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    Orca
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    Philippe ANSELIN
    Philippe ANSELIN

    4 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 avril 2024
    Un superbe film qui montre la bêtise humaine et l'instinct de vengeance d'un animal doté d'une intelligence exceptionnelle dotée d'une bande son inoubliable ce fulm triste vous fera passer un excellent moment
    gerard stevenson
    gerard stevenson

    8 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 mars 2024
    Deux ans après "les dents de la mer", Michael Anderson délivre sa version de l'homme face à un animal marin. Ici, c'est au tour de l'épaulard appelé aussi orque.
    Mais nous avons beaucoup de différence entre les deux films. Déjà, le gentil est côté animal. L'orque mâle veut se venger du massacre de sa compagne et de son petit. Face à lui, l'humain , un vieux marin antipathique. Et on sait qui va gagner.
    La musique faîte par John Williams pour les dents de la mer était réussie. Là Ennio Morricone se plante, surtout pour les moments de présence de l'orque avec ce son plus ou moins strident et n'apportant nulle angoisse.

    Point commun : le/la scientifique spoiler: (qui s'en sort)
    . Sur ce film, Charlotte Rampling tient le rôle. C'est plat.

    Beaucoup de côtés risibles, ratés.
    En vrac, citons :
    les effets spéciaux,
    l'intelligence de l'orque qui vient casser les tuyaux apportant le carburant aux bateaux dans le port et qui casse une lanterne trainant sur un ponton. Ce qui fait que cela met le feu à la réserve d'essence,
    la répétition du saut hors de l'eau de l'orque.
    la présence d'un indien (Will Sampson découvert dans "vol au dessus d'un nid de coucou") sage.
    Family Atipic
    Family Atipic

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 mai 2023
    Mais wesh c'est quoi c'est mer** c'est dégueulasse spoiler:
    la mort de la femelle est gore quand elle perd son veau c'est immonde ah vomir fuyez un free Willy fait bien l'affaire
    steevevo
    steevevo

    3 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 janvier 2023
    Intéressant thriller en forme de contrepoint de Jaws. Surprenant et didactique. Quelques belles scènes et images chocs. Mais tout cela a bien vieilli et se traîne un peu. On est tout de même bien loin du film de Spielberg. Mais on peut voir.
    Michael
    Michael

    16 abonnés 374 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 octobre 2022
    Si l on passe un peu le côté rocambolesque de base du scénario un orque dont des pêcheurs ont tues la femelle qui était enceinte on a un.film prenant avec de l émotion. C est certes un peu prévisible mais bien fait
    Melie Melo
    Melie Melo

    16 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 septembre 2022
    Ce film a été moins populaire car passé derrière les Dents de la mer à l'époque ce qui est très dommage. Dommage car on se positionne cette fois-ci du côté de la bête. On est pour cette orque et contre l'homme.
    Le film a vieilli certes mais il a pris en popularité sur les décennies.
    J'ajoute un bon casting (Richard Harris, Charlotte Rampling plus particulièrement) et la musique : Ennio Morricone (très bonne musique qui vous donne les sanglots.

    A voir et à revoir.
    Niletty
    Niletty

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 juillet 2022
    Je l'ai vu quand j'avais 10 ans, j'en ai encore des souvenirs. L'histoire est vraiment bouleversante, en tous cas pour ceux qui aiment les animaux. Avec les yeux d'aujourd'hui il aura surement mal vieilli c'est normal. Mais à l'époque ce film m'a marqué et certainement aura marqué toute une génération. A 10 ans, j'en avais les larmes aux yeux, et les adultes qui étaient avec moi aussi. Donc si le but d'un film est de générer des émotions à l'époque en tous cas c'était gagné d'où les 5 étoiles. Je vais le revoir avec mon fils, fan de requins et d'orques et j'essaierai de garder en tête que ce films a plusieurs décennies.
    JkJames RavonCollin
    JkJames RavonCollin

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 janvier 2022
    Je comprends pas les gents quand il compare Orca au film les dents de la mer cela n à rien avoir du tout. Les dents de la mer c juste un requires uin blanc qui s approche des cotes et chasse tout ce qu'il voit. Or Orca ce n est pas du tout ça c juste l Orque Mâle qui veut venger la mort de sa femelle et de son petit en s attaquant aux membre du bateau lors cet tragédie. Il n y a aucune comparaison possible entre C es 2 film. Et de plus il faut savoir que les Orque sont très intelligent et contrairement à ce que certains dise oui les animaux peuvent avoir des émotions comme nous même plus profondes que nous.
    catie Lee
    catie Lee

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    2,0
    Publiée le 19 janvier 2022
    J'avais 17 ans lorsque j'ai vu Orca la première fois. Je trouve que le prénom de l'orque devrait se trouver dans le casting. De plus, il n'est dit à nulle part qu'aucun animal à été blessé lors de ce tournage. C'était spectaculaire à l'époque, mais les deviances avec les animaux à une époque où on tuait vraiment les animaux me fait horreur. Si j'apprends qu aucun animal n'a été blessé, mon estime pour ce film remontera certainement car je suis fan de Charlotte rampling .
    Shawn777
    Shawn777

    459 abonnés 3 327 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 novembre 2021
    Ce film, réalisé par Michael Anderson et sorti en 1977, n'est pas terrible. Bon, il faut dire que je n'avais pas beaucoup aimé non plus "Les Dents de la mer" de Steven Spielberg, sorti deux ans plus tôt, il est était donc difficile que j'adhère à celui-ci, qui s'en inspire beaucoup. On y retrouve en effet plus ou moins les mêmes situations (c'est-à-dire, pour la faire courte et en gros, des marins sur un bateau attaqués par un animal marin) sauf qu'ici, l'animal en question est un orque et qu'il veut sa revanche ! Un peu comme dans le quatrième opus de la saga "Les Dents de la mer", l'animal est rusé et il a un cerveau aussi, sinon voire plus, développé que l'humain. Le film est par ailleurs intéressant pour toutes ces précisions, bien que certaines sont très sûrement exagérées, sur un animal finalement très sous-estimé. Bref, l'histoire tourne plutôt vite en rond à mon goût, je n'avais pas eu peur devant le film de Spielberg, du moins, je n'avais pas été sensible à la tension créée par le film et je le suis encore moins ici car le réalisateur n'est pas Spielberg non plus ! Effectivement, si le précédent utilisait certes plus de maquettes mais nous servait des plans plus originaux, ici, on se contente de quelques plans d'orques sautant dans l'eau, qui sont certes très beaux mais font plus penser à un documentaire animalier. Bon, je suis tout de même médisant, je reconnais que nous avons quelques scènes réussies, notamment l'attaque de la maison sur pilotis. Concernant les acteurs, nous retrouvons principalement Charlotte Rampling et Richard Harris qui jouent très bien. "Orca" n'est donc pas un film complètement raté mais pas une réussite non plus !
    Hotinhere
    Hotinhere

    419 abonnés 4 737 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Un film de vengeance maritime au récit assez prenant et aux effets spéciaux qui ont pas trop mal vieilli, doté d’un excellent casting et accompagné par la BO de Morricone.
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    28 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2021
    2 ans après le triomphe des "dents de la mer" on aurait pu s'attendre à ce qu'"Orca" soit une tentative vers le plus gros et le plus sanglant. Pas du tout, le film se rapprocherait presque plutot de "Moby Dick" et on a vite qu'une envie que les pécheurs crévent les uns après les autres. Difficile de ne pas prendre le parti de l'Orque dans cette histoire d'aventures maritimes (plus que que film d'horreur). C'est superbement filmé, la musique colle à merveille, ça n'a pas pris une ride. Film fortement recommandé 4/5
    Xavier D
    Xavier D

    47 abonnés 1 047 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 avril 2021
    Ce film souffre évidemment de la vague à succès du Jaws de Spielberg, sortie deux ans plus tôt. La belle Charlotte Rampling et Richard Harris font ce qu'ils peuvent pour sauver ce film du naufrage. Un message sur la barbarie de la pêche est délivré, et du la notion de vengeance entre les animaux et les hommes. Le scénario est assez proche de l'idée de l'œuvre de Peter Benchley version cinéma et la réalisation est assez classique et un peu vieillotte. Une fin plutôt surprenante, et pleine de justice.
    Buddy_Noone
    Buddy_Noone

    1 abonné 89 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 décembre 2020
    Sorti en juin 1977, soit près d'un an avant la sortie de Jaws 2, Orca (de son vrai titre L'Orque assassinée) peut-être considéré aujourd'hui comme un des rares ersatz réussis des Dents de la mer, à ceci près, bien entendu, que l'animal vedette n'est ici pas un grand requin blanc mais un épaulard, animal à la réputation pourtant plus positive et rassurante. Toujours prêt à suivre les tendances cinématographiques de l'époque, le producteur Dino De Laurentiis décidait ainsi de s'attaquer au film de terreur aquatique et concluait de la sorte sa trilogie des "monstres", initiée par le remake de King Kong et poursuivi par Le Bison Blanc et Orca, ces deux derniers films étant d'ailleurs sortis à quelques mois d'écart. La réalisation d'Orca fut confiée à Michael Anderson, un grand habitué des films marins et réalisateur de quelques classiques de l'anticipation (1984, L'âge de Cristal), assisté ici pour l'occasion par Brian W.Cook, célèbre assistant-réalisateur de Stanley Kubrick. A sa sortie, le film fut un modeste succès, à tel point que les producteurs de la saga Jaws lui adresseront même un clin d'oeil au début de Jaws 2, lorsque Martin Brody découvrira un épaulard échoué sur la plage, et apparemment victime du monstre d'Amity.

    Lors d'une expédition dans les eaux, au large de Terre-Neuve, le Capitaine Nolan sauve la jeune océanographe Rachel d'une attaque de grand blanc. Mais au cours du sauvetage, un des hommes de Nolan, Ken, tombe à l'eau et est attaqué par le requin. Il est finalement sauvé par l'intervention d'une orque femelle qui tue aussitôt le squale et permet au jeune homme d'être secouru par l'équipage de Nolan. Obsédé par cette rencontre et la remarquable intelligence des orques, ce dernier se met alors en tête de capturer la femelle pour la revendre à un zoo, malgré les mises en garde de Rachel. L'opération tourne mal et la femelle orque se blesse grièvement sur l'hélice du bateau. L'équipage la hisse alors sur le pont et assistent avec horreur à sa mise à bas d'un foetus agonisant que Nolan éjecte aussitôt dans la mer. Tout cela se passe sous le regard impuissant et les plaintes de l'orque mâle. Dès lors, celui-ci n'aura de cesse de poursuivre Nolan de sa vengeance et s'en prendra tout autant aux membres de son équipage qu'aux autres marins du port. Une guerre sans merci va alors opposer le capitaine à l'animal qui le traque.

    Bien qu'il se présente comme un ersatz des Dents de la mer, Orca s'en démarque pourtant par sa mécanique narrative et la thématique qui lui est propre. Car il s'agit plutôt ici d'un pur film de vengeance animalière lorgnant clairement sur l'antagonisme au centre du roman Moby Dick d'Herman Melville. Animé par la colère, l'épaulard ne cessera de poursuivre le capitaine Nolan de sa vindicte, poussant aussi ce dernier à lui vouer une haine féroce pour les proches auxquels il s'en est pris en voulant l'atteindre. En confrontant l'homme et la bête dans une intrigue essentiellement vengeresse, Orca aurait pu facilement dériver vers les poncifs du nanar, d'autant plus que la réalisation de certaines séquences peut paraitre assez bâclée. Pourtant, le scénario du film réussit à dresser une comparaison intéressante entre ces deux protagonistes, les mettant constamment en opposition dans leur chassé-croisé vengeur tout en mettant en parallèle leurs similitudes et leur trajectoire. Du côté de l'homme, c'est le regretté Richard Harris qui est à l'honneur dans ce rôle de loup des mers, homme à femme plutôt charismatique et non dénué de bon sens, qui semble totalement dépassé par la hargne surnaturelle de son poursuivant. Le premier interprète de Dumbledore se révèle ici tout simplement impeccable dans un rôle ambigu au possible qui appelle autant l'empathie que le mépris du spectateur. Le regard bleu azur de l'acteur, son charisme magnétique et son jeu ambivalent, soulignent tout autant la hargne que la vulnérabilité d'un personnage dont n'importe quel autre réalisateur aurait pu faire un simple salaud.

    Du côté de l'animal, le scénario se sert adroitement des quelques particularités connues de l'espèce des orques pour dérouler son intrigue. Les épaulards sont ainsi réputés pour être des animaux marins à l'intelligence supérieure aux autres espèces, plus encore que les dauphins dont ils partagent bon nombre de similitudes. Ce sont des super-prédateurs dans leur environnement, qui ne craignent aucun chasseur si ce n'est l'homme. Ils éprouvent de l'empathie, ont une mémoire phénoménale, évoluent en groupe et arrivent à communiquer et vocaliser avec leurs congénères. Dans ce film, l'épaulard est endeuillé et donc essentiellement solitaire, et sa soif de vengeance surnaturelle semble en faire une authentique némésis pour sa proie, notamment dans sa manière de traquer Nolan et de se plaire à le tourmenter. Qui plus est, le parcours de l'animal prend une aura réellement tragique dans le fait que l'orque est effectivement un animal monogame, connu pour n'avoir qu'un seul partenaire dans sa vie et se laissant ensuite dépérir s'il en vient à perdre ce dernier, selon les observations de certains océanographes. Orca suppose ainsi que les agissements de son animal vedette sont essentiellement motivés par l'affection que ce dernier portait à sa femelle.

    Le final, d'un pessimisme bouleversant, verra ainsi l'épaulard survivant devenir vagabond et disparaitre dans les eaux noires du pôle, le réalisateur semblant évoquer l'errance finale d'une créature vouée à se laisser mourir puisqu'étant blessée et n'ayant plus aucun but.

    Sublimé par le score d'Ennio Morricone, Orca bénéficie aussi d'un casting de haute volée. Aux côtés de Richard Harris et face à l'orque, on retrouve ainsi la jeune Charlotte Rampling, sublime dans un rôle d'océanographe témoin du combat entre les deux protagonistes, Will Sampson, le géant amérindien jouant ici un professeur se joignant à Nolan, et la jeune débutante Bo Derek, dont l'innocence et la beauté diaphane ne préserveront pas son personnage d'un sort injuste. Le film compte quelques scènes marquantes, particulièrement traumatisantes dans leur mise en scène, comme la fameuse scène du foetus tombant sur le pont du bateau, de la destruction de la maison sur pilotis et même cette confrontation finale dans les eaux glacées du pôle.
    Depuis sa sortie, Orca a beau être tombé un peu dans les limbes du cinéma de genre, il n'en reste pas moins un excellent film fantastique et une des meilleures déclinaisons du parangon spielbergien. C'est aussi un rappel poignant à la préservation et à la compréhension de cette formidable espèce qui, comme les autres odontocètes, souffre toujours de la bêtise et des intérêts de son seul prédateur.
    Graziacampanielo
    Graziacampanielo

    6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 août 2020
    ce film m'a marquée durant mon enfance .. la musique est magnifique, les plans au début du film spectaculaire... le scénario est super, tout était pour me plaire.. L'ayant revu il y a peu, il n'a en rien vieilli à mon goût, superbe film !
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