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    Leto
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    4,0
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    146 critiques spectateurs

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    Boby53
    Boby53

    11 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2019
    Sur la forme, ce film est d'une audace visuelle rafraichissante! Quand au theme, groupe de rock sous le regne finissant de Brejnev, on decouvre tout un pan de la jeunesse sacrifiée du " paradis socialiste". Interpretes au top. Repéré à Cannes, aurait merité la Palme, lui!...
    llafaye
    llafaye

    4 abonnés 170 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 février 2019
    Hymne à la liberté dans une URSS encore engluée sous une chape de plomb, pro soviétique et anti ocident. Le rock est ici une arme de libération massive. Réalisation inventive, personnages attachants. A voir absolument.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 février 2019
    Sur une plage, des jeunes dansent autour d’un feu. Ils chantent, échangent, improvisent des refrains sur leurs guitares. Une euphorie de musique et de liberté à laquelle se joint un garçon de 19 ans : Viktor Tsoï, aux faux airs de Jimmy Page et Jim Morrison, qui s’apprête à devenir une légende du rock soviétique au moment de la pérestroïka. On est à Leningrad, en 1981, et les élans créatifs de la jeunesse sont freinés par l’austérité régnante, l’anti-américanisme et la censure. Face à cela, Viktor, véritable icône nationale (il est encore très aimé aujourd’hui en Russie), romantique et amoureux de musique, incarne avec Mike, rocker qui le prend sous son aile, à la fois son influence et son rival, et Natasha, leur muse, tous incarnés avec grâce et charisme, une génération pressée d’exister et décidée à ne jamais cesser de s’exprimer.

    Ce biopic inspiré casse les codes. Il peint un portrait flamboyant de la scène post-punk des années 1980 côté soviétique, quand les vinyles de Bowie se vendaient en cachette et que les paroles de Lou Reed et Blondie questionnaient une jeunesse en ébullition. La mise en scène, sublimée par un somptueux noir et blanc, est électrisante. Elle n’hésite pas à faire surgir des couleurs au détour d’un split-screen, et brille à travers de formidables originalités formelles : trois séquences clipesques, concentrés d’énergie à l’intérieur du récit, offrent des moments d’évasion qui contrastent avec le réel (geste de clôture ironique, elles se terminent par l’irruption d’un personnage déclarant que « malheureusement, ceci n’a pas vraiment existé »). Des éléments graphiques, façon dessin animé, accompagnent ces parenthèses (en)chantées qui font des lieux du quotidien des endroits du possible, où s’exerce une magnifique communion collective. (lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2018/05/27/cannes2018-leto-de-kirill-serebrennikov/)
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 174 abonnés 3 974 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 février 2019
    Avec « Leto », Kirill Serebrennikov dresse le portrait d’une petite communauté du rock dans l’Union Soviétique des années 80. Les albums de Lou Reed, Bob Dylan et de David Bowie s’échangent en contrebande et une scène rock émerge dans le pays. On assiste à la création d’une salle de concert et à l’enregistrement du premier album de Kino. En parallèle, « Leto » dévoile un triangle amoureux libre et anticonformiste. Quoi que reparti sans prix, le film a brillé au dernier Festival de Cannes. Pourtant, il n’est pas facile d’entrer dans cet univers noir et blanc où les couleurs pop débarquent sans se faire attendre. A l’image du public qui a l’obligation de rester assis pendant un concert de rock, nous sommes bloqués dans l’euphorie des personnages qui vivent leurs vies sans se soucier des autres et de la caméra. « Leto » s’apprécie à condition d’avoir une attirance pour la musique russe des débuts de la perestroïka.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    FlorenceCsilla E
    FlorenceCsilla E

    3 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 février 2019
    Un très bon film. Des personnages justes, une mise en scène originale pour décrire la créativité des gens dans cet univers si gris.
    J'ai été bouleversée par cette histoire.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 octobre 2019
    Ce film russe mise tout sur un esthétisme hyper pointu et travaillé. Un joli noir et blanc en format scope que Serebrennikov agrémente d’effets colorés et de surimpressions crayonnées ; un vrai look type clip des eighties. Apportant beaucoup de soins à son image, il en est de même aux choix musicaux qui rendent bien hommage aux artistes rock, punk et new wave des 70’s et 80’s. On est dans un film musical, la musique est un personnage du film ; in ou off, son mariage avec l’image est toujours judicieux (« perfect day » est merveilleux entre autres). Par contre, l’apparition du personnage récurrent annonçant que cela ne s’est pas passée comme çà finit par contre par être lassant. Aussi le triangle amoureux se voulait original avec le maitre devenant muse et fan de son élève au point de l’aider à prendre sa place au panthéon du rock russe et prendre sa place même dans son lit conjugal. Mais cette histoire et les personnages ne sont pas aboutis, l’écriture est poussive et en fait on finit à mi-parcours par se faire chier. Après reste l’instantané d’une Russie dans les prémices de la Pérestroika avec une jeunesse cadenassée qui n’attend que de desserrer le frein à main. Mais l’esthétisme et la Grande Histoire en filigrane ne suffisent pas à faire un film abouti. Tant pis mais merci pour cette succession de clips tous réussis dont n’aurait pas pali les Lou Reed, Stones,…
    tout-un-cinema.blogspot.com
    Didier L
    Didier L

    27 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 janvier 2019
    Avec ce film, Kirill Serebrennikov réussit là où Pawel Pawlikowski avait échoué avec "Cold war" : inscrire une magnifique et simple petite histoire d'amour dans la grande Histoire d'un pays en pleine déliquescence et les signes annonciateurs de la perestroïka. Dans un noir et blanc somptueux et qui chatoie, s'anime grâce à un superbe travail de surimpressions sur la pellicule, d'irisations, de flashs colorés, le réalisateur offre un film débordant de vie, de petits bonheurs, d'exultation et ses personnages démesurés, bouffant la vie à pleines dents annonce doucement la fin du bloc soviétique. Une grâce totale émaillée de titres rock, pop ou gentiment punk qui sonnent des lendemains qui chantent. Un film lumineux qui vient, du coup, modifier mon classement des meilleurs films 2018.
    Phil S.
    Phil S.

    16 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 janvier 2019
    Une pure merveille, j en suis sorti enchanté ... BO sympa On dessine sur la pellicule ... c est frais très frais comme le premier souffle du printemps ...
    Mathias Le Quiliec
    Mathias Le Quiliec

    43 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 janvier 2019
    Avant de faire une critique, il me semble nécessaire de le voir une seconde fois tant mon opinion diverge de celle du reste du pays. Partant pourtant avec de belles idées en tête et pensant voir quelque chose entre jeunesse, politique, mélancolie et rock'n'roll je fonce donc au cinoche. Que ne fût pas ma déception, c'est bien simple je l'ai vu il y a un mois et je ne m'en souvient plus, même le noir et blanc chère aux réalisateur désireux de créer une ambiance ne m'a pas envoûté et touché une seconde. On peux s'identifier à tous les pays, toutes les guerres, toutes les coutumes, ou générations quand ceux-ci sont bien fait et permette une identification. Hors là, à part en étant un soviétique et en ayant vécu précisément à cette époque, je ne vois pas comment nos émotions ou notre empathie pourrait se révéler, sûrement pas grâce aux jeux des acteurs ou aux idées farfelu du réalisateur (la musique, les tags, dans les transport, délire incompréhensible). Enfin si on comprend un peu mais c'est mal fait quoi désolé ... Non en vrai je ne crois pas que je me l'imposerai une nouvelle fois !
    Pascale R.
    Pascale R.

    3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 janvier 2019
    Nul !!!!! trois accord de guitare sous fond d’alcoolisme et tabagisme . Un vide sidéral . Quelques belles images et effets spéciaux un peu amusants
    Rien sur leur vie
    Film très mode qui ne plaît qu’à la branchitude
    GuilhemPapa
    GuilhemPapa

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2019
    Original film en noir et blanc rempli de super musiques rock (anglaises, américaines et surtout russes !)
    Les personnages sont beaux et attendrissants, le film fait rire et donne envie - lors des scènes imaginées - de danser et chanter avec eux. A voir !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 20 janvier 2019
    C'est superbement filmé, la bande son est excellente, les acteurs sont très bons, on en oublie complètement qu'ils parlent russe, on entend parler qu'une seule langue : le rock'n'roll !!!
    Caine78
    Caine78

    6 036 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2019
    Sincèrement, en voyant ces plans-séquences de dingue, ce noir et blanc donnant une personnalité folle à l'œuvre, j'ai pensé que « Leto » avait le potentiel pour être sur mon podium, voire plus... C'est vous dire l'effet que m'ont fait ces premières minutes, d'autant que le charme continue d'opérer quelques temps. Libre, indépendant, dressant en creux un portrait répressif d'une Russie ne supportant pas que l'on puisse approuver une quelconque musique venue d'Amérique... Remarquable. Seulement, sans m'en rendre compte tout de suite, j'ai fini par trouver le temps légèrement long et à beaucoup moins m'intéresser, voire à me lasser de cette histoire véridique prenant, quand même, un peu trop son temps. Alors c'est vrai : cela peut aussi apparaître comme un atout. Sincèrement, difficile de savoir précisément comment les choses vont évoluer : souvent subtils, la réalisation et le scénario jouent beaucoup de ça, que ce soit dans les différentes relations entre les personnages ou ces incertitudes qui semblent constamment les guetter. Sauf que sur plus de deux heures, c'est long, au point de me demander combien de temps restait-il bien avant le générique. Reste que ce regard très personnel sur ces vedettes de la scène underground soviétique, traversé par quelques idées assez géniales spoiler: (ces clips fantasmés sont juste fabuleux)
    , étonnamment imprévisible et volontiers mélancolique, ne peut laisser totalement indifférent, encore moins avec la présence irradiante d'Irina Starshenbaum, dont la beauté presque irréelle apparaît en parfaite harmonie avec le reste. Ce n'est vraiment pas évident pour moi d'écrire cette critique : d'un côté ce n'est pas le cinéma que je préfère, et vous dire que j'ai été captivé pendant plus de 120 minutes serait vraiment mentir, notamment durant la deuxième heure. Mais ne serait-ce que pour cet amour profond du septième art et, bien sûr, de la musique, cette mise en scène si originale, ce noir et blanc si profond, difficile de réellement regretter le déplacement. Une œuvre pas comme les autres, et rien que pour ça, « Leto » mérite d'être salué.
    pitch22
    pitch22

    147 abonnés 679 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 janvier 2019
    J'ai du mal à donner une note à LETO car c'est un film mélancolique aux jolis accents rêveurs (des sortes de clips punk fantasmés le parcourent) mais aussi un film qui n'a pas vraiment d'histoire et qui se contente d'une très longue suite de scènes, parfois vaines en terme de propos (comme cette love story inachevée, timide), pour donner à voir cette période de la vie du groupe pseudo-rock dans ces années où l'on devait s'acclimater aux conditions de la censure idéologique. Le noir-et-blanc, qui imprime un air à la fois classe et triste à l’ensemble, ne fait pas tout. Paradoxalement, ça manque de chair, de caractère. On reste sur sa faim, avec des infos déprimantes sur le devenir de ses membres après 1989, auxquels on s'était toutefois attaché.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 janvier 2019
    Comment dit-on purge en russe ? Ne cherchez pas d’intrigue, d’action ni de scénario car Leto est d’une platitude rarement égalée entre art et essai, films de vacances délavés, orgies alcooliques et pétards sur la plage. Je m’attendais à revoir Belgica, on ne peut être que très déçu pour un film étiqueté rock... J’avais pour modèle Dancer In The Dark pour le côté long et chiant. Leto devrait s’appeler l’étau. 2h06 où l’on regarde sa montre en se retenant de quitter la salle. Certes l’actrice principale a un joli minois, mais est-ce que ça suffit à construire un récit ? Mille fois hélas... Aucune cohérence et surtout pas d’intrigue ... On sera mieux inspiré la prochaine fois. N’écoutez vraiment pas la propagande.... Ce film mièvre ne contient pas de longueurs, il est la longueur. Sélectionné à Cannes (?!) reparti sans rien, même pas avec des algues, tu m’étonnes. Il mérite une galette de fioul. Lourd.
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