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Orno13
5 abonnés
442 critiques
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4,5
Publiée le 23 août 2023
Un très bon film d epouvante adapté d une nouvelle de joe hill,le scénario et son rythme font beaucoup pense à un roman de stephen king, une atmosphère glauque,poisseux,noir grâce à une mise en scène reussi du très bon scott derrickson dont j avais très apprécié son film précédent sinister qui est dans le même genre. Bref un film a découvrir pour frissonner. L histoire d un jeune homme qui s est fait kidnapper par un tueur en séries d enfant mais des forces surnaturelles va tenter de l aider à affronter ce monstre
Un scénario qui tient sur un post-it, le méchant kidnappeur étant le "croque-mitaine" à abattre pour gagner confiance en soi. En revanche, reconstitution très soignée des années 70.
Ethan Hawke est impressionnant en Attrapeur dans ce slasher de Scott Derrickson avec qui il avait déjà tourné Sinister en 2012. Même méconnaissable car masqué. Il sait fort bien jouer de son physique pour foutre la trouille d'autant qu'il s'en prend à des gosses et qu'il aura forcément l'avantage face à eux. Encore que je ne sais pas de quoi il faut avoir le plus peur. De lui ou de la société américaine des années 70 gangrénée par la violence : violence d'un père qui bat ses enfants à coups de ceinturon, harcèlement à l'école (eh oui, ça ne date pas d'aujourd'hui), baston dans une épicerie pour un record loupée au flipper. La violence est partout. Et il ne suffit d'un rien pour que ça s'embrase. Derrickson disait avoir vraiment vécu ça dans son enfance et en avoir souffert. Ça fait de Black Phone un film d'horreur plus personnel qu'il n'y paraît.
Quelques années après son excellent « Sinister », le réalisateur Scott Derrickson revient sur le devant de la scène « fantastique », avec un délicieux petit chef-d’œuvre. Il nous confronte cette fois à un tueur en série, qui enlève des enfants dans une petite ville du fin fond des États-Unis. La dernière victime en date se retrouve donc enfermée, seule et terrifiée, dans le sous-sol de son kidnappeur. De manière inattendue, alors qu'il cherche désespérément un moyen de fuir, un antique et mystérieux téléphone se met à sonner. A partir de là, l'ambiance devient de plus en plus lourde... de plus en plus angoissante... au fur et à mesure que les appels se multiplient. Comme à son habitude, le cinéaste préfère installer un climat d'angoisse plutôt que d'inonder son scénario de scènes sanguinolentes. On y gagne indiscutablement en profondeur, ce qui n'enlève rien aux délicieux frissons tant attendus par les amateurs du genre. Il faut également saluer une reconstitution impeccable des années 1970 et une gestion inattaquable des jeunes acteurs. A ce titre, la relation fusionnelle « frère-soeur » des deux personnages principaux fonctionne à merveille et apporte beaucoup à cette œuvre hyper tendue et pourtant attachante. Une pure réussite !
Un scénario mal ficelé, des dialogues qui ne font de sens, des acteurs qui paraissent mal, un mélange grotesque de réel et de fantastique… Bref, on s'ennuie à mourir. J'ai de la misère à m'expliquer les superbes revues que ce film a obtenu.
À aucun moment le tension n'est soutenue. Un film ennuyant, parfois même drôle tellement ça ne fait de sens, saupoudrée d'une pincée homéopathique d'horreur.
Au final, quoique l'idée est bonne, tout est mal rendu, tout.
Une bonne surprise ce thriller horrifique où l'ambiance prime sur les jump scares. Une histoire simple, de bons comédiens, un zest de surnaturel et une mise en scène efficace suffisent à tenir en haleine jusqu'au bout. C'est finalement le psychopathe qui est le plus en retrait dans le métrage, ce qui annihile parfois toute tension, l'inverse d'un Split par exemple. En tout cas on passe un bon moment et c'est bien plaisant de voir des personnages avec un peu de jugeote, aussi jeunes soient-ils. À voir.
Black Phone. Renversant. Ce film m’a tenue en haleine du début à la fin, spéciale mention et dédicace pour flynn because he’s the moment, acting au top du top, j’vous vois une carrière de prévu vous tiens! Le téléphone sonne, oserez vous répondre ? Excellent movie comme dirait les américains et attention a la story du scary black phone
Scott Derrickson et Joe Hill : une telle association ne pouvait que faire envie…et ‘Black phone’ a le mérite d’offrir une véritable proposition d’épouvante qui n’ait rien à voir avec l’épouvante industrielle et franchisée qui plombe le Genre hollywoodien depuis pas mal d’années. Il faut se souvenir que ‘Sinister’, du même Derrickson, avant de s’égarer dans une séquelle dispensable, fut l’un des projets américains et “commerciaux” les plus convaincants des années 2010. Avec ‘Black phone’, on plonge dans des années 70 bien moins attrayantes que celles du ‘70’Show’, dans le quotidien banlieusard d’un pré-ado qui va se retrouver séquestré par un désaxé portant un masque de Joker complet ou partiel selon les circonstances…et qui va trouver la force de lui résister au moyen d’un téléphone cassé fixé au mur de sa cellule, lequel lui permettra d’obtenir une aide inattendue. L’origine littéraire de ‘Black phone’ est évidente, tant l’adaptation prend soin de dépeindre le plus exactement possible la vie pas toujours rose de Finney, coincé entre des harceleurs scolaires et un père alcoolique et imprévisible. Le film bénéficie d’une qualité d’écriture inhabituelle pour un film de genre, même s’il reste peut-être trop “ado” dans son approche et son ciblage : j’aurais adoré le lire mais à l’écran, il ne m’a pas fait franchement flipper, même si la mise en oeuvre de chaque étape de ce plan d’évasion m’a davantage intéressé que la moyenne. On ne peut pas tout avoir.
étant donné l'habillage de la chose et des images aguichantes, j'étais assez impatient de voir ce film. d'autant que derrickson a une filmo qui a de l'allure, sans être parfaite : sinister, doctor strange premier du nom. Constat simple à propos de Black phone : plus le film avance, mois c'est bon. au début j'ai vraiment cru à la très bonne surprise. de jeunes comédiens qui jouent bien et que t'as pas envie de claquer, des apparitions de l'attrapeur mystérieuses et prometteuses, une mise en scène très soignée, et puis... on finit par aller de déception en déception. L'intrigue d'ensemble... ? elle est en fait assez inexistante, si on excepte l'essentiel : va t il s 'en tirer ou non ? Pour le reste, c'est très vide. la plus grosse déception revenant au personnage incarné par ethan hawke : d'où vient-il ? pourquoi fait-il ça ? de lui, on ne sait strictement rien et on n'en sait pas plus une fois le film terminé. dommage car - encore une fois - le teasing et les affiches faisaient envie : notamment qd il porte cette paire de lunettes flippante. mais tout cela est complètement sous exploité...
Je ne suis pas fan des films flippants et les longs métrages d'horreur américains m'horripilent plus qu'autre chose. Un je-ne-sais-quoi dans la bande annonce m'avait donné envie de le regarder. Au final un bon moment. Pas de musique derrière pour les effets de flippe, juste un scénario qui n'a,certes, rien d'extraordinaire mais qui tient la route. C'est une ambiance (fin 70's) et le jeu de l'acteur qui joue Finney est impeccable. Des personnages attachants, des rapports complexes. Certains ne comprendront pas comment des flics peuvent croire une fillette; d'autres reprocheront que l'on ne sache pas comment le tueur en est arrivé là; qu'importe. Ce film possède une atmosphère et rempli tout de même ses fonctions de film "à frissons".
Un film d'horreur qui n'en est pas vraiment un, c'est franchement intéressant. Pas de gros boum d'un coup ou de screamer, tout ce joue sur la tension et c'est réussi. La tension entre la part de réel et de paranormal, la tension entre la possibilité de réussir ou non, la tension de la place serré etc... . La diversité des dangers aussi est bien faites. Le père, celui qui enlève le téléphone etc... . Parfois même les rôles changent en cours de route. J'ai trouvé aussi très convaincant, l'idée du téléphone pour communiquer, ça ajoute un vrai plus au niveau émotionnel. Je dois admettre que oui, il y'a peut être un côté répétitif sur les tableaux qui se répètent (appel-recherche de solution et enfin échec). Ce qui rendra ces différents moments variés, c'est la relation qu'il aura avec chacun des personnages. Bref, ce film mi-fantastique mi-réaliste vos donnera la chaire de poule.
« Un homme ne laisse jamais un ami derrière lui. »
En 1978, un ravisseur d'enfants surnommé "The Grabber" (Ethan Hawke) terrorise une banlieue de Denver, dans le Colorado. Plusieurs jeunes adolescents du quartier disparaissent et l'enquête policière pour les retrouver cale. Jusqu'au jour où spoiler: le protagoniste principal du film, Finney (Mason Thames) est kidnappé à son tour .
Gwen (Madeleine McGraw), la sœur de Finney, qui a des spoiler: rêves et des visions prémonitoires, aidera à débloquer le travail des détectives. Il en sera de même avec les esprits des victimes de "The Grabber", qui communiquent avec Finney via le "Black Phone" .
Le film est inspiré de la nouvelle éponyme, basée sur des faits réels, écrite par Joe Hill, le fils de Stephen King. Et donne l'opportunité à tous les jeunes acteurs, dans les rôles principaux et secondaires, de montrer toute l'étendue de leurs talents d'acteur et d’actrice.