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    L'Inspecteur Harry
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    Fabien S.
    Fabien S.

    462 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 décembre 2022
    Le film de Don Siegel du personnage de l'inspecteur Harry incarné par le légendaire Clint Eastwood sorti en 1971.
    Saintenoy Samuel
    Saintenoy Samuel

    3 abonnés 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 décembre 2022
    Premier volet de l'incontournable Inspecteur Harry joué par l'immense Clint Eatswood, ce thriller d'action est particulièrement efficace, malgré son histoire peu originale.
    VOSTTL
    VOSTTL

    69 abonnés 1 788 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2022
    Je ne sais pas si le film a vieilli ou si c’est moi qui suis blasé ou tout simplement passé à côté de la plaque, « Dirty Harry » ne m’a pas semblé si violent que ça ou plus violent qu’un autre film.
    Quant à sa tendance polémique là aussi, je n’ai rien trouvé qui prête à l’indignation.
    Il faut replacer le film dans la mentalité de son époque, il est vrai.

    Le partenaire d’Harry, Chico (Reni Santoni) le dit lui-même, l’adjectif ne nomme pas Harry en soi, il suggère les missions qu'accomplit Harry : « Dirty job », « Le sale boulot » et non « Dirty Harry », « Le sale Harry ».

    Certes, le personnage Harry va constituer une étymologie cinématographique pour des personnages futurs dans d’autres films, mais les méthodes de l’inspecteur Harry ne m’ont pas paru scandaleuses.

    Le récit s’amuse à semer le trouble en lui brossant un historique peu flatteur, mais dans le peu qui m’est exposé, que ce soit pour mettre fin à un braquage ou mettre fin à un suicide, il n’y avait rien d’extraordinaire. Seule sa désinvolture peut prêter à interprétation.

    Si j’osais, je dirais que Don Siegel s’est amusé à être malhonnête ou à provoquer le spectateur.
    D’une part, c’est la justice U.S énoncée par le procureur et le juge émérite qui provoque le comportement d’Harry Callahan et d’autre part l’initiative du Maire et des supérieurs de l’inspecteur.
    Certes, il n’est pas obligé de se comporter ainsi.
    S’il ne se comportait pas ainsi, parlerait-on des méthodes peu orthodoxes mais efficaces du personnage ?
    Ce qui fait le succès du personnage, c’est sa façon de rendre la justice.
    Combien sommes-nous spectateurs respectueux d’une justice objective à admettre que les agissements d’un Harry Callahan sont aussi une alternative à cette même justice.
    Nous pourrions penser : « Il fait ce que nous pensons tout bas. »

    spoiler: Harry, couché au pied d’une croix après avoir apporté la rançon est à deux doigts de perdre la vie par le serial-killer nommé Scorpio qui le maltraite à coups de pieds et fusil mitrailleur dans les mains. Harry parvient à s’en sortir grâce à son partenaire, il profite de planter un poignard dans la jambe de Scorpio.

    La justice reproche à l’inspecteur-au-sale-boulot sa méthode qui a consisté d’appuyer sur la jambe de Scorpio pour avouer son crime.
    Verdict : aveux non retenus parce que soumis sous la torture !
    C’est exagérer !

    Voilà pourquoi le récit ne me paraît pas honnête envers l’inspecteur Harry et je ne comprends pas les spectateurs de l’époque scandalisés par ses soi-disant méthodes.
    L’inspecteur Harry est profondément respectueux de la loi, il fait tout pour la respecter.
    La justice ne lui rend pas justice, et la fin du film nous montre un inspecteur Harry dégoûté par l’ingratitude de celle-ci.

    Un film à la mise en scène classique, efficace, lisible et aux réparties savoureuses.
    Le travelling ou zoom arrière qui ponctue le film me fait penser à « Un frisson dans la nuit » premier film de Clint Eastwood, j’ai l’impression que Don Siegel a emprunté à ce dernier cette manière de conclure le film.
    La caméra se retire laissant un Harry seul avec sa déception malgré le devoir accompli, à savoir exécuter un sale boulot.
    Cette façon de conclure sera propre à la saga « Dirty Harry ».
    Inutile d’en rajouter, le récit n’a pas besoin d’un prologue.

    A voir en V.O pour la voix particulière de Clint Eastwood... si possible.
    Rorechar
    Rorechar

    3 abonnés 769 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 octobre 2022
    Clint Eastwood incarne pour la première fois , l'inspecteur Harry, un rôle qui lui sera mythique. Si la ville de San Francisco ne versé pas 200 000 dollars, Scorpion assassinera un innocent au hasard par jour. L'inspecteur Callahan est alors saisi de l'enquête.
    Un film qui est d'une rare violence, Harry Callahan est un Flic aux méthodes expéditive, avec son célèbre magnum 44 à six coups, il fait régner la loi. Il n'hésite pas à tuer. Le film mélange également un humour noir qui font des répliques et de la répartie d'Harry des dialogues cultes. Eastwood incarne ce personnage à la perfection qui lui aura valu à l'époque une polémique. En effet, Harry est contraire à la loi, voire même tendance à l'extrême comme le facsime, du fait de sa violence , qu'il n'aime personne, et qu'il se fait justice lui même. La bande son est également magique. Un film comme on en fera plus, dans la même lignée que Bullit. Un monument du cinéma, avec un anti héros mythique, où on se fait plaisir.
    Gandalf80
    Gandalf80

    14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 septembre 2022
    Premier de la série, ce dernier pose les bases que l'on retrouvera sur tous les autres, un flic solitaire et soupe au lait véritable danger pour ses coéquipiers. Un flingue, excroissance d'une virilité xxl. Une police dépassée et rongée par les politiciens. Une réflexion présente quoi que toujours alambiqué sur la justice. Et Eastwood, sous tous les angles, les postures et les saillies. Transcription du cow boy hots prairie, et dont on peine à voir l'évolution qui sera la sienne au long de sa filmographie. Et what ?
    Il doit bien y avoir des dizaines de raisons de ne pas aimer le film mais la j'en vois aucune.
    JG C.
    JG C.

    3 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 septembre 2022
    Un film culte pour son personnage aux méthodes expéditives et punchlines bien senties (bien incarné par un Clint Eastwood charismatique) mais qui ne m'a pas trop convaincu dans sa réalisation, quelques longueurs, manque de rythme et trop de scènes de nuit...L'histoire n'a rien de très original non plus. Sinon bonne interprétation hallucinée d'Andrew Robinson dans le rôle du tueur psychopathe Scorpion.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    79 abonnés 1 522 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 mars 2022
    Clint Eastwood est impeccable dans ce film policier culte. Sa présence magnétise la caméra et on suit avec attention sa démarche si particulière.

    Si on le suit, c'est notamment pour connaître la prochaine réplique de son personnage, qui fait mouche régulièrement.

    Le problème, c'est qu'il tient le film presque à lui tout seul. On ne peut pas vraiment dire que les scénaristes se soient cassés la tête pour pondre des personnages complexes ou une histoire avec des rebondissements.

    On tourne très vite en rond dans le scénario : le méchant arrive, Dirty Harry le manque, course-poursuite, et c'est reparti. Tout le temps la même partition qui se répète.

    L'un des rares moments où l'on sort de cette boucle, c'est lorsque Harry intervient sur une tentative de suicide mais la scène est vite expédiée, ce qui est dommage.

    Et puis, cette morale quoi ... Qu'est-ce qu'a voulu dire ce film ? Qu'il fallait supprimer toutes les garanties du procès équitable pour laisser des flingueurs en liberté ? Dangereux comme discours ...

    Bref, ça se laisse regarder mais l'ennui m'a vite gagné.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 013 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 janvier 2022
    « L’inspecteur Harry » est la quatrième collaboration de Clint Eastwood avec Don Siegel qu’il considère comme son maître, celui qui lui a mis le pied à l’étrier pour sa carrière de réalisateur dont on peut dire cinquante plus tard qu’elle a été fructueuse et même prestigieuse à certains égards. En 1971, Eastwood est encore catalogué comme un acteur de western. Après son retour d’Italie il a joué dans « Pendez-les haut et court » de Ted Post puis dans « Sierra Torride » de Don Siegel. Les deux fois, « l’homme sans nom » de la trilogie des dollars de Sergio Leone n’est jamais très loin. Don Siegel lui connaît parfaitement le genre policier. « Dirty Harry » qui était prévu initialement pour John Wayne, Steve McQueen, Paul Newman ou Frank Sinatra tous plus rodés au genre policier, devait être réalisé par Irvin Kershner. Mais Eastwood qui s’intéresse au projet convainc la Warner d’entrer dans le jeu et impose Don Siegel à ses côtés. Les deux hommes qui n’avaient pour but que de proposer un simple divertissement, vont sans le savoir déclencher une polémique liée à la violence du film et au caractère raciste et clairement porté sur une justice expéditive de l’inspecteur Harry Callahan, interprété par un Clint Eastwood qui ne s’attendait pas à une telle volée de bois vert. La ville de San Francisco préférée à New York et à Seattle un temps envisagées, affiche un visage très loin du point de rencontre de tous les hippies du monde entier qui définit alors la ville. Meurtres, trafics de drogue, racket, vols à la tir et viols sont le quotidien des flics de San Francisco qui ont parfois l’impression de vider la mer, armés d’un seau. Les politiques locaux semblent s’en accommoder, s’abritant derrière l’état de droit, rempart ultime contre l’inefficacité. spoiler: Harry Callahan, flic revenu de tout et sans attache après avoir perdu sa femme fauchée par un chauffard, tente de trouver un exutoire en usant de méthodes plus que musclées qui embarrassent salement sa hiérarchie bien obligée de lui reconnaître des résultats probants
    . Le scénario de facture classique dépeint en entame à l'aide de scènes plutôt convenues, le personnage et le contexte dans lequel évolue le flic solitaire. « Dirty Harry " porte sacrément bien son surnom dans l’ambiance de l’époque qui sort à peine du rêve des sixties enchantées. Le réveil s’annonce brutal. Les Beatles se sont séparés, le 9 août 1969, Charles Manson et ses séides ont semé la terreur dans le quartier chic de Cielo Drive, assassinant au passage Sharon Tate la femme de Roman Polanski enceinte, enfin le conflit vietnamien n’en finit pas de s’enliser avec en sus le retour au pays mal vécu par des GI’S ne sachant pas vraiment pourquoi ils ont été envoyés en Extrême Orient sacrifier leur jeunesse et parfois leur vie. Quand un tueur psychopathe se nommant « Le Scorpion » rejoue l’attentat de Dallas sur les toits des buildings de la cité inondée de soleil, sa gueule d’ange (Andrew Robinson) choisie à dessein par Siegel ne va pas contribuer à atténuer la méprise qui enfle. Une critique scandalisée avec à sa tête l’impitoyable Pauline Kael, grande prêtresse du Nouvel Hollywood qui n’a pas de mots assez durs contre le réalisateur et son acteur, accusés de faire par extension le lit de l’auto-défense en se cachant derrière un flic violent et parfois sadique. Clint Eastwood venait de se voir coller dans le dos une étiquette de réactionnaire comme John Wayne avant lui qui s’atténuera certes avec le temps mais ressortira des tiroirs dès le premier pas de travers, notamment lors de la sortie de « Grand Torino » en 2009. Cinquante après la sortie de "Dirty Harry", on peut tout d’abord constater que le film s’il est assurément une dénonciation plutôt bien vue de l’impéritie des autorités, y oppose à travers le personnage de Callahan une solution qui à tout le moins méritait les réserves d’une certaine critique progressiste et humaniste. Eastwood et Siegel s’ils n’étaient pas des adeptes de la loi du talion, auraient sans doute dû introduire dans le scénario quelques indices l’indiquant clairement. Pour le reste si Clint Eastwood est toujours aussi impressionnant de flegme et de froide détermination, spoiler: le film montre aujourd’hui ses limites scénaristiques liées à l’improbabilité totale du duel que se livrent Callahan et le Scorpion. «
    A bout portant » (1964) ou encore « Tuez Charley Varrick » (1973) seront donc à privilégier pour apprécier la maîtrise du genre policier de Don Siegel. Quant à Clint Eastwood, sa filmographie offre elle aussi plus de nuances et de profondeur de réflexion, vue dans son ensemble.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    115 abonnés 2 288 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2021
    "L'Inspecteur Harry" film policier, thriller d'action, sorti en 1971, réalisé par Don Siegel. Premier opus d'une série de 4 films mettant en scène l'Inspecteur Harry Callahan avec Clint Eastwood dans le rôle.
    Un bon film d'action, un bon thriller dont le scénario s'inspire du tueur en série "le tueur du zodiaque" qui a sévi à San Fransisco à la fin des années 60.
    Le personnage de Clint Eastwood, justicier solitaire, viril et au comportement plutôt directes est celui développé dans les western et ici transposé dans ce rôle de flic dans le San Fransico des années 70. Un rôle qui inspirera ensuite le cinéma policier d'action. Un bon film policier, une bonne réalisation, un beau sens du cadrage, une scène d'ouverture qui a certainement inspiré celle de Jack Reacher 1.
    Un bon film.
    OMTR
    OMTR

    7 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 septembre 2021
    Un classique culte

    Ceux qui ont accusé Dirty Harry d'autoritarisme ou de fascisme – parce qu'un violeur et tueur d'enfants de longue date est finalement abattu alors qu'il tentait de tuer un autre enfant – parlent d'eux-mêmes. Dans une société civilisée, les droits des victimes priment sur les privilèges des agresseurs. Un film parfait devenu un classique culte.

    4.9/5
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 452 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 septembre 2021
    L'histoire du cinéma et notre conscience collective auraient été radicalement différentes si Frank Sinatra ne s'était pas blessé à la main avant le début du tournage de L'Inspecteur Harry car Sinatra devait jouer Harry mais il a dû se retirer laissant la place à Clint. En 1971 San Francisco était prête pour la célébrité. La musique funky du film composée par Lalo Schifrin est parfaitement adaptée et a donné lieu à de nombreuses imitations par la suite. L'histoire centrale est celle d'un fou solitaire qui tente de rançonner la ville. Il commence par assassiner des citoyens pour extorquer de l'argent au maire puis passe à l'enlèvement d'enfants. Cela joue habilement sur les inquiétudes naissantes de l'Amérique moyenne où les gens respectueux des lois étaient perplexes et alarmés par la vague de criminalité et la menace qu'elle représentait pour eux et leurs familles. Seul un homme fort et déterminé opérant en marge des règles pouvait combattre cette nouvelle terreur. Mais Harry est un paradoxe car dans un sens c'est aussi un hors-la-loi. Il n'a que peu de respect pour l'autorité formelle dans les premières minutes de l'histoire nous le voyons être impoli envers le maire et il porte un monstre d'arme strictement non réglementaire. Il se conforme pourtant à un code éthique mais qui n'est pas celui de l'Amérique anglosaxonne. Il protège les faibles et affronte les malfaiteurs quelles que soient les chances qui s'offrent à lui. En effet les bureaucrates lâches qui ne le récompenseront jamais ou ne le promouvront pas sont capables d'exploiter sa profonde décence. Ils lui confient toutes les tâches difficiles et sales parce qu'ils savent que son sens du bien et du mal ne lui permettra pas de se défiler...
    Starwealther
    Starwealther

    49 abonnés 1 161 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mai 2021
    Don Siegel engage encore Clint Eastwood pour un polar urbain situé à San Francisco. Harry Callahan (Eastwood en personne) est un flic peu docile et réfractaire aux ordres. Cette attitude lui vaut d'être souvent chargé de la grande majorité du sale boulot d'où son nom de Dirty Harry. La police le fera enquêter sur la recherche d'un sniper auteur d'un premier meurtre et en demande d'un versement de 100 000 dollars sous peine de l'exécution d'autres meurtres. Cette enquête donnera du fil à retordre à notre ami Harry, son magnum 44 lui étant d'un grand secours. LA BO faite par Lalo Schifrin est très moderne pour l'époque, faite d'une batterie répétitive semblable à un beat hip hop. D'ailleurs, petite anecdote au passage, le titre "L'enfer" de IAM a un sample venant de la dernière musique du film. Un bon polar magnifié par la présence de l'excellent Clint Eastwood.
    mistermyster
    mistermyster

    36 abonnés 1 167 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mai 2021
    On entre dans l'air Harry, le charognard, plus de place pour le compromis, il défouraille la racaille et voit ensuite s'il lit ses droits ou pas au gars gisant au sol. Anticonformiste, le film s'inscrit dans un nouveau genre, on ne transige pas avec les criminels. Un nouveau ton, un nouveau style et surtout un Clint EASTWOOD hors norme avec un personnage qui va lui coller à la peau. On connait tous ce personnage intransigeant et ses répliques à couper au couteau. Un pur bonheur de redécouvrir ce film vintage à souhait.
    Hotinhere
    Hotinhere

    425 abonnés 4 756 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mars 2021
    Un polar nerveux et violent, à l'atmosphère tendue, devenu mythique grâce au personnage antipathique aux méthodes à l'ancienne, interprété par un sublime Clint.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 décembre 2020
    Nouvelle collaboration entre Siegel et Clint Eastwood, Harry est un flic aux méthodes assez controversées, malgré sa brutalité et son franc parler il n'en est pas moins extrêmement doué ! Un rôle taillé sur-mesure pour Clint. Le début d'une des sagas policières les plus cultes des 70's-80's.
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