Derniers Avis : Downton Abbey II : Une nouvelle ère - Page 7

Une nouvelle réussite feel-good pour les fans des péripéties de Downton Abbey. On retrouve avec plaisir ces personnages attachants et leurs tracas, traités avec humour et légèreté même dans les moments les plus sérieux. Si les intrigues sont prévisibles, le film n'en reste pas moins touchant et très divertissant.
Critique vidéo : https://youtu.be/BK3Qvgmf3AQ

J’avais était un peu triste de rater le précèdent volet lors de sa sortie au cinéma. On peut dire que l’erreur a était quasiment réparer, puisque j’ai eu la chance de découvrir «Downton Abbey 2 : une nouvelle ère » au cinéma aujourd’hui, évidemment en version originale sous-titré. Après, une série qui a conquis des millions de spectateurs et à travers et un premier long-métrage très réussit : le challenge était de taille concernant une suite. Mais finalement à nouveau : Julian Fellowes le scénariste oscarisé de la saga s’en sort à merveille. Point d’angle de ce nouvel épisode (si on peut dire) : l spoiler: e passé de Violet Crawley qui ressurgit tandis qu’au manoir une nouvelle crise économique s’est installer. Le tournage d’un long-métrage étant pour la famille, selon l’aînée Mary, l’unique possibilité pour renflouer les caisses.
Une intrigue qui sur le papier semble brouillonne mais qui se suit avec une grande limpidité une fois assis sur notre fauteuil. Véritable fable sociologie : ce second opus encre un peu plus nos personnages dans la prochaine décennie qui les attends : les années 30.

C’est toujours un plaisir de retrouver chacun des personnages qui composent cette grande famille et leurs domestiques. On voit à nouveau tout l’amour que porte le scénariste à ses créations. C’est d’ailleurs peut-être là que pêcher un peu le précèdent opus : mais lors du premier volet, nous étions vraiment focalisés sur l’action autour du roi et de la reine. Ici, il n’y a pas vraiment d’action entre guillemets même si il y a intrigue. C’est à dire qu’on retrouve chacun des membres dans leurs quotidiens...et on se dit que c’est ce qui nous avais manquer. J’admets après réflexion, que le premier film de «Downton Abbey» était un peu brouillon, ici c’est moins le cas. Chaque élément narratif s’imbriquent parfaitement et chaque personnage brille à part égale. Même si le personnage de Maggie Smith – q spoiler: ui comme son personnage tire sa définitivement sa révérence à la série – est un peu moins visible que le premier,
le personnage de Violette a certainement les scènes les plus émouvantes du film et les (dernières) répliques les plus succulentes. Les nouveaux personnages sont très bons eux-aussi, en particulier celui de Myrna Dalgleish incarner par Laura Haddock qui a quitter son costume de bonne dans Maitres et Valets pour celui de star hollywoodienne. Elle est excellente dans ce rôle et offre un vrai rôle de composition bien qu’on sente que l’hommage à Chantons sous la pluie est très appuyer.

Les acteurs sont à nouveau tous sur leurs 31 et tous sont très bons. Même si il y en a certains qui se démarquent plus que d’autres, à l’instar de Michelle Dockery qui est excelle toujours et dont le jeu à gagner en convenance. Elizabeth McGovern qui démontre à nouveau l’intensité de son talent. Ou encore Hugh Bonneville qui avec son flegme anglais m’a impressionner par sa justesse de tons et d’émotions, comme rarement avant. spoiler: Mais, c’est également comme je l’avais précédemment, l’occasion pour Maggie Smith de porter une ultime fois à l’écran son personnage culte de Violette. Et si, on regrettera vraiment son départ : elle tire sa révérence de façon grandiose et pleine de panache. Merci à elle.
En dehors de cela, même si on sent Simon Curtis (My Week with Marylin) moins inspiré cinématographiquement parlant que son prédécesseur, le film à l’opportunité de faire transparaître toute la chaleur et la beauté de la Côte d’Azur et la douceur du foyer dans plusieurs plans magnifiques. Les costumes sont comme toujours somptueux. Et la bande-originale signée par l’inchangeable John Lunn s’est enrichie de nouveaux thèmes musicaux plus agréable et plus mémorables.

En conclusion «Downton Abbey 2 : une nouvelle ère » est un véritablement enchantement. Une réunion orchestrer avec maestria par un scénariste passionné par son histoire qui offre de nombreux moments d’émotions mais aussi de belles répliques humoristiques. Le tout porter par une distribution principale et secondaire de haut-vol, avec une Maggie Smith inégalable en tête. J’espère qu’il y aura un troisième volet ne serait-ce que pour conclure avec prestance ce monument du 7e art mais si tel n’étais pas le cas, celui-ci offre une belle conclusion. En tout cas filer le voir, vous ne serez pas déçu.

Un plaisir de retrouver les personnages la demeures l'humour
Un Peu en dessous de la serie quand même..

Ce deuxième volet de Downton abbey est aussi très réussi. Certes les très nombreux personnages sans rôles prédomidants déboussolent un peu le spectateur , mais c'est compensé par un fil directeur simple pour le scénario.Après un banctitre appréciable déjà sur l'image on sera vite conquis.Les décors sont superbes, les intérieurs somptueux et les costumes hors classe.La musique est à lahauteur de ce que nous voyons.Les dialogues mettent en avant un humour très " british" et pour compléter cet ensemble, il est très intéressant de découvrir ou redécouvrir les difficultés du cinéma à la charnière entre le muet et le parlant.On finit par s'habituer aux très nombreux acteurs et on se régale de ce film où l'esthétique est de mise.

Tiède... tous les clichés bienveillants sont présents et aucun rebondissement digne de la série. Déception en demi teinte parce que les acteurs sont constants mais on reste sur notre faim.

Bof !!! Rien a voir avec la série éponymes, beaucoup plus intriguant et captivante, ce deuxième opus porté au cinéma est d'une platitude aussi agréable a regarder (J'ai dit a regarder....pas a suivre) qu'une feuille de papier a cigarette . Pas (Ou si peu) d'histoire (Miss Violet (Formidable Maggie SMITH ....la seule a tirer sin épingle du jeu) hérite d'une villa entre Toulon et Juan les pins et la demeure des Crawley sera sauvée de l'inondation dues a des fuites sur le toit grâce a l'apport inopinée de l'argent reçu en échange d'un tournage de film dans le château de Highclere) ...avec ca on en a pour 2 heures a éviter de roupiller . Aucun des acteurs ne semble y croire (Même Nathalie Baye qui se demande ce qu'elle fait là) et on en ressort avec mal a la mâchoire tellement on a baillé...a mourir d'ennui.

Suite qui pour le coup nous donne le plaisir de revoir ces personnages qui nous manquaient. C est plus un prétexte car le scénario n apporte en lui même pas grand-chose de nouveau ni de dramatiquement intéressant ou pertinent. Malgré tout le plaisir prend le dessus. Peut-être un peu de longueur sur le final .

On resuce à l'infini ! Le scénario n'est même pas poussif, il est totalement artificiel, prévisible en permanence, construit pour répondre aux seules exigences d'un produit uniquement commercial. C'en est risible. On s'ennuie. Heureusement, les décors sont toujours aussi beaux.

Fan comme beaucoup de la série, le première opus cinéma m'avait beaucoup déçu, tout était dans la bande annonce et une fois devant le film....flop!
Mais pour celui ci c'est out le contraire.
Downton Abbey II : Une nouvelle ère est assez rempli, bien plus vivant et ponctué de nombreuses notes d'humour déclenchant les rires dans la salle.
Tant de choses s'y passent qu'au final le film donnerait presque l’impression d'avoir vu une nouvelle saison de la série.
Nous avons vraiment passé un très bon moment.

Excellent film ! Tout est parfait ! L'histoire, les acteurs, les dialogues, la musique, les paysages.... un film frais bienveillant émouvant..... merci !!

J'ai passé un très bon moment. Cette chronique familiale est fort sympathique, beaucoup d'humour aussi, nous retrouvons tous les personnages de la série avec plaisir, sans vulgarité ni violence. Merci beaucoup pour ces deux heures de détente.

Fidèle à la série ! Les personnages sont toujours aussi attendrissants et charismatiques, le décor change avec un fond de cinéma et notre chère Provence.
Que ce soit sur fond de mariage, de naissance ou d'enterrement cette famille est pour ma part toujours aussi exceptionnelle et j'ai beaucoup de plaisir à suivre leur vie remplie de rebondissements.

Quelle belle suite !
On pourrait se dire après une longue série et un film, un deuxième serait de trop mais pas du tout !
Ce film est très émouvant spoiler: surtout à la fin…
, la musique nous plonge directement dans l’atmosphère de downton abbey. On en apprend plus sur les personnages et on les adore toujours autant.
C’est génial d’aller vers la nouvelle ère avec eux.
On ne s’ennuie pas pendant le film et il fait une très belle fin à cet univers, si c’est le cas !
Ce que j’aime beaucoup dans ce film tout comme dans la série c’est la combinaison entre larmes et rires, on passe par toutes les émotions !
Bref si vous avez vu la série et le dernier film, qu’est-ce que vous faites encore là ?!

Je m'ennuyais déjà devant la série qui s'étire en longueur mais qui possède encore quelques ressorts amusants mais là le long métrage réunit tout ce qu'on devrait fuir : scénario mince comme une feuille de papier à cigarette, acteurs qui jouent leur rôle sans allant, endossant les même habits qu'il y a 20 ans, caméra paresseuse qui alterne mécaniquement champs et contre-champs, version français épouvantable, incapable de transcrire la langue châtiée de l'aristocratie anglaise qui ne sait plus quoi faire pour se sortir de l'ennui.
La ROUTINE!!!

Quand une série incarne si bien le plaisir de la télévision, à regarder en pantoufles (mais chics), un verre de vieil Islay à portée de main, est ce une bonne idée que d'en faire un film? La réponse est non, quand il s'agit comme ici d'une pure opération commerciale. Tout ce qui faisait le charme de la série, la subtilité des relations entre les personnages, le regard à la fois moqueur et attendri porté sur cette incroyable caste de fossiles: la haute aristocratie britannique, avec ses rites qui n'ont d'égaux dans aucun pays au monde, et l'analyse sociologique aussi des relations colonialistes codées au sein de la maisonnée, où les colonisés non seulement acceptent leur sort mais sont, à leur façon, aussi snobs que leurs colonisateurs.... tout cela a disparu au profit d'une double histoire au scénario assez grossier. Une partie de la famille et de sa domesticité se rend dans le midi de la France, où elle vient d'hériter d'une superbe villa -pourquoi? cela laisserait planer un doute sur la vertu de la comtesse douairière, donc, shocking! sur les origines du comte! tandis que le château est loué pour le tournage d'un film muet -qui va devenir parlant, avec des figures caricaturales, le jeune premier qui est en fait homo, et la jeune première odieuse, toute en déshabillés à plumes et à voix de fausset. Les deux histoires se succèdent régulièrement, une tranche de jambon, une tranche de fromage...Cela nous vaut l'intrusion de nouveaux personnages, Nathalie Baye en marquise française furieuse d'être privée d'une partie de son héritage, très bien, et son fils Jonathan Zaccaï. Et, côté Hollywood, Hugh Dancy, Dominic West et Laura Haddock.
Ils ont tous vieilli et incroyablement grossi, sauf Mary qui flirte avec l'anorexie. Mr Carson (Jim Carter) est tellement rouge et bouffi qu'on craint qu'il n'ait eu réellement une crise cardiaque sur le plateau de tournage... Mais rassurez vous, il y aura quand même quelques nouveaux mariages entre prolos valétudinaires...
Même notre chérie absolue, la comtesse douairière (Maggie Smith), ce mélange si parfait de snobisme et d'arrogance, de lucidité et de dérision, est bien amortie. Il est vrai qu'elle est censée être sub-claquante...
Bref, à éviter pour tous ceux qui ont adoré la série.