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    Julie (en 12 chapitres)
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    3,9
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    Votre avis sur Julie (en 12 chapitres) ?

    240 critiques spectateurs

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    miouze
    miouze

    49 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 octobre 2021
    Ah lala, je me suis fait avoir par l'engouement suscité par le film, et bien mal m'en a pris tellement ce fût long et ennuyeux.
    Les gens quittaient la salle mais, accrochée à l'espoir que c'était juste long à démarrer je suis restée...2 points positifs : j'ai travaillé ma patience ; et la dernière demi-heure est prenante (un peu) et émouvante (un peu) ! Mais c'est tout.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    154 abonnés 1 043 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2021
    Julie a bientôt trente ans et elle est insatisfaite, de sa vie, de ses études et des injonctions sociétales à se mettre en couple.
    Oscillant entre comédie romantique et drame, avec une belle inventivité dans la mise en scène ce film est vivifiant et son actrice solaire sautille un pied dans la légèreté, l'autre dans la pesanteur. Le regard cynique et sardonique du réalisateur sur le néo-féminisme ou l'engagement plaira ou énervera selon vos propres sentiments.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    322 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2021
    Julie, bientôt 30 ans, n’arrive pas à se fixer dans la vie. Alors qu’elle pense avoir trouvé une certaine stabilité auprès d’Aksel, 45 ans, auteur à succès, elle rencontre le jeune et séduisant Eivind.

    C’est une réalisation du Norvégien Joachim Trier. Cela vient clore sa trilogie d’Oslo après Nouvelle Donne et Oslo, 31 août, ces trois films ayant des acteurs en commun, mais ne jouant pas les mêmes personnages. Il a de nouveau écrit le scénario avec Eskil Vogt.

    Très mitigé sur le début, j’ai finalement trouvé que Julie (en 12 chapitres) était un bon drame.



    Déjà, j’ai apprécié comment l’histoire nous était présentée sous forme de chapitre avec en prime une introduction et un prologue. Cette construction est intelligente car elle rend le récit facilement lisible. Le dérouler est claire et c’est tout à son honneur. On voit que cinématographiquement parlant, Joachim Trier a fait un très bon travail. Les plans sont bien pensés pour nous faire vivre son récit. Les enchainements sont toujours fluides et donnent le sentiment de liberté que ressent Julie. De plus, la bande originale accompagne comme il se doit les moments aussi bien dramatiques, que ceux plus enjouer.

    Après, je ne vais pas vous mentir, j’ai détesté la première partie. Il y aura une ode un peu aveugle à cette liberté qu’éprouve notre personnage principal. On nous balance un discours un peu trop accentué sur le “faites ce que vous voulez ça n’a pas d’importance”. Julie est toujours déresponsabilisée par des tours de passe-passe. Je trouvais cette démarche sans fond car le manque d’évolution et surtout l’absence de réflexion était cautionnée. Ça a duré jusqu’au chapitre VI. La suite va être beaucoup plus nuancé.



    En effet, quand enfin on commence à rentrer dans le dur, mon calvaire s’est transformé en petit coup de cœur. J’étais même frustré d’avoir passé un si mauvais moment durant la moitié du film. Je ne pouvais malheureusement pas oublier cela, mais j’ai tout de même profité de la suite. Les aspects psychologiques sont véritablement bien travaillés. On explore enfin le cœur et l’esprit de Julie. Elle va au bout de ses démarches et on peut observer donc les conséquences. Les enjeux sont posés et cruciaux. Résultat, l’émotion va se faire sentir.

    C’est alors que Renate Reinsve se révèle au grand jour. Une performance récompensée à Cannes avec le Prix d'interprétation féminine. Même quand je n’appréciais pas l’œuvre, je reconnais que son jeu était impeccable. Je lui ai d’ailleurs trouvé un air de Anaïs Demoustier. Je tiens aussi à dire chapeau bas à Anders Danielsen Lie. J’ai beaucoup apprécié son jeu et toute la dramaturgie autour de son personnage va être un moteur pour le film.
    PLR
    PLR

    421 abonnés 1 498 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 octobre 2021
    12 chapitres, plus un prologue et un épilogue, ça fait penser à un style « nouvelle vague » et surtout à Eric Rohmer même s’il faisait nettement moins découpé. Nous voici donc en compagnie d’une charmante trentenaire en Norvège (dialogues en version originale, il faut être courageux) qui, dans ce pays sans aspérité sociale, ne sait pas trop ce qu’elle veut pour être heureuse ni même (et le spectateur avec elle) s’il lui faut quelque chose. Elle est brillante, intelligente, elle réussit toutes ses études. Ce qui ne l’empêche pas de changer brutalement de voie en cours de route avec l’assentiment de sa mère qui n’y trouve rien à redire : « si c’est ce que tu veux », « si ça te rend heureuse ». C’est la Norvège on vous dit : paradis socialiste (social démocrate) pour les uns, société étouffante pour les autres. Dans une séquence annexe, une petite fille qui ne veut pas aller dormir s’entendra quand même dire de sa mère : « c’est moi qui décide ! ». Ah mais… Notre Julie s’épanouit donc, comme elle peut, comme elle veut, sans limites et dans l’éternelle interrogation. On ne se lasse pas de son sourire. Mais franchement, quelle casse bonbon !
    Petra
    Petra

    1 abonné 41 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2021
    TRÈS BON FILM - A VOIR
    j'avais lu une critique mitigée qui a failli me décourager d'y aller . Même en 12 épisodes, l'histoire concerne surtout Julie et les 2 hommes qui marquent sa vie , ainsi que les événements qu'ils arrivent dans une vie avec famille ,amis,travail.
    J'ai beaucoup aimé ce film , actuel , bien interprété , juste , vrai . BRAVO
    Petitgraindesable
    Petitgraindesable

    19 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 octobre 2021
    Bof, pas mal, mais en aucun cas le chef-d'œuvre encensé par beaucoup. Assez inégal. A classer dans les comédies romantiques. Le portrait d'une chieuse qui se cherche reste le portrait d'une chieuse, n'est pas Rohmer qui veut. Renate Reinsve est bien, mais largement surpassée par Anders Danielsen Lie. La partie mélo est bien traitée, sobre et émouvante. Herbert Nordrum n'est pas bon, et les chapitres avec lui et son histoire avec Julie ne sont jamais crédibles. Par ailleurs, Joachim Trier enfonce maladroitement quelques portes ouvertes sur des clichés dans l'air du temps. C'est finalement un film assez didactique.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    237 abonnés 1 605 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2021
    Dans Oslo 31 août, Joachim Trier avait su capter la désespérance d'un jeune homme (interprété par l'excellent Anders Danielsen Lie que l'on retrouve ici) avec une intelligence et une sensibilité douces-amères, mélancoliques. On retrouve cette finesse d'approche, une touche d'humour en plus, dans ce film qui regarde les trentenaires et quarantenaires, aujourd'hui, dans une frange relativement aisée de la société norvégienne. Regard largement transposable à d'autres sociétés. Au gré de situations et de dialogues qui sonnent toujours juste, le réalisateur croque la contemporanéité de ses personnages avec un mélange savoureux d'ironie caustique, d'empathie, et un certain sens de la poésie du quotidien : délicatement lyrique, joliment inventif, charmant et cru (la rencontre lors de la fête de mariage, l'arrêt du temps...). Il interroge, de manière fluide et sans didactisme, les notions d'amour, de couple, de procréation et de famille, mais aussi celles de travail, d'art et de culture, en passant par quelques considérations sur le militantisme féministe ou écologique... Cela donne un bon tableau social et un beau film générationnel, tout en nuances, comme l'est le portrait du personnage féminin central. Personnage saisi dans ses forces et ses faiblesses, dans ses joies et ses tourments. Julie est une jeune femme tout en fraîcheur et en spontanéité. D'une énergie radieuse. Mais insatisfaite et versatile. En manque de confiance et de reconnaissance. Mais capable de franchir les crises et de rebondir. Renate Reinsve (Prix d'interprétation féminine au festival de Cannes 2021) incarne ce personnage avec un naturel désarmant, subtilité et force, et apparaît aussi à l'aise dans le registre plutôt léger du début que dans le registre grave et bouleversant de la fin. Le pouvoir de séduction du film lui doit beaucoup.
    Kiberen
    Kiberen

    17 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 octobre 2021
    Julie cherche qu'il elle est, Julie écoute ses passions, Julie écoute son cœur, Julie cherche des réponses satisfaisantes en explorant la vie. C'est très simplement comme cela qu'on peut résumer le dernier film de Joachim Trier, qui est à mes yeux l'un des plus grands films de l'année 2021.

    À travers ces 12 chapitres (auxquels s'ajoute un prologue et un épilogue), on explore l'incertitude d'une jeune femme de 30 ans qui cherche ce qu'elle veut être dans sa vie, quelles sont ses passions, à qui elle va donner son cœur, avec toujours au-dessus d'elle le poids des générations passées et de la condition de notre monde actuel. Trier décompose cette fameuse trentaine, porte son attention sur chaque choix et ses conséquences à court où long terme, s'appliquant à nous démontrer de la manière la plus sincère possible la multiplicité des éléments qui compose nos vies.

    Le film est beau. Pas seulement en terme de script, de dialogues et de péripéties, mais également en terme d'acting (Renate Reinsve est tout simplement sublime) et de technique, avec sa photographie argentique pleine de saveur, sa sélection musicale impeccable et certaines séquences visuellement magnifique, que ce soit par une idée visuelle audacieuse où la simplicité humaine qui s'en dégage.

    Baignant dans un spleen amer, l'histoire n'est jamais lourde à en crever et reste constamment à la surface quelle que soit la situation. Chaque hésitation, chaque choix, chaque rire où chaque larme impacte autant sur le film que nous. On assiste ici à une dissection en bonne et due forme de ce qui fait notre humanité, du cheminement qui compose le tableau de notre vie, sans jamais juger, sans jamais glorifier, simplement en nous montrant ce que nous sommes.

    L'expérience est juste folle, tant le panel d'émotions qu'on traverse est grand. Je ne sais pas depuis combien de temps un film m'avait autant bousculé, m'avait autant prit à la gorge pour aligner mes craintes et mes espoirs avec ceux d'un personnage. J'ai ri et j'ai pleuré en cœur avec le film tout du long, et je n'ai aucun problème à le dire.

    Parce que c'est ça "Julie en 12 chapitres" : un film du cœur, un film qui vient du cœur, un film fait avec le cœur. Il y a une telle volonté de capturer la vie et les émotions tout du long que ça en devient démesuré, et quand on pense que tout a été raconté le film n'en a pas fini avec nous.

    Je suis hautement conquis par ce film, et je ne pense même que j'ai besoin de faire une trop longue critique pour le dire. Ce film, c'était une expérience cinématographique comme je n'en avais pas vécu depuis longtemps. Ce film contient tout ce que j'aime, et réussissais pourtant constamment à me surprendre. Allez voir ce film par pitié, c'est l'une des plus belles choses que le cinéma nous ai offert cette année. C'est dans un film comme "Julie en 12 chapitres" que la force de la salle de cinéma, de l'expérience cinématographique et du cinéma en lui-même explose avec amour, un amour venant du cœur.
    Psah
    Psah

    11 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 octobre 2021
    Chouette, tonique, sensible, joyeux, juste, intelligent, riche, stimulant : les questions de la vie, quelques-unes (pas mal), à 30 et quelques années (ou autre), quand on est une femme (ou autre). Les « choix », les bons choix, les mauvais, les expériences, les conséquences … Tout un film, toute une vie.
    Leandre H
    Leandre H

    7 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2021
    On pourrait penser assister à un énième mélodrame de fin d’année, on a ici un film organique, dont l’évolution est naturelle et qui arrive à émouvoir, en grande partie grâce à ce personnage insaisissable, étonnamment complet et crédible de Julie !
    Le film embrasse tous les aspects de la vie d’une trentenaire indécise pour en dresser un solide portrait féminin, qui devient le portrait d’une époque.
    Il y a de la grâce dans les dialogues vraiment maîtrisés, qui dessinent une évolution des relations réaliste pour notre époque : chacun pourra trouver un aspect de Julie auquel s’identifier.
    L’idée des chapitres est intéressante. Ceux-ci sont inégaux mais ce n’est pas gênant : on comprend que la vie n’est pas un roman écrit à l’avance… les derniers chapitres sont un peu faciles, mais permettent de faire rapidement évoluer Julie, donc pourquoi pas.
    Ça reste un film très cérébral, mais ce dernier aspect est vraiment compensé par la sublime force qu’insuffle Renate Reinsve dans son personnage !
    C’est un film qui renouvelle le mélodrame avec fluidité et fraicheur, à découvrir !
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    85 abonnés 291 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2021
    Ai vu "Julie (en 12 chapitres) du réalisateur norvégien Joachim Trier, qui a valu le Prix d'interprétation féminine à l'actrice solaire Renate Reinsve. Très beau film découpé en un prologue, 12 chapitres et un épilogue, "Julie..." est un portrait très précis, subtil, bienveillant et surtout particulièrement émouvant d'une jeune femme d'Oslo pendant une petite dizaine d'années, mais c'est également une photographie de toute une génération. Julia commence des études pour être chirurgienne, puis abandonne pour être psy, puis réalise qu'elle veut faire de la photographie. Julie veut vivre pleinement et assumer ses choix c'est le privilège de son âge. Pour ses amours Julie agit de même... Julie rencontre Aksel, un dessinateur de BD de 45 ans et s'installe avec lui dans une vie beaucoup plus conformiste qu'elle ne le voudrait, où le regard des autres et celui de son partenaire tout à coup devient pesant, oppressant... elle ne peut répondre aux questions incessantes et insolentes "Voulez-vous des enfants ?" "Quel métier faites vous ?"... Julie se trouve en décalage et fuit. Julie se carapate devant le conformisme des générations rangées qui la devance. Pourquoi suivre un seul chemin ? Julie se sauve également devant la difficulté, devant les choix à faire... Pour aller où ? Julie n'est jamais dans le bon timing imposé par la société. Le film à la construction très littéraire passe de la légèreté "La fellation à l'ère metoo", au malaise, "les autres", à une des plus belles scène de "drague" du cinéma lors d'une soirée où Julie s'invite sans y connaitre qui que ce soit, à une réelle mélancolie "Tout à une fin". Est-ce que les épreuves auront raison de la pétillante Julie et la feront rentrer finalement dans le rang ? La mise en scène de Joachim Trier est à l'avenant de la construction du long métrage, très élégante, étudiée, souple, à la bonne distance sans aucun jugement, la caméra est totalement à l'écoute des sentiments ambivalents et des états d'âmes subtiles des personnages. Renate Reinsve illumine le film par sa présence, sa qualité de jeu, sa façon de se mouvoir, de danser, de se poser, de regarder le monde... Les portraits des personnages masculins sont eux aussi nuancés et Anders Danielsen Lie et Herbert Nerdrum sont des acteurs sensibles. Le film parle à tous, quelque soit notre génération, notre sexe... nous avons tous été un jour cette Julie entière et absolue, volcanique et en plein doute excessif à ne pas savoir déguster le présent car la peur de l'avenir et la pression des autres étant trop grande. Alors on (re)-vit avec Julie pleinement ces 12 chapitres qui nous font frissonner de plaisir et de nostalgie. Un subtil état de grâce.
    doudeleven
    doudeleven

    3 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 octobre 2021
    Globalement déçue. Rien à voir avec Oslo 31 août. C'est assez déprimant, trop long, malgré quelques critiques de notre société assez intéressantes et amusantes.
    tupper
    tupper

    121 abonnés 1 326 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2021
    Sous ses abords de simple comédie romantique ce film se révèle d’une grande profondeur et d’une grande justesse sur les divers thèmes qu’il aborde : la difficulté à trouver un sens à sa vie, la peur de la mort et de la trace que l’on laisse, la pérennité de l’amour,… Passionnant et beau. La réalisation subliment la ville d’Oslo et les propos d’interprètes qui collent à merveilles à leur rôles.
    AZZZO
    AZZZO

    278 abonnés 745 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 novembre 2021
    Quel film incroyablement sexiste ! N'ayons pas peur des mots puisque Joachim Trier a choisi de dépeindre les tourments d'une trentenaire de sa génération, une femme qui lutte contre le mansplaining, l'héritage matrimonial et toutes les formes du sexisme comme du patriarcat. Et pourtant... Si l'on gratte un peu, cette "jeune-femme moderne" créée par Joachim Trier coche toutes les cases du conformisme : elle est indécise, obnubilée par la quête de l'amour, peine à se tenir à ses résolutions, vit avec un mâle qui brille en société (pas son 2e copain mais, rassurez-vous, elle le pousse à quitter son job de simple serveur de café. Ouf !), elle n'existe que dans le registre de l'émotion et lorsque son cerveau produit enfin quelque chose (mais cela n'arrive que 2 fois) c'est uniquement dans le but d'obtenir l'assentiment de son conjoint !
    On ajoute à cela un décès, deux couchers de soleil, et c'est le grand plongeon dans le sirupeux. Du coup, la belle Julie si séduisante avec son regard mutin, sorte d'Anaïs Demoustier scandinave, finit par agacer par son manque de profondeur et de personnalité. Franchement dommage.
    Karine D
    Karine D

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 octobre 2021
    suis sortie au bout du 6eme chapitre.
    les personnages m'agacaient, pas d'émotion, long, ennuyeux.. bref pas sensible à ce genre de film
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