Mon compte
    Blanche Comme Neige
    Note moyenne
    2,4
    805 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Blanche Comme Neige ?

    84 critiques spectateurs

    5
    6 critiques
    4
    13 critiques
    3
    26 critiques
    2
    22 critiques
    1
    13 critiques
    0
    4 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    axelle J.
    axelle J.

    106 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 avril 2019
    Relecture féministe du conte de Grimm qui offre une galerie de portraits d’hommes fragiles superbement servis par des comédiens drôlissimes, ce film vaut surtout pour la prestation d’Isabelle Huppert en méchante qui n’accepte pas son obsolescence programmée.
    Sans oublier que la réalisation est parfaite, on sent la qualité de la mise en scène ce qui rend très plaisant le visionnage.
    Marie-Annick D
    Marie-Annick D

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 avril 2019
    Berk! J’ai eu envie de partir au bout de 10 mn! L’intrigue de cette parodie de Blanche Neige n’a ni queue ni tête, prétexte pour que des comédiens de talent s’amusent ensemble, passages lestes pour faire bon poids..
    colombe P.
    colombe P.

    125 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 avril 2019
    Ce long métrage est très plaisant et a beaucoup de charme.
    Et surtout il sort des sentiers battus pour nous emmener dans une histoire énigmatique.
    Il a comme atout une intrigue excellente avec notamment des scènes déroutantes et amusantes.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 174 abonnés 3 974 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 avril 2019
    Dire que le long-métrage d’Anne Fontaine revisite le conte des Frères Grimm est un bien grand mot. Isabelle Huppert est la belle-mère de Lou De Laâge dans « Blanche comme Neige ». Jalouse par la beauté de la jeune femme, elle prémédite son meurtre. Mais celle-ci est sauvée in extrémis par un homme qui la recueille chez elle. La voici en train de séduire sept hommes dont deux jumeaux interprétés par Damien Bonnard. La réalisatrice tente de mêler plusieurs genres. En faisant passer son film du drame au thriller et de la comédie au film érotique, « Blanche comme Neige » finit par laisser de marbre. Le conte finit par se perdre dans des incohérences et nous faire admettre le beau gâchis d’avoir monopolisé le temps d’un si beau casting.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    60 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 avril 2019
    Anne Fontaine est une cinéaste prolifique à l’œuvre protéiforme qui met en scène de beaux portraits de femmes, souvent très réussis. Pour Blanche comme neige, une adaptation du conte des frères Grimm, et malgré une orchestration impeccable, elle souffre d’un scenario un peu trop léger qui aboutit sur un film pas suffisamment solide où les exploits érotiques de sa protagoniste tiennent lieu de point d’orgue.

    Beatrice Delesalle
    nadège P.
    nadège P.

    125 abonnés 538 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 avril 2019
    Ce film m'a beaucoup plu, j'ai aimé l'atmosphère générale, l'ambiance captivante et intrigante.
    Le film est réalisé avec soins, et les acteurs sont d'une grande justesse.
    Important également c'est le mystère autour du "dessein" de Maud, la belle-mère, arrivera-t-elle à ses fins ?
    Un film français formidable.
    dominique P.
    dominique P.

    787 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 avril 2019
    Quel film excellent ! J'ai adoré ce thriller français plein de qualités.
    Tout d'abord, l'image est belle, c'est agréable à regarder, on sent la qualité de la réalisation.
    Ensuite, les acteurs sont tous extras, chacun dans leur rôle.
    Et j'ai apprécié de revoir I. Huppert, B. Poolevoerde et V. Macaigne.
    Aussi et surtout cette histoire est très intrigante, captivante, j'ai vraiment adhéré et je me suis laissée emportée.
    Ces hommes fascinés par cette jeune fille donnent lieu à des situations savoureuses et la belle mère qui veut tuer sa belle fille c'est angoissant et on se demande comment elle va y arriver.
    Bref, ce film m'a passionnée et je le recommande vivement.
    Le raleur
    Le raleur

    3 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2019
    Vendredi 12 mars 2019 : nous avons apprécié cette comédie sulfureuse en trois chapitres qui démontre toute la complexité de l'ame.
    Film très sensuel où la beauté sous toutes ses formes est mise en valeur : beauté musicale, beauté de la nature, beauté des corps humains ....
    pierre-yves r
    pierre-yves r

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 avril 2019
    Belle interprétation du compte. Des décors splendides de très bons acteurs, j'ai adoré la scène de la dance entre Isabelle Huppert et Lou de Laage
    poet75
    poet75

    256 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2019
    En 2016, dans « Les Innocentes », film mémorable sur des religieuses bénédictines de Pologne violées par des soldats russes en 1945, Anne Fontaine avait confié à Lou de Laâge le rôle de Mathilde Beaulieu, jeune médecin de la Croix-Rouge qui se dévouait sans compter pour secourir les victimes d’abus. La même actrice reparaît aujourd’hui (après avoir obtenu d’autres rôles, bien sûr) dans ce nouveau film de la même réalisatrice, mais pour incarner un personnage aux antipodes du précédent. Car, cette fois-ci, comme l’indique le titre du film, elle est Blanche-Neige, mais une Blanche-Neige qui a pour ambition de séduire les adultes et non pas les enfants ! Une Blanche-Neige prénommée Claire qui découvre avec gourmandise le désir et dont ni le charme ni la beauté ne laissent grand monde indifférent !
    Pour un rôle comme celui-là, il faut le dire, foin de l’hypocrisie, Lou de Laâge ne manque d’aucun atout. Sa grâce ne laisse pas de marbre, c’est le moins qu’on puisse dire ! Anne Fontaine s’amuse à réviser à sa guise le conte des Frères Grimm, donnant à la séduisante orpheline une belle-mère et marâtre prénommée Maud, plaisamment jouée par Isabelle Huppert, qui décide purement et simplement de l’éliminer. Or, après un kidnapping raté, c’est dans une forêt que se retrouve la belle Claire, précisément dans une maison où habitent deux frères jumeaux (Damien Bonnard) et un violoncelliste (Vincent Macaigne). D’autres hommes font petit à petit leur apparition : un libraire fantasque joué par Benoît Poelvoorde, son fils, un athlète et même le prêtre desservant le sanctuaire de La Salette (joué par Richard Fréchette) ! Sept en tout : autant d’hommes qu’il y a de nains dans le conte originel !
    La ravissante Claire découvre donc le désir et les plaisirs de la chair avec plusieurs d’entre eux. Les scènes sont parfois amusantes, lorsque, par exemple, il y a méprise entre les jumeaux ou lorsque le libraire se révèle adepte d’un petit jeu déviant. Cela pourrait paraître très superficiel s’il n’y avait deux personnages singuliers ou, en tout cas, plus singuliers que les autres. D’abord le violoncelliste qui semble, lui, peu attiré par le charme de Claire mais avec qui cette dernière dépasse précisément ce qui n’est que désir. Lorsque, à l’occasion d’une des scènes les plus belles du film, tous deux, lui au violoncelle, elle au violon, jouent en duo une page musicale, c’est encore mieux, plus troublant et plus érotique que lorsque les corps se dénudent et s’étreignent. Et puis, il y a le personnage le plus étonnant du film, le prêtre ! Non, rassurons-nous, si besoin est, il n’y a pas de scène charnelle entre la belle Claire et lui, mais des dialogues (au sanctuaire même de La Salette) que j’ai trouvés du meilleur goût. Lorsque la ravissante jeune femme lui explique qu’elle vient de coucher avec plusieurs hommes, le prêtre avisé ne s’en effarouche nullement et fait preuve d’une indulgence qui m’a semblé, je dois le dire, non seulement opportune mais exemplaire. Malgré ses multiples aventures sexuelles, Claire, comme l’a bien perçu le prêtre, n’a pas vraiment souillé son cœur pur. Le cœur souillé, rongé de jalousie, il faut plutôt le chercher chez la marâtre, bien sûr ! Une femme qui bientôt ressurgit, tout obsédée par son désir de donner la mort ! La Vierge de La Salette, Celle qui pleure, pourrait bien elle-même s’en alarmer…
    On le comprend, sous ses aspects qui peuvent paraître quelque peu désuets, ce film réserve d’agréables surprises et se révèle, en fin compte, bourré à la fois de malice, de subtilité et de charme.
    Sylvain P
    Sylvain P

    301 abonnés 1 333 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 avril 2019
    Un conte remis au goût du jour, ce pourrait être un beau projet. Mais Anne Fontaine le traite sans grand enjeu, sans morale de l'histoire, de façon un peu sexiste et avec un rythme trop peu soutenu. Blanche comme Neige comporte plein de bonnes idées mais navigue à vue.
    PaulGe G
    PaulGe G

    101 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 avril 2019
    le type même du film inutile . quand on a rien a dire; pour faire durer le film on voit la jeune fille courir courir et courir encore, on voit des paysages; on voit des plans interminables. le sujet ou revisiter Blanche Neige est navrant . Isabelle devrait arrêter pour un temps le cinéma, et Anne Fontaine carrément la mise en scene, quand a la scene finale c' est tellement grotesque qu' a envie de rire pour extérioriser l'ennui mortel de cette chose.
    Léo M.
    Léo M.

    17 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2019
    Un film qui peut se lire de différentes façons?

    Plaidoyer pour l'amour libre ?
    Dénonciation d'une société qui brime et juge l'amour quand il ne le comprend pas?

    Brillant exercice de style, en substance l' adaptation d'un conte réputé "pour enfants" version monde des adultes, avec tout ce que cela présuppose de dangers, de violence, mais aussi de leçon et de profondeur?

    Numéro d'acteurs et d'actrices au top de leur forme? chez les sénior,s palme spéciale à Isabelle Hupert et Benoit Polevoerde, entre perversions et mensonge et côté junior,s à Lou de Laage, séductrice sans y toucher, Jonathan Cohe, médecin maladroit et surout Pablo pauly, qui après "patients" et le film enquête sur les effets désastreux du médiator, fait son grand retour au cinéma, dans un rôle contre emploi et non pris au sérieux, où il fait mouche à chaque geste, nous touche à chaque réplique.

    Quelle qu'en soit notre inter^interprétation,il n'en reste pas moins un double plaisir cinéphile: celui de la danse des corps nus entrelacés et du chant des mots qui se tait et se dit pour mieux tenter de saisir ce qui est.

    Sublime.

    A voir.
    L_huitre
    L_huitre

    63 abonnés 344 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 avril 2019
    Un titre malicieux, une affiche provocante, une actrice à la beauté d'ange. Tous les ingrédients pour faire un film épatant et dépoussiérer le conte de Disney... La réalisatrice Anne Fontaine avait de belles ambitions sur le papier, et je me réjouissais à la perspective d'un film joliment assaisonné. Hélas, elle rate totalement son coup : son film est fade, ennuyeux et sans saveur. Il manque de texture à son scénario, et surtout de l'authenticité à son histoire. C'est un conte, au sens où l'on n'y croit guère. Et l'imaginaire ne fonctionne pas, car le récit est trop enraciné dans une réalité provinciale que les superbes paysages de Notre Dame de la Sallette n'arrivent pas à élever. Quel dommage ! L'actrice Lou de Laâge est pourtant une Blanche Neige électrisante. Elle promène sa fausse ingénuité avec désinvolture et irradie une sensualité débordante. Mais son parcours initiatique dans une petite bourgade des Hautes Alpes est d'une grande platitude. C'est une grenade dégoupillée au milieu de quelques spécimens masculins déjantés qui tombent comme des mouches. Prévisible, totalement prévisible... Ce qui l'est moins, c'est le rôle de la marâtre de belle-mère ( Isabelle Huppert ), jalouse et perfide, alors que l'éloignement de la belle aurait dû l'apaiser. Le rituel des pommes est préservé, mais cela paraît assez irréel, voire factice. Heureusement qu'il y a les beaux paysages alpins, c'est un des rares atouts du film, à côté de la beauté radieuse et envoutante d'une jeune actrice.
    traversay1
    traversay1

    3 108 abonnés 4 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2019
    Respect pour Anne Fontaine qui a réussi à construire une filmographie de 16 longs-métrages à l'écart des modes et toujours originale même si les plus belles réussites (Nettoyage à sec, Les innocentes) côtoient des ratages avérés (La fille de Monaco). Avec Blanche comme neige, la réalisatrice s'est visiblement beaucoup amusée à tracer le portrait d'une Blanche-Neige moderne, multipliant les clins d'oeil au conte tout en l'assaisonnant d'une bonne dose de sensualité, dans une ode à la libération de la femme enfin émancipée des vieux schémas machistes et épanouie dans une sexualité sans tabous. Les hommes sont des nains dans ce film sérieux comme le désir et ludique dans l'impudeur et la jouissance. S'il est vrai que Blanche comme neige met un peu de temps à démarrer, à partir du moment où il bascule dans un certain irréalisme, la partie devient vraiment amusante, culminant dans l'affrontement dansé et lascif entre la belle et sa "vieille" belle-mère (Isabelle Huppert, jamais décevante). Le casting masculin est particulièrement remarquable, ces messieurs étant fort courageux de jouer des personnages assez peu valorisants et flatteurs : mention particulière à Damien Bonnard, qui brillait déjà dans En liberté ! Il fallait garder Lou de Laâge pour la bonne bouche. La comédienne n'est pas remarquable que pour son patronyme, elle illumine le film de sa candeur juvénile et de sa charnelle élégance. Vrai décollage de carrière imminent, du moins on l'espère.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top