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    Rome, ville ouverte
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    4,0
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    54 critiques spectateurs

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    brunocinoche
    brunocinoche

    69 abonnés 1 072 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2014
    Un classique du néo-réalisme italien ressort sur 3 écrans parisiens cette semaine. Certes à éviter les jours de cafard, mais quelle puissance dramatique, des scènes déchirantes et inoubliables, une Anna Magnani impériale, l'œuvre majeure de Rossellini.
    Julien D
    Julien D

    1 101 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 octobre 2012
    Alors que personne en France n’osa avant longtemps réaliser de film sur les effets de l’occupation nazie sur la population, en Italie Roberto Rossellini utilisa, dès la fin du joug allemand, ce contexte historique très difficile pour réaliser ce terrible drame. Mais plus que révéler au monde le travail de la résistance transalpine (le film s’inspire de faits réels), son œuvre a surtout fait connaitre le style néoréaliste, ce style propre au cinéma italien d’après guerre reconnaissable à son pragmatisme scénaristique, à son regard humain et à ses faibles moyens financiers. Bien qu’étant des amateurs, les acteurs nous offrirent des performances poignantes.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un réquisitoire pour la liberté et la résistance des gens simples contre le nazisme. On peut même considérer ce film comme un documentaire, car tourné immédiatement après la guerre.
    Angela Ki La
    Angela Ki La

    51 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 octobre 2013
    Que reste-il du manifeste du Néo-réalisme dont tous les critiques du cinéma nous rabâchent les oreilles depuis plus de cinquante ans au moins. Oublions les grands mots, et regardons l’objet qui a bien vieillit comme tous les manifestes dignes de ce nom. En fait, pour comprendre l’impact de ce film, il faut faire un sérieux effort et le remettre dans son contexte. Ça a été tourné en pleine débâcle allemande, pratiquement en live, avec de vrais gens mêlés à de vrais acteurs. On comprend l’urgence d’un réalisme anti-spectaculaire, et un parti pris documentaire bien obligé, qui cache tous les défauts aux yeux du public conquit par l’audace du projet. Il ne faut pas effacer la « romance » du récit, entre histoire d’amour, cette mère courage, ce pittoresque à l’italienne, et les risques réels pris par tous, certains figurants sont de vrais soldats allemands déserteurs. Il paraît même que lors d’une scène de rafle en extérieur, un tramway avec de « vrais résistants » dedans passait par là, et ils ont faillit tirer dans le tas, croyant avoir affaire à une vraie rafle ! Le temps couvre tout ça d’une patine quasi mémorielle, et ça rend le jugement partial. Moi je dis que c’est assez moyen, ça à valeur de document qui parle d’une époque comme nulle autre, et qui à sut saisir cette urgence, entre film-documentaire ou documentaire fiction. A voir pur sa culture générale, mais n’attendez pas de choc visuel, vous n’êtes pas à Hollywood mais à Rome après guerre.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    516 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juillet 2009
    Un monument du cinéma pour bien des raisons.D'abord comme il se doit dans cet art:la mise en scène est exceptionnelle. A cet égard la séquence de la mort de Pina, entre le moment ou elle aperçoit son mari et celui où Don Pietro essaye de maitriser son enfant, nous coupe le souffle.Le choix des plans et le recul devant la course folle est inoubliable.Ensuite la sobriété:nulle emphase,nulle recherche d'effets amplificateurs mais le strict nécessaire;les scènes de tortures ne sont pas exploitées et la mort du prêtre que les simples soldats allemands refusent de fusiller est d'une grande sobriété.Enfin la force qui provient des événements du moment :tourné en 1945,ce film relate des faits de mars 44 et il ne s'attarde que sur l'humain.La ville blessée est à peine filmée.Les "occupants" ne sont pas montrés comme des monstres,le chef de poste croit en sa race et ne torture que par efficacité.Le prêtre lui, aura droit à une chaise retournée, car en tant qu'ennemi des nazis, la mort contrairement au supplice physique,il ne pouvait y échapper.Seule une femme allemande,celle qui fournit la cocaîne à la jeune italienne est monstrueuse .D'ailleurs,on peut de demander pourquoi Rossellini a crée ce personnage androgyne haïssable au plus haut point.La nouvelle génération est sans doute moins sensible à ce film que celle ayant connue la guerre mais cela est plus du à l'ancienneté de ce cinéma,très mauvais techniquement (en dehors bien entendu des acteurs et de la mise en scène)qu'au sujet.Dans 100 ans,il sera au rang de"madame Bovary" ou de "le rouge et le noir" malgré son seul défaut:la bande son.Cette mauvaise post-synchronisation qui accentue les effets comme c'était la mode à l'époque est une catastrophe,il aurait mieux valu qu'il n'y en ait aucune.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 février 2009
    Ce film inspiré de personnages et de faits réels durant l’hiver 1943 – 1944 était initialement prévu pour être un documentaire avant qu’il devienne une fiction sur la résistance pendant l’occupation nazie à Rome. Toutefois, Rossellini qui avait eu le projet de ce métrage pendant la guerre, a pu le réaliser sitôt la libération de la ville par les forces alliées et fut alors le premier à braquer sa caméra sur la réalité sociale de l’après – guerre. Son regard brut et immédiat décrivant à chaud les événements est considérée traditionnellement comme l'oeuvre fondatrice du courant néo-réaliste dont les principes s’attachent à s’approcher minutieusement de la réalité sociale, d’employer des décors naturels et de refuser le romanesque. Aussi, ce mouvement cinématographique débarrassé de tout artifice fut créé en réaction aux dix ans de fascisme pendant lesquels le cinéma italien fut mis au service de la propagande à travers des grosses productions allégoriques et coupées du réel. Néanmoins, il faut savoir que Rossellini a réalisé auparavant des films de propagande mussolinienne mais cependant malgré son ambiguïté idéologique, on ne peut lui retirer que Rome ville ouverte est une oeuvre forte, intemporelle et habilement construit du point de vue scénaristique, les scènes s'allongeant au fur à mesure que le récit avance et deviennent de plus en plus tragiques, sans oublier que la mise en scène fondamentalement neuve a servi de référence à la nouvelle vague française et a influencé le cinéma indépendant. Également, au-delà de l’aspect formel d'un film novateur, il n’est pas inintéressant de découvrir dans Rome ville ouverte, la position morale du réalisateur vis à vis de ses personnages de par ce qu’ils symbolisent et de voir évoluer à travers leurs confrontations, des attitudes face aux événements, de fuite ou d’affrontement de la réalité. Ainsi, Micha, femme futile livre l'homme qu'elle aime pour un simple manteau alors qu’à son opposé Pina (Anna Magnani) , en tant que prot
    JamesDomb
    JamesDomb

    82 abonnés 1 061 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Roberto Rossellini réalise (sans argent et avec deux acteurs professionnels) ce film seulement deux mois après la libération de Rome, sur un scénario qu'il a imaginé au rythme même des évènements et avec des acteurs qui, pour la plupart, étaient de simples amateurs. Film clé dont le retentissement au lendemain de la Libération fut énorme, Rome, ville ouverte est LE témoignage poignant de la souffrance d’un peuple et est considéré comme étant le premier film néo-réaliste italien, récompensé au Festival de Cannes en 1946. Rossellini met en scène des personnages jusque là peu représentés : enfants, femmes, des hommes en souffrance, des hommes de tous les jours, procédé en totale rupture avec les conventions du genre, au cinéma classique. Le récit (écrit entre autre par un certain Federico Fellini) est habilement construit, les scènes dures s’enchaînent (Rossellini allonge la durée de certaines scènes au fur et à mesure que le film et la tragédie avancent) et le malaise s’installe crescendo. Les perquisitions et arrestations perpétrées par les allemands dans les immeubles sont très réalistes (plans très courts et extrêmement dépouillés), certaines scènes comme celle de la torture du personnage de Manfredi (scène saisissante où un allemand torture le personnage au chalumeau) bouleverse la narration classique malgré le fait que Rossellini suggère plus la violence qu’il ne la montre. Rossellini filme Rome en décors naturels, ses ruines, ses rues désertées, fantômatiques, avec des scènes comme prises sur le vif et à la lumière poussiéreuse, dernier manifeste de l'occupation. Une façon unique d'évoquer la guerre, film majeur de l'après-guerre, film emblématique (il inspira entre-autre La Nouvelle-Vague en France), superbement interprété par Anna Magnani (Pina), Aldo Fabrizi (Don Pietro Pellegrini) et Marcello Pagliero (Manfredi), « Roma città aperta » est le Chef d'Oeuvre de la trilogie de Rossellini.
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    36 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 septembre 2015
    Du style néoréalisme adopté par Rossellini pour Rome ville ouverte, on retiendra surtout une manière simple d'aborder le thème de l'occupation nazie en Italie. En 1945 les plaies n'étaient pas encore cicatrisées et pourtant le réalisateur a choisi de ne pas insister sur toute la rancœur que les habitants de la ville éternelle pouvaient avoir envers les allemands à cette époque. Comme tout film abordant cette période historique, Rome ville ouverte possède des scènes dures, mais elles sont montrées avec retenue et gravité. On ne s’apitoie pas sur le sort des personnages, le long-métrage s'interdisant toute lourdeur à ce niveau là. L'émotion ne passe donc que grâce aux acteurs, qui, professionnels ou amateurs, livrent une prestation des plus convaincantes. L’œuvre introduit les personnages en les captant dans leur quotidien, qui est un combat contre la misère et la peur de l'occupant. Puis, peu à peu, le scénario se dessine et le film aborde des thèmes plus graves. Il y a la dénonciation bien sûr, mais aussi le rapport à la politique et à la religion, sujet abordé à travers le personnage du prêtre, qui est à la fois sincère et ambigu. Très certainement la figure majeure du film. Rossellini, sans aucun recul chronologiquement parlant, met en image le traumatisme de l'occupation. Rome ville ouverte souffre de défauts techniques (prise de son moyenne, photographie inégale selon les plans), mais réunit suffisamment de qualités cinématographiques pour être intéressant.
    GabbaGabbaHey
    GabbaGabbaHey

    185 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mai 2010
    Un tres grand film, a la fois réaliste et engagé, qui parle avec une impressionnante justesse de la persécution nazie, alors que nous ne sommes qu'en 1945 ! Et derrière ses allures de film amateur se cache un film d'une virtuosité étonnante. Malgré le nombre d'acteurs non-professionnels présents au casting, les personnages sont tous incarnées avec tant de sincérité que s'en est fascinant. Le montage est un peu hasardeux, mais ne fait finalement qu'accentuer le charme singulier de cette œuvre considérée comme une révolution cinématographique ... Une petite réussite, un film incontournable.
    scorsesejunior54
    scorsesejunior54

    138 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2009
    Important dans l'histoire du cinéma Italien, "Roma, città aperta" compte aussi beaucoup concernant la période de fin de guerre. Entamé le 17 Janvier 1945, le tournage se fit majoritairement de nuit, afin d'éviter les pannes de courant qui y étaient moins fréquentes. Il s'agit d'instants captés dans la tourmente, une sorte de documentaire à peine scénarisé désirant être ainsi classé au rang de fiction. Pourtant, le malaise est bien là. Filmé avec d'anciennes pellicules que ne pouvaient revendre le studio, l'ensemble est pris sur le vif, sans réel recul, seulement avec une rancoeur vis-à-vis de la guerre et toute la violence qu'elle engendre. Anna Magnani y trouve un rôle émouvant mais très dur. Elle finira abattue en pleine rue au cours d'une séquence célèbre mais éprouvante. Cependant, elle n'est pas le centre de l'oeuvre. Quelqu'un de plus important et plus symbolique dans la thématique de Rossellini lui "vole la vedette" : le prêtre, désabusé, perdu, avec un regard dur sur l'humanité. Lorsqu'on lui confie que cette guerre est absolument horrible, il répond explicitement : "Peut-être, mais ne l'avons-nous pas méritée ?". Le parrallèle avec le Christ, la souffrance, la rédemption frappe certainement bien plus le spectateur qu'autre chose. Pourtant, d'autres images me resteront dans la tête : celles des Nazis entrant dans les maisons des gens, constamment à la recherche de corps à brutaliser et tuer. Pris sous formes de panoramiques le haut des toits, cadrant pleinement la rue, ces plans sont sans doute les plus traumatisants : ceux où on prend le plus conscience de l'horreur. Malgré toutes ces qualités, "Roma, città apertà" ne m'a pas cloué tel que l'aurait fait un chef-d'oeuvre, à cause du manque de profondeur de sentiments, d'émotions et de tout ce qui constitue un humain. La technique du faux amateurisme accuse parfois certaines limites, notamment dans ce qu'est capable de mieux le cinéma : le ressenti. Et mis à part la peur, ce n'est pas ce que provoque cette oe
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    917 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 septembre 2016
    L'histoire dans l'histoire. Celle d'une famille au sein de la résistance. Un film sec et naturaliste qui mêle sans que l'on s'en rende compte acteurs amateurs et acteurs professionnels, scènes presque "de la rue" et fiction. Le propos est brut et parfois cruel mais c'est ce que cherchait Rosselini: "Mon film est pur car il ne cherche pas à séduire".
    Malgré tout je lui trouve une certaine longueur...
    Ti Nou
    Ti Nou

    405 abonnés 3 355 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 mars 2017
    Réalisé peu de temps après guerre, "Rome ville ouverte", bien que fictionnel, constitue un document historique. Il est souvent très verbeux et il ne se passe pas forcément grand chose à l’image sauf l’espace de quelques séquences tendues mémorables.
    Misoramengasuki
    Misoramengasuki

    54 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2010
    Visant avant tout à rendre compte de la réalité d’une façon aussi exacte que possible, le cinéma néo-réaliste italien a sans doute moins d’impact, pour le spectateur d’aujourd’hui, que des œuvres de la même époque à l’ambition artistique plus affirmée ("Les enfants du paradis", par exemple). "Rome, ville ouverte" n’en garde pas moins un réel intérêt, essentiellement parce que rares sont les films qui mêlent à ce point la chronique sociale et le récit de guerre, la grande et la petite histoire. Les héros résistants que nous voyons dans la deuxième partie sont les maris et les amants que nous avons vus dans la première. Nous connaissons leurs conditions de vie, leurs femmes, leurs familles. Nous savons à quoi jouent leurs enfants. C’est ainsi un tableau complet de la vie romaine sous l’Occupation qui se brosse sous nos yeux, vivant, attachant. L’intrigue de guerre qui vient se greffer dessus est une histoire de résistance classique, pas inintéressante mais pas inoubliable. Sa seule vraie originalité est de montrer la camaraderie de combat entre les prêtres et les communistes. Pour le reste, les nazis ressemblent à des nazis, les résistants à des résistants... on ne sera pas surpris. Ce qui ne doit pas constituer un argument pour ne pas voir le film !
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    120 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mars 2011
    Si il n'est pas le précurseur du mouvement, Roma, città aperta est un des fers de lance du néoréalisme italien. Rossellini réalise son film sans recul vis-à-vis de la situation italienne de l'époque. C'est donc sans surprises qu'on peut percevoir une certaine rancœur envers les allemands à l'écran, une douleur récente qui n'a pas encore eu le temps de cicatriser. Ce film peut être vu comme étant un documentaire de l'époque (même si en lui-même il n'a rien d'un documentaire) car on a une vue assez précise de la vie des italiens en cette époque de fin de guerre. Techniquement parlant le film n'est pas si grandiose, disons qu'il y a aussi un contexte de réalisation pas favorable à une technique irréprochable. La photographie reste inégale, d'un point de vue sonore c'est perfectible mais Rossellini sait tout de même se servir d'une caméra, ça se sent. Ensuite viennent les acteurs qui sont très bons, criants de naturel et visiblement bien dirigés. Au niveau des thèmes abordés on pourra regretter que le personnage du prêtre soit trop mis en valeur, et non la confrontation idéologique entre religion et fascisme. Globalement je reste sur un avis très positif mais reste que le film prend un point de vue très engagé et aurait, à mon sens, bénéficié d'une meilleure qualité avec un recul nécessaire. Je pense cependant qu'il est important de voir Rome, ville ouverte pour son côté instructif et ses nombreuses qualités qui en font un film intéressant.
    Appeal
    Appeal

    135 abonnés 569 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 décembre 2012
    C'est bien, c'est un film nécessaire sur la resistance, d'autant qu'il y avait probablement urgence de reconnaître tout ce pan de l'Italie de l'apres guerre. Et le film de Rossellini est efficace, on sens qu'il est assez réaliste. On sent l'angoisse monter, le film évite tout envolé lyrique à l'hollywoodienne pour mieux montrer ce qu'est la résistance. Pour autant, tout les films réalisés dans l'urgence ne sont pas bon. Car, et même si cela n'a d'une certaine sorte rien a voir, je me suis senti obligé de comparer ce film avec Casablanca. Casablanca avait ce petit truc, certes on était vraiment plus dans du spectacle, mais cette histoire d'amour, ces personnages au charisme incroyable. Bien évidemment, je ne demande pas de faire du copié collé. Mais il manque presque a Rome ville ouverte une dimension cinématographique. Parce qu'en était réalisé avec des moyens limités, sous le manteau, la photographie se trouve hasardeuse, la caméra balladeuse, l'image un peu dégueu, les acteurs ne sont pas tous justes. Le cri d'un peuple opprimé, voila l'intérêt du film italien, mais je ne lui donnerai malheureusement pas beaucoup plus de crédit.
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