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    Gigi
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    soulman
    soulman

    69 abonnés 1 154 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 janvier 2023
    "Gigi" est un drôle de film dans la carrière de Minnelli. Comédie musicale poussive aujourd'hui, le long-métrage rafla les récompenses en son temps. Les parties chantées sont à peine esquissées, comme si le cinéaste avait craint d'insérer de vrais numéros de chant ou de danse. Il est vrai que Maurice Chevalier est loin d'avoir l'aisance d'un Fred Astaire et Louis Jourdan le charisme d'un Gene Kelly... Leslie Caron est la seule à s'en sortir avec les honneurs et à donner une réelle consistance à son personnage de jeune fille moderne et déterminée.
    On reconnaîtra pourtant que les décors sont beaux et bien filmés et que la reconstitution de ce Paris vu des États-Unis, hors du temps, n'est pas sans charme.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    219 abonnés 2 789 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 janvier 2022
    Un film suranné au possible, typique d'une vision américaine de la vie parisienne, surchargé de couleurs criardes et dont le style a considérablement vieilli, tant dans le jeu des acteurs (très voire trop théâtral, y compris pour l'époque) que dans un scénario au schéma attendu. Certes il y a du charme, de l'élégance et Maurice Chevallier, mais c'est clairement passé de mode, contrairement à d'autres films de l'époque qui tiennent toujours la route.
    ronny1
    ronny1

    30 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 décembre 2020
    « Gigi » est musicalement parlant le plus faible des films musicaux de Minnelli. En exceptant Maurice Chevalier dans "I Remember It Well" et l’intro et la conclusion (« Little Girls » peut faire sourciller de nos jours), il est permis de se demander quelle mouche a piqué la profession pour que parmi les 9 oscars (plus un dixième d’honneur pour Maurice Chevalier) ils attribuèrent meilleure musique de film et meilleures chansons. Visiblement Loewe avait davantage laissé son esprit dans « My Fair Lady » à Broadway, que dans « Gigi » à Hollywood. En dehors de ces réserves (de taille pour une comédie musicale) l’excellent casting est affaibli par un Louis Jourdan oscillant entre sur-jeu hystérique et absence ectoplasmique. Freed insista pour un casting français, en ce qui concerne les trois rôles principaux, Vincente Minnelli et le scénariste Alan Jay Lerner préférait Audrey Hepburn qui avait interprété le rôle titre sur les planches en 1951, de manière si triomphale, qu’elle devint immédiatement une star. Mais elle n’était pas libre et Arthur Freed qui dès le départ voulait Leslie Caron, refusa tout délai au réalisateur. Il faut bien comprendre que la MGM venait de boucler, pour la première fois depuis la guerre, une année en rouge. Malgré cela, le génial producteur accorda à son réalisateur préféré, un tournage majoritairement à Paris (ce qui lui avait refusé pour « Un américain à Paris », au grand dam de Gene Kelly). Et là, le cinéaste va s’en donner à coeur joie. Pas une affiche, pas un objet, pas un moment qui ne reconstitue pleinement la capitale de la belle époque. Cette exactitude alliée aux sites parisiens et un je ne sais quoi d’authentique dans les acteurs (les trois principaux bien surs), jusque dans les seconds rôles. Et pourtant, Le cinéaste s’éloigne du roman de Colette et efface en grande partie le côté scabreux du propos (il s’agit quand même de la prostitution d’une adolescente), abandonnant résolument le ton grave et cruel, pour dépeindre de manière presque anthropologique un monde du passé et ses codes surannés. Sans pitié il expose sa décadence, le mépris des pauvres qu’il écrase, y compris avec l’aide de leur laquais qui se prennent eux aussi pour des maîtres. Egoïstes, vaniteux, envieux et vénaux, ils ne se soucient que du paraître et du quand dira-t-on qui l’accompagne. Mais, avec légèreté et mélancolie, la vie authentique triomphera des artifices dans à la concrétisation d’un rêve d’abord inconscient, puis progressivement révélé. Le voyage à Trouville, dont le côté onirique est sous jacent, est le véritable catalyseur de l’ancrage de ce rêve dans la réalité, alors que le spectateur sait déjà ce que les personnages vont découvrir en eux. Tout cet aspect fonctionne parfaitement grâce à un immense travail du réalisateur avec la direction artistique de William A. Horning et Preston Ames, sur les décors d’Henry Grace, Keogh Gleason et sur les costumes et le design en général de Cecil Beaton. Ce qui se traduit peut être le mieux dans ce salon rouge (minnellien), refuge de Gaston, le prince charmant lassé du monde, avec Mamita, la bonne fée et Gigi, la future princesse. Tout est magnifié par le charme espiègle et mutin de Leslie Caron, pourtant de dix ans plus âgée que Gigi, qui apporte une force incroyable au personnage. La fin, idéalisée correspond bien au cinéaste et lui permet au passage d’échapper aux foudres de la censure américaine. Après « Love in the Afternoon » (Ariane) que Billy Wilder réalisa l’année précédente, l’immense succès de « Gigi » contribue également la renaissance américaine de Maurice Chevalier (dix films suivront), lavé des soupçons de collaboration pendant l’occupation. Il apporte un plus indéniable, et un charme qui lui est propre avec son légendaire « Maurice Chevalier french accent » (sans cas possessif, c’est dire !) qui éleva le divin titi parisien au rang de star à Hollywood (le seul français avec Charles Boyer).
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    106 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 janvier 2020
    DROLE DE FRIMOUSSE. Un italien à paris. Mais tu pleures, tu pleures Gigi, ça n'a pas été là bas? Vincente Minnelli met la capitale sous des couleurs vives avec une élégance du désespoir. Parsemé de scènes de décoration musicale et d'une idolâtrie sentimentale lâche, le résultat est un désordre monumental.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    66 abonnés 1 658 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 septembre 2018
    Dernière grosse comédie musicale de la MGM, "Gigi" accuse le poids de l'âge. Certes, les costumes et les décors sont plutôt jolis, mais la mise en scène de Minnelli est un peu fade. Le scénario est léger, et les passages musicaux complètement dispensables. Reste une reconstitution soigné a l'extrême du Paris de 1900 comme seul savent filmer les américains.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    74 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mars 2017
    Portée par les Français Leslie Caron (absolument superbe), Louis Jourdan et Maurice Chevalier, cette comédie musicale américaine joyeuse et colorée prend pour cadre le Paris de la Belle Époque et ses codes amoureux. Adaptation du roman de Colette, ce film qui suit le passage à l'âge adulte d'une jeune femme se laisse suivre avec grand plaisir, malgré son côté quelque peu kitsch et naïf. Sympathique.
     Kurosawa
    Kurosawa

    517 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2017
    Vincente Minnelli dépeint dans "Gigi" le milieu mondain parisien au début du XXe siècle avec drôlerie et mélancolie. La première heure s'attache surtout à montrer l'ennui de Gaston Lachaille, lassé de son mode de vie pourtant largement apprécié par son oncle envahissant, et le décalage entre le caractère enfantin de Gigi et son éducation par une grande-tante qui porte une attention scrupuleuse aux bonnes manières bourgeoises. N'évitant pas les scènes sans enjeux et les répétitions, le film s'étire inutilement alors qu'il aurait pu arriver plus vite au moment où les deux personnages principaux tombent amoureux, ce qui permet de mêler un humour savoureux par instants à une tristesse représentative d'une maturité gagnant Gaston et Gigi. Sans parvenir à être aussi bouleversante que dans d'autres films plus accomplis du cinéaste, cette mélancolie qui finit par se substituer totalement à la légèreté donne une plus grande ampleur aux personnages et peut dès lors les rendre émouvants. Malgré des longueurs, conséquences d'une écriture et d'un rythme inégaux, "Gigi" est pourvu d'une véritable singularité et contient quelques scènes magnifiques, dont l'une qui voit Honoré Lachaille et la grand-mère de Gigi se souvenir sur une terrasse au crépuscule de leur aventure passée, moment superbe et symbolique du changement de ton que prend le film à mi-parcours.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 mars 2017
    Une jeune fille charmante et espiègle séduit un riche jeune homme dans le Paris du début XXème. « Gigi » est sur sorte de « Sissi » la grâce et le charme en moins… mais tout autant sucré, mièvre et rabougri. Cette comédie musicale de Vincente Minnelli se veut une déclaration d’amour au Paris romantique. Il met le paquet pour atteindre son objectif ; tout d’abord, il choisit Maurice Chevalier comme maître de cérémonie. Ensuite, comble du raffinement, dans un Paris début de siècle limite insalubre, nous ne croisons que des bourgeois en tenue colorées et toujours impeccables… La classe française, enfin, si on évite de montrer le peuple. La première scène dans le bois de Boulogne en est même éloquente. Jouons le jeu et acceptons les codes du genre, mais les chansons, les chorégraphies et le scénario sont à la limite du supportable. Ce film fait pâle figure enserré entre « Chantons sous la pluie » (1952), « West Side Story » (1960), « Les parapluies de Cherbourg » (1963) ; car désuet. 5 ans auparavant Minnelli réalisait « Tous en scène » ; c’était d’un autre calibre.
    Compris ! Privilégiez d’autres comédies musicales d’époque…plus emballantes
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 février 2017
    Superbe exemple du technicolor des plus belles années, ce film dont les scènes musicales ont été réalisées en extérieur dans Paris même est un exploit technique pour l'époque. Doté d'une distribution française bien choisie il reste un fleuron de la comédie musicale, avec une mention spéciale pour Maurice Chevalier.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 010 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 novembre 2016
    Parvenir à concocter une comédie musicale à l'allure bon enfant voire parfois naïve en adaptant "Gigi" un des derniers romans de Colette (1944), seuls Arthur Freed et Vincente Minnelli, toujours à l'affût de sujets pouvant entretenir leur sève créatrice, étaient capables d'une telle prouesse en se jouant de la censure encore très active en 1957, pour au final récolter neuf Oscars. La Belle Epoque parisienne fut la période dorée des courtisanes nommées plus vulgairement cocottes. Le roman très documenté de Colette expose sans détour l'éducation d'une jeune fille par ses grand-mère et tante pour en faire leur digne héritière. C'est donc la prostitution infantile à destination du gratin parisien dont il est question. La réalisatrice française Jacqueline Audry avait proposé en 1948 une version qui ne cachait rien du caractère glauque du roman de la deuxième femme à être élue en 1945 à l'académie Goncourt (Judith Gautier fille de Théophile Gautier l'avait été en 1910). Le deuxième âge d'or de la comédie musicale américaine quasiment propriété unique d'un seul studio, la MGM et de trois hommes Arthur Freed, Vincente Minnelli et Stanley Donen, touche alors à sa fin et c'est un véritable tour de force, preuve de la capacité de Minnelli à transcender n'importe quel sujet par la magie des costumes et des décors qui en signe la plus belle conclusion. Ravi de se retremper dans l'atmosphère parisienne sept ans après "Un américain à Paris", le réalisateur à nouveau secondé par Alan Jay Lerner pour le scénario et l'écriture des chansons, a la chance cette fois de pouvoir filmer beaucoup de scènes directement sur place. Aucun numéro de danse ne sera en conséquence proposé pour conserver à l'intrigue un minimum de réalisme. Minnelli s'il pare de fanfreluches le fond sordide de l'histoire pour éviter la censure et lui garder un aspect merveilleux grâce à un happy end devenu un passeport de bonne moralité imparable, n'en omet pas pour autant de brosser un portrait sans concession de la haute société de l'époque qui n'était qu'égoïsme, cynisme, hypocrisie et superficialité. Les choses ont-elles beaucoup évolué depuis ? Rien n'est moins sûr. C'est donc dans une profusion de décors somptueusement dessinés par le grand Cecil Beaton que s'ébrouent Maurice Chevalier toujours aussi gouailleur, Louis Jourdan suave comme il convient, Eva Gabor la soeur de la grande Zsa Zsa et Hermione Gingold. Tous sont complètement en accord avec la tonalité voulue par Minnelli et jouent les serviteurs dévoués de la très gracile et mutine Leslie Caron, curieux et savoureux croisement entre Brigitte Bardot et Shirley MacLaine. Pari réussi donc, la jeune actrice réussissant à faire chavirer tout le monde grâce à son charme, aussi bien ses partenaires, le réalisateur, les spectateurs bien sûr, mais aussi les censeurs qui ont pu constater que le caractère bien trempé de la jeune fille spoiler: qui finit par se faire épouser lui avait fait éviter l'odieux sacrifice auquel on l'avait préparée
    . Un feu d'artifice qui frise par moments une certaine boursouflure mais tout de même très réjouissant que ce "Gigi" revu à la sauce hollywoodienne dont la french touch est assurée par trois acteurs bien de chez nous qui à des époques différentes ont réussi à s'imposer dans la Mecque du cinéma. Ils ne sont pas si nombreux.
    djeff17
    djeff17

    4 abonnés 161 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 mai 2022
    La comédie musicale est aujourd’hui une forme complètement dépassée, tombant facilement dans le ridicule, il est donc difficile d’en faire grief à Vincente MINELLI, qui se conformait aux goûts de son temps. D’ailleurs, le film ne manque pas de qualités. Le soin apporté à la réalisation est remarquable. Les costumes, les décors, les voitures automobiles et les attelages de chevaux, le choix des lieux évoquant le PARIS de ce début du XXème siècle, sont irréprochables. Il a su également respecter le ton de l’œuvre de Colette, et Leslie CARON est parfaite dans le rôle titre. Hélas, le résultat est gâché par les apparitions grotesques de Maurice CHEVALIER, se voulant drôle, voire irrésistible, alors qu’il n’a jamais été qu’une sorte de comique troupier à l’accent épouvantable. Rare acteur français connu aux Etats Unis, il était probablement incontournable pour incarner le parisien-type aux yeux des américains. Mais il se révèle un véritable boulet, avant même de pousser la chansonnette, car alors c’est à fuir. En résumé, un regrettable fiasco.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    923 abonnés 4 840 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2015
    Encore une jolie comédie musicale à Paris. Un Paris idéalisé on le comprend. C'est vrai qu'elle n'est pas à la hauteur des grands films musicaux avec Gene Kelly mais c'est charmant et riche. Par contre on a la musique magnifique de Loewe et ça ça remonte la cote de façon magistrale.
    Angela Ki La
    Angela Ki La

    51 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2013
    Un bon film c’est comme un bon vin, ça vieillit bien, mais des fois ça peut laisser un goût bizarre dans la bouche. Dans ce cas, on dit que le vin est bouchonné, je crois. Et bien ce film d’époque, commence par un dérapage qui aurait du mal à passer aujourd’hui. Le discours de Maurice Chevalier en pervers, entouré de petites filles qui ressemblent à des proies, c’est limite. Pour un peu, je croyais qu’on avait affaire à un biopic sur Francis le Belge, le serial killer. Heureusement la comédie reprend le dessus, entre musical et conte de fées moderne, le tout sans baguettes magiques, mais avec hauts de forme et redingote, c’est assez marrant. La mise en scène est virtuose et pro. On est dans un Paris d’opérette très bien filmé, comme une sorte de musée de la belle époque, et cela reprend un nouvel éclat avec la HD, (vive le bluray quand même !). Certains disent regretter la fraîcheur du roman de Colette. Normal, Minnelli est américain, pour lui, seul le show, compte, la fraîcheur il connaît pas ce que c’est, ça c’est encore un truc des frenchy,ça. Les couleurs sont éclatantes, les plans millimétrés, intérieurs bourgeois, les tours de chant réglés. On sent que tout le monde est mené à la baguette, mais vu l’ampleur des moyens mis en œuvre, c’est obligé. On en a pour son argent, le savoir-faire hollywoodien dans toute sa splendeur, encore une fois. Gigi est loin d’être la gourde attendue, Leslie Caron que je découvre, est délicieuse de candeur et de fausse naïveté. C’est agréable à regarder, et d’une confondante maîtrise. A voir en anglais si possible, et l’accent à couper à la scie égoïne de Maurice Chevalier, n’y faîtes pas attention, on sent bien qu’il le fait exprès.
    Jean-françois Passé
    Jean-françois Passé

    106 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mai 2013
    Paris vu par Minelli , adapté de Colette , avec cette histoire de mondain riche qui tombe amoureux d'une jeune ingénue ! Leslie Caron d'une beauté incroyable , Maurice Chevalier et son bel accent anglais , Louis Jourdan le tombeur désabusé . costume s , décors , lumière . un classique !
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 020 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 avril 2013
    C'est probablement l'un des films les plus surestimès du cinèma amèricain! Une comèdie musicale mineure qui marque avant tout les retrouvailles de Vincente Minnelli avec la ravissante Leslie Caron! Le rôle inspirè par le roman de Colette ètait destinè à Audrey Hepburn, qui n'ètait pas disponible (ouf, heureusement!). Le très fade Louis Jourdan et le trop souriant Maurice Chevalier (son accent anglais est juste insupportable) complètent une distribution qu'il fallait française, l'action se dèroulant dans le Paris de 1900! En 1958, "Gigi" reçut pas moins de huit Oscar dont celui du meilleur film et du meilleur rèalisateur! Comprenne qui peuvent! Un raz de marèe et un grand succès public pour ce qui est le plus mauvais film de Minnelli! Alors que la même annèe, ce dernier rèalisa son chef d'oeuvre: "Some Came Running" avec Frankie Sinatra! Visuellement, "Gigi" est plutôt pas mal car Paris est filmè comme seuls savent le faire les amèricains! Mais dans son ensemble, l'oeuvre paraît aujourd'hui très thèâtrale en raison du jeu des acteurs et des dècors! Les amoureux de Paris ne seront pas dupe en regardant "Gigi". Restent quelques chansons et le charme indiscutable de Leslie Caron qui sauvent ce film de la banalitè, avec en toile de fond d'excellents costumes captès par l'oeil de Joseph Ruttenberg...
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