Derniers Avis : Downton Abbey II : Une nouvelle ère - Page 3

Un calvaire en VF.
Tellement dommage pour une série si belle d'avoir 2 films aux scénarios simplistes, aux dialogues pathétiques, d'une lenteur extrême. On prie pour que ça s'arrête. Maggie Smith qui doit nous faire une mort à la Marion Cotillard... ne gâcher pas votre vision de la série splendide et ne regarder pas ces films, surtout le 2e.

Je suis un fan de la première heure de la série et des films donc je ne suis pas impartial j'aime m'évader dans leurs histoires grandes et petites.

Le premier opus était loin d'être parfait mais avait certaines qualités. Ce film est plus facile à critiquer, le directeur de la photographie a fait un très bon travail, tout le reste est mauvais. C'est juste un supplice à éviter que de regarder ça.

La famille Crawley et leurs domestiques sont de retour. L’esprit de la série (et du premier film) est toujours aussi manifeste et les intrigues qui ponctuent cette « Nouvelle Ère » sont joliment ficelées. Classe et élégance à l’anglaise, bons mots et répliques piquantes, ainsi qu’une belle (re)tenue des acteurs, entre complicité et collégialité. La seconde vie de « Downtown Abbey » se poursuit sur le grand écran et il est difficile de s’en lasser.

excellent... fidèle à la série. j'ai préféré le 2 au première volet ! je vous le conseil c'est pas mal du tout ! :)

Derrière de beaux décors ce film fait l'apologie de l'esclavagisme, comment des laquais servent leurs maitres et en tirent une joie profonde, ce film est une honte. Je regrette de l'avoir vu.

Un film qui s'adresse évidemment aux fans de la série, comme pour aller rendre visite (une dernière fois ?) à cette famille qu'on a tant aimée. Les images sont magnifiques. Pour le reste le scenario est un prétexte, il est mal construit, les évènements s'enchainent de façon peu vraisemblable, rien à voir avec la subtilité de la série. On retrouve nos personnages préférés mais dans leur version caricaturale, j'ai même souvent eu cette drôle d'impression de voir des acteurs déguisés sans arriver à me mettre vraiment "dedans". La VF est catastrophique (pas eu le choix au cinéma). Un film qui donne juste envie de retourner voir la série !

Une suite de scènes ennuyeuses à mourir, mus par des enveloppes vides. Ce lent naufrage historique et cinématographique semble bâtis autour des décors filmés et montés comme une publicité. Une nouvelle errance qui soufre de la comparaison avec la vitalité de la série.

On retrouve bien l'ambiance et les problématiques de chacun, ce qui apporte un réconfort pour les fans. L'intrigue liée à la propriété en France est une fausse piste qui fait peu d'effet. La chanteuse au moment de la fête organisée dans le sud de la France est exceptionnelle.
Au global on passe un bon moment dans l'esprit fidel de la série. Un troisième opus pourrait sans problème voir le jour !

Émouvant et sympathique et tellement agréable d'être projeté dans un monde si raffiné et élégant ... à voir
Pas vu la série ...

Très bon film, avec un jeu d'acteur excellent. Reprend bien la continuité des histoires passées.
Le seul regret est quand cela se termine.

Un film "pantoufles" : on en sort certes pas transcendé, le réel n'a pas bougé d'un iota mais l'instant était agréable, exactement comme attendu. Les décors, l'accent, l'esprit, tout respire le britannique à plein nez (cela ne surprendra personne). Un univers à part entière qui ne séduira pas tout le monde. D'aucuns le trouveront trop classique, d'autres carrément désuet. Il est vrai que les clichés ne manquent pas mais quel casting. Plus intéressant encore, Downton Abbey II capture le passage entre deux mondes, deux époques. On est à la fois plongés dans le début du XXème siècle britannique tout en assistant à l'effondrement de cette période et de ses codes. Les acteurs jouent à merveille la famille aristocratique enfermée dans un schéma ambivalent, entre rejet et acceptation du nouveau monde. A ne pas manquer !

1928 à Downton Abbey. La douairière Lady Violet vieillit. Ses descendants apprennent avec étonnement que le marquis de Montmirail lui a légué par testament une luxueuse villa dans le sud de la France. Ils décident de s’y rendre pour éclaircir le mystérieux passé de leur aïeule.
Pendant ce temps, à Downton, un film se tourne avec des vedettes de cinéma toutes plus étonnantes les unes que les autres.

J’ai déjà dit le plaisir addictif que j’avais pris à regarder les sept saisons et les cinquante-deux épisodes de l’une des séries les plus célèbres au monde.
Je découvre avec étonnement en la relisant ma critique bien sévère du premier film qui en avait été tiré, sorti fin 2019. Le problème est que le second (ou le deuxième ?), sorti le mois dernier lui ressemble énormément.
Deux options s’offrent à moi : répéter les mêmes reproches au risque du bégaiement ou me montrer plus élogieux au risque de l’incohérence.

Au risque de l’incohérence, c’est cette seconde voie que je choisirai.
Je crains hélas que l’opinion qu’on se fait d’un film soit très fluctuante : elle dépend de notre humeur quand on le voit et du moment dont on en parle ensuite. N’y a-t-il pas des comédies que vous n’avez pas trouvées drôles, bien qu’elles le fussent, parce que vous les avez vues de mauvaise humeur ? Des films dont vous dites le plus grand bien aujourd’hui alors que vous vous y étiez copieusement ennuyé, mais dont les qualités, passées au tamis du temps, ont fini par vous toucher ? Bref, l’opinion qu’on se fait d’un film est terriblement subjective et fluctuante.

De ce "Dowton Abbey II" – qui ressemble furieusement au "Downton Abbey I" – je pense le plus grand bien – alors que j’ai dit du mal du I. Pourquoi ?
C’est difficile à dire. Peut-être parce que cela faisait plus de deux ans que je n’avais plus été plongé dans la si délicieuse compagnie des Crawley. La série était trop proche du premier film, alors qu’elle est suffisamment éloignée du second.

J’ai retrouvé ces personnages qui, après tant d’heures à partager leurs vies, font un peu partie de ma famille : Lord Crawley, sa femme Cora, leurs filles Mary et Edith (Sybil, la si jolie benjamine, me manque terriblement) ainsi que leurs gendres et, bien sûr, la nombreuse domesticité, Carson, Barrow, Bates et son épouse Anna si aimante, Molesley…

"Dowton Abbey II" m’a fait pensé au jeu Tetris auquel nous avons tous joué : il s’agit d’enchasser en les faisant pivoter des formes géométriques tombées du ciel. Dans "Downton Abbey", plusieurs fils narratifs sont tirés qui finissent par s’imbriquer les uns aux autres dans une parfaite harmonie. Dans "Downton Abbey" aussi, chacun est à sa place, chaque place à son chacun. La société a beau connaître une scandaleuse division entre maîtres et serviteurs (à quelques rares exceptions près, tel Tom Branson, le chauffeur irlandais devenu l’époux de Sybil). Cet apartheid ferait frémir les marxistes les plus dogmatiques. J’avoue, toute honte bue, qu’il n’a pas terni le plaisir que j’ai pris à ces histoires.

Aïe aïe aïe !
Quelle déception que ce film ! On attendait avec tellement d'impatience de retrouver tous ces personnages qui ont accompagné nos vies avec une série géniale...on sort dépités et déçus pour les comédiens et de n'avoir pas trouvé de plaisir à les voir incarner nos personnages préférés. Le premier film était tout de même dans l'esprit de la série mais cette fois c'est vraiment très très mauvais. J'ai eu le sentiment d'assister à "la petite maison dans la prairie". Même Denker est devenue gentille. J'espère que ce film vaut pour un coup d'arrêt définitif à l'exploitation du filon !

J'ai rarement vu un film aussi soporifique. On vient tourner un film à Downton; ils partent en voyage en France et la vieille douairière défuncte à la fin et c'est tout ! C'est juste bon pour les aficionados de la série; pour les autres, c'est sans intérêt.