Derniers Avis : Star Wars : Episode V - L'Empire contre-attaque - Page 21

Exceptionnel !!! Le meilleur de la saga selon moi et pourtant l'épisode 4 était déjà un chef d'oeuvre. Vador devient le méchant ultime de toute l'histoire du cinéma, l'incarnation du mal absolu, et pourtant son histoire nous touche tous. Devoir affronter le père, ça nous parle et c'est en ça que Vador, déjà classe à la base, donne une dimension psychologique supplémentaire. Toute l'histoire de l'épisode 5 est ultra réfléchis et conceptualisée : l'histoire d'amour ultra musclée entre Solo et Leïa, Yoda en vieux sage, l'apprentissage de Luke, aider ses amis au péril d'une tâche beaucoup plus importante ... à travers une histoire apparemment simple, le réalisateur Irvin Kershner, le producteur Gary Kurtz et les scénaristes Lawrence Kasdan et Leigh Brackett nous offres un des plus grands films de toute l'histoire du cinéma, ou au moins un des plus importants.

Cet épisode est pour moi le meilleur de la saga avec le III, un très bon scénario plein de rebondissements, de superbes décors, de nouveaux personnages intrigants, une musique à couper le souffle et des acteurs au top. Après le très bon épisode IV on a droit à un épisode V quasiment parfait. On peut dire que ce film a achevé de rendre la saga culte aux yeux du public du monde entier. C'est un film à voir ! (et à revoir)

Avec cet épisode l'univers "Star Wars" prend de l'épaisseur.

On sent qu'il y a eu énormément de recherches du côté de la direction artistique, Lucas est beaucoup plus généreux, il nous montre beaucoup plus de choses que dans le 1er épisode (le budget alloué était peut-être plus conséquent aussi). Ne serait-ce qu'au niveau des planètes, de Hoth à Cloud City, en passant par Dagobah, les décors foisonnent de détails.

L'ambiance est aussi définitivement plus sombre, le scénario gagne en richesse, l'intrigue prend peu à peu forme. Les acteurs sont tous très impliqués, on assiste d'ailleurs à l'idylle naissante, et peu conventionnelle pour l'époque, entre Leia et Han Solo qui, à l'inverse de celle entre Anakin et Padmé dans l'Épisode 2, ne sombre jamais dans la mièvrerie.

Nous faisons enfin connaissance avec l'irrésistible Yoda. L'amour que lui portent les fans est inversement proportionnelle à la taille de ce dernier. Quand on pense qu'il s'agit d'une marionnette à laquelle le magicien Frank Oz (l'Andy Serkis de l'époque) donne vie, en l'animant et lui prêtant sa voix... Quelle prouesse !

S'il n'y avait qu'une scène à retenir dans ce film, ce serait bien sûr l'affrontement final entre Luke et Darth Vader, combat à l'atmosphère oppressante, plus psychologique que physique, qui se conclue sur ce twist de malade : "Luke, je suis ton père". Énormissime !

À noter que les duels au sabre laser, sans atteindre le niveau de ceux de la prélogie, sont beaucoup plus dynamiques dans cet épisode que dans le précédent. Je n'avais pu m'empêcher d'étouffer un rire devant le combat quelque peu pitoyable entre Obi-Wan et Darth Vader dans "Un Nouvel Espoir".

Bref que du bon sur toute la ligne, un indémodable !

Digne suite du premier opus, "L'Empire contre-attaque" reprend les mêmes ingrédients qui ont fait le succés de la célèbre saga. On retrouve donc des scènes d'action toujours aussi bluffantes, un univers des plus attractif et des musiques extraordinaires. Même le scènarioest plus travaillé que dans "Un nouvel espoir". Un grand film !!!

Souvent considéré comme le meilleur de la saga, « L’Empire Contre-Attaque » démarre de manière magistrale. La première demi heure est absolument géniale mais, une fois que les Rebelles quittent des plaines glacées de Hoth, la narration s’essouffle légèrement. Même l’initiation de Luke par Yoda, malgré la dimension pleine de sagesse de l'attendrissant Maître Jedi, manque de grandeur et, c’est un comble, d’un tantinet de force. L’histoire retrouve de sa consistance lors des 45 dernières minutes et atteint son apogée dramatique au moment de la plus importante et célèbre révélation (du cinéma ?) de « Star Wars ». Cet « Episode V », brillamment réalisé par Irvin Kershner, a au moins le mérite d’apporter une profondeur plus psychologique aux différents personnages sans pour autant délaisser l'action. Les costumes, les décors, les effets spéciaux et les maquettes sont magnifiques (ah, les fameux "Snow Walkers") et la partition musicale de John Williams est tout simplement somptueuse à l’image de son "Imperial March".

Attention chef d'oeuvre !
La suite d'un premier chef d'oeuvre, et fait encore mieux !
Visuellement, c'est magnifique, le rythme est plus lent plus posé, plus mature, et l'ensemble rend parfaitement bien, chaque plan est digne d'etre dessiné (euh ils l'ont été en fait !!!).
AH George aurait du laissé à kishner et à Gary kurtz la possibilité de cloturer en beauté cette trilogie!
L'esprit du vrai star wars est ici, encore plus que dans le premier épisode.

J'ai une légère préférence pour ce deuxième volet pour plusieurs raisons: d'abord je trouve qu'il y a plus d'humour. Ensuite, l'intrigue porte davantage sur les relations entre les personnages principaux (Luke, Han, Leia et Dark Vador) que sur l'action comme s'était le cas dans "Un nouvel espoir". Enfin il y a l'apparition de nouveaux personnages tels que Yoda et Lando Calrissian. Et la musique toujours magnifique. Le meilleur Star Wars.

Malgré la destruction de l'Étoile de la Mort à la fin de La Guerre de Etoiles (rebaptisé Épisode 4: Un Nouvel Espoir en 1979), L'Empire n'a pas dit son dernier mot et continue de traquer les rebelles disséminés dans toute la galaxie. C'est sur la planète glaciale Hoth que nous retrouvons Luke Skywalker et ses amis Han Solo, la princesse Leïa, Chewbacca et les droïdes R2D2 et C3PO. À la suite d'une agression en pleine mission de reconnaissance, auquel va s'ensuivre un périple dans un désert de glaces, Luke va avoir une vision d'Obi-Wan Kenobi. Le maître Jedi le presse de se rendre dans le système Dagobah, où résiderait le plus grand maître Jedi Yoda, afin de parfaire sa formation et ainsi vaincre le terrible Dark Vador. Au même moment, l'Empire parvient à repérer la base des rebelles et s'apprête à lancer l'assaut sur elle.
On se plait à répéter que les suites sont rarement à la hauteur de l'original, mais l'Empire Contre-Attaque est sûrement le sequel le plus évident quand on cherche des contre-exemples. Le triomphe sans précédent du premier volet a permis à Georges Lucas de réunir un budget plus considérable et ainsi laisser le champ libre pour étendre son univers. De plus, le fait d'avoir laissé sa place de réalisateur à son ancien professeur Irvin Kershner fait également gagner des points à L'Empire Contre-Attaque. À la Southern University, en Californie, Kershner enseignait l'écriture professionnelle, et n'a accepté la proposition de son ex-élève qu'au prix d'une liberté totale. On ne sera donc pas surpris que le réalisateur ait eu une influence sur le script, en le faisant réécrire à sa guise. En conséquence, l'intrigue est plus fouillée, les personnages plus approfondis, et l'intrigue gagne beaucoup en ampleur. La plupart des scènes mythiques concernant la saga Star Wars viennent d'ailleurs en majorité de ce volet, qui parvient à rendre les scènes intimistes aussi prenantes que les séquences démonstratives. Les acteurs ont plus à jouer et se régalent. Mark Hamill apporte finesse et nuance à son personnage de Luke, Harrison Ford irradie de charme et d'humour insolent, Carrie Fisher apporte subtilité et combativité à Leïa. En nouveau venu, Billy Dee Williams fait un sans-faute en Lando Calrissian. On frémit toujours devant le monstre de charisme Dark Vador, dont ce volet à grandement contribué à le faire passer à la postérité. Et cette fois-ci, sa renommée est concurrencée par Yoda qui se rend mémorable de par son apparence et sa légendaire élocution. Rayon amusement, on est encore bien servi par la paire de robots R2D2/C3PO. Notons enfin que John Williams gratifie une fois de plus le film d'une splendide bande originale. En dire plus serait gâcher le plaisir de la découverte pour ceux n'ayant pas encore eu la chance de voir cet épisode 5 monumental, qui n'a pas volé sa place de meilleur volet de toute la saga.

Sûrement l'un des plus grands films de tout les temps !

Bataille de Hoth, poursuite dans les astéroïdes, duel au sabre laser (LA révélation de la saga)... : les scènes inoubliables s'enchaînent à un rythme effréné et apportent une dimension épique. Cela fait de ce deuxième épisode le plus objectivement réussi.

Cette fois-ci, Lucas laisse la caméra à Irvin Kershner, mais dirige toujours le scénario d'une main de maître.
Après Star Wars IV : Un nouvel espoir, on retrouve nos héros fétiches pour un second opus (en réalité le cinquième mais comme G. Lucas ne veut pas faire comme tout le monde...). Cette fois, le scénario change : les protagonistes de l'ancien opus sont beaucoup plus développés. On ne s'axe plus sur le combat et l'action mais bien sur les relations inter-personnages, le drame et l'amour.
Du coup, l'histoire est plus lente et s'attarde plus sur les héros : Luke, Leia, Han et également Dark Vador. Ce dernier, après une révélation (la plus terrible du cinéma), montre une partie de son visage ; on découvre alors une part obscure sur lui et sans doute sur son passé.
Han et Leia se rapproche, et créée une atmosphère qui n'était pas présente dans l'épisode précédent.
Cet épisode-ci montre également de nouveaux personnages : l'iconique Yoda, Boba Fett ou encore Lando qui mettent plus de dynamisme dans le scénario.
Niveau montage on retrouve toujours ce découpage atroce que Lucas arrive à rendre beau. Et pour les décors, on change du tout au tout : une ville citadine, un désert glaciaire et beaucoup de scènes spatiales.
Les dialogues sont plus poussés (même s'il y a des incohérences avec la trilogie qui suivra, à savoir la première) et ils amènent plus de profondeur.
Un véritable chef d'oeuvre, où très peu d'erreurs ont été commises. May the force be with you.

Après le succès inattendus de "A New Hope", George Lucas décide de concrétiser ses rêves en faisant de Star Wars une trilogie. Il confie la réalisation à Irvin Kershner mais dirige toujours le scénario d'une main de maître.

Chronologiquement, c'est la suite directe du quatrième opus, où ici on découvre Luke Skywalker intégré à la rebellion de la princesse Leia et toujours avec Han Solo et Chewbacca mais qui eux n'ont pas l'intention d'y rester, pour faire face à l'empire dont on va découvrir à travers une courte apparition le vrai empereur.

Dans l'ensemble, l'une des vraies réussite de ce cinquième opus c'est d'avoir approfondis les personnages où ici on découvre une vraie profondeur dans certains d'entre eux lorsque d'autres doivent faire face à leur peur les plus enfouis et inattendus. Mais la nouveauté est aussi dans l'histoire où Lucas étend ses influences à la tragédie et complexifie les relations entre les différents protagonistes de manières parfois très surprenante mais totalement réussie. Il permet de donner plus de profondeurs et d'intensité aux enjeux et de révéler de vrais ficelles dramatique.

Mais c'est aussi l'univers tout entier qui est approfondis que ce soit à travers de nouveaux personnages (Yoda, Lando, Boba Fett...), engins ou planètes (Hoth, Dagobah...), le rendant encore plus riche, fascinant et passionnant. Surtout qu'il est exploité à merveille, Kershner en retranscrit sa richesse, sans jamais perdre de vue l'intrigue et les personnages. Il fait preuve d'une vraie maîtrise derrière la caméra.

Kershner rend les enjeux passionnant et intense et sait créer de la tension lorsqu'il le faut tout comme retranscrire la dramaturgie à l'image du final. Il dose à merveille le rythme ainsi que la place des personnages. L'atmosphère est plus sombre que dans le premier, on ressent l'ombre de l'empire sur tous les endroits ainsi que la peur des protagonistes. Il montre tout son talent lors de certaines scènes inoubliable comme le combat final, toute la première partie sur Hoth ou encore l'entrainement de Luke chez Yoda. Il maîtrise aussi tous les genres dans cette fresque qui va du drame au combat en passant par l'aventure, la romance ou la science fiction.

En plus du scénario très bien écrit, les personnages et les dialogues le sont tout autant. Ceux déjà présent dans l'opus précédent sont toujours passionnant et les petits nouveaux ont su se faire une place, notamment Yoda qui berne Luke lors de leur première rencontre. L'humour est toujours bien présent, notamment à travers le personnage de Han Solo et les relations (et les piques verbales) qu'il entretient avec certains personnage, notamment la princesse et Chewbacca.

Visuellement parlant c'est toujours superbe (dans sa version cinéma et non celle modifié par Lucas lors de plusieurs rééditions). Le film n'a pas pris une ride et les maquettes font toujours leurs effets à l'image de la bataille sur Hoth, tout simplement impressionnante, tout comme les passages dans l'espace. Les décors et costumes sont toujours parfaits et permettent encore plus de s'imprégner de l'univers de Lucas.

Et puis, que dire de la seule véritable constance de toute la sage (trilogie et prélogie), soit l'excellente bande-originale signée John William ? Encore une fois fabuleuse et inoubliable. Toutes ses symphonies collent parfaitement à l'univers et influent sur le film, permettant de créer des moments parfois épique et d'autres fois fascinant, dramatique ou encore terrifiant à l'image de "The Imperial March" représentant l'empire galactique.

Côté casting, Mark Hamill, Carrie Fisher, Peter Mayhew et surtout Harrison Ford reprennent leurs costumes et on ajoute à cela quelques petits nouveaux comme Billy Dee Williams dans le rôle de Lando Calrissian. Encore une fois, ils rentrent à merveille dans la peau de leur personnage (et notamment Ford, une fois de plus charismatique à souhait). Quant à la voix de James Earl Jones, elle est toujours autant terrifiante.

A nouveau je remercie George Lucas pour cette saga qui m'a tant fait rêver et cette suite qui prend un chemin totalement différent du premier. L'univers et les personnages sont étendus et approfondis à merveille pour un ensemble toujours aussi riche, fascinant et passionnant.

Un des épisodes les plus forts de la saga galactique. Pour la bataille sur la planète de glace Hoth, pour le rencontre de Luke et de Yoda, pour les relations tumultueuses entre Leia et Ian et surtout pour la révélation de Vador à Luke. Toujours spectaculaire et peut être l épisode le moins manichéen ce qui n est pas pour me déplaire.

L'Empire contre-attaque réalisé par Irvin Kershner en 1980.
*Les points que j'ai appréciés →
• La superbe histoire qui continue
• La bataille sur Hoth
• La scène entre Luke et Dark Vador
• La musique toujours aussi belle

*Les points que je n'ai pas appréciés →
• Absolument rien

*Conclusion →
J'ai aimé, c'est un spectacle de tous les instants.10/10.

Un très bel opus de la saga, tout y est: de l'aventure , des moyens augmentés, un bon scénario, L'ensemble de l'équipe, surprise par le succès du 1er opus se sont donnés les moyens de monter encore le niveau. Les personnages , les combats, les mondes imaginaires , tout y est . Et cette capacité extraordinaire de créer un monde parallèle, mais pérenne , qui semble vraiment exister, comme une autre historie d'une partie de l'humanité. La grande force de Lucas , c'est de faire "vivre" ce monde faire partager son rêve avec tout lemonde et de lui donner vie.