Le festival de loufoqueries n'en finit pas et mention spéciale à la scène du casque virtuel. Tout simplement hilarante. Ce troisième opus simplifie la donne par rapport au deuxième. Le méchant est binaire. Il utilise la technologie et Bean s'évertue à nous montrer qu'on peut s'en passer. Et le comique est vraiment très présent. L'arrivée du héros dans le château et sa glissade en armure est assez inénarrable !!!!
Voici à nouveau Rowan Atkinson dans la peau de l'agent le plus gaffeur de Sa Majesté pour notre plus grand plaisir et si ce troisième opus est comme les précédents peu original par contre on rit avec plaisir tout le long du film. Finalement il n'y a pas tellement de choses à dire sur Johnny English contre-attaque mais cette comédie fonctionne très bien, je la trouve tout de même légèrement en deça des autres car dans sa seconde moitié les gags sont moins amusants alors que ce film démarre très bien. Rowan Atkinson est un bon comique qui aurait sans doute mérité un scénario plus élaboré, on retrouve avec plaisir Ben Miller dans la peau de Bough l'acolyte d'English. Pas innovante pour un sou cette comédie se regarde pourtant avec grand plaisir pour son humour assez délirant mais jamais vulgaire.
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3,0
Publiée le 30 août 2019
Johnny English rempile pour une troisième mission...dans le Sud de la France! Et le moins que l'on puisse dire c'est que cet agent secret des services anglais est toujours aussi cartoonesque! Rowan Atkinson ne perd pas de vue ce qu'il sait faire de mieux, c'est-à-dire amuser la galerie en interprètant le clown de service au service de Sa Majestè! Bref, une nouvelle fois, Atkinson dèfend son personnage avec son talent comique habituel! Après Natalie Imbruglia et Rosamund Pike, c'est au tour de Olga Kurylenko (sympa le clin d'oeil à "Quantum of Solace") de jouer son atout sèduction! Les gags ne manquent pas dans cette parodie aux pèripèties folles avec un service 3* digne d'un grand restaurant français, un dèhanchement du tonnerre sur une piste de danse ou une bagarre virtuelle avec des baguettes de pain! L'histoire est constamment invraisemblable et ne se prend pas une seule seconde au sèrieux! Ne serait-ce pas là le but de ce troisième volet où l'humour so british est roi ?
Le retour du plus célèbre agent britannique soit quinze ans après le premier opus ! Rowan Atkinson remet donc pour la troisième fois le costume de ce James Bond gaffeur aux airs sérieux... L'acteur fait son come-back sur grand écran pour notre plus grand plaisir !!! Et, Mister Bean fait toujours le show devant des situations improbables et complètement loufoques qui l'entourent... A la réalisation, David Kerr nous parle d'une cyber-attaque révélant l'identité de tous les agents britanniques sous couverture. Johnny English devient alors le dernier espoir des services secrets. Rappelé de sa retraite, il plonge tête la première dans sa mission : découvrir qui est le génie du piratage qui se cache derrière ces attaques... Kerr respecte les codes de la parodie d'espionnage avec finesse et efficacité puisque le public y déclenche plusieurs rires francs spoiler: comme la scène du restaurant ou encore celle de la boîte de nuit dont ces deux passages rappellent, sans contester Les Vacances de Mr Bean. Mention spéciale à celle spoiler: quand R. Atkinson essaye le virtuel... Immanquable ! Des musiques, des gadgets et des voitures provenant des 007 de ce monde sont au rendez-vous dans ce nouveau chapitre. Les personnages secondaires s'avèrent assez sympathiques en particulier le partenaire de Johnny English à savoir Ben Miller (l'interprète de Bough) dont il possède une belle alchimie à l'écran mais aussi la séduisante ukrainienne Olga Kurylenko reprenant le rôle d'une James Bond Girl - après le mail aimé Quantum of Solace - qui parvient à rendre son personnage troublant spoiler: (car ses intentions ne sont souvent pas les bonnes...). La présence d'Emma Thompson spoiler: n'est pas vraiment utile, elle nous fait du surplace... De même pour le spoiler: méchant de l'histoire qui n'est guère charismatique, ni mémorable. C'est plutôt l'ancien vilain de la deuxième monture qui était plus crédible ! Le rythme dans Strikes Again se veut captivant, on rentre dans le vif du sujet et cela n'est guère complexe à saisir toutes les informations... Et bien entendu, Johnny English 3 est prévisible en tout point mais cela n'empêche pas de passer un bon moment pour autant ! En clair, Johnny English Strikes Again s'avère une parodie d'espionnage plaisante, ne cherchant qu'à divertir son auditoire. Il se veut néanmoins, légèrement inférieur à son prédécesseur mais demeure égal à l'original. Amusant.
Après "Johnny English" (2003) et "Johnny English, le retour" (2011), "Johnny English contre-attaque" marque la troisième aventure loufoque de l'agent spécial anglais interprété par Rowan Atkinson. Imprégné par l'humeur burlesque et décalée de son personnage phare de M. Bean, c'est avec une certaine joie qu'on le retrouve pour un petit moment de détente ! Agent désormais en retraite, Johnny English est appelé à la rescousse pour sauver l'Angleterre d'une cyber-attaque ayant démasqué tous les agents en service. C'est avec assurance qu'il accepte, sans véritablement comprendre que ses méthodes désuètes ne font pas le poids face à l'enjeu technologique de sa mission. Ce n'est pas une grande surprise ! Ni une déception d'ailleurs. On retrouve Johnny English avec plaisir, légèreté et nostalgie, lui qui nous avait déjà fait rire il y a de ça des années. Son côté totalement décalé et à la fois rempli d'assurance promet de très bonnes scènes de (fou) rires où l'obsolescence du personnage se confronte à la technologie innovante, voire menaçante pour l'homme. On retiendra surtout la scène avec le masque de réalité virtuelle, qui est très drôle et originale, ainsi que ses interventions en prof de géographie atypique ou sa prestation de serveur sur les côtes françaises. La brève présence de Charles Dance et Michael Gambon en espions retraités participe pleinement à notre enthousiasme. C'est dommage que l'ensemble ne procure pas le même effet, notamment lorsque les seconds rôles féminins interviennent. L'ex-James Bond girl Olga Kurylenko se révèle efficace dans le rôle de l'agent secret mais fade lorsqu'il s'agit de faire face au comique sans failles de Rowan Atkinson. Emma Thompson, dont la présence m'a motivé à aller voir ce film, est très bien dans le rôle autoritaire de Premier Ministre mais j'ai été déçu par le manque de couleurs de son personnage. Et Dieu sait qu'une Emma Thompson hilarante face à Johnny English aurait pu nous faire pleurer de rire ! Côté histoire, on se laisse surprendre par un scénario, certes très gentil, mais dont la prévisibilité n'amoindrit pas la qualité générale du film. Le rythme des gags est soutenu et les codes du film d'espionnage sont toujours malicieusement détournés. Rowan Atkinson reste le clou du spectacle, potache, fin et parfois même touchant. Ses performances restent emblématiques dans genre comique à l'image d'un Jacques Tati, d'un Leslie Nielsen ou d'un Charlie Chaplin des temps modernes...
Il faut reconnaître que Rowan Atkinson et ses mimiques burlesques sont complètement has bean (ouais, elle est pour moi celle là !). Malgré cela, on se surprend à rigoler de ses aventures loufoques et - légèrement - exagérées et si ça ne restera pas la comédie de l’année, ce troisième épisode reste un bon divertissement dans son genre ...
Beaucoup moins drôle que les deux précédents volets, cette aventure du pétillant Johnny English se laisse suivre sans aucun problème. Rowan Atkinson est plus cabotin que jamais. Un divertissement agréable.
un petit film pour passer un peu de son temps libre. un très bon début avec des très bons gags où j'ai bien rit mais par la suite j'ai trouvé les blagues un peu lourdes. certes, un film assez basique mais pas trop mal non plus donc une comédie simple et sympathique à voir pour passé un peu de son temps libre mais peu se faire attendre à le voir chez tranquille.
Un Johnny English toujours aussi drôle, avec plus d'un tour dans son sac. Un moment divertissant, ce dernier opus, n'est pas mal, mais pas autant réussi que son précèdent.
L'agent secret le plus calamiteux de Sa Gracieuse Majesté est de retour. Après qu'un hacker a révélé l'identité de tous les agents sous couverture et que les quelques 007 retraités sont morts (dans une scène hilarante), le MI7 (sic) n,'a d'autre ressource que de rappeler Johnny English (Rowan Atkinson) au service. Avec Bough (Ben Miller), son fidèle second, il se lance à la poursuite de l'auteur de ces cyberattaques, Jason Volta (Jake Lacy), qui, par son charme et son talent, est sur le point de convaincre la Première ministre britannique (Emma Thompson) de lui confier la gestion des données personnelles du pays. Sur la Côte d'Azur, il rencontre Ophelia Bhuletova (Olga Kurylenko), une espionne du KGB, qui a réussi à s'infiltrer dans l'entourage de Volta.
Voici le troisième opus des aventures de Johnny English, seize ans après le premier, sept ans après le deuxième. L'effet de surprise ne joue plus. Mais le plaisir est toujours aussi grand devant les defunèsseries de l'hilarant Rowan Atkinson. Aux prises avec un homard (un des sketchs les plus drôles des "Vacances de Mr Bean") ou prisonnier d'une armure médiévale, il continue à nous faire rire quand bien même ses gags ont un goût de resucée.
Le scénario est d'une bêtise assumée. Aussi on lui pardonnera son indigence. Car le film ne trompe pas son spectateur et ne cherche pas à se faire plus malin qu'il ne l'est. Il s'agit d'enfiler quelques sketchs - dont les plus réussis ont hélas été déflorés par la bande-annonce - comme celui où English teste dans les rues de Londres un simulateur de réalité virtuelle.
Rowan Atkinson n'est pas le seul à s'amuser. Les seconds rôles s'en donnent à cœur joie : la sublimissime Olga Kurylenko qui avait joué les vraies James Bond girls aux côtés de Daniel Craig est toujours aussi belle dans le rôle d'une fausse. Emma Thompson est comme d'habitude parfaite, ici dans le rôle d'une Première ministre portée sur la bouteille et prête à tout pour sauver son pays.
Ce nouveau Johnny English n’est pas bien innovent et réutilise les ficelles classiques pour un scénario passablement ennuyeux. Mais le film offre ses grands instants comiques qui sont très réussis. Drôle, surtout grâce à Rowan Atkinson, ça se regarde sans difficulté.
Rowan Atkinson, Le Mister Bean de notre enfance, celui pour qui j’aurai toujours un peu de tendresse tant il a égayé mes soirées dominicales de jeune ado. Il est de retour une troisième fois dans le rôle de Johnny English pour notre plus grand plaisir ! Bien sûr, on sait à quoi s’attendre, et même si ses pitreries ont selon moi toujours plus fonctionné pour des courts-métrages sans grand scénario, j’avoue que j’ai apprécié le revoir ici. Olga Kurylenko n’enlève rien au plaisir, le duo est sympathique, c’est simple mais efficace, peut-être que la pointe de nostalgie aide un peu, mais le sourire était là tout au long du film, je n’en demandais pas plus. Bref, une comédie classique tout à fait appréciable !
L’affiche publicitaire avec cet acteur au rôle farfelu de « Mr Bean », on pense systématiquement à une parodie d’espionnage britannique, l’humour présent est fortement absurde. Il se met dans la peau du pire des agents secrets au service de sa majesté et de sa première ministre trop distraite pour s’arracher les cheveux, tout le contraire du charisme anthologie de l’homologue bon élève 007, les baguettes de bataille en lunette 3D sont des spécialités gags du cancre du renseignement. C’est pas mal comme comédie, les acteurs font leurs jobs divertissement comiques, ne nous en privons pas pour apprécier la fine maladresse venue du Royaume uni.
Ce troisième épisode des aventures de Johnny English, sorti tout récemment et réalisé cette fois-ci par David Kerr, n'est pas mal du tout. L'espion gaffeur est désormais enseignant de géographie dans une prestigieuse école mais il doit revenir aider le MI7 afin de capturer un hackeur. On le sait maintenant, ce n'est pas le scénario que les films de la franchise se démarquent par leur humour délirant et ce film n'échappe pas à la règle. C'est un film que j'attendais depuis un petit moment, ayant adoré le premier et bien aimé le deuxième mais j'avais tout de même un peu peur car, en général, lorsque l'on fait des suites à une saga comme celle-ci, les résultats en sont de plus en plus médiocres. J'ai donc été agréablement surpris car sans être meilleur ou même égaler le premier, il est quand même un peu mieux que le deuxième opus. Au niveau du scénario, nous n'avons donc rien d'original, nous avons même le même fond sur le plan narratif que celui du premier mais qui se différencie par la forme. Par exemple, nous avons ici les nouvelles technologies qui sont source perpétuelle de gags et de gaffes pour notre espion démodé. L'humour y est un peu moins lourd que dans le deuxième même si nous avons encore quelques gags un peu longs mais il y en a de très bons, notamment celui avec la réalité virtuelle et avec l'auto-école qui sont excellents et très bien trouvés. On ne s'ennuie pas non plus car le rythme est assez soutenu. Du côté des acteurs, nous retrouvons bien-sûr Rowan Atkinson (que serait un "Johnny English" sans lui ?) mais également Ben Miller qui avait beaucoup manqué au casting du deuxième film. Nous avons également, entres autres, Emma Thompson et Olga Kurylenko qui jouent très bien. "Johnny English contre-attaque" est donc une bonne suite, tout simplement.