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    À l'intérieur
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    FaRem
    FaRem

    7 466 abonnés 8 845 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 avril 2023
    Une prison dorée... Alors qu'il cambriole un luxueux appartement new-yorkais, Nemo se retrouve bloqué à l'intérieur au moment de sortir. C'est un véritable piège qui se referme sur lui, ce qui donne lieu sur le papier à un étonnant survival en huis clos dans un penthouse... Cependant, tout le confort du monde est inutile si l'on n'est pas en mesure de satisfaire nos besoins vitaux. L'eau est coupée, il n'y a quasiment pas de provision et le système d'air conditionné fait des siennes, ce qui place ce voleur dans des conditions parfois extrêmes. Nemo doit donc faire preuve de créativité avec ce qui l'entoure et il y parvient, mais le concept du film s'essouffle assez vite. Les jours passent, peut-être les semaines, on perd la notion du temps autant que cet homme perd la tête. Si la performance de Willem Dafoe est solide, on fait finalement rapidement le tour de ce que Vasilis Katsoupis a à proposer, et ce même si on donne un autre sens à cette histoire que celle d'un simple survival.
    toinou
    toinou

    39 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 avril 2023
    Pendant 1h40, un homme est bloqué a l'intérieur d'une maison luxueuse durant plusieurs jours avec très peu d'eau, c'est donc un concept assez incroyable avec Willem Dafoe qui porte tout le film est qui est toujours aussi bon, mais ce sera pour lui un rôle oubliable. Le problème de ce genre de film avec ce concept, et du huit clos en général, c'est que ça peut très vite tourner en rond et être ennuyant, ce qui est le cas ici je trouve. Une bonne réalisation avec de longs beaux plans, pas vraiment de mise en scène mais plutôt bien éclairé. Une BO plutôt bonne, qui augmente le stress.
    Mumuse777
    Mumuse777

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 novembre 2023
    ce film est Génial, aussi bien l'idée que la réalisation, et aussi le jeu d'acteur, un petit bijou dans le genre
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 225 abonnés 7 246 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 novembre 2023
    Un cambrioleur chevronné se retrouve piégé dans un penthouse new-yorkais alors qu’il s’apprêtait à dérober plusieurs oeuvres d’art. Livré à lui-même et sans échappatoire, il va devoir faire preuve de ténacité pour pouvoir s’en sortir…

    Passer près de 120 minutes à voir Willem Dafoe déambuler tout seul dans un luxueux appartement, pris au piège au sommet d’un building avec vue sur la skyline de New York, tel un oiseau en cage… Pour être honnête, il faut être courageux, car non seulement le film est rébarbatif, mais en plus de cela, il a de sérieux problèmes de longueur et de rythme, si bien qu’il aurait gagné à être resserré, quitte à nous épargner une bonne grosse demi-heure.

    Le high concept de la domotique qui se retourne contre son occupant, ça va 5min, mais à force, c’est redondant spoiler: (le système de sécurité qui déconne avec la clim réversible qui passe du chaud ou froid et le frigidaire qui nous balance sa "Macarena" de Los Del Rio).
    Cette prison dorée qui contraint son hôte à devoir spoiler: se sustenter de nourriture pour chiens ou des poissons de l’aquarium et de devoir ch!er dans la baignoire (merci pour le plan purement gratuit),
    non seulement c’est prévisible, mais pire, on n’en n’attend jamais rien et on ne s’attend même pas à le voir s’en sortir vivant.

    Alors certes, Willem Dafoe fait le job, mais Willem Dafoe face à lui-même, ses métaphores sur l’art et ses remises en questions philosophiques (pseudos branlettes intellectuelles), on finit rapidement par s’ennuyer et tourner en rond comme Nemo dans sa prison dorée.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 181 abonnés 3 988 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 novembre 2023
    Le premier film de Vasilis Katsoupis est un huis clos qui enferme Willem Dafoe dans un appartement luxueux au sommet dans gratte-ciel new-yorkais. "A l'intérieur" suit en cambrioleur qui se retrouve piégé par un système de sécurité qui bloque toutes les sorties. Pendant des semaines, le personnage devra se débrouiller pour survivre. Sous ses apparences sophistiquées, la mise en scène est en fait brute de décoffrage. Suivant ses instincts primaires, Willem Dafoe explore la nature humaine. Si sa prestation est remarquable, le scénario manque d'ambition et ne raconte finalement pas grand-chose.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    142 abonnés 899 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 octobre 2023
    Inside, c'est le presque septuagénaire Willem Dafoe qui doit survivre dans un appart d'un millionnaire amateur d'art après avoir essayer de lui cambrioler ces tableaux. Et puis c'est tout. Même si l'idée était bonne, on s'endort devant ce vide scénaristique et un trop grand soin porté aux plans estéthiques. Une revisite de Robinson Crusoe sans réel intérêt.
    David MA
    David MA

    18 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 avril 2023
    Terriblement déçu, pitch prometteur mais au bout d'un moment j'ai du faire avance rapide tellement c'était nul et il ne se passait rien.. Et la fin.. sans commentaire. Si vous avez 1h30 de votre précieuse vie à perdre n'hésitez pas :)
    traversay1
    traversay1

    3 126 abonnés 4 630 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 juin 2023
    Un appartement de luxe à New York et un cambrioleur pris au piège, condamné à survivre dans cet espace clos, sans possibilité de s'en extraire. Le suspense n'est qu'un aspect mineur du premier long-métrage de Vasilis Katsoupis qui perpétue l'appétence des cinéastes grecs pour le bizarre (Canine, Apples, Attenberg, Her Job, etc.) et si Inside a l'apparence d'un film de survie, il évolue progressivement vers quelque chose d'autre, de plus ambitieux. On passera outre au peu de crédibilité de la situation (un appartement "intelligent" est évidemment surveillé à distance par son propriétaire, surtout quand il regorge de tableaux de prix) pour éventuellement se laisser fasciner par le véritable thème du film qui est peu ou prou celui de l'art contre la technologie. Et celui de la création, qui passe par la destruction (c'est un point de vue) et confine à une forme de folie. De beaux concepts mais qui ont du mal à passionner dans le contexte enfermé de Inside. Si l'ennui ne gagne pas la partie, c'est un peu grâce à La Macarena (sic), et surtout à Willem Dafoe lequel, en dépit de ses 67 ans, est parfaitement convaincant dans des conditions extrêmes. Quant au dénouement du film, on s'en fiche un peu et on peut à la place imaginer la tête effaré du propriétaire de l'appartement, qui s'aperçoit qu'en son absence, un intrus a fait comme chez lui.
    Jorik V
    Jorik V

    1 203 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mars 2023
    La proposition du cinéaste grec Vasilis Katsoupis été pour le moins intrigante. Lui qui réalise là son premier film et sort de nulle part, il nous invite à un huis-clos (à priori) malin où il enferme un cambrioleur d’art dans un gigantesque penthouse new-yorkais où il était venu dérober des tableaux. Alors qu’on pensait que le but principal de « Inside » serait de voir comment le voleur allait pouvoir s’échapper de cette prison high-tech, le script nous emmène tout autre part et davantage pour le pire que le meilleur. Ici l’aspect thriller est très peu présent, il y a peu de tension et ce n’est d’ailleurs pas véritablement le but recherché. En revanche, on a plutôt droit à une sorte de réflexion tardive sur l’art et à un suspense psychologique sur la solitude et la folie assez exsangue.

    Mais bon, pourquoi pas? Cependant l’exécution laisse clairement à désirer et le résultat final n’est guère palpitant. On est certes client durant le premier tiers où l’on voit le personnage, seul à l’écran durant tout le film, se faire emprisonner dans cette gigantesque cage luxueuse située au sein des gratte-ciels de New-York puis tenter de trouver une sortie. Puis vient la seconde partie où l’homme commence à tourner en rond (et nous avec) et où semble poindre la folie. L’incrédulité commence d’ailleurs à nous envahir et on se console de quelques séquences inventives et d’explorer cet appartement comme dans une visite immobilière de luxe. Mais quand vient le dernier acte entre hallucinations et métaphore, presque en mode lynchien mais mal digéré et pas vraiment envoûtant, on décroche totalement. On a d’ailleurs hâte que cela se termine car on arrive au constat que ce high concept en forme de huis-clos réflexif était une fausse bonne idée.

    Il faut cependant rendre à César ce qui est à César et il faut avouer que le mise en scène de ce novice a plus que de la gueule. Il sait optimiser l’étendue de ce gigantesque penthouse qui est presque un personnage à part entière. Les plans sont savamment étudiés et nourrissent le propos tout en faisant ressentir l’isolement, la solitude et la froideur de ces appartements de haute technologie. Si on n’est pas dans « Panic Room », ce décor très intéressant est bien mis en valeur. Les plans sont léchés et froids et tout à fait en adéquation avec le propos et le lieu. Et puis il y a Willem Dafoe, immense acteur versatile sans qui un tel projet ne tiendrait pas. Il fait partie de cette catégorie de comédiens qu’on écouterait parler à un ballon (coucou Tom Hanks). Mais ces qualités ne suffisent pas cet « Inside » bizarre et trop long à nous convaincre. Quant à la fin...

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    elriad
    elriad

    384 abonnés 1 787 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 avril 2023
    Pas inintéressant mais la gageure de vouloir aller dans le jusqu'au boutisme de la situation pose de vrais problèmes de risque de longueur et de problème de rythme. Et c'est le cas dans cette plongée en enfer pour ce cambrioleur amateur d'art. Willem Dafoe est impeccable dans son personnage, la photo est soignée, mais le film aurait gagné à être resserré. A saluer malgré tout la prise de risque...
    2985
    2985

    229 abonnés 935 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mars 2024
    Cette lente torture que subit Willem Dafoe nous la subissons aussi en tant que spectateur devant la vacuité du scénario. L'idée d'un huit clos dans un appartement de luxe qui servira de tombeau à son cambrioleur est de prime abord intéressant, mais le scénario arrive tellement vite au bout de son postulat qu'à peine la demi-heure de film atteint, l'histoire n'avance plus, se traîne et pire, se répète inlassablement jusqu'à un dénouement prévisible et finalement pas intéressant. Reste la prestation de Dafoe mais qui ne suffit pas à sauver ce film de l'ennuie.
    Jean-luc Y
    Jean-luc Y

    31 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 mars 2024
    Vu hier soir sans attendre quoi que ce soit. Belle surprise pour un premier film que je trouve réussi. Je ne me suis pas ennuyé. Willem Dafoe parfait pour mon goût dans ce film.
    Yves G.
    Yves G.

    1 300 abonnés 3 301 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 novembre 2023
    Un cambrioleur pénètre dans un luxueux penthouse new-yorkais pour y dérober des oeuvres d’art. Il s’y retrouve piégé, sans contact avec l’extérieur. La crainte d’y être à tout jamais enfermé se substitue bientôt à celle d’y être cueilli par la police. D’autant que l’eau y a été coupée et que la climatisation fait des siennes.

    À l’intérieur a évité de justesse la sortie en bac. Il n’est guère distribué que dans une seule salle parisienne, l’UGC Ciné Cité des Halles, où une foule nombreuse s’y pressait hier après-midi. Elle était composée de quelques cinéphages comme moi, qui ne ratent aucune sortie, et de beaucoup de jeunes mangeurs de pop-corn, attirés par un pitch qui leur faisait miroiter un thriller. Ils sont sortis de la salle dépités, s’insultant joyeusement : « Trop nul ce film ! Plus jamais je te laisserai choisir le programme ! »

    C’est qu’À l’intérieur joue sur deux ou trois registres. Le premier, qui a attiré ces jeunes spectateurs, est celui du survival movie. On connaît les lois du genre et quelques précédents d’anthologie : Tom Hanks échoué sur une île déserte ("Seul au monde" rediffusé ce soir), Robert Redford prisonnier d’un voilier en perdition ("All is lost"), James Franco, le bras coincé sous un rocher ("127 Heures")… Sacré gageure pour le scénario que de ménager des rebondissements à une histoire qui se déroule avec un seul acteur dans un lieu unique. Et de lui trouver une conclusion qui sorte de l’inévitable alternative : le héros est sauvé/pas sauvé.

    Mais, à cette dimension là, "À l’intérieur" en greffe une autre, plus audacieuse. Voire deux autres. La première, à peine ébauchée, mais bien présente, est une critique anticapitaliste des hyper-riches, de leurs privilèges scandaleux, des oeuvres d’art qu’ils entassent dans des appartements qu’ils désertent. La seconde, plus approfondie, est une réflexion sur l’Art. Très alambiquée, elle se résume tout compte fait à pas grand-chose : la destruction est créatrice. Car notre Arsène Lupin new-yorkais, incarné par un William Dafoe incandescent qui, à près de soixante-dix ans, garde une forme olympique tout en portant sur son corps marqué les stigmates de l’âge, se pique d’être artiste lui aussi. Et, moitié par désœuvrement, moitié par l’effet de la folie qui gagne, il transforme l’appartement où il est piégé en gigantesque oeuvre d’art.

    On ressort du film, sans doute moins catégorique que ses voisins mangeurs de pop corn. Tout n’est certes pas à jeter dans ce film. Mais, faute d’être un survival movie palpitant, faute de proposer sur l’Art une réflexion stimulante, il échoue sur tous les tableaux. Un comble pour un film sur la peinture !
    Audrey L
    Audrey L

    558 abonnés 2 424 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 novembre 2023
    Willem Dafoe est le Nicolas Cage du film d'auteur : quelle que soit la qualité du film, il est toujours à fond, à la limite de l'apoplexie dans de nombreuses scènes, et on peut le retrouver dans à peu près n'importe quel type de film (son manager doit choisir les projets avec une fléchette lancée à l'aveugle, on ne voit que cette explication). Encore une fois, le film ne vaut que pour sa prestation timbrée, très impressionnante, mais qui ne fait que souligner combien le reste est fainéant (il se décarcasse tout seul). A commencer par le synopsis du cambrioleur enfermé par mégarde dans un appartement qui déborde d’œuvres d'art contemporain, dont un superbe frigo qui chante la Macarena dès qu'on l'ouvre (on ne s'en remet pas), et qui devient maboule. Le réel problème est que l'homme chute trop vite dans sa santé mentale (il devient dingue bien trop rapidement, on n'y croit pas, surtout avec le niveau de folie XXL que donne à voir le jeu de Dafoe), que la critique de la société des "riches qui se pâment sur de l'art hors de prix, totalement risible et absurde, qui rendent fous le petit peuple qui cherche juste à manger dans son frigo (dale a tu cuerpo alegria Macarena... Heyyy Macarena !!!)" est plus que balourde, que l'on tourne vite en rond dans cet appartement qui n'a à proposer que Dafoe en roue libre (et qui ouvre ce satané frigo un milliard de fois : non, ne l'ouvre pas, il va chanter !) et sa critique sociétale très vite comprise, sans rien d'autre en renfort. La fin ne fait aucun doute, et la maxime artistique "il n'y a pas de création dans destruction" semble une dernière phrase qui se pense intelligente, mais est surtout un sophisme ridicule. Le film parfait pour les étudiants de cinéma philo du fond de la classe, et pour les autres : bon courage. Nous, on retourne au frigo de l'Enfer : Heyyyy Macarena !!!
    Vador Mir
    Vador Mir

    226 abonnés 710 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mars 2024
    Un film huis clos qui ne tient que par la présence de Willem Dafoe, un peu perturbant mais avec des éléments intéressants. Ca peut ennuyer profondément comme ça peut faire réfléchir, c'est selon. Pas indispensable à voir.
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