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Un visiteur
2,5
Publiée le 21 août 2011
une rencontre Kidman Hopkins parfaite malgré que ce dernier ne soit pas vraiment typé pour le role. Le scénario intéressant voit sa subtance se diluer au fil de développements secondaires par un manque d'intéractions
scandalisée par les critiques de certains qui trouvent le film trops lent ou histoir du rassisme banale...de toute façon l'histoir du rassisme n'est qu'un glosse ce qui compte c'est la rencontre des deux personnages ayant chacun une fellure qui les rendent plus profonds ( dialogue entre hopkins et son avocat), vraie histoir d'amour et la fin dramatique des deux être qui sont singulièrement exclus du rtain train qoutidien ds communs des mortels; j'ai trouvé le film absolument exqcuis surtout vue toute cette m... purement commerciale qui se tournent outreatlantique...scandalisée également par les résultat du box-office bref le film à voir absolument si vous avez suffisamment dans la tête et du vecu pour en apprécier la valeur ! :)
Ce film ne sert a rien, on ce fou de la vie de ce type, surtout qu'elle n'a rien d'intéressant ni d'excitant, le seul bon point c'est le bon jeu d'acteur, mais sinon l'histoire ne vaut vraiment pas le coup. C'est la sieste assurée.
La couleur du mensonge est un très beau film de Robert Benton. La mise en sècne du réalisateur est correcte, il réussit à nous plonger dès le début dans l’ambiance et malgré quelques baisses de régime, on ne s’ennuie pas. Le scénario est travaillé et les acteurs comme Nicole Kidman, Anthony Hopkins, Gary Sinise ou encore Ed Harris sont tous irréprochables dans leurs rôles. Bref, à découvrir…
Robert Benton, à qui l'on doit le célèbre Kramer contre Kramer (1980), déçoit purement et simplement avec son adaptation du roman "La Tâche", de l'écrivain Philip Roth. Absence de cohérence, de rythme, de linéarité, une mise en scène trop amorphe avec de multiples thèmes traités, le tout s'embourbant assez rapidement et finissant par lasser le spectateur, et ce, malgré une distribution plus qu'alléchante (Nicole Kidman, Anthony Hopkins, Gary Sinise & Ed Harris). On en attendait d'avantage de la part de Robert Benton, en adaptant un roman aussi réputé, il se devait d'être irréprochable, ce qui n'est hélas pas du tout le cas ! Malgré sa courte durée (110 minutes), le film est d'une platitude déconcertante, très sinueux et d'une lenteur assommante, quel dommage (et quel gâchis, car avec un casting pareil, on était en droit de s'attendre à tout autre chose).
D'après l'oeuvre de Philip Roth, "La tâche", Robert Benton, pourtant habitué à mieux (réalisateur de "Kramer contre Kramer" et scénariste de "Bonnie and Clyde"), tisse cette histoire entre racisme, mensonges et déchéance/déchirure de l'humain dans une position qu'il semble contrôler mais qu'il ne contrôle plus du tout. A celà, l'interprétation d'Anthony Hopkins est parfaite mais tend au jeu qu'il avait dans "Hannibal". Dommage. Robert Benton se rapproche des acteurs et se perd dans son scénario : on comprend, mais heureusement que Sir Anthony et Nicole Kidman sauvent le film. Sinon, je ne comprends pas le jeu des deux autres acteurs, pourtant quasiment jamais mauvais : Ed Harris ("Stalingrad", "Rock", "The Truman show", "A history of violence"...), méconnaissable, et Gary Sinise ("Snake eyes", "La rançon"), se retenant. Reste une musique pas désagréable. Monsieur Benton semble s'embourber dans quelque chose que je ne lui connaissais pas. Pour les amateurs d'Anthony Hopkins seulement. PS : les accros de "Prison break" reconnaîtront Anthony Hopkins jeune. Il s'agit de Wentworth Miller.
J'ai du mal à comprendre comment certains critiques trouvent ce film "lent" ... Je l'ai trouvé d'une intensité d'émotion extraordinaire. Servi par 4 excellents acteurs (et même des grands dans les seconds rôles), une histoire poignante.
Voilà un bel exemple d'accumulation de clichés et de volonté de bien caresser la police de la pensée dans le sens du poil et de l'idéologiquement correct, le tout porté par une mise en scène dont la vulgarité confine au risible. Quand Benton veut appuyer, il convoque le rouleau compresseur, pour bien souligner les moments où le spectateur doit s'indigner, quand ce n'est pas se repentir. Il fracasse un scénario qui aurait pu être subtil, où chacun a sa part d'ombre, où les destins se croisent dans un même rapport au passé. J'ai cru voir par moments un Lelouch sans technique perdu dans le Middlewest ou égaré dans le New Jersey. Flash backs plaqués, champ/contre-champ systématique, caméra qui manque cruellement d'âme, cette mise en scène n'est pas que vulgaire, elle est aussi simple mise en place. Alors pourquoi 2 étoiles ? Parce que Hopkins, Harris, Sinise font leur travail avec conscience. Et que même Kidman fait un effort.
L'interprétation d'Anthony Hopkins est excellente, tout comme celle de Wentworth Miller (Prison Break), et celle de Nicole Kidman, que j'ai apprécié dans un registre bien différent. Les dialogues sont très justes, et poignants. Un film à découvrir !
Un Noir accusé de racisme envers les Noirs. En voilà une idée de départ. La décision de Coleman de s’éloigner de ses origines est loin d’être fondée, et comme le démontre la suite, non seulement il aurait pu sauver son travail, mais en plus ses frères et sœurs ont autant réussi que lui. Il n’a pas eu assez confiance en la façon dont les choses ont évolué, et il a peut-être eu raison, quand on voit cette histoire de « zombie » comme insulte raciale. L’histoire de Lester et Faunia est trop effeuillée, il l’a battue, ils ont perdu leurs enfants, mais comparé à l’histoire de Coleman, ça reste trop léger. Les acteurs sont tous très bons, en particulier Ed Harris. Je retiendrai surtout la scène où la petite amie rencontre la famille de Coleman, et comprend qu’il est Noir, et tout de suite, elle est dégoûtée par lui. Pauvre Coleman…