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GodMonsters
1 218 abonnés
2 645 critiques
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4,0
Publiée le 26 juillet 2010
Un peu moins enchanteur que certains chefs-d'œuvres des studios ghibli, Pompoko est néanmoins efficace et emballant, avec un magnifique message écologique !! Ce manga est une belle leçon de vie, mais aussi un long-métrage possédant une belle animation, des personnages attachants et un humour efficace. Je regrette juste un rythme assez moyen. A conseiller !
Un excellent film d'animation japonais! Des personnages très surprenants, un scénario plus qu'original, qui nous étonne à chaque minute, des métamorphoses hallucinantes et des créatures très attachantes. Une belle leçon de vie sur la vie en communauté et le partage d'un teritoire, une magnifique histoire, très bien menée. De l'action, des rires, de l'amour et de l'émotion; à voir!!!
Une fable écolo de plus à mettre à l'actif de l'animation japonaise. Takahata nous entraine dans un univers imaginaire merveilleux mais ancré dans la réalité. Il donne vie à des créatures drôles et sympathiques confrontées à des évènements dramatiques (causés, une fois de plus, par les hommes et l'industrialisation). Drôle et émouvant, tourné à la manière d'un documentaire historique : original, même si le film tire un peu en longueur.
Ce n'est vraiment pas le meilleur film des Studio Ghibli. Peut-être parce que ce n'est pas par le Dieu Miyasaki! :D J'ai trouvé ce film long à regarder, pas assez prenant...
Très beau film du studio Ghibli. Une fable assez originale avec un dénouement innatendu, mais l'intrigue et le découpage est relativement déroutant tant on a l'impression de ne pas suivre qu'une seule histoire. et puis ... c'est mignon tout plein.
Un beau conte écologique de Isao Takahata, mais qui reste, selon moi, en deça de ce qu'est capable de faire Miyazaki, pour le même studio Ghibli. Certains passages sont cependant exceptionnels, et méritent à eux seuls d'aller voir le film (la parade des tanukis !). Enfin, il n'est pas inutile de préciser que ce dessin animé est bien moins enfantin qu'il n'en a l'air.
En comparaison d’un autre maître des films d’animation japonais, Hayao Myazaki ou d’un film précédent de Takahata (Le tombeau des lucioles), j’ai pu ressentir une certaine émotion moindre lors de la projection de Pompoko. L’attente était peut être trop forte, vu ce qui précédait. Pompoko a sûrement trop de lenteurs et de répétition du fait que les Tanukis puissent se transformer le plus souvent en presque tout, plombe un peu le scénario ; l’impossible devient trop souvent possible. Ces réserves émises, le film reste intéressant. Certaines scènes sont de véritables morceaux de bravoure d’inventivité visuelle, qui plus est chargé d’humour, tel le défilé de spectres dans les rues de la ville la nuit (belle idée de scénario qui montre le côté blasé de l’homme), la transformation parfois difficile des Tanukis en êtres humains au début du film, les blagues faites aux hommes. Les scènes les plus réussies correspondent aux moments tragi comiques. Par contre, les moments les plus sérieux, quand les messages humanistes écologiques sont énoncés, sont moins aboutis. Myazaki, qui a participé au scénario, apporte un univers fantasmagorique réussi. Myazaki part du réel pour aller vers le merveilleux tandis qu’ici, le fait d’être d’emblée dans l’irréel (des animaux anthropomorphes et doués de pouvoir) donne un résultat moins captivant.
Une œuvre particulièrement originale, qui vaut le détour rien que pour le dépaysement culturel. Le réalisateur nous embarque dans ce qui semble être une inspiration forte des contes et légendes japonaises. C’est un vrai plaisir de découvrir les Tanukis, créatures transformistes qui vont se battre contre les humains pour la protection de leur foyer. Un film pour petits et grands à découvrir avec la plus grande attention notamment en cette faste période écologiste !
Je voulais le voir avec impatience et ma déception est grande. Du même réalisateur que le chef-d'oeuvre Le tombeau des lucioles, Pompoko reçoit auprès de la critique presse que des éloges dont je trouve quelque peut surestimé. Pourtant je nie pas que l'histoire est pas intéressante, mon malaise vient essentiellement des dessins qui me donne un gout bien trop enfantin. Je confirme, de mon coté, j'attache donc pas trop d'intérêt pour Pompoko. D'un autre coté pour les enfants la magie opère immédiatement.
(..) Preuve aussi de la maturité précoce du cinéma d'animation nippon, Pompoko se veut fantasmagorie dans un esprit d'adulte tendant vers l'enfance, voir même à l'état sauvage. Amer d'un monde sans rêves ni aspérités, Pompoko est surtout l'utopie du retour à l'état naturel, idée qu'elle parvient à faire parvenir sans mièvrerie ni lourdeur, le message et le divertissement se complétant sans le moindre heurt.
Possédant un scénario assez simple de jolie fable écologique, ce dessin animé pour enfants est pourtant un peu ambigüe, il explore de façon très réaliste les possibilités de lutte (contre la société moderne et l'expanssion des villes) qu'auraient les tanuki (une espèce canidée japonaise) s'ils possédaient les pouvoirs que leur attribu la tradition japonaise (très respectée dans le film et assez hermétique pour nous). Pompoko mèle donc le film pour enfant, le documentaire, le fantastique et un certain sérieux et sens du tragique. Mais l'animation parfaite et le beau et très doux dessin servent admirablement les saynètes où les tanuki font peur aux humains en se transformant, ou bien le défilé spectral en ville, point d'orgue du film. Ces scènes drôles et oniriques sont les plus interessantes de ce très sympathique dessin animé, une des réussites du studio Ghibli.
A mourir d'ennui. le vrai ennui, c'est que j'adorerais adorer ce film mais je peux pas. Le ton moralisateur et le côté film d'animation fonctionnent pas du tout. Le film manque de rythme et lasse rapidement. Mais bon, le message est important, l'écologie bla bla bla. Pas franchement passionnant mais nécessaire.
Si vous êtes fan du folklore japonais, alors foncez ! Mais renseignez-vous avant, parce que ce film est bourré de références aux légendes japonaises. La scène finale (la réalisation du projet des Tanuki) est tout simplement une merveille, à chaque fois que je la vois je reste scotchée devant l'écran.
Très moyen, je pense ne pas avoir la culture suffisante (sur cette espèce de raton laveur) pour réussir à m'immerger dans ce dessin animé qui du coup est peu crédible : des bestioles qui se transforment en n'importe quoi pour sauver leur habitat que les hommes grignotent de plus en plus.