommage vu le budget et la qualité des scènes d’actions.

Entre film de science et film d'horreur, ce long métrage est une réussite. Suite à un accident dans une station de forage en grande profondeur, les survivants vont devoir trouver des capsules de survie pour remonter à la surface.
La réalisation est sombre, le suspense et la peur primaire arrivent jusqu'au spectateur pour créer des cauchemars. Le réalisateur ne nous ménage entre son travail des effets spéciaux, de l'image et une exploitation tout en suspense du scénario.
Une véritable réussite.

« Underwater » est un film captivant qui réussit à divertir, oppresser et intriguer les spectateurs dès le début jusqu'à la fin. L'atmosphère angoissante sous-marine crée une tension constante, tandis que les scènes d'action bien chorégraphiées maintiennent le rythme palpitant tout au long du film. Les effets spéciaux et la direction artistique sont impressionnants, transportant le public dans un monde sous-marin réaliste et sombre.

Le jeu d'acteur est solide, et les personnages bien développés ajoutent une dimension émotionnelle à l'histoire. Les acteurs ont réussi à transmettre la peur, le désespoir et la détermination de leurs personnages, ce qui permet aux spectateurs de s'attacher à eux et de partager leurs émotions tout au long du périple périlleux.

L'intrigue du film est bien construite, mêlant habilement des éléments de science-fiction et de suspense. Les mystères qui se dévoilent au fur et à mesure de l'exploration sous-marine gardent le public en haleine et le poussent à rester attentif aux indices subtils disséminés tout au long du récit.

En somme, « Underwater » est un film qui parvient à garder les spectateurs à la fois divertis, oppressés et intrigués grâce à son ambiance immersive, les nombreuses scènes stressantes, son action captivante et son scénario bien ficelé.

Une excellente expérience cinématographique pour les amateurs de films de suspense, frissons et de science-fiction.

Un film avec du potentiel, pas exploité à fond mais assez satisfaisant pour le sauver du moyen. N'étant pas du tout fan des fonds marins, le sentiment d'oppression et de claustrophobie a plutôt bien fonctionné sur moi malgré quelques écueils. Les personnages ne sont pas beaucoup caractérisés et par conséquent un peu vides , et il est parfois difficile de suivre l'action ; néanmoins on peut relativiser ce point car le flou contribue à cette impression de chaos. Il y a également certains éléments prévisibles, car en fin de compte Underwater est inspiré de classiques tels Alien et reprend donc ses codes ; mais encore une fois ce n'est pas trop dérangeant. Côté casting et FX ça fait le taf , les créatures sont "crédibles" en tant que menace et Stewart et Cassel sont convaincants en têtes d'affiche. En conclusion ce petit film horreur/survival sans être incroyable se regarde sans trop d'ennui de par sa courte durée.

j'ai trouvé le film très bien, malgré les critiques assez négatives pour moi c'est le résultats attendus pour ce genre horreur/aquatique.

les scènes de morts sont assez bien faites et frappent par leur violence .
l'histoire n'est pas révolutionnaire mais justifie l'état dans lequel se trouve les personnages.
4/5 pour moi.

mais que sont ils partis faire dans ce navet kristen stewart et vincent cassel les images sont troubles l intrigue nulle le monstre bidon heureusement que je ne suis pas alllé le voir au ciné!

C'est un bon film sombre de science fiction où Kristen Stewart a un rôle dans lequel elle peut exprimer ses non-emotions. Dans ce film on est tout le temps sous pression (sans mauvais jeu de mot) car oui le méchant du film c'est spoiler: non pas les monstres (même s'ils créent beaucoup de problèmes) mais plutôt la pression très élevée dans les profondeurs abyssales.
C'est un bon film à la sauce pandorum. "Il faut sortir de là à tout prix". Les acteurs sont bon. Les effets spéciaux suivent bien et la mise en scène des plus étriqué, ce qui convient bien à ce film qui à chaque instant nous fait penser à un huit clos alors que ce n'en n'est pas un. Bref on passe un bon moment à visionner ce film et c'est tout ce qui compte.

Film catastrophe/horreur qui se déroule dans une ambiance bien connue et archi exploitée, mais malheureusement les scènes et les décors sont très répétitifs. C'est lassant et lorsque la méchante bébête s'invite à la fête, les images sont filmées brouillées, foncées, désordonnées. Bref, c'est assez pauvre et on a fait mille fois mieux dans ce genre de films.

Faire des screamer à tout bout de champs n'embellit pas le film !
Le scénario est bancale.
Heureusement que les acteurs savent jouer, mais quand un scénario et le réalisme est nul il n'y pas de saveur.

Indépendamment de ses qualités & défauts, « Underwater » restera peut-être (un peu) célèbre comme le dernier film sorti par la légendaire 20th Century Fox. En effet, une semaine plus tard, le rachat par Disney était formalisé, et le nouveau label 20th Century Studios en vigueur.
Il est un peu dommage de finir sur cette diffusion laborieuse. Le film ayant été tourné en 2017, pour ne sortir inexplicablement que 3 ans plus tard. Ils auront au moins eu le choix heureux d’une sortie en janvier 2020, quelques mois avant la fermeture des salles due au covid. Ce qui n’empêchera pas « Underwater » d’être un échec commercial…
Mais quid du film en lui-même ?
Beaucoup de spectateurs ont pointé la ressemblance avec « The Abyss » dans cette intrigue autour d’une station de forage sous-marine qui réveille des créatures menaçantes. Pour ma part, le film fait surtout penser au très moyen « Leviathan », également sorti en 1989, où des mineurs des fonds marins affrontaient de dangereux monstres.
Honnêtement, ici l’ensemble démarre bien. On rentre dans le vif du sujet avec cette base sous-marine qui part en cacahuète, forçant la poignée de survivant à une expédition aquatique hasardeuse. D’autant plus les concepts visuels de la base et des combinaisons futuristes sont sympatoches, à défaut d’être pleinement originaux.
Par ailleurs, les acteurs sont plutôt bons. Kristen Stewart en ingénieure débrouillarde mais traumatisée. Vincent Cassel en capitaine charismatique, qui aurait cependant gagné un peu plus de part d’ombre. Jessica Henwick, malheureusement un peu sous-employée (car inconnue alors) en biologiste terrorisée.
Je n’en dirais pas autant de T.J. Miller. Le comique fait son job, mais ses vannes récurrentes sont en complet décalage avec l’ambiance oppressante que le film veut se donner, frisant ainsi avec la parodie mal placée pendant la première moitié du film.
La seconde moitié souffre quant à elle d’une narration nébuleuse, et de scènes peu lisibles. Je comprends bien que l’on parle de séquences aquatiques à très grande profondeur, où l’eau est censée être trouble. Mais la réalisation et le montage laissent surtout voir une série de cris, de débattements, et d’apparitions de créatures agressives. Tandis que les tentatives de générer la peur par l’obscurité sont rarement fructueuses.
Pout terminer sur un final en demi-teinte, qui tend à accumuler les invraisemblances.
Dommage pour la Fox de finir ainsi !