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    La Quatrième Dimension
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    bobbyfun
    bobbyfun

    30 abonnés 1 216 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 janvier 2024
    Très inégal dans son ensemble, cette anthologie vaut surtout pour le style caractéristique et identifiable de ses réalisateurs de renom.
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    6 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 janvier 2024
    « Wanna see something really scary ? »

    Amis depuis plusieurs années, le premier ayant fait un caméo dans The Blues Brother (1980), le second dans 1941 (1979), Steven Spielberg et John Landis produisent et coréalisent ensemble ce film hommage à l’une des séries les plus culte de la télévision étasunienne, diffusée de 1959 à 1964 : La Quatrième Dimension/The Twilight Zone.

    Après un efficace Piranhas (1978) qui se voulait une parodie cheap des Dents de la Mer/Jaws (1975) et un Hurlements (1981) réussi, Joe Dante, devenu proche de Landis, est invité par Steven Spielberg à participer à l’aventure, avant que ce dernier ne produise Gremlins (1984). George Miller, auréolé du succès des deux premiers Mad Max (1979 et 1981) est aussi contacté.

    Aux scénarios de ce film en 4 épisodes, on retrouve principalement John Landis pour le prologue et le premier épisode qu’il a aussi réalisés et Richard Matheson, écrivain et scénariste de science-fiction et d’horreur, pour les autres, rejoint sur le second segment par George Clayton Johnson, auteur de l’épisode original de la série télévisée, et Melissa Mathison (créditée Josh Rogan et déjà scénariste d’E.T., 1982).

    Film à sketchs, donc, cette oeuvre permet à ses quatre réalisateurs de poser leur patte visuelle et leurs petites obsessions : avec Dan Aykroyd, John Landis démarre le prologue sur le ton musical et ironique pour poursuivre, dans le premier sketch, en présentant un petit employé aigri, antisémite et raciste, archétype, 35 ans avant l’heure, de l’électeur trumpiste moyen ; Steven Spielberg lui emboîte le pas avec un petit conte de fées dans une maison de retraite ; Joe Dante réalise un troisième segment où la télévision et le surnaturel horrifique mêlé d’humour occupent des rôles centraux (on y retrouve les fidèles de Dante, Kevin McCarthy et Dick Miller) ; George Miller, enfin, fait monter la tension en focus sur son personnage, interprété par l’exceptionnel John Lithgow, qui perd la boule en avion dans un sketch final aux allures de film catastrophe.

    Catastrophe, le film le fut hélas aussi dans sa conception. L’acteur principal du premier segment, Vic Morrow, par ailleurs criant de vérité, ainsi que deux enfants acteurs ont été tués par un accident d’hélicoptère dont la responsabilité fut partiellement imputée à John Landis par manque de prévoyance. Steven Spielberg ne lui pardonna jamais et ce fut la fin de toute collaboration entre les deux réalisateurs.

    Au final, l’ensemble est pourtant est assez homogène et réussit à faire revivre, aux couleurs des années ’80, le frisson qui nous parcourait l’échine sitôt que résonnaient les premières notes de la célébrissime musique de générique. On regrettera seulement que les effets spéciaux aient assez mal vieilli.
    Ricco92
    Ricco92

    175 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 décembre 2023
    La série télévisée de Rod Serling La Quatrième Dimension a marqué toute une génération. Il n’est donc pas étonnant qu’une vingtaine d’années plus tard de nouvelles stars de la réalisation (John Landis, Steven Spielberg, Joe Dante et George Miller) décident de se retrouver sur une adaptation cinématographique de celle-ci.
    Même s’il est surtout connu pour le tragique accident survenu sur le segment de John Landis (un crash d’hélicoptère causant la mort de l’acteur principal, Vic Morrow, ainsi que ceux de deux enfants engagés illégalement), ce film à sketches rend hommage à son modèle (les segments de Spielberg, Dante et Miller sont des reprises d’épisodes de l’anthologie télévisuelle) tout en permettant à leurs réalisateurs de laisser transparaitre leurs pattes. Si, bien que l’intéressante ironie envers les racistes soit assez plaisante, le premier sketch peut sembler un peu rapide (ce qui est certainement dû au fait que le drame évoqué plus haut empêcha le tournage d’être complet), on reconnait assez facilement la patte féérique (et pas effrayante pour le coup) à laquelle on pouvait associer Spielberg (ainsi que sa société Amblin) en cette période qui suivait directement E.T., l’extra-terrestre sur le second volet, l’influence cartoonesque et l’ironie typique de Joe Dante sur la troisième partie et le sens de l’action du George Miller de Mad Max pour un quatrième segment axé sur la frontière entre la réalité et la folie.
    S’il est clair que chacun des cinéastes a réalisé des œuvres plus marquantes que ces sketches, l’ensemble reste un moment agréable pour les amateurs de fantastique et un bel hommage à un des programmes phares de la télévision américaine.
    Raph
    Raph

    1 abonné 130 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2023
    "Zones d'ombres !"

    Pour les quadras ou quinquas, le souvenir de “Twilight Zone : The Movie”, rappelle malheureusement le terrible accident qui coûta la vie à l’acteur Vic Morrow ainsi qu’à deux jeunes enfants acteurs lors du tournage. Mais si l’on fait abstraction de ce drame, il n’en reste pas moins que le long-métrage sorti en 1983 reste à ce jour, une référence en matière de films à sketches malgré ses différences de rythme et son segment spielbergien raté (avis perso).
    Fragmenté en quatre histoires distinctes liées par un fil conducteur en prologue ("Something Scary") et en épilogue ("Even Scarier") réalisé par John Landis, “Twilight Zone : The Movie” est un écrin fantastico-horrifico-comique des plus intéressants. Inspiré bien évidemment par la série télévisée éponyme de Rod Serling débutée en 1959, ce long-métrage cinéma laissera à des réalisateurs confirmés comme Steven Spielberg, John Landis ou encore Georges Miller, le soin de montrer l’étendue de leur talent sur de courtes durées et permettra aussi de savourer le segment cartoonesque en diable d’un certain Joe Dante.
    Sur une route déserte, au beau milieu de la nuit, dans une voiture, au son de la chanson “The Midnight Special” du groupe Creedence Clearwater Revival, un auto-stoppeur (Dan Aykroyd) et le conducteur (Albert Brooks), qui l’a pris en charge, chantent accompagnés par l'autoradio. Quand celui-ci rend l’âme, le duo décide alors de jouer à fredonner les génériques des séries TV, jusqu’à entonner celui de “Twilight Zone”. C’est alors que le spectateur plonge dans une dimension parallèle. Tout commence avec “Time Out” de John Landis. Dans cette histoire de racisme ordinaire, un certain Bill Connor (Vic Morrow), après avoir débité tout un tas d’inepties xénophobes face à ses collègues dans un troquet, se retrouve tour à tour dans la peau d’un Juif dans la France occupée, un noir pourchassé par le Klu Klux Klan, puis dans la peau d’un asiatique lors de la guerre du Viêtnam, jusqu’au traumatisant final. En s’inspirant de l’épisode “La Grandeur du Pardon”, (saison 3 épisode 15), John Landis entraîne le spectateur dans les recoins les plus sombres de l’être humain à travers l’histoire avec un grand “H”. Une belle prouesse cinématographique entachée par l’effroyable accident d’hélicoptère de triste mémoire.
    Steven Spielberg, pressé par les exécutifs de Warner de finir le film malgré les tragiques événements - et oui "Time is Money" - décide de reprendre à son compte “Jeux d’enfants”, (saison 3 épisode 21) et d’en faire un remake. Dans la lignée du futur “Cocoon”, “Kick The Can” narre l’histoire de l’énigmatique Monsieur Bloom (Scatman Crothers) qui réapprend, à sa façon, l’enfance aux pensionnaires d’un hospice. Résultat, Spielberg livre une fable poétique lente et bien trop sage - qui se trouve être l’exact opposé du premier segment, certainement une façon pour lui d’exorciser ses démons.
    Heureusement, le troisième segment viendra insuffler un brin de folie décalée à l’ensemble. “It’s a Good Life”, remake de l’épisode “C’est une Belle Vie” (saison 3 épisode 8), voit un jeune garçon tyrannique utiliser d’étranges pouvoirs pour retenir prisonnier dans un univers de dessin animé, un groupe de gens qu’il force à être sa famille ! Joe Dante ("Piranhas"et “Hurlements”), en donnant aux spectateurs de quoi rire et trembler - dans une approche ultra-cartoonesque aux effets visuels géniaux - doit déjà penser à son futur diptyque des “Gremlins” ou encore les “Looney Toons”.
    En quatrième position, voici qu’arrive sans crier gare, le segment “Nightmare at 20,000 Feet” remake de “Cauchemar à 20 000 Pieds” (saison 5 épisode 3). Cet épisode écrit par Richard Matheson (“Je suis une Légende”) et réalisé à l’époque par Richard Donner, se voit 20 ans plus tard, rajeuni et confié aux bons soins de l’Australien Georges Miller (“Mad Max”). Dans ce huis clos à bord d’un Boeing 747, John Valentine (Génial John Lithgow), un auteur expert en électronique de pointe est gagné par une peur panique - en cause un violent orage - celle-ci atteindra son paroxysme, lorsqu’en scrutant le ciel par le hublot, John aperçoit une étrange créature - un Gremlins, symbole d’une grosse guigne en terme aéronautique - sur l’aile de l’avion ! Est-ce un cauchemar ou bien la réalité ?
    Ce petit bijou de paranoïa et d’humour noir aura droit lui aussi à un quasi-remake version Seconde Guerre mondiale avec “Shadow in the Cloud” de Roseanne Liang sorti en 2021. Et enfin, la chanson “The Midnight Special" retentit une dernière fois sur le tarmac de l’aéroport quand John Valentine est emmené en ambulance. La boucle est alors bouclée !
    En visionnant ou revisionnant “Twilight Zone : The Movie” : “Vous allez pénétrer dans une autre Dimension, élargir votre cadre de vie habituel et déboucher dans une zone où la réalité peut à tout instant basculer dans le fantastique.
    "Attention ! Vous entrez dans la Quatrième Dimension !” (Rod Serling).
    Shephard69
    Shephard69

    281 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 avril 2022
    Adapté de la série télé culte des années 60, un film fantastique qui propose quatre sketchs de valeur très inégale avec personnellement une préférence pour pour le dernier segment réalisé par George Miller. Des différentes parties dans lesquelles le style de chaque réalisateur transparaît parfaitement. Un casting imposant mais un jeu d'acteurs assez aléatoire. Au final, un ensemble difficilement magnétique, truffé de longueurs plutôt pénibles qui a terriblement vieilli. Tout juste moyen.
    Surfeurfou974
    Surfeurfou974

    7 abonnés 208 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 janvier 2022
    Excellent film très particulier puisqu’il est comporte quatre sections de court-métrages différents dont un par Steven Spielberg c’est magnifique, émouvant et ça replonge dans la science-fiction des années 80
    Roub E.
    Roub E.

    734 abonnés 4 825 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 novembre 2021
    En général je ne suis pas un grand fan des films à sketch. Et bien j’ai passé un bon moment avec cette adaptation de quatre épisodes de la « 4e dimension » par quatre réalisateurs de grand talent. Amusant, léger tout en assumant son côté particulier comme devait l’être j’imagine la série, les quatre parties du fait de leur courte durée s’avèrent être d’une redoutable efficacité. Même si on touche par moment les limites de l’exercice cela reste selon moi un bon patchwork d’histoires fantastiques.
    Hotinhere
    Hotinhere

    421 abonnés 4 739 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2021
    Hommage à la série culte des années 70, un film fantastique à sketches divertissant (excepté celui de Spielberg un peu mielleux), au générique prestigieux.
    Michael R
    Michael R

    85 abonnés 1 169 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mars 2021
    Un cauchemar, mais pas dans le bon sens. Spielberg, Zemeckis, Dante et Miller au générique étaient d'excellents gages de qualité surtout pour le remake d'une série culte, or le rendu est très inégal voire très mauvais. Si on retrouve la patte de chaque réalisateur, le ton et le format ne conviennent pas du tout. Rien que l'introduction est hors sujet : on dirait un sketch du SNL ! Puis les quatre histoires développées ne sont jamais inquiétantes mais plutôt décalées ou ennuyeuses. D'une naïveté confinant parfois à la bêtise entre le méchant raciste qui traverse les époques pour être un pariah (d'ailleurs les dialogues sont tellement frontaux qu'on dirait une comédie, acide) et les gentils petits retraités qui redeviennent enfants, j'étais en souffrance. Je vais éviter de trop spoiler mais c'est une grosse déception.
    Shawn777
    Shawn777

    460 abonnés 3 328 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juillet 2020
    Ce film à sketchs, réalisés respectivement par John Landis, Steven Spielberg, Joe Dante et George Miller, n'est pas mal du tout. Sorti dix-neuf après la fin de la série, soit en 1983, le film nous présente des remakes d'épisodes de la série éponyme. On peut alors naturellement se demander quel est l'intérêt d'un tel film. Eh bien à vrai dire, il n'y en a pas vraiment, si ce n'est la volonté des réalisateurs de vouloir rendre hommage à une série qui les a sûrement fait rêver étant plus jeunes et puis surtout peut-être le fait de vouloir, à travers ces sketchs remakes, faire connaître la série, ou en tout cas son principe, à une génération plus jeune. Je dois avouer que certains épisodes dont les sketchs en sont les remakes me sont complètement sortis de la tête, notamment en ce qui concerne le premier. J'avais surtout hâte de voir le remake de "C'est une belle vie" qui m'avait réellement effrayé et avait joué avec mes nerfs. En ce qui concerne ce sketch, réalisé par Joe Dante, j'en suis vraiment très content car il reprend très bien le concept de l'épisode original tout en correspondant au style du réalisateur, nous avons ainsi quelque chose de très coloré et de très cartoonesque tout en étant très dérangeant. Il en va de même pour le quatrième segment qui est un véritable petit film d'épouvante et qui modernise l'épisode original, "Cauchemar à 20 000 pieds", qui ne disposait évidemment pas des mêmes moyens techniques. De toute manière, ce sont ces deux derniers segments qui sont véritablement marquants, le premier étant assez oubliable, même s'il possède une très bonne morale (comme dans la plupart des épisodes de la série d'ailleurs) et le second étant sympa mais sans plus, nous rappelant d'ailleurs aujourd'hui beaucoup "Cocoon", sorti deux ans après ce film. En ce qui concerne les acteurs, ils sont tous dans l'ensemble plutôt bons. "La Quatrième Dimension" version cinéma n'était donc pas franchement indispensable, on gardera en tout cas plus de souvenirs de la série.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 172 abonnés 3 973 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 janvier 2020
    “La Quatrième Dimension” est une série télévisée de 156 épisodes produits entre 1959 et 1964. C’est dans les années 80 que les quatre grands réalisateurs que sont John Landis, Steven Spielberg, Joe Dante et George Miller, rendent hommage à cette série en offrant chacun un épisode pour le cinéma.

    John Landis propose un remake de l’épisode “La Grandeur du pardon” place un raciste dans la peau d’un juif en France occupée, puis d’un noir pourchassé par le Ku Klux Klan et enfin dans celle d’un asiatique durant la guerre du Viêt Nam.

    Steven Spielberg nous offre sa vision de l’enfance dans un hospice de vieillards avec “Jeux d’enfant”.

    Joe Dante montre un jeune garçon sadique, qui utilise ses pouvoirs pour retenir prisonniers des personnes qu’il force à jouer sa famille dans “C’est une belle vie”.

    Enfin, George Miller réalise “Cauchemar à 20 000 pieds”, une histoire de gremlin qui fait référence au livre de Roald Dahl avec un homme paniqué de prendre l’avion qui découvre une étrange créature juchée sur l’aile.

    Bien que ces quatre courts soient qualitatifs et assez cohérents entre eux, “La Quatrième Dimension le film” est surtout connu pour l’accident tragique qui s’est déroulé pendant le tournage ou un acteur et deux enfants fauchés par un hélicoptère. Quoi qu’il en soit aujourd’hui, l’hommage est respectable et l’exercice intéressant.

    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    667 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 novembre 2019
    Film a sketches assez inégale mais qui mérite tout de même d'être visionner ne serait-ce que pour le premier épisode concocté par John Landis et surtout pour le dernier épisode que l'on doit à George Miller qui se situe dans l'avion. Par contre, j'ai été quelque peu déçu par celui de Steven Spielberg qui se déroule dans un hospice de vieillards car il possède une histoire guère originale et une réalisation bien terne pour du Spielberg.
    Fabien S.
    Fabien S.

    457 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2019
    Une bonne adaptation de la série d'anathologie La quatrième dimension The Twilight Zone par le réalisateur Steven Spielberg
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 21 octobre 2019
    Un film à sketches pas terrible. Seul le premier est intéressant. De plus ces sketches sont tous tournés en studio. Donc la réalité est obsolète.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 juillet 2019
    Quatre réalisateurs de court métrage segment réunis dans un seul film, le procédé est intéressant et l’on apprécie d’en tirer les meilleurs aux pires. Le deux et trois retient mon attention par ce style reconnaissable des cinéastes, le scénario nian-nian « ET, l’extraterrestre » rencontre « Peter Pan » rajeunissant une maison de retraite, est franchement pas terrible, je vois pas où ça fait peur pour un nom très connu que celui là. La suite est du grand Dante dantesque, cartoon frénésie « Gremlins » à fond la caisse tournoyant son diable tourbillon Tasmanien. Le dernier du rare qui se fait désirer Sa Majesté George Miller associé à « Mad Max », c’est bien d’avoir les boules au paranoïaque, aussi peureux angoissé dans l’avion en plein vol, les hallucinations commencent à se faire sentir réellement avec cette créature cosmique accrochée vos ceintures ! Le prologue en met de la frayeur comme spectacle de mise en bouche, radio FM bla-bla-bla et puis bouh ! Ensuite la bigoterie se fait donner une bonne leçon de morale comment réaliser, sera rattrapée par la tragédie réalité sur le plateau de tournage jungle vietnamienne. Ça devient un bazar avec ces glissements de monde anachronique, la montée du péril brun au pouvoir dans des zones occupées de collaborateurs nationalistes, qui dénonceront les juifs comme thème central classique et banal KKK fait pas sursauter.
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