Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Véritable monument de la culture américaine (...)
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
France Soir
par F.R.
C'est peut-être démodé l'amour, la justice, la discrétion, mais j'aime ça. 21/05/1963
Critikat.com
par Ariane Prunet
Humaniste par l'ambition affichée de son sujet, souvent perçu comme un vibrant plaidoyer contre le racisme, c'est lorsqu'il nous emmène de l'autre côté du décor, du côté des premiers frémissements d'une peur viscérale, que le film prend toute son ampleur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le film en noir et blanc de Robert Mulligan (futur auteur d'Un été 42), fidèle au livre, nous plonge dans son premier tiers dans le monde de l'enfance, où l'on s'amuse à se faire peur pour un oui ou pour un non.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par J.F.
Dommage que cette intrigue mise en scène avec une grande honnêteté traîne un peu en longueur (…) 12/06/1963
Positif
par Jean-Paul Torok
C'est (…) une œuvre solidement charpentée, sympathique, dont le plaidoyer anti-raciste ne va pas très loin, mais est présenté avec une certaine originalité (…) N°54, juillet-août 1963
Télérama
par Jacques Siclier
Disons qu'il est honnête et plein de ces bonnes intentions qui rassurent les consciences et font couler les larmes. 16/06/1963
Cahiers du Cinéma
par Anonyme (brève)
En voulant gagner sur tous les tableaux, le trop malin Mulligan a gâché les deux faces du sujet.N°145, juillet 1963
Charlie Hebdo
Véritable monument de la culture américaine (...)
France Soir
C'est peut-être démodé l'amour, la justice, la discrétion, mais j'aime ça. 21/05/1963
Critikat.com
Humaniste par l'ambition affichée de son sujet, souvent perçu comme un vibrant plaidoyer contre le racisme, c'est lorsqu'il nous emmène de l'autre côté du décor, du côté des premiers frémissements d'une peur viscérale, que le film prend toute son ampleur.
Les Inrockuptibles
Le film en noir et blanc de Robert Mulligan (futur auteur d'Un été 42), fidèle au livre, nous plonge dans son premier tiers dans le monde de l'enfance, où l'on s'amuse à se faire peur pour un oui ou pour un non.
Libération
Dommage que cette intrigue mise en scène avec une grande honnêteté traîne un peu en longueur (…) 12/06/1963
Positif
C'est (…) une œuvre solidement charpentée, sympathique, dont le plaidoyer anti-raciste ne va pas très loin, mais est présenté avec une certaine originalité (…) N°54, juillet-août 1963
Télérama
Disons qu'il est honnête et plein de ces bonnes intentions qui rassurent les consciences et font couler les larmes. 16/06/1963
Cahiers du Cinéma
En voulant gagner sur tous les tableaux, le trop malin Mulligan a gâché les deux faces du sujet.N°145, juillet 1963