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    Femme Fatale
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    1,9
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    119 critiques spectateurs

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    Stephenballade
    Stephenballade

    354 abonnés 1 235 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 janvier 2018
    Même les plus grands réalisateurs se plantent. "Femme fatale" en est la superbe illustration. C’est avec une immense déception teintée d’amertume que je constate que le cinéaste n’échappe pas lui non plus à cette règle, malgré son nom qui inspire à lui seul la confiance tant chez les producteurs que chez les spectateurs. Pourtant je l’aime bien, m’étant par le passé régalé avec des œuvres telles que "Blow out" et "Les incorruptibles" pour ne citer qu’eux. Mais là… c’est lent, c’est mou : un rythme pataud accentué par une utilisation massive d’effets de style comme les ralentis, les effets de résonance pour faire de son "Femme fatale" un film à ambiance lourde, voire étouffante. Bref ! un truc déconnecté de la réalité. Il est presque parvenu à faire quelque chose de sensationnel. Mais en le regardant, je me suis demandé si De Palma n’avait pas voulu posséder coûte que coûte son "Basic instinct". En tout cas, il a tout fait pour : un latin lover en la personne d’Antonio Banderas (toujours impeccable dans ce registre), une blonde n’ayant pas froid aux yeux à en faire tourner les sens à n’importe qui (Rebecca Romijn), et une musique envoûtante de Ryuichi Sakamoto dont le thème principal "Bolerish" fait penser à la plus célèbre des compositions de Ravel, à savoir "Bolero". La mise en bouche est pourtant de haute-volée, incrustée au sein du 54ème Festival de Cannes (2001), au cours duquel un casse audacieux va avoir lieu selon un mode opératoire précédemment expliqué dans ses grandes lignes. Jusque-là oui, c’est bougrement prenant, limite hypnotique (superbe prise de vue à travers la cloison en verre opaque), et c’est tout juste si l’écran (incidemment) caché par un agent de surveillance se remarque. Le spectateur a beau être subjugué par le mode opératoire du casse, certains détails comme celui-là ne lui échappent pas. Il y en a d’autres… Puis on change d’endroit, pour se retrouver quelque part dans un pavillon où les choses semblent se dérouler d’une façon curieuse. Le plus flagrant sera l’aquarium qui déborde… cela ne se remarque pas forcément bien qu’il soit placé au premier plan (certes flouté), simplement parce que la principale préoccupation de l’image se trouve ailleurs. Mais souvenez-vous en car c’est un détail d’une importance capitale (avec l’heure affichée par la petite pendule) qui vous fera comprendre à son retour le pot aux roses avant même qu’on vous dise ce qu’il en était vraiment. En attendant De Palma nous embarque dans une histoire assez originale sans qu’elle le soit vraiment. En effet, la femme fatale est un sujet qui a été maintes fois abordé par le cinéma. C’est plutôt le traitement qui sort ici des sentiers battus. A aucun moment on ne peut deviner la fin (sauf juste avant). Et c’est là qu’on retrouve la patte du cinéaste, car il sait brouiller les pistes. Pire, il envoie son public dans une direction alors que ce n’est pas du tout la bonne ! Chers lecteurs et chères lectrices, ne vous fiez pas aux apparences : tout parait clair, tout parait convenu, tout parait sans surprise, tout parait chaud patate et… à la longue terriblement ennuyeux. Le twist final est là pour sauver le tout, mais n’arrive-t-il pas trop tard pour rattraper l’éventuel désintérêt (et auquel cas grandissant) du spectateur ? Heureusement que Rebecca Romijn hypnotise le spectateur de son charme ! Visiblement, elle sait y faire pour jeter son dévolu sur sa proie, mais elle n’atteint pas le niveau de l’ensorcellement pratiqué par Sharon Stone ("Basic instinct"), ou de Juliette Binoche ("Fatale") ou encore de Kim Basinger. Antonio Banderas lui donne bien la réplique, mais il se contente de faire ce qu’il sait faire. En somme, Banderas fait du Banderas. Par ailleurs, la technique est irréprochable. Comme toujours chez De Palma, me direz-vous. Mais est-ce bien suffisant pour emballer tout un public ? Je ne crois pas, et si je dois me fier à la note donnée par les spectateurs, il semblerait effectivement que non.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 009 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 avril 2017
    Brian de Palma est aujourd'hui en retraite contrairement à Martin Scorsese ou Francis Ford Coppola ses camarades du Nouvel Hollywood. Lentement à partir de "L'impasse" (1993) son dernier grand film, le déclin s'était amorcé. Hormis "Mission impossible" en 1996 le premier épisode de la saga inspiré de la célèbre série télévisée aucun des six films qu'il a tourné entre 1998 et 2012 n'a rencontré le succès. Pire, la critique qui déjà le considérait quelque part comme un plagiaire non-assumé d'Alfred Hitchcock, lui est tombée dessus à bras raccourcis. Il faut reconnaître que le réalisateur autrefois si inspiré même dans ses hommages au maitre du suspense, peut-être déçu de ne jamais avoir vraiment réussi à convaincre pleinement, semblait tout-à-coup vouloir donner raison à tous ses détracteurs lui reprochant un manque de consistance habilement camouflé derrière un sens inné de l'épate technique virant parfois à la boursouflure. "Femme fatale" en est sans aucun doute l'exemple le plus frappant. Comme si De Palma pas encore remis de l'échec cuisant de "Mission to Mars" (2000) forcément comparé à "2001, Odyssée de l'espace" de Stanley Kubrick, avait voulu montrer à ses éternels ennemis du monde de la critique, ce qu'est vraiment un cinéaste en toc, sans aucun sens de l'agencement des scènes et des plans, mauvais directeur d'acteurs, utilisant les artefacts de réalisation comme le split screen sans aucun discernement et incapable de construire une intrigue crédible. Le ton est immédiatement donné dans le générique où défile sous les yeux du mannequin Rebecca Romjin, un extrait du mythique "Assurance sur la mort" (1944) de Billy Wilder, archétype du film noir introduisant la figure de la femme fatale sous les traits de la vénéneuse et inoubliable Barbara Stanwyck. Les critiques l'accusant en permanence de plagiat, cette fois-ci De Palma leur donne tout de suite le bâton pour se faire battre. spoiler: La suite sera à l'avenant, De Palma se montrant un remarquable réalisateur de navets. Tout d'abord le hold-up situé en plein Festival de Cannes filmé avec les pieds et sans aucune crédibilité, De Palma alors en couple avec la jolie Elli Medeiros (chanteuse et actrice uruguayenne) semblant plus appliqué à filmer les ébats saphiques de Rie Rasmussen avec Rebecca Romjin que de nous tenir en haleine avec ce "casse" auquel on ne croit pas une seconde. La surenchère dans l'invraisemblance va crescendo. Sortie on ne sait par quel miracle du Palais des Festivals avec le butin en poche après que le coup a lamentablement foiré, Laura Ash (Rebecca Romjin) de retour à Paris met par hasard les pieds dans une église où se tient l'enterrement du mari et de la fille de Lily qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau. Heureuse coïncidence qui va permettre à Laura de devenir Lily et de se faire ainsi oublier. Mais le bel Antonio Banderas lui aussi là par hasard a filmé la scène et ses anciens complices furieux sont maintenant à ses trousses
    . De raccourcis tortueux en ellipses de haute volée, de Palma réussit une sorte de chef d'œuvre du nanar qui finit par trouver sa cohérence si l'on veut bien y voir un exercice de style exécuté par un grand réalisateur en roue libre. Le tournage à Paris et l'emploi hasardeux de comédiens français qui se demandent ce qu'ils font là (Eva Darlan, Thierry Frémont) finissent de parachever la performance de De Palma. Seule la musique de Ryuichi Sakamoto parvient à quelque peu nous rappeler que nous sommes dans un thriller. De Palma s'est peut-être amusé à faire un joli pied de nez à ses détracteurs mais il a oublié au passage ses admirateurs. Les trois films qui suivront confirmeront malheureusement que le réalisateur de "Carrie", "Obsession", "Blow out", "Body Double", "Pulsions" et "Scarface" était arrivé depuis un moment au bout de son chemin créatif. A noter pour l'anecdote que l'on aperçoit lors d'un plan dans une boîte de nuit le boxeur Fabrice Bénichou.
    pierrre s.
    pierrre s.

    351 abonnés 3 235 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2017
    Avec Femme Fatale, Brian de Palma nous apprend à nous méfier des apparences, dans tous les sens du terme. Concernant son propre film d'abord, il faut en effet plusieurs visionnages pour se rendre compte de la qualité de son thriller. Ensuite concernant l'histoire et la réalisation de ce dernier, qui recèlent d'innombrables fausses pistes et indices, qu'on ne peut pas remarquer du premier coup. Ajouter à cela une réalisation une nouvelle fois éblouissante et vous obtenez un très bon cru façon De Palma.
    Eselce
    Eselce

    1 204 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 octobre 2016
    Crédibilité zéro pour le changement d'identité ! Le début au festival de Cannes était pourtant bien mais le photographe, et le passeport qui tombe de lui-même... N'importe quoi ! Idem pour les 7 ans plus tard et le costume encore imbibé de sang lors de la sortie de prison... Ce film est un fourre-tout bâclé au mauvais montage et au scénario mal improvisé. Pire, le jeu des acteurs baisse avec le temps.
    Ricco92
    Ricco92

    176 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 septembre 2016
    Après l’échec critique et commercial de Mission to mars, ajouté aux conflits apparus avec Disney pendant la post-production, Brian De Palma revient vers un scénario écrit par ses soins et plus proche de son univers. Hélas, le résultat est loin d’être convaincant.
    Si le film possède des moments cinématographiques impressionnants spoiler: (essentiellement les deux premières séquences, c’est-à-dire le plan-séquence d’ouverture et la séquence du cambriolage, qui malgré un déroulé scénaristique moyennement crédible, est réalisé de manière particulièrement brillante)
    et une musique de Ryūichi Sakamoto extrêmement réussie spoiler: (son dérivé du Boléro de Ravel apporte énormément à la réussite de la séquence du casse cité ci-dessus)
    , Femme fatale fait partie des œuvres de Brian De Palma sombrant dans le ridicule. En effet, les marques de fabrique de De Palma tel que le split-screen sont loin de convaincre cette fois spoiler: (le summum étant atteint avec la séquence du meurtre de l’amie de Laure où les ralentis confinent au grotesque)
    . De même, le goût du cinéaste pour l’érotisme oscille entre une séquence plutôt réussie mais gratuite spoiler: (le strip-tease)
    et un plan de pur voyeurisme spoiler: (le plongeon de Laure nue)
    .
    Mais c’est surtout le scénario qui plombe véritablement le film. spoiler: Déjà, le fait que la presse people française fasse sa couverture sur la femme d’un ambassadeur américain est peu crédible (qui est capable en France, à l’exception des gens travaillant dans le milieu politique et peut-être de certains journalistes, de citer le nom du moindre ambassadeur se situant sur son territoire ?).
    Les personnages sont peu attachants et peu crédibles (chose renforcée par une interprétation peu convaincante, à l’exception de Rebecca Romijn-Stamos) et on ne croit jamais réellement à l’histoire. spoiler: Le scénario devient particulièrement énervant lorsque De Palma nous ressort le coup du rêve concernant une grande partie de l’histoire : on se dit que le cinéaste-scénariste se moque de nous et utilise ce cliché pour se sortir d’une histoire dont il n’arrive pas à trouver une conclusion convaincante. La lourdeur de ce retournement de situation est en plus renforcée par la présence de l’affiche publicitaire indiquant « Déjà Vue ».

    Enfin, pour les spectateurs privilégiant la version française, il faut noter que le doublage pas très réussi n’aide pas à crédibiliser le tout.
    Capable de réaliser de belles réussites (Phantom of the Paradise, Carrie, Pulsions, Blow out, Scarface, Body double, Les Incorruptibles ou bien Mission : impossible entre autres), Brian De Palma peut offrir parfois des œuvres indignes de son talent et Femme fatale est hélas à classer dans cette catégorie aux côtés d’un film comme L’Esprit de Caïn.
    Fabien S.
    Fabien S.

    457 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 août 2016
    Brian de Palma nous livre un récit sanglant sur le festival de Cannes en 2001.Il met en scène une ambiance torride pour le baiser entre les deux femmes. Antiono Banderas incarne un photographe malicieux. Rebecca Romijn tient le rôle d'une tueuse à gages.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 novembre 2016
    Je ne comprends pas trop la non-popularité de ce film que j'ai trouvé très bien à cela près que le réalisateur a voulu, comme ça arrive parfois dans le cinéma, être trop gourmand à mettre du mystère sur quelque chose qui partait pourtant pour être super efficace. Enfin, ce bémol ne concerne que la toute fin du film qui est tout à fait croustillant. Rebecca Romijn est une femme fatale tout aussi sexy que garce et le film ne manque ni de rythme ni de saveur. Tous les acteurs sont bons et la réalisation est très propre bien que ça ne soit pas du Scorsese. C'était un 5 étoiles en devenir jusqu'au dernier quart d'heure où l'épilogue essaye de verser dans le scénario conceptuel alors qu'en s'en passant de Palma aurait pu mettre un rideau de fin dans le vif de l'émotion. Un bon film à voir. Pour finir, ce que j'ai apprécié dans ce film c'est que bien que la "femme fatale" soit un symbole du film noir, De Palma ne s'est pas senti obligé d'être dans le pure hommage au style (comme dans le Dahlia Noir, qui est par ailleurs un film réussi) et a pris la liberté de le faire avec son style et avec la modernité de son époque, les strip tease sont plus osés que dans "Gilda", les paroles sont plus crues etc... Bref, J'AIME
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    218 abonnés 2 787 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 mai 2016
    De Palma décline sa recette préférée (sexe et voyeurisme) mais marque singulièrement le pas ici. L'histoire biscornue semble n'être qu'un prétexte à une enfilade de scènes sans réel rapport les unes avec les autres, jouant sur le côté sulfureux sans le moindre fard ou artifice formel et frisant plus d'une fois l'inutilité. Les acteurs paraissent un peu perdus et livrés à eux-mêmes (Banderas en tête), et n'eût été la mise en avant de la plastique impeccable de Rebecca Romijn on n'en aurait sans doute pas autant parlé. Heureusement que le sens du rythme et du spectacle est toujours là pour éviter au spectateur de s'ennuyer. La fin, elle, laisse plus que perplexe...
    7eme critique
    7eme critique

    461 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 avril 2016
    Brian De Palma se met à faire du Luc Besson... Sans rire, on n'en est pas loin du tout !
    "Femme fatale" est un film de piètre qualité, et ce sur tous les plans. Il n'y a rien à conserver dans ce condensé de médiocrités. A fuir !
    ferdinand75
    ferdinand75

    453 abonnés 3 640 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 avril 2016
    Un policier de De Palma qui manque un peu d'inspiration. L'intrigue est en plus assez embrouillée, on ne s'y retrouve pas toujours dans cette usurpation d'identité. Le film vaut surtout pour la réunion et confrontation de Banderas , toujours surper en macho latin lover, et la très belle Rebecca Romijn.
    Adrien B.
    Adrien B.

    17 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 février 2016
    La photographie du film est digne d un film diffuse sur NRJ12. Quant a l image de la femme (je sais tout est dans le titre) elle est tout simplement degradante.
    Eric C.
    Eric C.

    202 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2015
    On aime ou on déteste De Palma et son cinéma déclaré copieur, artificiel, hitchcockien et sans imagination aux effets too much et avec une image trop travaillée et papier glacé. Pourtant ses films ont tous une unité, une réelle beauté esthétique, des intrigues et faux semblants, des fausses pistes, et des mises en valeur de la féminité et de la sensualité que certains qualifient de voyeurisme malsain. Femme fatale est respectueux de ces constances. Au final c’est un polar très réussi, esthétiquement superbe, avec une actrice sublime et sensuelle Rebecca Romijn. Elle campe une cambrioleuse de haut vol qui après un vol de diamants au festival de Cannes va usurper l’identité d’une femme suicidaire, son quasi sosie. Son charme va la porter à épouser l’ambassadeur des États Unis mais son passé ses anciens complices revanchards vont ressurgir. Au milieu de cela, Antonio Banderas, paparazzi crédule, va se faire manipuler par cette beauté sulfureuse, machiavélique et d’une sensualité torride. Un excellent divertissement avec en lumière et en valeur la superbe Rebecca Romijn, au corps plus connu par son interprétation de mystique dans la première trilogie x men.
    djacno T.
    djacno T.

    32 abonnés 858 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 janvier 2015
    Un film qui reprend les recettes du cinéma Hitchcock sans strasses ni paillettes et du trash en guise de glamour. Une réalisation pompeuse sur un scénario nul et un hommage nombriliste au septième lard.
    Tiger V.
    Tiger V.

    77 abonnés 1 248 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 septembre 2014
    Un film un peu décevant et pas très clair. Un scénario pas mal mais l'intrigue met beaucoup trop de temps à mettre en place. Antonio Banderas est pas mal dans le rôle du photographe mais par contre l'actrice ne se montre pas à la hauteur de ce que j'attendais malgré une belle performance sexy. Le début s'annonce bien et puis une longueur s'installe pendant une bonne vingtaine minute jusqu'à un joli coup de manipulation qui nous attire. Il y a un petit suspense qui s'installe et quelques bons rebondissements. Mais par contre, il y a un moment du film où on comprends plus rien et c'est même très incohérente malgré que la fin est pas mal du tout. Les costumes sont bien choisis et quelques beaux décors de Paris. Un film qui aurait pu être vraiment bien mais qui a un gros problème de scénario.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 juillet 2014
    Un film au climat " DePalma" mais dont le scénario est trop confus . Si vous êtes admirateur comme moi de Brian DePalma , jettez y un coup d' oeil .
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