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Camusduverseau
43 abonnés
778 critiques
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0,5
Publiée le 28 janvier 2007
Le requin n'a pas de chance, dès qu'il s'approche de la rive et qu'il a un peu faim, l'homme l'attaque ! Il devrait comprendre à la fin que l'homme est un animal dangereux ! Encore plus pitoyable que pitoyable !
Le requin a l'air encore plus faux que dans les précédent et le scénario est débile (un requin qui suit la famille broody sur des milliers de kilomètres)!!!
Mais bon, ce film a le mérite de m'avoir fait bien rigoler la première fois que je l'ai vu!!!
Les scènes les plus comiques: la première victime (qui se fait arracher un bras et qui n'a pas l'air d'avoir mal), et le noir qui se fait manger par le requin et qui ressort de l'eau presque indemne en criant: "hé! t as pas une minute?"
Je lui mets tout de même une étoile car j'ai bien rigolé :D
« Les Dents de la mer » premier du nom atteint sans problème l’excellence, la saga , elle, offre une diminution qualitative croissante. Si le deuxième opus parvenait à rester correcte, le troisième affichait déjà une profonde médiocrité. Pourtant appât du gain oblige, un quatrième épisode fut commandé, la réalisation étant confié à Joseph Sargent, habituellement tourné vers le petit écran. Et cela se voit car l’aspect formelle est un cuisant échec, proche de ces téléfilm de jours fériés diffusés en milieu d’après midi. Jamais, Joseph Sargent ne parviendra à crée la moindre tensions. Embetant car il s'agit d'un objectif clairement revendiqué qui en plus correspond à la vocation meme de la saga, toute considérations financières écartées. Au mieux de l’angoisse qu'avait su suciter le premier opus, c’est un sentiment de consternation général qui apparaitra. Mais le pire n’est peut pas cette platitude formelle. En effet, rarement le fond d’un film aura été aussi mauvais. Le scénario surement écrit en un laps de temps ultra-court, se noie dans une profonde absurdité. Le Happy-end sonnera alors comme le coup de mâchoire final du désastre. (Il est utile de rappeler qu’on veut nous faire avaler qu’un Grand Blanc poursuit une famille…) Constat qu’une interprétation mauvaise n’arrangera pas. A croire que toucher le fond ne suffisait pas, « Jaw, the Revenche » creuse toujours plus profond. C'est évident, il y a plus qu’un Océans entre le film de Spielberg et celui de Sargent. Indigeste.
Même si il abandonne les horribles effets 3D de l’épisode précédent et qu’il ose faire mourir un personnage important de la saga pour lancer son récit, ce quatrième chapitre est grotesque. Qui a pu croire que cette idée absurde de requin vengeur pouvait fonctionner ? D’autant plus qu’il n’a jamais été aussi peu effrayant.
Mais quelle m.rde que ce film, sacré nom d'une flûte péruvienne tricolore en mousse ! Je me demande encore ce qu'il y à de plus pitoyable dans ce film... le scénario ? Le titre (une revanche ? Mais de qui ?) ? La fin, où on voit un personnage se faire méchamment boulotter par le requin pour finir par revenir, en forme, indemne, quelques minutes plus tard ? Les effets spéciaux ? La réalisation ? On me chuchote dans l'oreillette qu'en fait, ce qu'il y à de pire ici, c'est "tout". Oui, OK. Mais qu'est-ce qu'il m'a pris de regarder ce film ? Heureusement que je ne l'ai pas acheté, tiens. Car il existe en DVD, on peut l'acheter. L'ACHETER.
C'est un film sorti dans les années 80. C'est un film uniquement commercial. Il n'y a rien de nouveau au niveau technique et au niveau du scénario. Il a rapporté néanmoins 25 millions de dollars a ses producteurs. Maintenant, tous les acteurs et actrices sont à la retraite. La fille du film, elle, va décédée plusieurs années plus tard, à l'âge de dix ans, triste sort.
Après avoir été maltraité 3 films durant, le grand requin blanc décide de prendre sa revanche et de poursuivre à travers le globe la famille Brody. Oui, avec ce script, on sait qu'on est face à un nanar qui n'a plus rien à voir avec la première version de Spielberg. Néanmoins ce quatrième volet reste meilleur que le troisième épisode dans le parc aquatique, cela grâce à des personnages plus intéressant et des rapports humains mieux construits. Bien sur, rien n'est crédible ici et le requin est particulièrement affreux et mal fait. A voir comme un nanar.
Le genre de suite bien inutile, réalisée à des fins commerciales. N'apporte rien à la série. Une réalisation baclée, des effets spéciaux inopérents. Des acteurs qui font le minimum:
Certaines personnes sont totalement réfractaires aux suites et décident de les enfoncer avant même la sortie. Jaws 4, en référence à son auguste ainé, s’est vu qualifier de candidat au ”pire film de l’histoire du cinéma”.
Jaws : The Revenge ne mérite peut-être pas de faire partie de cette sacrée catégorie, mais n’échoue pas si loin, tant le film est odieusement pénible et nul. La réalisation est catastrophique, rien n’est réussi et ce n’est pas faute d’essayer (au moins) pour Joseph Sargent. Le scénario est risible. Très risible. Essayez de lire sans rire le synopsis du film : il y a vraiment une liaison paranormale entre Lorraine Gary et le requin, ce qui est totalement lamentable. Les acteurs, d’ailleurs sont horrifiants. Entre une Lorraine Gary irritante, un Lance Guest d’une fadeur fantomatique et surtout un Mario van Peebles ridicule avec son accent bahamien insupportable, le film ne mérite que le mépris que les producteurs ont porté à cette production. Un peu de rigueur aurait évité ces scènes d’action lamentables, ces rebondissements idiots et cet ennui mortel. On ne pourrait sauver que Michael Caine, toujours impeccable, et une musique qui utilise bien la partition originale de John Williams afin d’en créer une variation efficace.
Jaws : The Revenge aura permis à Michael Caine de s’acheter une belle maison. C’est le seul bien que ce film a apporté à l’humanité. Seulement pour les acharnés obsessionnels qui veulent voir la saga Jaws jusqu’au bout.
Après le peu de succès rencontré par le troisième opus, les producteurs se lancent quand même le défi de réaliser une suite qui serait, espérons-le, la dernière. Pourtant, si on regarde les critiques générales, cette énième suite est considérée comme une grosse mauvaise blague car elle fut autant huée que le trois. On sent la volonté du réalisateur de ce rapprocher du lieu des deux premiers films : la ville d'Amity. Bien que je ne reconnaisse aucuns lieux, c'est bien elle. C'est dans cette ville que le squale blanc a déjà frappé par deux fois, comme on le dit jamais deux sans trois, et c'est cette fois-ci l'un des fils de Brody qui se fait manger tout cru par le requin. Le film tourne en rond du début à la fin. Roy Scheider, héros des deux premiers opus, a préféré ne pas coller son nom aux deux derniers films de la saga, et il a eut raison. L'histoire n'avance presque pas, on ce contente de balancer des explications bidons. Ainsi on apprend que Brody est mort à cause de sa peur (sans doute pour ne pas dire qu'il n'a pas voulut reprendre son rôle dans cette suite), on apprend aussi que le requin agit par revanche (d'où le titre). Bien entendu, on peine à croire à ces deux explications bidons qui nous sont données pour essayer de garnir le scénario qui reste néanmoins vide. Au final, on s'ennuie pendant tout le film, et ce n'est pas des meurtres aussi sanglants que brouillons qui vont nous faire apprécier le film. D'ailleurs, le film comporte une scène finale des plus minable de la saga. On se demande ce qu'il ce passe lors de l'affrontement final, mais on est content car le film est terminé. Concernant les acteurs, on retrouve Lorraine Gary, déjà présente dans les deux premiers opus. Elle campe le rôle de la femme de Brody qui, cette fois-ci, va se battre contre le requin. On peut d'ors et déjà dire qu'il ne ce passe quasiment rien entre elle et le requin, elle fait mine d'être en colère, mais ce n'est en aucuns cas crédibles. La présence de Michael Caine (Batman Begins, The Dark Knight) dans le film peut faire un choc, sauf que son rôle n'est, lui aussi, en aucuns cas crédible, ni même intéressant. En clair, le casting est foiré en toute part. Les musiques sont, à quelques exceptions près, les mêmes que celles de John Williams. Même si les morceaux sont de très bonnes qualités, on ne peut que pointer du doigt le manque de prise de risque en changeant de musiques. Terminé les effets très spéciaux de l'opus précédent, on revient à la vulgaire marionnette et plastique.
Autant l'épisode 3 enfonçait la saga dans la nullité, autant cet ultime affrontement creuse la tombe jusqu'à la piètre épave de bateau. Pas originale, pas très bien exploitée, jamais intéressante, à des encablures des deux premiers opus. Il n'y a rien à sauver d'une telle suite, pas même les meurtres qui ne sont pas inspirés du tout. Un ratage aussi mémorable que l'opus précédent !