Mon compte
    Hope and Glory (La Guerre a sept ans)
    Note moyenne
    3,6
    318 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Hope and Glory (La Guerre a sept ans) ?

    44 critiques spectateurs

    5
    7 critiques
    4
    16 critiques
    3
    12 critiques
    2
    7 critiques
    1
    1 critique
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    fabrice d.
    fabrice d.

    22 abonnés 1 387 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 mars 2019
    C'est plutôt ennuyeux comme film, et j'ai été déçu car je m'attendais à mieux.
    Je ne recommande pas.
    Pourtant le sujet est intéressant: un regard sur la guerre par les enfants et les personnes, notamment les femmes, qui restent à la maison.
    Redzing
    Redzing

    927 abonnés 4 299 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mai 2018
    John Boorman s'inspire de son enfance pour raconter comment un jeune garçon a perçu la vie à Londres durant la Seconde Guerre Mondiale. Départ douloureux du père, bombardements qui peuvent devenir des feux d'artifices, inconscience du danger de récupérer diverses munitions et bombes : la vision de cette période difficile par un enfant est un sujet original. Les personnages sont attachants, et le quotidien de la famille concernée est décrit avec émotion et justesse. En particulier, le personnage ronchon incarné par Ian Bannen, bien qu'arrivant tardivement dans le récit, est très amusant. C'est d'ailleurs l'un des points forts du film : injecter çà et là de l'humour approprié dans un thème difficile. Un joli drame.
    Aimerico
    Aimerico

    17 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 novembre 2017
    Magnifique. Parfait. Drôle, tendre, émouvant. Boorman est un génie qui sait tout faire au cinéma. J’adore la scène où le grand mère porte son toast annuel en l’honneur de toutes ses conquêtes
    Cyril J.
    Cyril J.

    23 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 janvier 2017
    Quand éclate la Deuxième Guerre, les seuls qui restent à Londres sont les anciens, les femmes, les enfants, les mutilés de guerre et ceux qui le souhaitent ayant servi durant la Grande Guerre. Pour changer, c’est par eux, et en particulier un garçonnet resté avec sa mère et ses sœurs en banlieue, que le film tente de nous faire vivre le conflit. Enfants livrés à eux-mêmes dans des faubourgs dévastés par les bombardements, familles désemparées, famines, frasques amoureuses et ronchonneries des grands-parents…
    Le film commence par une vision intéressante et différente, mais il s’écroule vite dans les salades mièvres au lieu de développer un sujet original. Bonjour la succession de petites anecdotes puériles cul-cul-la-praline, de soucis ménagers et sentimentaux à la guimauve et autres criailleries bienséantes. Ca commençait si bien, avant de nous condamner à cette trop longue ambiance bisous crispants infligée par des acteurs non moins lourdingues. Mais que faisait Jean-Marc Barr dans cette galère ? Il avait sans doute besoin d’argent en 87…
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 janvier 2016
    John Boorman s'inspire de sa propre enfance en 1940, pour faire la peinture d'un quartier londonien frappé par les bombardements allemands, où la présence quotidienne de la mort provoque un appétit de vivre immodéré. Le groupe d'enfants qui va jouer dans les ruines des maisons détruites voit des couples faire l'amour tandis que les liens familiaux et les rapports de voisinage se resserrent dans une ambiance de cahot. L'instinct de survie se décuple, provoque même de l'exaltation et une urgence de vivre pleinement. Un film choral peuplé de rires et de baisés, de musique et de passion, un défi à la mort qui menace de frapper n'importe où à tout moment. Les personnages font de la résistance en refusant la peur dans ce film coloré et solaire qui s'achève dans une partie de campagne savoureuse. Il est rare qu'un film de guerre communique autant l'amour de la vie. On en ressort sourire aux lèvres. Incontournable.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    923 abonnés 4 840 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 novembre 2015
    Le quotidien d'un enfant pendant la grande guerre. Assez enfantin et peu émouvant. Une sorte de grande récréation sans fin où les enfants sont livrés à eux-mêmes au milieu des adultes occupés et soucieux. Un peu ennuyeux
     Kurosawa
    Kurosawa

    517 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 novembre 2015
    Fiction autobiographique, "Hope and Glory" raconte la seconde guerre mondiale en Angleterre à travers les yeux d'un enfant. Il en résulte un film particulièrement émouvant, qui ne néglige pas les moments douloureux mais qui insiste sur une certaine idée de bonheur, brassant toute une série de souvenirs certes parfois anodins mais toujours montrés avec une grande tendresse. Qu'il s'agisse de Bill qui détruit avec ses amis des maisons déjà ravagées, les rencontres nocturnes interdites entre sa sœur et le séduisant Bruce Carrey (Jean-Marc Barr exceptionnel) ou bien encore les après-midis près de la rivière avec les grands-parents, on sent à chaque instant un désir brûlant qu'à Boorman à filmer ces instants de vérité et quelque chose de bouleversant à le voir se remémorer des épisodes qui l'ont peut-être construit en tant qu'homme et qui auront à coup sûr nourri son envie de faire du cinéma. Quoi de plus beau de voir un cinéaste prendre sa caméra et révéler dans une période terrible des moments d'une grande intimité. Malgré un début poussif, le film prend son envol avec une élégance certaine et ne cesse de monter en puissance, et de gagner ainsi l'empathie du spectateur. Magnifique !
    cylon86
    cylon86

    2 261 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 décembre 2014
    Insufflant une bonne part d'autobiographie dans ce film, John Boorman nous livre sa vision de la seconde guerre mondiale vue à travers les yeux d'un enfant anglais de sept ans. Malgré le contexte de la guerre, il en résulte un film léger rempli d'humour et de scènes irrésistibles (notamment celles avec le grand-père). Se concentrant sur ceux qui ne partent pas au front, le film se concentre donc sur les femmes et les enfants, ceux-ci transformant des ruines en véritable terrain de jeu. Insouciants, loin de se douter de tout ce qui se trame, les gamins se retrouvent dans une période bénie pour eux. On leur accorde plus de libertés, tout est prétexte pour s'amuser et ils peuvent retrouver leur école bombardée le jour de la rentrée. Pas seulement centrée sur le personnage de Bill Rohan, le film dessine d'autres intrigues mettant en scène sa sœur qui a une relation avec un soldat canadien et sa mère (superbe Sarah Miles) qui n'a pas épousé l'homme qu'elle aimait. Se présentant plus comme une succession de scènes ayant la guerre comme contexte qu'un film très bien ficelé, "Hope and Glory" n'en est pas moins plaisant et témoigne d'un point de vue nouveau sur une période bien connue. Boorman, se plongeant de nouveau dans l'innocence de son enfance, nous offre un film aussi touchant qu'excellent.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    519 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2014
    Surprenant de la part de Boorman, je ne le savais pas capable d'autant de tendresse et d'indulgence pour l'enfance et même pour l'adolescence. Il nous livre ses mémoires à la manière de notre Rousseau sur le plan de l'honnêteté mais sa vision du monde est plus optimiste. Il a failli réussir un chef d'oeuvre s'il avait su donner à son héros quelque chose de difficilement définissable mais que Stephen Daldry avait su communiquer à Billy Elliot par exemple. Ici Bill est trop effacé et les spectateurs n'ont pas le temps de s'attacher à lui. C'est d'ailleurs tout à l'honneur de Boorman d'avoir joué à ce point l'humilité mais c'est frustrant pour nous. Cette grosse réserve mise à part, Hope and glory est un film délicieux, il fourmille de détails amusants comme le ramassage des shrapnells, le coup du googly au cricket ou les prénoms des filles du grand-père censés représenter les qualités qui lui manquent: Charity, Hope, Grace, Faith. Ce personnage du grand-père est une sacré trouvaille tant il est à la fois grognon, désagréable, gentil, égoïste et attendrissant; il faut le voir accueillie ses 4 filles ou discourir seul lors des fêtes annuelles. Ses insultes à Volt, Watt et Ampère ne manquent pas d'originalité. Un beau film qui ressemble à un beau roman typiquement britannique.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    70 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2014
    Qu’est-ce que la guerre à l’âge de sept ans, quand on ne connaît que les jeux mais que la curiosité pousse à tout découvrir ? Bombardements et incendies invitent les enfants à agrandir leur terrain de jeux, à compléter l’œuvre de destruction des Allemands en pillant, cassant ou se battant. La venue de soldats en ville devient prétexte au badinage amoureux, une pluie de bombes se transforme en feu d’artifice sous lequel danser, se protéger sous un abri est amusant, l’incendie d’une école est une fête, un parachutiste étranger devient une figure mythique prenant corps de façon soudaine et inattendue. Enfant, ce qui est inhabituel pour les adultes est facilement assimilable : le monde est en guerre, et alors ? Rien ne pourra entamer les activités ludiques. John Boorman filme ces instants de grâce avec humour et sens du partage. Ce sont ses souvenirs qui nous sont présentés, mais ils peuvent parler à tous : la candeur infantile est universelle – il faut voir avec quel détachement inconscient les enfants propagent la nouvelle de la mort de la mère d’une camarade sous les yeux de celle-ci – et on peut évidemment se reconnaître dans la découverte de la sexualité, entre crainte et curiosité, et les moments d’euphorie familiale. Le film est certes un peu long et parfois même idiot, mais il exerce la fascination des œuvres qui propagent une vérité oubliée, celle qui était familière durant l’enfance mais qui n’est plus que souvenir incertain à l’âge adulte.
    Hotinhere
    Hotinhere

    422 abonnés 4 749 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 février 2014
    En 1939, alors que l’Angleterre entre en guerre et son père est mobilisé, Billy se retrouve entouré de femmes. John Boorman signe un film tendre et nostalgique, inspiré de sa propre enfance.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 décembre 2013
    Un très joli film, efficacement raconté et parfaitement interprété par les acteurs (petits ou adultes). Un beau moment.
    Samuel S.
    Samuel S.

    11 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 septembre 2013
    Un très joli film, efficacement raconté et parfaitement interprété par les acteurs (petits ou adultes). Un beau moment.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 020 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 août 2013
    Avec "Hope and Glory", John Boorman fait remonter ses souvenirs d'enfance à la surface dans une seconde guerre mondiale qui sonne le glas de tout un passè mais qui ressemble ici à de grandes vacances! Ce n'est pas la guerre que font les adultes qui peut empêcher les enfants de jouer! A Londres, Boorman se souvient et avait envie de faire un film à moitiè documentaire, à moitiè romancè, sur l'histoire de sa famille! Pour le cinèaste, à cette èpoque, l'alerte, c'est un peu la fin des cours (dans son èpilogue, un gosse remercie même Hitler d'avoir bombardè son ècole). C'ètait le temps aussi où les hommes ètaient partis au front et où les femmes avaient pris la relève! Largement autobiographique, "Hope and Glory" est une rèussite, l'oeuvre la plus personnelle du rèalisateur, exemple inègale de la possible fluiditè du cinèma d'auteur où l'on se laisse emporter par cette chronique riche de jolies idèes et de belles images parfois surrèelles (le souffle de l'explosion dans la maison, le zeppelin) et traversè d'une sincèritè et d'une nostalgie passèe! Les acteurs sont tous remarquables: de Sarah Miles qui enflamme les passions à David Hayman en anti-hèros solennel en passant par la prestation inoubliable du jeune Sebastian Rice-Edwards que l'on suit à travers les yeux de John Boorman! On y voit même Jean-Marc Barr à ses dèbuts et Charley Boorman (le fils du rèalisateur) en parachutiste allemand! Et puis il y a aussi dans "Hope and Glory" cette manière dont les enfants affrontent la mort, comme avec distance! Comme s'ils en avaient une peur physique mais pas mètaphysique! ils n'hèsitent pas à jouer avec la mort, à tripoter les balles! Constructeur de paraboles sur les rapports de l'homme avec la nature et ses semblables, Boorman a envie de souffler un peu en 1987! Son film est souvent tendre et malicieux sans que jamais le spectateur ne perde le fil d'un jeu de pistes dans les dècombres qui aurait pu progresser dans la barbarie la plus totale! Ce qui n'est pas le cas ici! Au contraire, la guerre « selon Boorman » prend des allures de rècrèation où l'on peut presque y voir un message d'espoir et de paix...
    this is my movies
    this is my movies

    621 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 avril 2016
    Magnifique évocation d'un événement on ne peut plus tragique de l'histoire anglaise mais magnifiée par le savoir-faire de J. Boorman, dont le film raconte partiellement cette période de son enfance, une interprétation magnifique et un scénario juste, qui ménage bien ses plages dramatiques et d'autres plus poétiques, simples et sans pathos. Le regard porté sur cet événement m'a semblé plus juste et mieux maîtrisé que dans "L'empire du soleil", pourtant signé du maître du genre, à savoir S. Spielberg. L'anglais Boorman, sans doute parce que touché personnellement par cette histoire, en tire un meilleur résultat, formidable ode à la vie la plus simple, parcourue de moments de grâce. Un vrai beau film. D'autres critiques sur
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top