Derniers Avis : Star Wars : Episode VI - Le Retour du Jedi - Page 17

Certainement l'épisode le plus abouti et le plus réussis de la première trilogie puisque si l'épisode IV s'intéressait à poser les bases d'un univers riche et varié au détriment d'un scénario solide tandis que l'épisode V se voulait dans le prolongement du 1er épisode, "Le Retour du Jedi" se veut comme l'aboutissement d'un rituel long mais qui mérite le voyage. L'atmosphère y est soigné avec l'utilisation massive mais efficace de créatures qui enrichissent considérablement l'histoire entres les Ewoks ou encore Jabba. De plus, la confrontation ultime entre Palpatine, Dark Vador et Luke s'avère d'une efficacité exceptionnel même si on connait l'issu bien avant la confrontation dut notamment à l'aspect encore enfantin qui pêche par moment (même si certaines blagues sont plutôt drôles; bon faut pas être difficile non plus). Reste, les mêmes points positifs que les opus précédents, décors, musiques et péripéties magnifiques, mémorables frôlant le culte. Une saga indéniablement à voir, un épisode qui atteint largement le titre de l'un des meilleurs épisodes de sciences-fiction.

De loin le moins bon des 6 épisodes ; infantilisé au possible avec des peluches et autres sortes de monstres ridicules en plastique, des dialogues niais et des situations décalées voire absurdes ; on a du mal à continuer à y croire tant certaines scènes sont ridicules (et ennuyeuses...) et ce sont bien les 5 précédents excellents épisodes qui permettent à ce film de tenir encore la route; rien à voir avec les épisodes précédents ; dommage et vivement la suite qu'on oublie vite ce lamentable faux pas...

Magique ! Un poil en dessous des deux précédent, Lucas a repris les rênes et a amorcé un virage "grand public" à sa saga. Plus d'amour cucu entre Solo et Leïa, des peluches sur pattes font leur apparitions et l'épisode est globalement moins sombre. Personnellement, c'est plus un constat qu'un reproche que je fait car tout cela ne m'a pas particulièrement choqué, la seule chose que je regrette véritablement c'est qu'Harrison Ford a beaucoup moins de liberté par rapport à l'opus précédent. Le combat de la fin est absolument génial, Luke devient presque aussi classe que son père (Vador hein, pas Anakin ...) et Leïa donne une touche féminine loin d'être désagréable.

Bizarrement avec le recul, l'épisode qui pour moi était jusqu'à présent le meilleur de la trilogie originelle, m'a moins plu que son prédécesseur, peut-être à cause de son ton plus léger (tout est relatif).

Il n'en reste pas moins le volet le plus épique, avec ses scènes d'action plus mémorables les unes que les autres : le Rankor, Sarlacc, la trépidante course-poursuite en moto-jet sur le lune d'Endor sans oublier l'assaut de la nouvelle étoile de la mort, qui est une version dopée aux hormones de la scène finale d'un "Nouvel Espoir" et surtout le duel final entre Darth Vader et Luke, duel à la dimension psychologique plus importante que leur précédent affrontement. J'ai beaucoup aimé la mise en scène de ce passage, on peut presque lire le conflit sur le "visage" de Darth Vader lorsque son fils se fait torturer par l'Empereur. Énormément d'émotion, notamment durant leur scène d'adieux.

Contrairement à certains, les Ewoks ne m'ont pas plus dérangé que cela et le fait que ce peuple primitif l'emporte sur les troupes de l'Empire sonne un peu comme la revanche de la nature.

Si je devais effectuer à cet instant un classement des 3 meilleurs épisodes de la saga, voilà ce que cela donnerait :

- 1ers ex aequo : L'Empire contre-attaque et La Revanche des Siths
- 3ème : Le Retour du Jedi

Malheureusement après les excellents épisodes IV&V vient ensuite la déception ... Bon, que ce soit clair d'emblée, j'aime ce film, mais il n'est pas au niveau de ce qu'on était en droit d'attendre pour conclure cette belle trilogie. Il est même pour moi l'un des moins intéressants avec l'épisode I. Une infantilisation omniprésente, un duel de fin décevant par rapport à la superbe scène finale du précédent, le jeu des acteurs n'est pas extraordinaire, mis à part celui de McDiarmid (l'Empereur). Ce sont autant de défauts qui m'empêchent de le considérer comme un chef-d'œuvre. C'est dommage mais ce n'est pas catastrophique du tout ! Il reste un bon film, qui est quand même à voir.

Ce volet, réalisé par le faire-valoir Richard Marquand, commence plutôt mollement dans l’antre de Jabba Le Hutt mais son rythme s’intensifie assez rapidement et nous amène inexorablement vers l’inévitable et ultime affrontement entre Luke Skywalker, Dark Vador et l’Empereur Palpatine, maître absolu du Côté Obscur de la Force. « Le Retour du Jedi » regorge d’effets spéciaux vraiment spectaculaires malgré leur trentaine d’années au compteur. Mention spéciale à la poursuite en motos à suspension dans les forêts de la Lune d’Endor ainsi qu’à la décisive dernière bataille contre la flotte impériale. Au-delà de certains dialogues pas très inspirés et de la présence des Ewoks, si mignons soient-ils, mais qui n’apportent absolument rien à cet «Episode VI», la conclusion du space opéra de George Lucas est un vrai plaisir et clôt de brillante manière cette cultissisme première trilogie de «Star Wars».

"Le Retour du Jedi" vient conclure magnifiquement cette première trilogie et présente toutes les qualités des premiers qui fait de ce film un "must" dans le genre.

Du bon et du mauvais dans cet épisode, mais après presque une semaine passée avec la saga, la bande va me manquer, c'est sûr. Je n'avais pas spécialement hâte de voir les prochains et n'en attendais rien, mais maintenant si... Vivement décembre 2015 !

Star Wars. .

Je reconnais que la seconde trilogie « star wars » est très belle, avec une technique irréprochable et des effets spéciaux hallucinants. Elle ne dénature en aucune façon l’œuvre originale, voilà c'est dit. Cependant, pour moi, les vieux épisodes restent quand même les meilleurs et de loin. J'ai même une tendresse particulière pour « le retour du Jedi » qui clôture de bien belle manière cette saga mythique. Sorti en 1983, il aura bizarrement moins de succès que ses prédécesseurs et sera également moins récompensé avec un seul Oscar. Pourtant l'histoire est passionnante et les effets spéciaux révolutionnaires pour l'époque. La bataille finale, autour de l'étoile noire, est un must dans l'histoire du « space opéra » et le restera encore longtemps. Le suspense est également parfaitement maîtrisé... Même après un nombre considérable de visionnages, je m'y laisse encore prendre ! On voit pour la dernière fois des personnages auxquels on s'est beaucoup attaché mais la beauté du scénario fait qu'on les laisse partir le cœur léger. Vraiment, si vous avez envie de voyages interstellaires, d'aventures exotiques ou simplement d'une belle histoire d'amour, pourquoi ne pas redécouvrir ce puissant chef-d’œuvre ?

Dernier volet (?) de la quête de Luke Skywalker et ses amis pour libérer la galaxie du joug de l'empire, Le Retour du Jedi entendait bien clore l'histoire épique initiée par George Lucas, et répondre à toutes les questions restées en suspens dans le précédent volet.
On retrouve donc Skywalker et ses compagnons rebelles sur Tatooine, 1 an après les faits advenus dans l'Empire Contre-Attaque, bien décidés à libérer Han Solo de la prison cryogénique dans laquelle il est toujours enfermé, sous bonne garde par les factions armés du visqueux Jabba le Hutt. Ce qu'il ne sait pas, c'est que l'Empire entreprend la construction d'une nouvelle Étoile de la Mort, dont les capacités de destruction pourrait bien précipiter la chute de nos héros. Skywalker devra donc se résoudre à confronter le terrible Empereur, et affronter une nouvelle fois Dark Vador, en dépit de leur filiation. La bataille finale peut commencer...
À la sortie de La Guerre des Étoiles en 1977, on se demandait comme une suite pourrait égaler ce spectacle hors du commun. Puis, 3 ans après, ce fut une claque encore bien plus puissante et dévastatrice qu'Irvin Kershner, Gary Kurtz et George Lucas nous infligèrent. Malgré des recettes moins importantes que pour le 1er volet, l'Empire Contre-Attaque s'est imposé comme l'une des plus grande suites jamais vue, faisant mentir l'adage selon laquelle elles sont inférieures à l'original. Donc la question restait ouverte: comment passer derrière?
En voyant le Retour du Jedi, on se rend compte qu'il était bien possible de le faire. Malheureusement, pour cela il aurait fallu gommer certaines choses qui empêchent ce 6ème volet d'arriver à la hauteur des deux précédents opus. Il faut croire que le tournage du précédent (émaillés de conflits entre Irvin Keshner, Gary Kurtz et G.Lucas) a laissé des traces, en dépit d'une réussite incontestable. Irvin Kershner n'a pas été reconduit à la réalisation et le producteur Gary Kurtz a préféré partir. George Lucas a choisi Richard Marquand. Réalisateur peu reconnu à l'époque, le cinéaste était apparemment plus docile que Kershner quant à la construction de cette conclusion. En résulte un ton beaucoup plus léger, et dont le cheminement déçoit quelque peu. L'introduction sur Tatooine parait trop longue, mais le vrai problème demeure l'infantilisation excessive de ce volet. Les Ewoks, nouvelles créatures et alliés des héros, ces petits nounours cristallisent à eux-seuls ce problème et, par la même, entachent la crédibilité de l'ensemble. Il faut également composer avec un Han Solo trop bon enfant, une histoire de filiation amenée de manière aberrante, et un épilogue maladroit. Dommage, sans ces défauts, le Retour du Jedi aurait pu atteindre son prédécesseur.
Malgré ces tares, la magie opère toujours (mais moins). À Luke (formidable Mark Hamill), Han Solo (Harrison Ford, toujours succulent), Leïa (parfaite Carrie Fisher) et...Dark Vador. Oui, le principal antagoniste de la saga -et sûrement l'un des plus grands méchants de l'Histoire du Cinéma- gagne considérablement en émotions, mais ne perd rien de son exceptionnel charisme. Cette fois-ci, il est accompagné de l'Empereur (magistral Ian McDiarmid) qui l'égale en noirceur. Et il y a toujours Yoda et Obi-Wan qui enrichissent d'avantage cette dernière partie, en plus de boucler la boucle.
John Williams aura su rester à un niveau d'excellence d'un volet sur l'autre, et compose un score à la hauteur de la saga.
Ce dernier volet, en dépit d'un ton plus gentillet et d'une légère dérive mercantile de son créateur George Lucas, aura donc su orchestrer un final convaincant de l'une des plus grandes franchises de tous les temps.

Le film original de 1983 est l'épisode que j'affectionne tout particulièrement. L'intensité dramatique gagne en profondeur avec un Luke plus mature et plus sombre, et des relations plus intimes. Malheureusement, c'est aussi l'épisode qui a le plus souffert des retouches abusives depuis 1997 (dans le repaire de Jabba, le "non" de Dark Vador, la musique finale...).

Pour un dernier opus, sensé conclure l'un des plus grandes saga de l'histoire du cinéma, ce Star Wars : Episode VI - Le retour du Jedi est assez décevant. Et pourtant, si bien lancé après l'épisode V, on ne pouvait qu'être agréablement surpris, mais la magie n'est plus présente. C'est Richard Marquant qui reprend le flambeau pour cet ultime opus.
On y retrouve toujours le même type de coupage, montage et lumière : indiquant que Lucas est encore bien présent dans le scénario. Ici, on y découvre pleins de races différentes (les esclaves du célèbre Jabba the Hutt), mais certaines sont assez kitsches et peu intéressantes. Les dialogues et le jeu d'acteurs sont devenus très "bateau" et on ressent une espèce de laissé-aller. L'effet tragique n'est pas présent pour un sous dans cet opus, alors qu'on apprend une révélation assez choquante pour le spectateur ! Enfin, les actions sont fort lentes, donc les scènes sont longues et on a tendance à s'ennuyer un peu au bout d'un moment même si l'histoire de fond est très intéressante.
spoiler: Le twist final est un peu niais et
certains pourraient être déçus de la toute-fin.
Mais la notoriété de star wars veut que ce film soit tout de même un bon film, même si ce n'est pas le plus réussi de la saga. A ceux qui penseront le contraire : IT'S A TRAP !

Suite et fin de la première trilogie Star Wars et cette fois-ci George Lucas propose la réalisation à Richard Marquand. "Le retour du Jedi" reprend là où "L'empire contre attaque" nous avait laissé et on découvre un Han Solo carbonisé chez Jabba le Hutt. Puis on verra surtout l'aboutissement de cette lutte entre l'empire et la rébellion et la finalité des liens tissés entre les personnages.

George Lucas étend à nouveau son univers et on découvre ici le royaume de Jabba Le Hutt (rapidement vu dans "Un Nouvel Espoir" et plusieurs fois mentionné précédemment) et toute la galerie de personnages farfelue qui y habite mais aussi de nouvelles planètes (Endor), engin ou encore personnages. Et c'est notamment l'empereur qui est vraiment introduit dans cette épisode et on découvre que c'est lui le véritable mal et non Vador, c'est lui qui tire toutes les ficelles de l'empire.

Mais on découvre aussi les Ewooks, sorte de peluches grandeur nature qui vont aider la rébellion. C'est peut être cette direction prise par Lucas qui donne un avant gout de ce qui arrivera quinze ans plus tard, les Ewooks permettent surtout d'instaure une atmosphère souvent plus légère, disons même enfantine que l'on ne trouvait pas dans les deux opus précédents. Néanmoins, si il y a ce léger regret, il reste tout de même bien exploité et les Ewooks ne sont pas, à mes yeux, désagréable.

Lucas développe aussi le côté tragique des liens entre les personnages et notamment Skywalker et Vador avec une frontière entre le mal et le bien pas toujours bien défini. Toujours bien écrit, les personnages, nouveaux ou non, sont intéressants et toujours un minimum profond. On prend toujours plaisir à suivre Han Solo et ses joutes verbales avec divers de ses compagnons, charismatique à souhait, le vaurien semble quand même s'être assagi lors de cette opus.

Marquand fait du bon boulot derrière la caméra (même si selon quelques sources, ce serait George Lucas qui se soit occupé de tout), il rythme bien son récit et surtout nous offre plusieurs passages marquant, que ce soit tout le début chez Jabba ou surtout la triple bataille finale.

Visuellement c'est magistral. Pas un coup de vieux (dans sa version cinéma bien évidemment, je n'ai jamais adhéré aux ajouts orchestré par Lucas et notamment sur cette épisode) depuis 1983 notamment grâce à de superbes maquettes et une reconstitution plus vraie que nature des différents lieux.

La B.O. de John Williams est à nouveau fantastique (que serait la saga sans lui ?) et les interprétations sont toujours corrects, notamment le trio principal avec Mark Hamill, Carrie Fisher et surtout Harrison Ford, mais aussi le duo de l'Empire avec l'imposante voix de James Earl Jones et Ian McDiarmid qui campe un empereur inquiétant.

Chapitre de fin pour cette saga qui m'aura marqué depuis mon plus jeune âge jusqu'à maintenant. Le plaisir de les revoir est toujours immense et je ne me lasserais surement jamais de l'univers si riche et passionnant merveilleusement exploité par cette trilogie.

La saga se termine de façon admirable ! A voir absolument !