Mon compte
    Le Justicier de minuit
    Note moyenne
    2,9
    177 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Le Justicier de minuit ?

    43 critiques spectateurs

    5
    8 critiques
    4
    5 critiques
    3
    15 critiques
    2
    9 critiques
    1
    4 critiques
    0
    2 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    3 abonnés 497 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 décembre 2022
    Ce Charles Bronson est un film policier où il interprète un policier, qui pour traquer un tueur en série qu'il n'arrive pas à attraper, se trouve à enfreindre la loi, pour faire justice lui-même en quelque sorte. Ce n'est pas surprenant si nous considérons que ce film fait partie de la trajectoire "justicier" de Charles Bronson, qui sera exploitée par de multiples producteurs dans la dernière partie de la carrière.
    Pour les composantes du film, nous trouvons un tueur en série qui a des caractéristiques intéressantes et assez osées: il commet nu ses crimes, sur des femmes, à l'arme blanche. Il est très dérangé, et se retrouvera probablement dans un hôpital psychiatrique. Ce qui donne des scènes de nus, car il tue ses victimes dans la salle de bain ou dans un lit.
    Le film est une bonne illustration du style des années quatre-vingt. Avec la musique, les coupes de cheveux, la violence graphique (beaucoup de sang), beaucoup de nudité (pour notre tueur, mais aussi pour ses victimes). Années quatre-vingt, mais aussi années soixante-dix, car ce personnage de flic interprété par Charles Bronson n’est très influencé par l'Inspecteur Harry. Avec les clichés du genre: le conflit avec la hiérarchie, l'avocat corrompu, l'affrontement contre le système judiciaire ou la séquence de tribunal. Le film se termine par un plan très "justicier" à la Paul Kersey.
    Phil MacGyver
    Phil MacGyver

    15 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 février 2022
    Un excellent thriller où notre ami, Bronson, justicier à toutes heures, se retrouve à nouveau dans "l'obligation" de faire justice lui-même en enfreignant de plus en plus les règles, cette fois en tant que flic; car ayant un autre redoutable ennemi en plus d'un serial killer particulièrement vicieux: une justice totalement incompétente et clivée qui accorde plus de droits aux agresseurs qu'aux victimes.

    Gene Davis, le jeune acteur jouant le tueur en série bien entamé de la tête est réellement très convaincant !
    Quant à Charles Bronson, il a toujours son sens inné du nettoyage par le vide qui fait tout son charme.

    Tout le film est une critique constante et acerbe (facile dirons certains, mais pourquoi faire compliqué avec ce qui saute aux yeux ?) de lois très paradoxales, et insiste bien sur la nullité d'un système judiciaire inconséquent qui à terme sait souvent anéantir les efforts et réussites des gens de terrain, les poussant par là même à faire des choix difficiles et coûteux auxquels ils ne devraient pas être confrontés afin d'éviter de futures victimes, si les éternels "culs sur une chaise" faisaient leur boulot correctement, autrement qu'avec une cuillère en argent dans le bec et un balai planté bien profond.

    La scène finale est sans appel sur ce qu'on peut espérer d'un système judiciaire qui finit par faire passer les bourreaux pour des victimes, et pousse ainsi les honnêtes gens à cesser de l'être...
    Le dernier plan - et ses évidentes conséquences futures à assumer - est on ne peut plus clair.
    Le message est simpliste, le film aussi, mais y a-t-il besoin de plus de subtilité quand les dérives sont aussi évidentes ?
    -Jérôme -
    -Jérôme -

    4 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2022
    un excellent film de serial killer, étonnant et surtout très peu apprécié à sa juste valeur.
    Malgré un petit budget, ce film exploite à merveille un sujet peu abordé à l’époque.
    Pas le plus grand film de Charles Bronson mais un des meilleurs.
    A découvrir ou à revoir avec nos yeux du 21ème siècle où les tueurs en série font énormément recette.
    Antoine B.
    Antoine B.

    12 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 mai 2021
    Dans les années 80, le populo d'extrême-droite avait pour héros, en France Alain Delon et sa filmo "flic", aux USA - et donc en France - Charles Bronson et sa filmo "justicier". Chantre de la loi du Talion, seule solution face à une Justice aveugle sourde et muette, et une bureaucratie lourde, alors que merde, quoi ! si Bronson dit que c'est untel le coupable, c'est que c'est lui, faisons confiance à son jugement et au scénario qui ne laisse planer aucun doute sur l'abominable méchant qui, ici, a en plus le culot de tuer à poil des nanas à poil - cruelle hypocrisie d'un film qui objective la femme autant que son tueur.
    Vous l'avez compris, le film ne joue pas dans la finesse et c'est malgré tout avec une certaine efficacité acquise au long d'une carrière de solide faiseur que Jack Lee Thompson met en boîte ce long épisode de n'importe quelle série policière lambda - Commissaire Moulin, de là où tu es... Mieux, le personnage du tueur, dont l'identité est dévoilée d'emblée, est particulièrement creusé, et rappelle à bien des égards le Patrick Bateman de Bret Easton Ellis, des années d'avance. Malheureusement, sa personnalité incarne le Mal, à grands renforts de vulgarités débitées au téléphone - balance-ton-porc n'existe pas encore - pour mieux servir un final en légitimation de l'auto-justice, à la suite de quoi le générique défile aussi sec pour éviter toute tentative de réflexion.
    Radical et brutal, oui, mais c'est un peu court jeune homme.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 173 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mars 2021
    Warren Stacey n’est pas qu’un simple serial-killer, c’est aussi et surtout, un détraqué sexuel qui s’en prend aux femmes en les assassinant. L’inspecteur Leo Kessler en charge de l’enquête, est bien déterminé à lui mettre la main dessus et encore plus lorsqu’il apprend qu’il a tué une amie de sa fille.

    Ne vous y méprenez pas, Le Justicier de minuit (1983) n’a absolument rien à voir, ni de près ni de loin avec la saga Un justicier dans la ville (1974), le distributeur avait simplement voulu surfer sur la présence de Charles Bronson et le succès des deux premiers opus de la saga pour le titrer ainsi (alors que son titre d’origine est "10 to Midnight").

    Très rapidement, le film nous tient en haleine avec une réelle aisance et ce, grâce à la présence glaçante de Gene Davis dans le rôle du détraqué sexuel. Cet homme, incapable de nouer la moindre relation avec une femme (je ne m’attarderais pas sur l’unique relation qu’il entretien, à savoir celle avec… son masturbateur), se transforme en un sadique psychopathe qui prend un malin plaisir à harceler par téléphone les femmes qui auront le malheur de refuser ses avances, avant de passer à l’acte. Un passage à l’acte qui aura le mérite de retenir toute notre attention puisqu’il agit toujours selon le même opératoire, il se met tout nu avant d’assassiner ses proies ! Face à lui, on retrouve l’excellent Charles Bronson qui refuse de voir le serial-killer plaider la maladie mentale pour s’en sortir face à la justice et va tout mette en œuvre pour lui mettre des bâtons dans les roues, quitte à franchir la ligne et virer dans l’illégalité. Enfin, on retrouve dans le rôle de la fille de l’inspecteur, la ravissante Lisa Eilbacher (qui incarnait l’amie de Peter Parker dans L'Homme araignée - 1977).

    Un polar teinté de vigilante movie où un inspecteur de police n’a d’autres choix que de falsifier des preuves pour coincer un frustré sexuel. Un thriller où la finesse sera reléguée au placard. Charles Bronson se mue en Paul Kersey (le justicier de la franchise) et dézingue à tout va, sans le moindre remord, comme en atteste le final. Une Série B très plaisante, très dark, rentre-dedans et comme on n’en fait plus de nos jours. Clairement, on ne boude pas notre plaisir.

    A noter que l’on retrouvera le réalisateur Jack Lee Thompson & Charles Bronson dans le 4ème (et avant-dernier) opus de la franchise avec Le Justicier braque les dealers (1987).

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    pierrre s.
    pierrre s.

    349 abonnés 3 235 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mars 2021
    Qui a dit que la Cannon n'avait fait que des nanars? Voici un bon contre exemple, avec ce polar violent et burné. Bronson y chasse un tueur fou (et genial) qui sème les cadavres.
    Ghighi19
    Ghighi19

    51 abonnés 1 751 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2021
    Beaucoup de films se ressemblent et celui ci a été copié et recopié à volonté. Toujours dans le charme du milieu des années 80 Charles Bronson s apprête à photocopier son personnage de justicier pendant de nombreuses années. Bien sûr il a vieilli dans la photo et le montage très cheap mais le plaisir à le voir continue.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    138 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 septembre 2020
    Ce film m avait marqué quand j était jeune . J avais réussi à dénicher une VHS qu’on se passait de main en main et m était installé avec trois potes. J avais 13 ans et à 44 ans le souvenir est toujours vivace concernant ce tueur fou courant nu dans les rues de New York pour égorger des femmes .

    On est au royaume de l’ultra violence propre aux années 80.
    Jack Lee Thompson (réalisateur de deux grands films : les canons de navarone et les nerfs à vif) collabore avec Charles Bronson pour un 6 ème film (ils en tourneront 8 ensemble sur leur fin de carrière respective) .

    Il convient déjà de préciser que ce justicier n a rien à voir avec la série du justicier dans la ville de Charles Bronson (Death Wish repris récemment par Bruce Willis) . Les producteurs français voulaient sûrement surfer sur la vague pour mieux vendre leur produit .
    Le film est produit par golam and globus, la firme phare des années 80 , spécialiste des nanar made in USA (Alan Quatermain, portes disparus , American Warrior , over the top ou encore Cobta mais aussi les bons highlander ou runaway train)
    Gene Davis est flippant et impressionnant en tueur au couteau . L hémoglobine coule à flot .

    Le justicier de minuit, quoi que limite dans son scénario, est agréable à regarder et démontre une certaine peur dans les années 80.
    Play it again, Sam
    Play it again, Sam

    7 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 août 2020
    En toute objectivité, ce « Justicier de minuit » est un mauvais film. Dans l’esprit de la Cannon, on ne peut s’empêcher de trouver un ton globalement racoleur à l’ensemble. Avec ses personnages sans profondeur, son scénario totalement bancal, ses scènes de nue gratuites, son message bourrin, sa musique ringarde, ses dialogues bas de gamme (et sans les punchlines habituelles de Bronson), son dénouement abrupt et ridicule, il faut bien le métier de Jack Lee Thompson et des acteurs plutôt convaincants pour réussir le miracle de rendre l’entreprise, malgré tout, pas désagréable à suivre.
    Très ancré dans les années 80 par son ambiance (un tueur en série, du nu, du sang, du synthé, du brushing et du bandana), on peut regretter que toute la deuxième partie du film soit absurde (la démarche de Bronson n’a aucun sens) car elle enlève toute crédibilité à un film qui aurait, malgré tout, quelques atouts à faire valoir. L’atmosphère parvient parfois à être tendue, une place est laissée à tous les personnages et certaines situations laissent augurer de développements pertinents.
    On regrettera dès lors davantage encore la paresse d’un scénario qui coupe à travers champ et se refuse à prendre une direction plus sinueuse ou à explorer d’autres possibilités. On ne s’ennuie pas cependant (ce qui est déjà pas si mal) mais on peut préférer, par exemple, « La loi de Murphy » plus amusant et plus riche en rebondissements dans la série des Bronson chez la Cannon.
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    28 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2020
    Petite production typique des années 80 (on aurait pu nous epargner la musique à l'orgue Bontempi façon Manix) "le justicier de minuit" a néanmoins quelques points posiitifs : d'abord la présence de Charles Bronson qui en impose toujours dans ce type de rôle, et le psychopathe dont les meurtres et le language paraissent moins passés à la moulinette du mainstream que d'habitude. Le meurtrier (qu'on connait dès le début) fait quand même un peu trop gravure de mode mais l'ensemble se laisse voir. A noter que si le terme de justicier colle à Bronson dans cette période après "un justicier dans la ville" 1 & 2, l'histoire n'a cette fois aucun rapport et n'est pas la suite d'une quelconque franchise.... 3 / 5
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    149 abonnés 1 725 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mai 2018
    Titre laissant à croire que c'est la suite d'un justicier dans la ville, mais ce n'est absolument pas le cas. Ou alors il faut m’expliquer pourquoi Charles Bronson passerait d'architecte à flic :) L'intrigue policière est pas mal, et met du coup Bronson en hors la loi en faisant une fausse preuve, mais sur une bonne intention. spoiler: La fin reste aussi un peu brutale bien que prévisible.
    Incertitudes
    Incertitudes

    170 abonnés 2 319 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 février 2018
    Les vilains distributeurs français voulaient sans doute attirer le spectateur fan du viril Charles Bronson en lui vendant Le Justicier de Minuit comme un nouvel épisode des (més)aventures de Paul Kersey. Ça n'en est pas un même si Charlie reprend une nouvelle fois le costard d'un policier justicier blasé de voir que les assassins ont plus de droits et de considération que les victimes. Je ne lui cherche pas d'excuse. Sous l'égide des Golan et Globus, il ne faut pas s'attendre à une réflexion sociologique sur l'état du crime en zone urbaine. Ceux qui traitaient Eastwood de fasciste dans les années 70 avec son Inspecteur Harry s'étaient alors trouvé une autre tête de turc la décennie suivante. A mon avis, Bronson n'en avait cure. Face à un tueur sadique se baladant à poil pour commettre ses crimes horribles, le meilleur moyen est encore de garder son flegme. Totalement impassible, même quand sa propre fille est en danger (au hasard, il pourrait la garder près d'elle), il fait équipe avec un jeune blanc-bec forcément idéaliste. Loin de l'adoucir, ce côté vaguement buddy-movie ne va pas l'empêcher de découvrir le meurtrier au bout de vingt minutes, de fabriquer des preuves à sa manière quand il n'en a pas pour finir par régler le problème à sa manière. Telle qu'on peut l'imaginer. Autrement dit, Bronson n'est pas seulement flic. Il est également juge et bourreau. Les nostalgiques de ce cinéma glauque, crado des années 80 avec sa violence exacerbée, ses filles à poil se diront que c'était quand même le bon vieux temps qu'importe la conclusion. Les poètes ou les romantiques hausseront les épaules en disant que ça ne manque pas. Chacun appréciera.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 septembre 2017
    Le titre français est bien trompeur, le film n'a rien à voir avec la saga des justiciers dans la ville. Il ne faut pas s'attendre à voir des morts toutes les 5mn ! Charles Bronson est toujours aussi expéditif, sauf qu'il agit en toute légalité (ou presque) puisqu'il est flic ce coup-ci ! Il y a des scènes très sanglantes avec le tueur psychopathe. On est dans une autre ambiance mais c'est du bon polar, avec un final comme je les aime !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 septembre 2016
    Pas de finasserie dans ce film simple où le mauvais va tenter de contraindre notre justicier préféré, ainsi que ses proches.
    Bang, bang !
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 085 abonnés 4 213 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 août 2016
    Ah, Bronson et ses films bourrins de fin de carrière ! Steven Seagal en second ! Le Justicier de minuit reste cependant une série B assez efficace, malgré ses lourdeurs, roublarde à souhait, volontiers racoleuse, mais finalement divertissante si tant est qu’on adhère à ce genre de plaisir coupable.
    Au casting Bronson donc, qui se la joue justicier prêt à tout et qui en a marre du laxisme de la justice. L’acteur garde la classe, il s’empare plutôt bien du personnage, et finalement il garde sa crédibilité et son honneur dans ce métrage, face à un casting d’acteurs moins connus, mais pas égarés. Gene Davis en fait un peu beaucoup dans la dernière partie, mais il reste d’un bon niveau, tandis que Andrew Stevens est à mon sens la bonne surprise du film, ne se laissant pas écraser par Bronson. Le casting féminin est plus inégal, mais Lisa Eilbacher ne s’en tire pas mal. A noter que le film dispose d’un méchant qui a du relief, et c’est à souligner quand même !
    Techniquement le film dispose d’une mise en scène volontiers racoleuse de Thompson, mais le réalisateur en vieux routier de la série B livre un travail plutôt efficace, notamment lors de certains meurtres, et sa réalisation reste fluide. Le métrage ne casse pas la baraque, mais son ambiance sombre, son style crépusculaire plutôt bien tenu, lui permettent de garder une certaine classe, une élégance appréciable, et on ne s’ennuie pas devant ce produit bien emballé, avec une musique un peu neutre.
    Le souci majeur du film reste son scénario et son déroulé. Bien lourdingue, le film se veut outrageusement manichéen, et surtout tout est vraiment taillé à la serpe. Bronson est un génie, le méchant laisse aucun indice mais se fait démasquer quand même… bref, le film recèle une certaine artificialité, et même si ça reste plutôt pardonnable de par le rythme du métrage, c’est gênant par moment. Le Justicier de minuit est loin d’être infâme, parce qu’il est nerveux, violent, mais quand même, la sortie est asse ridicule, il y a des incohérences, et c’est balourd. Mais enfin, il y a de l’audace niveau violence, le traitement du tueur ne manque pas de relief, et c’est louable, surtout dans un fil où le tueur n’est pas inspiré d’un tueur réel.
    Honnêtement difficile de présenter Le Justicier de minuit comme un grand film, mais c’est sans doute un des plus décents de la fin de carrière de Bronson. C’est une sorte d’Inspecteur Harry plus poisseux et plus extrême, moins finement mené aussi, mais c’est sympa. 3.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top