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    La Malédiction
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    149 critiques spectateurs

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    Audrey L
    Audrey L

    550 abonnés 2 424 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mai 2021
    Faites des gosses, qu'ils disaient... La Malédiction est un film d'épouvante culte des années 70, avec Gregory Peck et au scénario qui lorgne du côté de L'Exorciste (de trois ans son prédécesseur). Un autre sale gosse démoniaque qui veut tuer papa-maman (et la Terre entière, au passage). Disons-le de suite : le film a pris un petit coup de vieux (très mal fait, surtout spoiler: la tête décapitée par la vitre
    ), et ne fait pas vraiment peur aujourd'hui. Mais étrangement, ce côté désuet et ce calme horrifique forment un charme certain, et nous concentrent davantage sur l'enquête pour connaître les origines de ce Mal mystérieux qui touche l'enfant et comment s'en débarrasser. On s'amuse à penser aux futurs Destination Finale (où le personnage sait à peu près comment il décèdera, ce qui augmente la tension) car ici on trouve déjà les photos du polaroid qui montrent la forme que prendra la mort imminente d'une personne. Le jeune acteur qui joue Damien (Harvey Stephens) est convaincant (il minimise les indices qui nous prouveraient qu'il est bien un Démon, ce qui nous met le doute). Si vous en avez l'occasion, on vous conseille l'édition collector du DVD, qui compte deux documentaires passionnants sur le tournage du film. Si vous n'avez pas pu trouver pareille édition, voici ce qu'ils contiennent : le premier se concentre sur la conception du film. On apprend ainsi que le petit Harvey Stephens a été retenu au casting car il a détruit l'entrejambe du réalisateur en "jouant la colère" de façon démentielle - parfait pour le rôle -, que la scène de la chute sur le parquet s'est faite à l'horizontale (ils ont clouté le parquet sur un mur et ont poussé l'actrice sur un chariot roulant) avec des sardines peintes en rouge, les scènes avec les babouins ont nécessité de mettre le "chef de la bande" à l'arrière de la Ford pour rendre maboules les congénères, que la fin a été retournée pour "sauver" l'enfant (dont le sourire n'était pas prévu, qui a finalement été gardé et est devenu l'image-clé du film)... Le second documentaire nous a donné des sueurs froides, étant la liste des catastrophes arrivées sur le tournage, réputé "maudit" : deux voyages en avions de l'équipe qui ont été foudroyés, un troisième qu'ils ont décommandé car "plus de places" et qui finalement s'est écrasé en fin de piste de décollage, des séquences au zoo avec des lions où le gardien s'est fait dévorer par ses bêtes (les séquences des lions n'ont pas été gardées dans le film, par respect), le truquiste en charge de la décapitation du film qui perd sa petite amie juste après le tournage dans un accident de voiture...par décapitation (et, selon le réalisateur, au niveau d'un panneau "66,6 km"... On ne sait pas si c'est vrai, mais son histoire est bonne pour le feu de camp avec des copains). Ce petit docu nous a fait tirer sur notre col quelques fois. Quant au film, on suit l'enquête avec plaisir, à défaut d'avoir peur, La Malédiction parvient donc à s'extirper du simple copier-coller de L'Exorciste pour créer sa propre histoire de gamin démoniaque (Damienaque, oui).
    Maquisard 21
    Maquisard 21

    2 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 avril 2021
    Même s’il est moins connu que l’Exorciste, il demeure pour moi un grand classique des films d’épouvante des années 70, et malgré les années, le film reste toujours aussi efficace. C’est donc l’histoire de l’ambassadeur des Etats unis qui va apprendre spoiler: par un prêtre
    que l’enfant qu’il a adopté à la naissance n’est autre que la réincarnation de l’Antéchrist, au début, il refuse d’y croire, mais une série d’évènements va le faire changer d’avis. La réalisation du film symbolise à merveille, l’esthétisme des films de cette même époque avec des décors et personnages sobres et élégants, la dimension religieuse y est très présente. Pas d’effets spéciaux ni d’hémoglobine à outrance, mais des scènes et situations bien angoissantes, spoiler: les gros plans sur le visage de l’enfant y sont pour beaucoup, en particulier lors de la scène du zoo où le sourire à priori innocent laisse entrevoir la facette diabolique
    , l’ensemble accompagné d’une musique adéquate. On ressent totalement le désarroi du père qui au fur et à mesure se rend à l’évidence de la véritable identité de son « fils » et se résout spoiler: à devoir accomplir le rituel à l’aide de poignards mais est à la fois désemparé à l’idée de s’en prendre à un enfant
    . Le film eu droit à un remake navrant en 2006.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 009 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 décembre 2020
    En 1976, la carrière de Richard Donner est plutôt encalminée. A 46 ans, après avoir principalement œuvré pour la télévision, le futur réalisateur de « Superman » et de la saga « Arme fatale » vient d’essuyer deux échecs pour ses débuts sur grand écran. Le choc que fut en 1973 « L’exorciste » de William Friedkin arrivé après le non moins célèbre « Rosemary’s Baby » (1968) de Roman Polanski déclenche un enthousiasme des producteurs pour tout ce qui touche au surnaturel et au satanisme notamment concernant de jeunes enfants. L’idée du producteur Harvey Bernard de tourner un film autour du thème de l’Antéchrist soufflée par son ami Bob Munger n’a donc guère eu de mal à convaincre la Fox d’entrer dans la partie. C’est David Seltzer qui se voit confier l’écriture du scénario. L’ambassadeur des Etats-Unis à Rome et sa femme vont être victimes d’une manipulation lors de l’accouchement de cette dernière qui leur verra se voir confier le fils de Satan. Rien que ça ! C’est Gregory Peck alors sur le déclin qui endosse le rôle de l’ambassadeur après que William Holden, Charlton Heston et Roy Scheider se soient désistés. Son infortunée épouse est interprété par la trop sous-estimée Lee Remick. Les producteurs jouent sur du velours, les spectateurs étant à l’époque en demande pour aller frissonner dans les salles obscures. Pourtant, le film qui ne sort pas beaucoup des jalons posés par les films phares cités plus haut souffre grandement de la comparaison avec ses deux prestigieux aînés. Là où Polanski et Friedkin dans des styles très différents avaient su distiller une ambiance claustrophobe et malsaine pour l’un, terrifiante et mystique pour l’autre, Richard Donner frôle assez souvent le grotesque. Le jeune Harvey Stephens incarnant Damien inonde l’écran de grimaces outrancières qui donnent plutôt l’envie au spectateur de lui botter les fesses là où l’inoubliable Linda Blair (« L’exorciste ») faisait de la petite Regan une victime tout à la fois repoussante par ses outrances ordurières et bouleversante par son combat désespéré contre une force qui la submerge. Gregory Peck qui semble plutôt mal à l’aise dans un domaine que visiblement, il n’arrive pas à investir, paraît soudain vieilli et sans grande conviction. Heureusement David Warner solide acteur anglais qui interprète le journaliste cherchant à comprendre les événements morbides déclenchés par Damien et surtout Bille Whitelaw qui joue sa nourrice diabolique, viennent très avantageusement combler les manques d’une intrigue n’ayant pas vraiment d’ossature. Richard Donner à la caméra un peu flottante se contente de filmer assez platement les quelques moments forts constitués par les morts violentes qui jalonnent le film. A sa sortie « La malédiction » a recueilli un énorme succès sans aucun doute dû à l’appétit frustré du public qui n’avait pas eu grand-chose à se mettre sous la dent depuis la sortie de « L’exorciste » en 1973. Les années qui ont passé sont malheureusement impitoyable. Le film de Friedkin somptueux est devenu culte alors que l’on ne parle presque plus de « La Malédiction » qui se regarde désormais comme une petite série B sympathique mais sans âme.
    Alex Padoly
    Alex Padoly

    22 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juin 2020
    Un bon film mettant en scène la lutte du bien contre le mal. Mais ce n'est pas une lutte du bien contre le mal classique, il s'agit pour le mal de conquérir le pouvoir pour asservir les hommes.
    Les acteurs sont crédibles, l'ensemble est correctement filmé avec une excellente musique de film.
    Une scène me parait longue et inutile, il s'agit de la scène dans le cimetière.
    Michael
    Michael

    17 abonnés 374 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mai 2020
    La malédiction reste une pépite du cinéma d horreur. Une atmosphère oppressante tout le long du film des sursauts, un mélange de réel et de paranormal, une mise en scène au service de l histoire et des acteurs qui jouent très justes. Et une fin tout bonnement horrifique. Bref tout ce qu il faut pour faire un grand film qui restera dans les annales du cinéma. Seul point négatif la musique qui par moment casserai les effets de surprise.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 décembre 2019
    Sans une once d’hésitation, voilà le chef-d’œuvre dévoilé de cette réalisation proche de l’étoile de la perfection, par ce nom qui maîtrise les scènes revient de droit vers la lumière de Superman, en souvenir de sa phrase d’anthologie, « il est interdit de modifier le cours du temps de cette histoire sur le triple 666 ».
    L’antéchrist est l’apocalypse selon Abraham au nom du Père, du fils et du saint esprit, amen🙏et que le seigneur loue le ciel descendre sur la terre faite de contrariété si imparfaite aux hommes et femmes tourmentés, divisés, impuissants, complètement en transe total.

    Figés par le mal terrestre divin, pourtant ce ne sera l’enfer, sa porte n’a jamais été ouverte, on n’a pas peur une seule seconde et c’est un film ma-gni-fique👏
    L’enfant a le mal en lui a souvent été imité par la suite médiocrement avec beaucoup de sentiments mitigés, mauvais et ridicule, c’est clair, inimitable, celui-ci est un film encore plus fascinant, lent, il y en a des obstacles à surmonter afin de comprendre tout le sens.

    La fin s’annonce à grand pas, une réponse immédiate à la proportionnalité éventuelle, un moyen nécessaire d’interrompre une action réelle, simultanée, injustifiée dans le lieu le plus sacré de la religion, où se trouvera des lois à oser défier.
    Du moins quand on est du côté defensive envers l’Eglise, son ennemi juré ne l’entend pas de cette oreille, au sourire diabolique sous un visage d’ange enfantin, pas de tête d’enterrement comme cliché final, juste spectateur de cette fiction d’horreur.
    pierrre s.
    pierrre s.

    351 abonnés 3 235 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 décembre 2019
    Davantage connu pour ses blockbusters, Richard Donner a tout de même fait un détour par la case horreur. Un détour plutôt réussi d'ailleurs. Le film a certes vieilli mais il conserve une ambiance gênante et angoissante.
    Chaill
    Chaill

    13 abonnés 396 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 novembre 2019
    A voir pour la culture cinématographique... Dommage que ce classique de l'épouvante n'ait eu droit qu'à un remake bancal, car son scénario béton mériterait une relecture digne de sa qualité avec les moyens de mise en scène actuels. Un ambassadeur s'aperçoit que son fils (qui n'est pas le sien comme on l'apprend au début) est ni plus ni moins que l'antechrist. Plutôt que d'enchaîner les scènes-chocs via l'enfant et son effrayante nounou, l'histoire devient une investigation du père (G.Peck, 60 ans mais tout de même remuant, et quelque peu inhabitué aux films horrifiques, et ça se voit...) aidé d'un photographe pour percer jusqu'au bout le mystère de cet enfant maléfique. L'ambiance générale est tendue et pesante, aidée en cela par la musique glauque de J. Goldsmith et ses chœurs; quelques scènes sont à couper le souffle, notamment les mises à mort. En fait le seul défaut du métrage est sa quarantaine bien tapée...
    Shephard69
    Shephard69

    281 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 novembre 2019
    A mi-chemin entre "L'exorciste" de William Friedkin pour son scénario autour d'une menace démoniaque ancestrale et "Rosemary's baby" de Roman Polanski pour son atmosphère lourde, anxiogène et paranoïaque, un long-métrage qui s'inscrit dans la lignée exacte du cinéma d'épouvante des années 70 mais qui n'atteint que rarement la maestria des classiques du genre à cause notamment d'une intrigue qui manque de puissance narrative et d'un rythme assez lent. Quelques séquences très prenantes avec une mise en scène plus suggestive que démonstrative, un casting de fière allure avec l'immense Gregory Peck dans un rôle différent de ses standards habituels ou encore le charismatique David Warner. Un ensemble globalement satisfaisant mais pas aussi mémorable que les oeuvres majeures dans le domaine de l'horreur.
    Guy E
    Guy E

    25 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mai 2019
    Un excellent sujet, un film passionnant avec d'excellentes scènes qui vous accrochent, d'autres plus ennuyeuses. L'ensemble est un peu inégal, ce n'est pas un chef d'oeuvre. Tous les acteurs sont bons, sauf Gregory Peck, fade comme d'habitude.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    582 abonnés 2 750 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 janvier 2019
    Rares sont les malédictions à disposer d’une telle empreinte. Empreinte visuelle d’abord, car le film est magnifiquement mis en scène et compose ses plans avec subtilité ; nous passons comme par magie des films sataniques aux œuvres gothiques de la Hammer – la scène dans le cimetière peuplé de chiens démoniaques rappelle Le Chien des Baskerville, adapté par Terence Fisher –, les portraits et miroirs sont partout et pourtant demeurent discrets, de sorte à ne générer que lors de l’ultime sursaut une prise de conscience symbolique : là, dans le reflet, se tient la mort, la souffrance, le destin déjà tracé et annoncé par l’envers. Envers révélé par la chambre noire, la contre-religion, l’Antéchrist. Chaque protagoniste trouve un double avec lequel il finira par fusionner. Empreinte dramatique ensuite, puisque nous voyageons de l’Italie à l’Angleterre, de l’Angleterre à l’Italie ou à Jérusalem dans une même trajectoire qui n’est autre que la quête des origines du Mal. Le mouvement est essentiellement masculin, le père étant ambassadeur – fonction ô combien ironique : il sera l’ambassadeur du Diable sur Terre – et nouveau pilier d’une famille endolorie jusqu’alors par la stérilité. Nous avons sous les yeux le drame de la paternité contemporaine : devenu père trop tard, Robert Thorn peine à interagir avec un fils de substitution qui viendra, tel un Œdipe contemporain, à s’émanciper de ses figures parentales pour s’affirmer pleinement. Car la relation entretenue par le fils avec la mère adoptive sonne particulièrement malsaine – scène avec les babouins, chute depuis le premier étage –, impression renforcée par la diabolique nourrice, sorte de Mary Poppins inversée, sataniste. Empreinte sonore enfin, parce qu’il serait impossible de critiquer l’œuvre sans évoquer la composition musicale de Jerry Goldsmith qui révolutionne pleinement la musique de film d’horreur, insérant dans une orchestration agitée des chœurs grégoriens et maléfiques pour un effet de terreur sourde qui reste en tête après le visionnage. The Omen constitue une divine malédiction, certainement le meilleur film de son réalisateur Richard Donner et l’un des films d’épouvante les plus marquants. Chef-d’œuvre.
    Cronenberg
    Cronenberg

    212 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 janvier 2019
    Film d’horreur nul, on est complètement perdu, on ne sait pas distinguer le paranormal du normal, le vrai du faux, qui est qui, etc. Trop ancien et irregardable. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 2/5
    Thibault F.
    Thibault F.

    44 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 décembre 2018
    De temps en temps, au moment où on s'y attend le moins, un visionnage de film peut amener le coup de coeur au spectateur. Ce phénomène s'est réalisé à mon insu lors du visionnage de The Omen (traduction du terme malédiction). Pourtant, je ne suis pas un grand admirateur du travail de Richard Donner qui se lie à la comédie familiale décomplexée des années 80-90 avec The letal Weapon. Mais finalement, ma perception a été biaisée. Donner est une personnalité unique du 7ème art et il le prouve avec sa plongée horrifique autour du personnage de l'antéchrist. Absolument aucune allégorie, ni image métaphorique ne sera écartée autour des préceptes de la religion catholique et du pouvoir. Ce coup de coeur s'initie aussi dans le récit à plusieurs réflexions où se mêle fausse-piste et faux-semblant. Privilégiant l'atmosphère que les jump-scare, The Omen fait le choix judicieux d'insérer des éléments surnaturels dans le réel. Et cela fonctionne magnifiquement à la manière de son aînée The Exorcist. Diable que ce film a marqué mon imagination : le casting est impeccable avec un Gregory Peck qu'on attendait pas dans ce genre, l'enfant est malicieusement interprété et cette fin, bien que prévisible, tout bonnement effrayante. La mise en scène de Richard Donner qui dépeint une Angleterre pluvieuse des années 60 étoffe la sensation de malaise et de sentiment désagréable auprès du spectateur : on pourrait revenir sur quelques longueurs (notamment la quête familiale de Robert Thorn en Italie) mais ce serait nier l'évidence : The Omen est un must-have du genre. Une pépite savoureuse à redécouvrir d'urgence ! Coup de coeur.
    Fabien S.
    Fabien S.

    457 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2021
    Un excellent film d'horreur et d'épouvante de Richard Donner avec le légendaire Gregory Peck et un gamin diabolique.
    CrackO DingO
    CrackO DingO

    34 abonnés 1 057 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 août 2018
    Ce film d'épouvante est un classique qui a malgré tout mal vieilli de nos jours. 3/5. Cependant si vous aimez le genre, le scénario est plutôt bien ficelé et pourra effrayer un public passionné. ----Août 2018----
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