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    Copland
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    306 critiques spectateurs

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    Hotinhere
    Hotinhere

    421 abonnés 4 748 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2021
    Un excellent polar au scénario bien ficelé, interprété par un casting prestigieux, avec notamment un Sly magistral dans un rôle à contre-emploi.
    Stargate
    Stargate

    256 abonnés 2 872 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juin 2018
    Pour info, il est indiqué que "le shérif Heflin est un dépressif obèse que personne ne respecte", mais non, il n'est pas obèse.
    Stallone rempile ici pour porter à l'écran un personnage humble, un shérif encore traumatisé par un acte d'héroïsme qui l'a rendu sourd d'une oreille, ce qui l'a empêché de travailler ailleurs que dans une petite ville. Seulement, celle-ci est habitée par de nombreux policiers de New York, située non loin, dont un certain nombre est corrompu. Et notre shérif finit pas ne plus vouloir fermer les yeux sur la situation.
    Le scénario est intéressant, c'est correctement joué, sauf que le film souffre d'un gros problème : l'action ne se lance véritablement que dans la dernière demi heure. Mais, dans l'ensemble, l'ambiance et le suspens agissent suffisamment pour que ce Copland vaille un "pas mal".
    Ricco92
    Ricco92

    176 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 août 2021
    Certains acteurs possèdent une force dramatique impressionnante mais peuvent hélas faire oublier cela pour des raisons avant tout commerciales. L’exemple-type est Sylvester Stallone. En 1997, l’enchaînement de films d’action avait ainsi fait oublier à une majorité du public et surtout à la critique le talent d’acteur que le comédien avait prouvé au début de sa carrière (les premiers volets de Rocky et Rambo, F.I.S.T., La Taverne de l’enfer…) et avait réduit son image à celle d’un héros violent aux gros bras. C’est alors que James Mangold, qui n’avait à son actif que le film indépendant Heavy, le mit en tête d’affiche de Copland. Dans ce film, le bodybuildeur laisse la place à un comédien un peu bedonnant (il a grossi de 25 kilos pour le rôle) véritablement émouvant et charismatique. Avec son personnage de shérif sourd d’une oreille, démotivé et s’aveuglant face à la corruption qui gangrène sa ville (un vrai contre-emploi pour le comédien même si la thématique du loser se rachetant un honneur est une récurrente dans sa filmographie), Stallone domine le film et cela n’était pas une mince affaire car il doit faire face à de véritables pointures d’Hollywood : Harvey Keitel, Ray Liotta, Robert De Niro, Robert Patrick, Michael Rapaport, Frank Vincent… Il ne manquait plus qu’Al Pacino ! Ce casting exceptionnel est au service d’une intrigue policière (soulignant les problèmes de corruption au sein des forces de l’ordre) très prenante et allant à l’encontre des codes commerciaux de l’époque puisqu’elle ne cherche pas le spectaculaire et se base sur les relations entre les personnages et le jeu d’acteurs des comédiens. Copland est ainsi le film qui mit réellement sur le devant de la scène le talent d'un réalisateur livrant une mise en scène sobre mais diablement efficace et adaptée à son propos. Malgré son petit budget (tous les comédiens acceptèrent de revoir leurs tarifs à la baisse à commencer par Stallone qui ne toucha que le tarif syndical), Copland est donc un grand polar aux accents de westerns (malgré une référence au Bon, la brute et le truand dans la séquence d’ouverture, le film renvoie surtout aux westerns classiques à commencer par Le Train sifflera trois fois et Rio Bravo) où l’humain prime sur les fusillades. Il est juste dommage que le succès plus qu’honorable pour son budget ait été paradoxalement le début d’une traversée du désert de neuf ans pour Sylvester Stallone dont l’industrie ne savait plus s’il voulait se réorienter vers le registre dramatique ou s’il devait toujours être considéré comme une star du cinéma d’action.
    mazou31
    mazou31

    80 abonnés 1 264 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juin 2023
    Un très bon film, au style plus western que policier, sur un sujet qui reste d’actualité – la corruption d’une bonne partie de la police américaine – avec plein d’atouts intéressants. D’abord l’interprétation dans son ensemble, mais surtout celle de Sylvester Stallone à contre-emploi et qui prouve qu’il n’est pas toujours un bourrin, par ex. la série des *Rocky*. Ensuite pour le scénario, intelligemment monté, courageux sur le sujet, et pour la mise en scène, nerveuse et bien tournée. Seuls les rôles féminins sont un peu ternes, mais que voulez-vous, c’est un film de mecs, et c’est dommage car il y avait matière. Un film de qualité et qui n’a pas vieilli 25 ans après.
    Arthus27
    Arthus27

    74 abonnés 447 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 septembre 2023
    Copland est un thriller policier fascinant, qui parvient à aborder un grand nombre de problématiques autour de l'institution qu'est la Police. L'écriture et la mise en scène parviennent à installer une ambiguïté permanente dans le récit et pour l'ensemble des personnages. Silverster Stalone y signe une prestation impériale, loin des rôles bourrins dans lesquels il a souvent été cantonné. Toute la réflexion sur le maintien de l'ordre et sur la Police en tant qu'institution est fine et pertinente, et reste tout à fait d'actualité.
    brianpatrick
    brianpatrick

    70 abonnés 1 537 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 mai 2020
    Copland, c'est peut-être le meilleur film de Sylvester Stallone, lui qui a grandit dans le quartier de Hell's Kitchen. Là le film parle de policiers ripoux de New York qui habitent tous de l'autre côté du fleuve. C'est bien interprété, il y a une bonne panoplie de grands acteurs très crédibles; dont Harvey Keitel, Ray Liotta, Robert De Niro et Robert Patrick. Pis à Manhattan il y a encore les deux tours en place. Le paradoxe, le film est produit par Hervé Weinstein, et dans le film, il y a l'actrice Annabella Sciorra, le film est sorti en 1997 et elle a témoigné que lui-même la violé début nonante. Et les policiers ripoux autours n'ont rien vu.
    Charlotte28
    Charlotte28

    91 abonnés 1 736 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 octobre 2020
    La prestation fine et très juste de Stallone ne permet pas à ce film de se doter d'un scénario original, de péripéties solides ou de personnages passionnants. Une série B prévisible en somme!
    Vrakar
    Vrakar

    34 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 février 2020
    "Copland" met en avant un Stallone en perdition dans les 90's. En dépit d'un casting de rêve et d'un scénario alléchant, ce film n'arrive jamais à réellement se subjuguer. La réalisation est mollassonne. Ce qui sauve le film : si le rôle à contre-emploi de Sly laisse dubitatif dans un 1er temps, il devient vite l'attraction principale du film. Mais il faut vraiment attendre le dernier 1/4 d'heure pour avoir une petite dose d'action. Le dénouement est trop vite expédié. Le potentiel de ce "Copland" a été, en partie, mal exploité.
    Emmanuel Cockpit
    Emmanuel Cockpit

    38 abonnés 709 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2023
    Une communauté de flics ripoux porte un regard condescendant sur le shérif de la ville où ils résident tous, interprété par un Sylvester Stallone atypique, bedonnant, sourd d’une oreille et gentil avec tout le monde, à la limite de la niaiserie. On est loin des personnages musclés qu'il a l’habitude d’incarner et c’est une agréable surprise. Les règlements de compte et les bavures vont cependant le réveiller et il se retrouvera seul face au dilemme de l’intégrité ou de la complicité.
    Le film est surprenant et réussit car il ne se répand pas en courses poursuites ou tirs nourris mais appuie fort sur la psychologie des personnages servis par un excellent casting : Robert De Niro en inspecteur de la police des polices, Harvey Keitel en chef véreux, Ray Liotta en personnage ambigü.
    rocky6
    rocky6

    26 abonnés 1 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2022
    Un solide film policier. Sylvester Stallone qui a pris 20 kilos pour le rôle incarne un shérif à moitié sourd qui gère une petite ville qui abrite une grande communauté de policiers new yorkais. Certains d'entre eux ne sont pas irréprochables et trempent dans de sombres trafics. Face à Stallone on trouve une pléiade de très bons acteurs : Harvey Keitel, Ray Liotta, Robert Redford, Robert Patrick, .... Ce film est une sorte de western urbain très bien mis en scène par James Mangod. Stallone, dans un contre-emploi est criant de vérité.
    mister
    mister

    15 abonnés 202 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 août 2019
    Le film qui a cassé l'image et la carrière de Sylvester Stallone (un peu comme son personnage). J'ai vu ce film il y a 20 ans et je viens de la revoir aujourd'hui, et mon opinion sur Copland a beaucoup changé. Je trouve le film toujours aussi bon, mais, l'ouverture des frontière del'Europe et une invasion plus loin, j'adhère totalement au discours de Ray, concernant la nécessaire protection des policiers, le fait que les coupables sont devenus les "victimes", et ceux qui risquent leur peau chaque jour pour faire respecter la loi sont montré du doigt. Il y a 20 ans, il n'y avait pas de blacks dans mon quartier, aucun problème, et pour moi les flics qu'on présentait dans ce film étaient des ripoux et des racistes. Aujourd'hui la moitié de mon quartier sont des noires africains, et trois agressions (et une épaule démise) par des migrants noirs africains plus loin, je ressens profondément le discours de ces policiers et j'adhère totalement à leur point de vue. Ces flics risquent leur peau et la vie de leur famille tous les jours (à cause des représailles), et l'idée d'avoir créé une ville où ils sont protégés et peuvent mener une existence normale, sans la trouille au ventre, est géniale. A partir des années 50, l'immigration massive des noirs américains du Sud vers les villes de la côte est des Etats-Unis a fait explosé la violence et le nombre de crimes commis par armes à feux. Dans les années 70, New York était devenu un enfer à cause des gangs de trafficants de drogue composés en majorité d'afro-américains qui faisaient régner la terreur et la loi du plus fort. Les flics étaient la cible permanente de ces voyous qui se moquaient des lois et criait au racisme chaque fois que l'un deux se faisait piqué. Il y a une scéne dans le film comme cela où l'on voit un couple de noirs pris en excès de vitesse et qui injurient les flics en les traitant de racistes (c'est comme ici le mot immunité qui permet de commettre toutes les incivilités: si tu les dénonces, tu es un raciste te tu ne mérites pas de vivre). La situation qu'à connu les états-unis, on la connait ici maintenant, et on est capable de comprendre ce que ressentent ces flics. Malgré tout, Stallone veut faire respecter la loi et il est dans son rôle. Le discours de Ray est lui pragmatique. Dur de les départager. D'ailleurs Stallone essaie de composer au mieux jusqu'au moment où il juge que Ray est allé trop loin (et il n'a pas tort). Mais il va en payer les conséquences, pour son personnage, et pour lui-même car il va un peu détruire sa carrière en prenant position contre ce qui constituait son principal public : les gars qui adorait voir Stallone dégommer du viet.
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    75 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 décembre 2013
    Copland. Titre de série B, me diriez-vous ! Surtout avec un tel concept : une ville, Garrison, dans le New Jersey, où n’habite que des flics (avec leur famille). Avec leurs propres règles et un shérif pour faire régner la loi. Mais franchement, de quelle genre d’autorité a besoin une ville de policiers ? À part régler des problèmes domestiques (mésententes avec le voisinage, voiture mal garée, excès de vitesse…). Sans compter que chaque habitant se connait, formant ainsi une grande famille et se serrant les coudes dans n’importe quelle situation. Un cadre bien tranquille. Même trop pour que l’on puisse en tirer quoi que ce soit ! Jusqu’à ce qu’arrive (et dès le début du film) l’élément qui va mettre le feu aux poudres.

    Il s’agit d’un policier de renommée, annoncé comme mort (comme quoi il aurait sauté d’un pont) auprès du grand public après avoir provoqué un accident mortel sur la route. Avec des preuves le désignant comme coupable (alors que ce n’est pas le cas). Mais il est bel et bien vivant ! Ce sont ses camarades qui ont décidé de le cacher (pour ne pas que son image soit affectée par le drame) à Garrison, pour qu’il puisse y prendre une retraite anticipée. Et encore, il ne s’agit pas de la trame principale !

    En effet, Copland préfère s’intéresser au shérif de Garrison, dont la vie va basculer avec cet élément déclencheur. Et pour cause, il s’agit d’un homme qui désire être policier mais qui ne peut atteindre ce titre à cause d’une déficience auditive (il est devenu dur d’une oreille en voulant sauver quelqu’un de la noyade, coincée dans une voiture). Du coup, il se retrouve shérif, représentant de la loi à la vie un peu trop tranquille et qui va découvrir (via l’élément déclencheur) que les gens qu’ils pensaient bien connaître ne sont pas aussi cleans qu’ils prétendent être.

    Car si les personnages de Copland sont (quasiment) tous de la police, le film se rapproche bien plus d’un film de mafieux qu’autre chose. Ou quelques uns d’entre eux se croient tout simplement au-dessus de la loi pour laver leur linge. Se permettant quelques combines pour continuer à avoir une vie paisible à Garrison, même si cela conduit à la mort de certains d’entre eux (un sort qui est notamment réservé au policier caché par ses camarades). Du coup, nous n’avons nullement l’impression d’être en présence de policiers mais bien à des gangsters qui règlent leurs comptes, parfois de la manière la plus abjecte qui soit (laisser tomber quelqu’un du haut d’un immeuble pour ne pas que cette personne parle, par exemple).

    Ainsi se présente Copland, où le concept ne réside pas seulement en la structure de son scénario. Mais surtout en la personne de Sylvester Stallone, acteur principal. Car sa présence et le style de Copland ont de quoi surprendre ! Le film n’étant pas un film d’action pure et dure à la Rambo, mais plus un polar. Où l’acteur n’use à aucun moment de ses poings ou de son côté bourrin. Nous avons là la place un Stallone qui fait tout pour casser son image machine de guerre : boudiné comme jamais (le comédien ayant pris vingt kilos pour le tournage), fragile (il hurle à la moindre douleur, se pavane une bonne partie du film avec un pansement au pif), se laissant constamment marcher sur les pieds (se présentant comme la bonne poire de l’histoire). Rendant son personnage attachant au possible. Un constat que l’on n’était pas prêt d’attendre de sa part, étant donné que ses rôles n’ont jamais fait dans la dentelle (à part Rocky Balboa peut-être, et encore !).

    Même si Stallone surprend, il faut avouer qu’il ne fait pas le poids aux autres grands noms du genre qui participent au projet. D’immenses acteurs qui n’ont plus rien à prouver ! Il s’agit ni plus ni moins d’Harvey Keitel (Mean Streets, Taxi Driver, Reservoir Dogs, Bad Lieutenant, Pulp Fiction), de Ray Liotta (Les Affranchis) et Robert De Niro (dont la filmographie n’est plus à présenter). Sans compter les nombreux seconds rôles, tout aussi charismatiques que les principaux (Robert Patrick, Peter Berg, Michael Rapaport, Annabella Sciorra, Noah Emmerich…).

    Mais bon, malgré un concept sympathique et un acteur dans un rôle inhabituel, Copland ne casse pas vraiment trois pattes à un canard. La mise en scène de James Mangold n’ayant rien de bien original (et cela se remarque pour chacun de ses films), préférant juste filmer les comédiens, avec une petite musique en fond pour l’ambiance. De plus, la fin de Copland en frustrera plus d’un, le film se terminant de manière brutale : tout est bien qui finit bien, point ! Les méchants sont morts, le shérif continue d’officier, il retrouve l’audition (une séquence du film le rend entièrement sourd). Tout en oubliant mettre fin aux trames secondaires (que devient le jeune flic porté pour mort après ces événements ? Stallone va-t-il se mettre avec la fille dont il est amoureux depuis le début ?). Des questions sans réponses qui auraient sans doute fait cliché, mais qui, au moins, n’auraient pas donné des airs d’inachevés au film.

    Copland reste tout de même un polar hautement mené et superbement interprété, qui lança la carrière de James Mangold (Identity, Walk the Line, le remake 3h10 pour Yuma, Night and Day, Wolverine : le Combat de l’Imortel). Et qui présenta Stallone sous un autre jour, lui permettant à l’époque de remonter la pente niveau carrière (l’acteur ayant enchainé les échecs commerciaux et critiques). Un rôle dans lequel, reconnaissons-le, nous ne sommes pas prêt de le revoir !
    Michael R
    Michael R

    85 abonnés 1 169 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2023
    J'étais passé à côté à l'époque car j'aimais Stallone dans l'action, aussi cette séance de rattrapage est bienvenue car ce polar brille par son casting exceptionnel (DeNiro, Keitel, Liotta et un Stallone tout bonnement génial, à contre emploi), son pitch (une déclinaison du film de mafia au sein d'une ville de flics), et la réalisation soignée de James Mangold.
    keating
    keating

    49 abonnés 582 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 novembre 2014
    James Mangold a une filmographie sans doute inégale, mais pas inintéressante ; sans rien révolutionner, il propose souvent des films efficaces qui dépassent le simple produit formaté. "Copland" est sans doute celui d'entre eux à la meilleure réputation. Pays des flics, violence urbaine en paysage américain, maffieux, présence de Robert De Niro, Harvey Keitel, Ray Liotta : oui, on est bien sous influence Scorsésienne. Et s''il est clair que Mangold reste sous l'ombre de son maitre, il parvient cependant à proposer un film propre à lui. C'est surtout grâce à son premier rôle, avec un acteur pas vraiment scorsésien pour le coup : Stallone! Rocky vient jouer sur le terrain de Jake La Motta! Et Sly trouve sans doute ici l'un de ses meilleurs rôles, en shérif plutôt introverti. La mise en scène est donc plus ou moins efficace, distillant une atmosphère prenante sans grands effets, réussissant les quelques moments d'action (surtout le final). On se croirait parfois dans un western. Cependant, j'ai parfois l'impression que Mangold se repose sur ses personnages biens écrits et ses acteurs inspirés, jusqu'à en oublier sa caméra. Les thématiques passent un peu trop par les mots, et pas assez par l'image. A part ça, on est face à du bon produit hollywoodien, un polar sauce western sous bonnes influences, même si pas totalement digérées.
    yayo
    yayo

    55 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juillet 2013
    Un film où l'on a un Stallone à contre emploi dans un rôle en retenue. Le casting est vraiment pas mal. Je comprends que l'histoire assez conventionnelle est sans une débauche d'action en a refroidi plus d'un, mais pour moi ce film est un très bon policier.
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