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    Portrait de la jeune fille en feu
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    362 critiques spectateurs

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    colombe P.
    colombe P.

    124 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 septembre 2019
    C'est un film vraiment superbe sur tous les plans.
    Quand je lis certaines mauvaises critiques, je suis assez estomaquée.
    En tout cas, j'ai été très passionnée par ce récit dramatique et d'une grande émotion.
    Caroline Potier
    Caroline Potier

    5 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 septembre 2019
    Sublime, 2 heures d'esthétisme, de poésie, d'élégance, de finesse, de beauté. Les actrices sont formidables.
    La scène finale est sublime.
    Christophe74
    Christophe74

    9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 octobre 2019
    Chargé en sentiments, émotions, messages sociaux,... magnifique film dont on ne voit pas défiler les 2:00.
    Danygermaine
    Danygermaine

    27 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 septembre 2019
    Un film superbe et assez bouleversant que l'on garde en soi longtemps. Oui il y a des longueurs, mais qui servent plutôt le propos : lentement, au rythme de l'action et du rapprochement des deux personnages, on se laisse emporter par cette histoire d'amour pure et impossible. La scène finale est une apothéose, un grand moment de cinéma.
    PLR
    PLR

    407 abonnés 1 475 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 septembre 2019
    La réalisation d’un portrait, comme fil conducteur de ce scénario, sera prétexte pour aborder plusieurs thèmes : la peinture bien sûr (même l’image à l’écran a souvent la flamboyance d’un Rembrandt), la place des femmes dans l’art, deux histoires intimes de femmes en superposition. Avec une touche de littérature classique et l’explication de texte qui va avec. Globalement, la réalisatrice nous transporte dans quelque chose qu’elle a souhaité être très esthétique. Mais elle semble avoir picoré ici ou là quelques idées et thèmes pour les mettre bout à bout en scène, sans trop de vision d’ensemble… pourvu que ça s’assemble (comme les touches successives d’un tableau de peinture finalement, coïncidence ?). On n’est pas loin de l’exercice de style. Et ARTE est d’ailleurs là à la production. Vous êtes prévenu…
    Agnès J.
    Agnès J.

    10 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 octobre 2019
    Rarement un film aussi ennuyeux. Ca n’en finit pas. J’auraid dû partir avant la,fin. Aucun intérêt et les scenes un peu vivantes au milieu de ce pensum (avortement, amours les biennes) sont plates et sans émotion.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    676 abonnés 1 416 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 septembre 2019
    1770 sur une île bretonne, une jeune peintre de talent doit réaliser un portrait à l'insu du modèle, une jeune femme tout juste sortie de l'ordre des bénédictines pour être mariée contre son gré en Italie.
    Ce drame historique intimiste est porté par deux actrices véritablement en état de grâce : Noémie Merlant et Adèle Haenel.
    Le scénario est un petit bijou d'orfèvrerie pour ce qui est de la montée émotionnelle et passionnelle, il a d'ailleurs été récompensé au Festival de Cannes 2019.
    Les scènes de peinture sont subtiles et délicates, les rares passages musicaux sont intenses et envoutants.
    Le format un peu long (2h00) permet certes de s'immerger profondément dans cette ambiance feutrée et artistique, mais frustre également un peu le spectateur tant il ne passe pas vraiment grand chose pendant plus d'une heure.
    Raffiné et ardent à la fois, une oeuvre touchante et troublante.
    Site www.cinemadourg.free.fr
    dominique P.
    dominique P.

    785 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 septembre 2019
    Je suis charmée et conquise par ce film très beau et très émouvant.
    C'est un petit bijou visuel; dramatique et émotif ce film.
    La toute dernière scène (gros plan sur le visage d'Adèle Haenel) est renversante.
    Jmartine
    Jmartine

    149 abonnés 652 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2019
    C’est un superbe film que nous offre Céline Sciamma avec Portrait de la jeune fille en feu…un film de femmes, réalisé par une femme, joué par des femmes, une directrice de la photo femme… les hommes n’y ayant qu’un rôle de figuration, qui a obtenu le Prix du Scénario au dernier Festival de Cannes…De Céline Sciamma, je n’avait vu que Bande de Filles, en 2014, que j’avais modérément apprécié…par contre j’avais adoré Bird People, la même année, dont elle avait cosigné le scénario...Le Portrait de la jeune fille en feu a été tourné en partie sur la Côte Sauvage de la Presqu’ile de Quiberon, certaines scènes à Brec’h , à l’écomusée de Saint Degan…Les scènes d’intérieur ont été tournées dans un de ces nombreux manoirs bretons à l’architecture sévère, celui-ci n’ayant été ni habité ni restauré depuis des années, a gardé, boiseries, couleurs et parquets figés dans le temps et contribue largement à l’atmosphère du film…On est en 1770 mais loin des ors de Versailles. On le comprend très vite en voyant Marianne (Noémie Merlant) rejoignant un bout de côte bretonne, de l’eau jusqu’à la taille, majestueuse et froide, engoncée dans une robe dont on imagine le poids du tissu trempé. C’est une jeune peintre qui rejoint, sur une île, Héloïse (Adèle Haenel), fille d’une comtesse, d’origine italienne (Valeria Golino), guère plus âgée qu’elle, tout juste sortie du couvent pour reprendre le destin de sa sœur ainée, qui s’est suicidée. Comme il est d’usage à l’époque, Marianne doit réaliser son portrait afin de révéler sa beauté auprès d’un illustre inconnu, potentiel prétendant et vivant en Italie... Comme Héloise a déjà renvoyé un précédent peintre, Marianne devra se faire passer pour une dame de compagnie. Patiente et délicate, la réalisatrice scrute l’évolution de la relation entre ces deux héroïnes. Il faut accepter une forme de lenteur contemplative, rythmée à la vitesse d’un monde qui s’éclaire à la bougie, dénuée de musique, où chaque geste, chaque réplique, chaque regard est filmé avec minutie …Il y a beaucoup d’émotion et de sensibilité à voir évoluer la relation de Marianne et d’Héloïse, le passage de la froideur à la complicité puis la naissance d’un sentiment amoureux…C’est un film à la mise en scène éblouissante portée par des actrices en état de grâce, Noémie Merlant , troublante et troublée face à la beauté incandescente d’une Adèle Haenel qui s’impose, de film en film, comme une actrice de référence du cinéma français… L'alchimie irrésistible entre ces deux comédiennes captive de bout en bout … N’oublions pas Sophie (Luàna Bajrami), jeune servante au service des deux autres mais considérée comme une égale…et qui n’a rien à leur envier en qualité d’interprétation… Et, si, comme le propose LCI, c’était le plus beau film français de l’année ??? Je ne suis pas loin de le penser….
    Michèle G
    Michèle G

    34 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 septembre 2019
    Une belle lumière. Une belle image. Des plans qui se veulent des tableaux. La montée interminable du désir... à l'ennui. Un univers clos entre femmes où les hommes "toiles de fond" n'apparaissent que dans les dernières scènes pour bien marquer le trait sur la place injuste des femmes dans le domaine de l'art...Une mayonnaise qui malheureusement ne prend pas, malgré la pertinence du propos. Quand la beauté de l'art pour l'art en fait perdre la trace et quand les causes les plus nobles deviennent caricaturales... le temps s'éternise dans l'attente du clap de fin. Quel dommage !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 septembre 2019
    Un film d'une grande finesse et d'une grande beauté.
    Sans oublier beaucoup de délicatesse.
    Les deux actrices sont magnifiques et vraiment épatantes.
    J'ai apprécié aussi le rôle de la jeune domestique qui apporte une petite histoire complémentaire.
    Narnet
    Narnet

    19 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 août 2019
    Vu en avant première le 23 aout. Rythme tres lent, la passion met du temps à s'installer. J'étais parti pour mettre 2, mais la fin plutôt "belle" me fait mettre la moyenne. Il faut malgré tout être motivé pour voir ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 20 septembre 2019
    Dans les films de Sciamma, toutes les femmes de premiers rôles sont toujours belles et jeunes. Son dernier film le confirme indéniablement. Quant au contenu du film, je pensais voir une histoire "d'amour impossible" entre deux femmes, mais ce que j'ai vu c'était une histoire "d'amour possible" : aucun obstacle, aucune opposition externe, aucun enjeu!. Le pire, la mère s'en va au bout d'un quart d'heure du film en facilitant davantage "cet amour possible" : les protagonistes se rencontrent, se promènent à la plage, déjeunent, dînent, s'amusent, s'aiment, font l'amour, etc etc, tout cela sans difficulté. J'aurais aimé voir et connaître cette interdiction de la relation homosexuelle de l'époque chez les femmes, du moins la vision de Sciamma sur "ce tabou de l'époque". De ma part, je n'ai été touché à aucun moment par ces personnages ni par cette histoire même s'il y a un beau passage vers la fin. De plus, l'univers dans lequel se déroule l'histoire est très propre, lisse et "épuré" comme la vision de Sciamma sur cet "amour possible". "Boys don't cry" qui parle aussi une histoire d'amour impossible entre deux femmes était plus riche et plus subtile et apportait une certaine réflexion dans cette interdiction qui était clairement posée et sentie. Pour conclure, ce portrait est vide de sens et d'intérêt, et manque terriblement de parti pris!
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 146 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 décembre 2021
    J’entends bien l’idée.
    Puisqu’il est question de portraits dans ce film, alors en conséquence le parti-pris de Cécile Sciamma a été celui du cadre fixe, du regard porté sur les détails, de la photographie soignée caressant visages et formes, décors et paysages…
    Soit…

    Seulement très rapidement m’est venue face à ce film une autre idée ; toute aussi à propos par ailleurs.
    Cette idée c’est celle qui consiste à se rappeler qu’au-delà du fait qu’il soit question de portrait dans ce film il est aussi question de cinéma, et que dans « cinéma » il y a kine.
    Le mouvement.
    Or peu de choses bougent dans ce « Portrait de la jeune fille en feu ».
    A commencer par nous-mêmes…

    Je ne sais pas pour les autres, mais avant même que les premières touches soient posées sur la toile que j’avais déjà l’image finale en tête.
    Entre ce qu’on est en droit de savoir des thématiques que Céline Sciamma aime aborder d’un côté et le cheminement ultra-classique auquel semble inviter la forme, le film annonce la couleur dès les premiers instants et ne surprendra jamais.
    Dès lors on ne reste que si l’image plait à l’avance.
    Un peu comme le personnage de Marianne, on étend le temps d’ouvrage - quitte à repartir de zéro si nécessaire - juste pour le plaisir de faire durer, mais rien de plus.
    Or ça, c’est peu dire si elle le fait durer son plaisir cette chère Céline… Et pas qu’un peu.

    Ah que de silences entre chaque phrase…
    …Que de plans qui s’étirent et se répètent ad nauseam…
    A un moment donné le plaisir d’esthète ne pourra que laisser de côté celles et ceux qui espéraient plus qu’une simple séance-photo doublée d’une romance plate et convenue.
    Car oui – et désolé de le dire ainsi - mais pour un film qui parle d’embrasement jusque dans son titre – j’avoue avoir longuement cherché la flamme.
    Entre le tempo atavique qu’impose un récit creux d’un côté et de l’autre le jeu assez artificiel – pour ne pas dire maladroit – d’Adèle Haenel, les choses auxquelles se raccrocher sont tout de même vraiment rares.
    Pour ma part, seule Noémie Merlant a été source d’un minimum de satisfaction en termes de tentative d’animation et d’enrichissement de l’œuvre, ce qui est certes toujours ça de pris mais tellement insuffisant au regard de tout le reste.

    En fait je ne peux m’empêcher de voir dans ce film une certaine forme de facilité de la part de Céline Sciamma.
    Elle avait déjà son public-cible à l’esprit. Elle savait que pour séduire ce public il serait largement suffisant de dérouler cette iconographie-type de romance aristo-bourgeoise. De même qu’elle avait parfaitement conscience que, sitôt aurait-elle coché ces cases-là, les silences et les minimalismes ne pourraient que jouer pour elle.
    C’est ce qu’elle a fait et bien lui en a pris.
    Son public l’a suivi et l’a plébiscité.
    Tant mieux pour elle.
    Tant mieux pour lui.
    …C’est juste dommage pour les autres.

    Car oui, j’insiste, mais je trouve vraiment dommage de voir ces auteurs se complaire aussi facilement dans l’aisance.
    A croire que faire de la belle photo est suffisant…
    A croire qu’aborder les choses selon les mœurs de son temps n’appelle pas à aller plus en avant…
    Eh bien moi je trouve ça triste.
    Et s’il y en a pour me demander ce que je pouvais espérer de plus, ceux-là je les inviterais à aller faire un petit tour du côté de Yorgos Lanthimos.
    Car il y a dans sa « Favorite » bien plus qu’une mode de son temps.
    On y retrouve un cinéma bien plus intemporel.
    …Un cinéma qui survit aux hashtags et aux bonnes causes de l’instant.
    Cinephille
    Cinephille

    135 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 septembre 2019
    Celine Sciamma fait un double portrait de sa muse Adèle Haenel. Celui peint par Marianne la peintre venue faire le portrait d'Héloïse et celui d'Héloïse peint par Céline Sciamma. On est dans un film de facture classique avec beaucoup de clairs-obscurs, d'éclairage à la bougie. Céline Sciamma évite l'écueil du film en costumes avec débauche de costumes. Il y a quelques jolies trouvailles comme celles des deux enfants, le petit à coté de Sophie, et l'enfant peint à coté d'Héloïse dont on ne manquera pas de remarquer qu'il s'agit d'un coucou de la réalisatrice. Il y a un point de vue féminin qui irrigue tout le film, film dans lequel on ne voit quasiment pas d'hommes même pour une fête paysanne. Il y a aussi deux soucis, l'un est sa longueur excessive, l'autre est un excès d'esthétisme au détriment de toute émotion : au fond on reste extérieur à ces deux personnages.
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