Mon compte
    Dans un jardin qu'on dirait éternel
    Note moyenne
    3,6
    1460 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Dans un jardin qu'on dirait éternel ?

    95 critiques spectateurs

    5
    28 critiques
    4
    42 critiques
    3
    14 critiques
    2
    9 critiques
    1
    2 critiques
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Aurélia R
    Aurélia R

    12 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2020
    C'est un très bon film dans son genre... C'est à dire que vous allez vivre une méditation immersive et pleine de beauté !
    Ne venez donc pas en voulant voir un film entraînant ou ayant un scénario élaboré
    Sinon l'ennui risque de vous immerger
    C'est simplement une plénitude de douceur autour d'un thé !
    Patrick J
    Patrick J

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 septembre 2020
    Une pure merveille, d'une grande profondeur, qui fait mesurer tout un pan de la philosophie japonaise.
    Jean C.
    Jean C.

    5 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 septembre 2020
    trés beau et poétique tythmé par la nature et le calen drier japonais bon film mais un peu trop lent
    Pierre M
    Pierre M

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 septembre 2020
    Dans un jardin que l’on dirait éternel : on aurait difficilement trouvé un meilleur titre pour ce film de Tatsushi Ōmori d’après le livre de Noriko Morishita.

    On se sent bien dans cette maison et ce jardin hors du temps. Très vite la vue des pylônes et le bruit de la ville nous devient insupportable et on aspire à retourner dans ce havre de paix où chaque geste, anodin au premier abord, devient essentiel, où l’on prend plaisir à écouter la pluie tomber et à voir l’eau qui coule.

    On s’attache fortement et facilement au personnage de Noriko (Haru Kuroki), on partage avec elle ses peines et ses frustrations dans l’apprentissage de cet art complexe mais aussi sa fierté et sa quiétude dans la réussite. Les remarques de Maitre Takeda (Kirin Kiki) nous touchent personnellement et son approbation nous fait du bien.
    Ces émotions on les retrouvera dans sa relation à ses parents et à sa cousine Michiko (Mikako Tabe) et plus généralement dans sa vie en dehors de son apprentissage.

    On finit par sortir de la salle apaisé, tranquille, en ayant envie de prendre le temps de regarder tomber les feuilles des arbres, état qui durera jusqu’à devoir esquiver un scooter uber sur le trottoir.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    165 abonnés 686 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 septembre 2020
    Les saisons s'enchaînent, la vie avance. Mais avançons-nous tous à la même allure? C'est la question que pose ce beau film japonais à travers la tradition de l'art du thé. Une jeune fille qui n'a pas de vraies passions, décide de se lancer dans l'apprentissage de la préparation du thé, grande tradition japonaise. Selon les saisons, tout change ce qui la bouscule mais elle y trouve un repaire et se prend du plaisir à préparer le thé. Les années passent, les gens évoluent. Alors qu'elle avance bien plus lentement. La réalisation et le rythme nous partagent bien la vie de cette femme qui évolue à son allure à travers les années et l'art du thé enseigné par son maître. Le film est très beau et on le laisse emporter au fil des saisons.
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    67 abonnés 223 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 septembre 2020
                Pour ceux qui sont fascinés par le Japon, son passé, sa culture, ses traditions, qui se laisseront complètement envoûter, alors que les autres s'ennuieront ferme. Un quart de siècle de la vie d'une jeune femme, au cours duquel il ne se passe rien, que la fuite des saisons.... et la répétition incessante de cérémonies du thé. J'ai assisté déjà à ces cérémonies -la Maison de la Culture du Japon à Paris organise régulièrement des cours de thé- sans vraiment en comprendre la signification. Peut être ais-je un peu progressé, tout en restant encore complètement en surface.
    Ces cérémonies sont diverses: la cérémonie du thé d'été n'est pas la même que celle du thé d'hiver, ou encore que celle du thé fort.... Mais chaque geste, chaque position est immuable, suit un rituel qui ne tolère aucun écart dans la position des doigts, aucun millimètre dans le repositionnement des objets -bouilloire, récipient d'eau froide, louche, fouet.... Par exemple, le pliage en trois de la petite serviette est précédé de toute une séquence ritualisée de pliages /dépliages, autrement dit, dès le début, vous vous sentez largué. Pourquoi? Parce que cela doit être comme cela, dit le Maître de thé. Ici le Maître de thé, le Professeur Takeda, est Kiki Kirin, vieille dame aux bandeaux gris que nous avons vue dans tous les films japonais, en particulier ceux de Kore-Eda, et qui vient malheureusement de disparaître.
    Au début du film, Noriko (Haru Kuroki) est une adolescente timide, attachée à ses parents, qui ne sait pas trop quoi faire de sa vie et est plutôt mal à l'aise, sauf quand elle se retrouve avec son inséparable amie et cousine Michiko (Mikako Tabe) qui est, elle, extravertie et culottée, et qui a un projet d'existence bien défini: travailler un peu après la fac puis trouver un bon mari, fût-ce au prix d'un mariage arrangé, et avoir des enfants.... Les parents de Noriko suggèrent à leur fille de prendre des cours de thé. Pourquoi pas, dit Michiko ça doit être marrant (!!!) Et ainsi, les deux jeunes filles vont s'engager dans cet apprentissage sans fin, jusqu'à ce que Michiko se marie et change de ville, tandis que Noriko, déçue en amour, déçue professionnellement, persévère, mais ce n'est qu'après la mort de son père, cruellement vécue, qu'elle appréhende enfin dans sa chair le sens du kakemono (d'un des kakemonos, car madame Takeda les change en fonction des jours, des saisons....) "Chaque jour est un bon jour"
    Elle comprend que que le bonheur de la vie est d'en appréhender chaque instant comme s'il était unique, le premier ou le dernier, ou encore l'unique parmi mille autres, et que seule la répétition permet cette préhension; elle sera, à son tour, maître de thé. Êtes vous prêts, occidentaux agités, à recevoir cet enseignement?
    Parfois très beau, quelquefois drôle -vision irrésistible d'un troupeau de petites dames d'un certain âge, certaines ayant passé une fourrure sur leur kimono d'hiver,trottinant sur leurs socques vers une salle de conférences.... ce film nous ouvre vers une autre culture, très éloignée de la nôtre, mais oh combien fascinante.
    luclem1998
    luclem1998

    2 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2020
    Fan de cinéma japonais, j'appréhendais la sortie de ce film au vu de la bande annonce et du sujet. Il est vrai qu'on peut craindre le pire : on comprend assez vite que le film sera rythmé par les séances de cours de thé. Heureusement, même si le dispositif est usé jusqu'à la corde au terme du film, on ne note aucune répétition. En effet, le réalisateur déjoue la monotonie propice au sujet et sait alterner scènes drôles, scènes tendues et scènes riches en émotion dans la même pièce et pour les mêmes circonstances. Le film se veut une chronique de vie et s'étale ainsi sur deux décennies. Certes, il y a un petit problème de maquillage pour voir le temps passer sur le visage des trois héroïnes et on peine à croire que Maître Takeda vive aussi longtemps quand on voit ce qui arrive au père de l'héroïne. En choisissant de ne pas se reposer sur un scénario en béton mais d'étudier une société et une tranche de vie, Tatsushi Ômori n'évite pas certaines longueurs, surtout un passage assez mou et vain avant les scènes qui clôturent le film.

    Néanmoins, Ômori réussit de nombreux paris. Le premier consiste à nous intéresser à ces traditions de cérémonie de thé, en partie grâce aux trois héroïnes. On se prend à rire aussi bien de la maladresse de départ des deux jeunes élèves que du caractère strict de l'enseignement avec des règles absolument grotesques et peu pratiques. Les réactions de Maitre Takeda face aux erreurs des deux jeunes femmes sont imprévisibles tant les gestes que font les élèves nous sont inconnus. Il y a donc une vraie attention demandée au spectateur par rapport aux gestes des élèves et aux réactions de l'enseignante. On est alors captivé par la précision des gestes, on ressent aisément la tension. Ômori a d'ailleurs la bonne idée de filmer ses scènes en coupant toute musique, tout son extérieur. Le spectateur est ainsi pleinement concentré sur la cérémonie de thé. L'absurdité de la rigueur de cette cérémonie est mentionnée lors de scènes anodines mais savoureuses (utilisation des bols une fois tous les douze ans, place de l'invitée) qui donnent lieu à quelques rires. C'est d'ailleurs la force du film : réussir à nous captiver pour des gestes en apparence peu intéressants si bien que le spectateur vers la fin du film devine les erreurs et précède les remarques de Maitre Takeda mais aussi infuser de l'humour dans une situation très sérieuse.

    Le film questionne subtilement les traditions à travers un conflit léger de génération : les deux élèves veulent comprendre pourquoi la cérémonie se déroule de telle manière tandis que leur enseignante ne s'est jamais posée la question et parait toute embarrassée. Le réalisateur a le recul nécessaire pour décrire et en même temps faire réagir le spectateur sur des détails quelque peu ridicules : comment plier une serviette ou la déplier, la ranger dans telle partie de son vêtement... Les rires nerveux fusent dans la salle. Ômori opte pour une mise en scène qu'on peut qualifier "japonaise" : il y a une infinie douceur dans le cadrage, l’enchaînement des plans, les choix de lumière. Les costumes varient souvent et sont tout bonnement magnifiques. La précision apportée au son est remarquable et intensifie la tension lors des cérémonies de thé. Ômori s'adapte très bien à son environnement et sait filmer le lieu quasiment unique de l'action. Sa caméra occupe très bien cet espace sans pour autant nous faire ressentir être en face d'un huis clos.

    Ce que Ômori cherche à faire c'est aussi étudier le temps qui passe : les errances de l'héroïne en termes romantiques et professionnels sont bien retranscrites et on ressent très bien le soulagement qu'elle peut éprouver à l'idée qu'elle peut se rattacher à ce cours tel un rituel. Ce cours l'empêche de mûrir et en même temps la fait grandir. On la sent stagner en dehors de ces cours et pourtant elle évolue bien. La parte d'un être cher au milieu du film va avoir des conséquences : peur de perdre Maître Takeda à son tour, peur de ne plus avoir cette bouée de secours que sont les cours de thé. Le réalisateur a la bonne idée de changer de regard : l'héroïne va peu à peu passer d'élève à maîtresse ou en tout cas conseillère. Ainsi, on rit d'elle au début du film, on rit avec elle vers la fin face à des élèves d'une maladresse incroyable. Les fous rires sont alors garantis. Puis vient le temps où elle se remet à faire des erreurs voire à les accumuler. La relation entre les deux cousines est aussi très belle et doit beaucoup aux deux actrices toujours justes et au jeu très riche.
    Muriel F.
    Muriel F.

    46 abonnés 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2020
    Un temps suspendu avec ce beau film dont la projection paraissait infinie pour ne pas dire éternelle pour mon plus grand ravissement.
    Des plans tout simplement magnifiques autour des cérémonies du thé qui nous plongent dans l'émotion des rites ancestraux associés aux rythmes de la nature. Au fil de décades qui accompagnent l'initiation d'une jeune fille qui se cherche et qui devient une jeune femme plus sereine et conquise à cet art du thé, notre presque apprentissage par écran interposé nous rend aussi plus appaisé à l'écoute des éléments et à l'écoute de nous-même.
    20centP
    20centP

    13 abonnés 235 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2020
    Un film qui dégage une beauté formelle indéniable servie par une actrice principale lumineuse. Le propos fortement contemplatif peut dérouter le spectateur qui, comme moi, attache une importance à le progression de l'histoire.
    izaris
    izaris

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2020
    Un très beau film, sur le temps, la patience, la vie et le sens de la vie. Tout cela en ne nous parlant que de l’apprentissage de la cérémonie du thé.
    Et du coup je pense avoir compris ce que représente cette cérémonie que l’on peut appliquer à tous les actes de la vie quotidienne, cette approche qui est totalement celle de la philosophie zen me semble-t-il, et qui imprègne l’art japonais que j’ai eu l’occasion de voir. On comprend aussi ce qu’est le véritable apprentissage quand, sans prétention intellectuelle, on ne cherche pas à comprendre mais qu’on fait confiance aux mains pour agir. Un film donc hors du commun montrant un chemin spirituel qui ne dit jamais son nom. On fait confiance à l’esprit pour apprécier !
    ATHMOS.ONER
    ATHMOS.ONER

    141 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 septembre 2020
    Quand un enfant commence la période du « pourquoi », il questionne tout. Au Japon, plus qu’ailleurs, ce questionnement concerne aussi le sens des gestes liés aux traditions, comme ceux de la cérémonie du thé. Mais que répondre à un enfant quand ce sens ne peut être compris que par la répétition précise, sous la direction d’un maître aussi exigent que sévère ?
    Si je ne vous ai déjà perdu avec cette introduction, continuons notre chemin « Dans un jardin qu'on dirait éternel ». Tatsushi Ōmori nous livre un film aussi délicieux, subtil et délicat que le meilleur des wagashis (pâtisseries traditionnelles servies avant le thé).
    Rarement la culture Japonaise n’a été aussi bien livrée et même décortiquée avec autant de grâce. Sa singularité et sa poésie infusent délicatement tout au long du film qui est volontairement répétitif mais pas ennuyant pour autant.
    Qu’il est bon de pouvoir pénétrer dans cette maison traditionnelle où minimalisme, tatamis et shōji (parois en papier translucide monté sur une trame en bois) font bon ménage.
    Les 4 saisons (détaillées en 24 périodes au Japon) sont visibles dans ce qui pourrait être un pavillon de thé, doté d'un superbe jardin d'une époque révolue où les habitants des villes avaient de la place. Pour bien évoquer les saisons qui passent, un gros travail a été effectué sur les lumières, les éléments (comme la pluie), les sons ainsi que la couleur des plantes. Ainsi, chaque saison est détaillée et apporte son lot de nouvelles traditions, de petits plaisirs et de contraintes.
    C’est dans ce cadre digne d’une bulle de sérénité que nous assistons, tels des témoins très privilégiés, à la relation entre le maître et son élève. Ces deux personnages sont campés par des actrices non seulement excellentes mais qui sont en plus au diapason (à faire pâlir d’envie Yamaha). C’est d’autant plus touchant qu’il s’agit de l’ultime rôle de la fabuleuse Kiki Kirin qui est absolument parfaite en gardienne des traditions. Il y a un fossé entre Madame Takeda et Noriko, interprétée par ce qui pourrait être sa relève, Haru Kuroki. Cette dernière est tout aussi touchante et pétillante.
    Si les émotions sont filtrées (comme il se doit au Japon), elles restent omniprésentes, sincères et accompagnées par de jolis kakemonos (rouleaux accrochés au mur) changés aux moments opportuns pour délivrer une citation poétique en accord parfait avec la saison ou l’actualité des protagonistes. L’évolution de cette relation complexe est un régal et l’ensemble de l’œuvre est une expérience sensorielle qui invite à se poser pour apprécier la vie au fil des saisons, tout en vivant pleinement le moment présent. Après tout, le bonheur n'est-il pas de savourer avec autant d’intensité, les mêmes choses répétées inlassablement ? Un bien bel éloge aux traditions, à la lenteur, qui ouvrent des perceptions sur le sens de l’existence, aux choix que l’on fait, comme celui du travail bien fait au prix de la ténacité.
    Savourez ce thé simple en apparence, pourtant très raffiné, aussi léger qu’intense en accord parfait entre le passé et le présent.
    Yves G.
    Yves G.

    1 284 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 septembre 2020
    Noriko a vingt ans et ne sait pas vraiment quoi faire de sa vie. Sa cousine Michiko est plus vive et plus volontaire. Un beau jour, sur la suggestion des parents de Noriko, les deux jeunes filles décident d’aller s’initier à la cérémonie du thé auprès de Mme Takeda. Les années passent ; mais le rituel hebdomadaire de la leçon chez la vieille professeure continue.

    "Dans un jardin qu’on dirait éternel" est l’adaptation d’un livre de Noriko Morishita au titre explicite : "La Cérémonie du thé – Ou comment j’ai appris à vivre le moment présent". Y sont entrelacés deux récits. D’un côté, un quasi-documentaire sur la cérémonie du thé au Japon, ses règles ancestrales, ses rituels précis, sa philosophie. De l’autre, l’histoire d’une jeune femme qui se cherche et qui se trouve.

    Son rythme est lent voire languide. Mais "Dans un jardin…" n’est jamais ennuyeux. Sa narration s’étire sur plus de vingt ans pour embrasser la vie d’une femme, de la sortie de l’adolescence à l’âge mûr. Cette vie, on ne l’apprend que par bribes : la fin des études, le premier travail, des fiançailles avortées, la mort du père… Passée à la moulinette de Hollywood, une telle vie aurait été dramatique, pleine de rebondissements, de ruptures et de réconciliations. Sous l’œil d’un réalisateur japonais, tamisée par les "shoji" translucides du pavillon de thé, ces cloisons de papier qui filtrent la lumière, elle est douce-amère.

    La cérémonie du thé y est décrite par le menu. Ce rituel un peu compassé pourrait prêter à sourire. Si certaines de ses règles sont de bon sens, d’autres n’ont pas de logique sinon leur séculaire répétition. Les deux jeunes filles commencent par en rire moqueusement ; mais vaincues par l’irréductible patience de leur professeur, elles finissent par les comprendre et les respecter.

    Comme tant d’autres films japonais (on pense aux derniers films d’Ozu ou aux "Délices de Tokyo" déjà interprétée par la merveilleuse Kiki Kirin depuis décédée), "Dans un jardin…" est d’une infinie délicatesse. Y règne une immense bienveillance à l’égard des êtres et des choses.

    Le bruit du monde vous tympanise ? L’agressivité des rapports humains vous est insupportable ? L’impolitesse vous exaspère ? Courez voir "Dans un jardin qu’on dirait éternel". Il agira comme un baume contre les tourments de notre temps.
    marine C.
    marine C.

    2 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 septembre 2020
    Délicatesse et subtilité semblent avoir été créé pour ce film. Chef d'œuvre qui nous entraîne vers la méditation. Sublime et grand moment paisible.
    Yann C.
    Yann C.

    23 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2020
    Magnifique film minimaliste. C'est avec simplicité que nous rentrons dans une initiation aux origines millénaires. Nous sommes ici dans cette recherche d'harmonie entre l'intérieur et l'extérieur. Il n'y a aucune critique de la condition de la femme, le message est bien au-dessus.
    Agnes L
    Agnes L

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2020
    Un petit bijou ! Un film rempli de douceur, pudique, qui respire la vie avec des photos et images magnifiques.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top