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    L'Homme qui aimait les femmes
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    4,0
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    NicoMyers
    NicoMyers

    50 abonnés 302 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juillet 2009
    Encore un film très autobiographique pour Truffaut, qui nous présente un personnage attachant qui n’est ni un coureur ni un dragueur, mais simplement "l’homme qui aimait les femmes". Le tout se présente à nous avec assez d’humour, basé principalement sur un comique de répétition. Car il en passe, des femmes, dans cet appartement ! Et, comme il est dit à la fin, toutes possèdent leur beauté. Le film offre un rôle à la mesure de Charles Denner, dont le jeu tient complètement du génie. La mise en scène est parfaite, souvent virtuose, toujours somptueuse ; néanmoins, petite baisse de rythme dans les dernières minutes, qui n’empêche pas L’homme qui était les femmes d’être un superbe film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 janvier 2009
    Brigitte Fossey, narratrice de l'histoire,cerne en quelques mots la nature du personnage incarné par Carles Denner: ni un don juan, ni un casanova.Et en effet, Bertrand Morane ne "drague" pas les femmes mais les aiment, les contemplent et les subliment pas son regard. Il aime "l'idée de l'amour", éternel idéaliste, et, dés qu'il s'est posé sur une, il a déjà le regard sur une autre. La caméra, comme son protagoniste, ne s'attarde pas sur les personnages, se contentant de les survoler, de les embrasser. Image par image, Truffaut transmet un bel hommage aux femmes par un Denner émouvant par sa sincérité, et, étonnant, par sa fragilité.
    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    160 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 octobre 2008
    Excellent film que l'on peut considérer comme romantique, Truffaut le magicien par son style si vif et limpide arrive a créer un univers à travers un personnage à la fois drôle, attendrissant et complètement libertin qui nous amène dans les méandres de la vie tumultueuses d'un incroyable coureur de jupons. Charles Denner est tout simplement magistral et endosse le rôle comme si celui-ci lui était fait sur mesure. L'humour est souvent au rendez-vous mais le film s'attarde aussi beaucoup sur le caractère féminin et la relation de l'être avec l'amour, les sentiments... Une comédie romantique très intelligente en somme, maîtrisée de toute part.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 028 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juillet 2010
    Loin de François Truffaut, l'idèe de faire de ce Bertrand Morane un Don Juan! En aucun cas, il ne veut que cet homme ait un physique de jeune premier! Cela rendrait son hèros trop odieux! Et trop facilement sèduisant! il ne fallait pas non plus quelqu'un qui serait trop content de lui! Alors, c'est pour l'excellent Charles Denner, et pour lui seul, qu'il ècrit avec Michel Fermaud et sa fidèle collaboratrice Suzanne Schiffman "L'homme qui aimait les femmes"! En ècoutant son interprète et sans même le lui avouer, Truffaut à l'idèe d'un homme qui ne vivrait qu'à travers les yeux, les seins, les jambes des femmes! Un collectionneur qui se passionnerait pour l'amour physique! Les actrices se succèdent: Nathalie Baye, Brigitte Fossey, Nelly Borgeaud, Geneviève Fontanel et enfin Leslie Caron...Elles incarnent toutes, à leur manière, l'un des aspects de la fèminitè! Elles se complètent et aucune ne fait de l'ombre à l'autre car Bertrand les aime toutes pour des raisons diffèrentes! Un vrai film culte et l'un des scènarios les plus littèraires de Truffaut! Normal puisque c'est aussi l'histoire d'un homme qui ècrit un livre...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    J'aime bien ce film: d'abord pour Charles Denner et ensuite parce que c'est un bel hommage aux femmes...Seul bémol: la réalisation, que je ne pas très bien réussie...
    JamesDomb
    JamesDomb

    82 abonnés 1 061 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    "Les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tout sens, lui donnant son équilibre et son harmonie". Rien ne ressemble plus à un enterrement qu'un autre enterrement mais celui de Bertrand Morane au début du film est curieux. Derrière le corbillard on ne voit que des femmes, les femmes que Bertrand Morane a aimé durant toute sa vie. François Truffaut trouve en Charles Denner (pour qui le film a été spécialement écrit) son meilleur alter égo et signe un de ses films les plus autobiographiques. Un homme qui met l'amour des femmes au dessus de tout dans sa vie. Comme si à chaque conquete, son existence était en jeu, Bertrand Morane cache en fait un mal etre et recherche le bonheur tout en vivant dans une grande solitude. François Truffaut rend hommage aux femmes qu'il a aimé, qui l'ont aimé et à la gent féminine en général. Un hymne aux magnifiques dialogues (un vrai poeme) où Charles Denner trouve un de ses roles les plus marquants. Une fable teinté de mélancolie, de tendresse, d'humour et de tristesse, L'Homme qui aimait les femmes est une sorte de thérapie pour François Truffaut qui sortait de dépression. D'où quelques références à sa guérison grace à "des petites pilules" mentionnées par le personnage de Bertrand Morane quand celui-çi évoque la rupture la plus difficile qu'il a vécu (magnifique scène). "Un visage d'homme et cent visages de femmes" disaient Les Cahiers du Cinéma. En effet, toutes les actrices, "grandes tiges ou petites pommes", sont magnifiquement mises en valeur par le cinéaste. Brigitte Fossey est superbe et on retrouve Nathalie Baye dans un court role mais interprétant également la voix d'Aurore, la voix matinale réveillant Bertrand. Truffaut évoque encore une fois ses relations avec sa mere qui est en quelque sorte le point de départ de sa cinéphilie, car comme le disait Stevenin dans l'Argent de poche, si vous n'etes pas aimés vous reporterez votre amour sur quelque chose d'autre. Truffaut choisit le cinéma.
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