The Perfect Storm tiens du véritable témoignage de Respect et d'Amitié à tout un Monde, à ces Gars-là ! Là-dessus, il y'en a à dire, mais avant cela, il faut une fois encore faire toute une série de reproche à Wolfgang Peterson et à sa manie incessante de badigeonner tout ce qu'il touche à grand coup de louche. Ses dialogues ont bien des intentions de crédibilités, de rendre compte de leurs sujet, mais pas la peine de faire de la lourdeur à tout bout de champ pour autant ... Il ne rend service à personne, à lui non plus. Je me confond d'excuse pour cette entrée en matière toute de morale mais après l'ignoble Outbreak vu il y'a moins d'un mois je ne peu rester sans rien faire. Maintenant fin de ce chapitre.
Du coté de l'histoire en soi, disons qu'elle fait simple mais se montre efficace. Toute sa direction est quadrillé et se chapitre à la hauteur adéquate, il y'a dans certaines séquences des rapports franchement sympa, dans sa première heure surtout. Toute la contradiction de mes griefs présentés peuvent donc surprendre, j'estime qu'une sous couche aurait eu mérite d'étoffer et de moins alourdir se qui aurait pu vraiment rendre grâce à cette dévotion, à cet acharnement à la tache, pour le bien commun de cette Ville au lourd tribut en la matière. La parabole du début et de fin tiens d'ailleurs d'allusion parfaite, son générique de fin aussi, ce dernier est d'une humilité sidérante.
Pour ce qui est de l'équipe devant la caméra, il y'a des standards, des codes, aucun risques, on assure juste le coup. Ce n'est pas nouveau dans les films de Peterson. Il y'a néanmoins un lien qui se tissent entre eux et nous, au forceps, c'est de notre considération à cet hymne qui s'empêtre mais qui tiens la cadence toutefois qui nous y rattache, je pense. La scène du Bar ( et sa superbe playlist ) me viens là pour agrémenté mon fourbis de mots alignés parfois en désordre.
Un bon film, un de ceux qui a su m'attraper, à sa manière.