Mon compte
    L'Homme qui tua Liberty Valance
    Note moyenne
    4,0
    4563 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur L'Homme qui tua Liberty Valance ?

    187 critiques spectateurs

    5
    73 critiques
    4
    62 critiques
    3
    36 critiques
    2
    10 critiques
    1
    2 critiques
    0
    4 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Ti Nou
    Ti Nou

    405 abonnés 3 355 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2020
    Un jeune avocat venant de finir son droit voyage vers l’ouest dans le but de se faire une place. Il va faire le rencontre de Liberty Valance, symbole d’un territoire gouverné par la loi du plus fort. La lutte de l’État de droit contre la sauvagerie.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 mars 2020
    Un film majeur dans sa façon de rallier l’idéal démocratique de l’Est au mythe de la Frontier tourné vers l’Ouest, de confronter le Stewart de Capra (plutôt que celui de Mann) au Wayne de Hawks ou Ford, de rassembler ainsi les deux faces de l’idéal américain : le messianisme démocratique et l’innocence des pionniers menacés par la sauvagerie environnante. N’étant pas un immense fan de westerns ni de l’idéalisme à la Capra, pas plus que de ce genre d’exaltation sans mélange du modèle américain, je suis resté un peu froid devant ce film, qui n’en est pas moins une synthèse assez passionnante de mythes culturels et cinématographiques américains fondateurs, en plus d’être très bien interprété et mis en scène.
    Hotinhere
    Hotinhere

    416 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2023
    Tout est réuni dans ce classique du western à l'ancienne, témoignage puissant sur l'Ouest américain, à la mise en scène élégante de John Ford, épaulée par l'interprétation de John Wayne et James Stewart.
    CH1218
    CH1218

    152 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2020
    Deux visions de l’Ouest s’entrechoquent dans cette mélancolique avant-dernière réalisation de John Ford. Celle, personnifiée par John Wayne, où la loi du colt prime, et celle qui émane des livres de droit à laquelle croit James Stewart. Alimentant les convictions de ce duo inédit, réuni pour la première à l’écran, Lee Marvin accède enfin avec son rôle de Liberty Valance à la notoriété. Le choix du noir-blanc, la restriction des lieux et des scènes souvent nocturnes apportent un minimaliste pas inintéressant mais qui manque d’enjeux autour d’une société en évolution.
    mazou31
    mazou31

    80 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 avril 2019
    Chef-d’œuvre du western, un des derniers John Ford et qui est un peu l’aboutissement de son génie. Tout y est : une histoire brillante où sont repris tous les thèmes de sa carrière, tous les thèmes d’une éternelle Amérique (la jolie, la légendaire mais pas forcément la véritable), une mise en scène parfaite, un noir et blanc artistique et enfin et surtout une exceptionnelle interprétation d’acteurs. John Ford aborde là de nobles sujets qui lui tiennent à cœur : la démocratie et le passage de la loi du colt à la loi du code, l’humanisme des gens simples et la déontologie de la presse (notion presque disparue aujourd’hui). Un chef-d’œuvre de presque soixante ans d’âge sans rides et toujours vif.
    Daniel Schettino
    Daniel Schettino

    16 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 mars 2019
    Difficile d'avoir le courage de dire ce qu'on pense de L'homme qui tua Liberty Valance, face à la troublante unanimité qui touche ce film. Pourtant en revoyant ce film, je suis en complet désaccord avec l'avis des critiques. D'abord avec le seul personnage noir du film, "Pompey", interprété par Woody Strode. "Pompey" n'a pas l'air d'être un esclave, pourtant il est affublé d'un sobriquet ridicule. Il ne pouvait pas s'appeler Robert ou Tom ? Ce personnage est aussi désexualisé, même asexué. Il n'a pas de famille, pas d'envie. Il est là, toujours prêt à défendre les personnages blancs, alors qu'il pourrait les laisser choir avec leurs problèmes. Qu'est-ce qu'il a y gagner ? Une meilleure conditions sociale ? Certainement pas. Quand "Pompey" rentre dans un bar, John Wayne, son patron ? Son protecteur ? lui dit qu'il peut boire, mais "Pompey" refuse gentiment, et donne même du "Monsieur" au personnage de John Wayne. Alors je vous laisse imaginer, un noir buvant une bière dans ce bar réservé aux blancs, la scène aurait été nettement plus forte. On retrouve aussi "Pompey" assis sur les marches qui donnent accès au bureau de vote qui lui est interdit. On ne sait pas trop ce qu'il fait-là ? Il dort ? Il médite sur sa condition ? Curieuse scène. Cette vision du personnage noir du film est vraiment problématique, voire détestable.
    La deuxième critique est la place réservée aux femmes dans le film. Analphabète au début du film, Hallie, jouée par Vera Miles, s'exprime pourtant comme une maîtresse d'école. Plus tard avec un autre personnage féminin, elles sont heureuses que les hommes de la petite ville aillent voter, sans remettre pour autant leur statut en question, même une toute petite critique, une revendication féministe, non rien de tout ça. Pourtant le féminisme commence dès la seconde partie du XIX siècles aux Etats-Unis. Et la National American Woman Suffrage Association a été fondée en 1890.
    Et que dire du personnage blanc de Ransom Stoddad (James Stewart) qui inculque le savoir aux femmes et aux latinos. Le bon civilisateur en somme. Si c'est ça un chef-d'oeuvre pour vous, pas pour moi, merci.
    Philippe C
    Philippe C

    78 abonnés 1 004 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mars 2019
    Un western qui a pris quelques rides avec le temps. Certes, la distribution est excellente, le scénario de qualité avec une chute plus ou moins attendue aux deux tiers du film, une image et un cadrage de qualité, mais la façon de jouer, les dialogues et le côté entier des personnages sont passé de mode.
    Malgré tout le film se regarde avec plaisir
    Patjob
    Patjob

    19 abonnés 548 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 mars 2019
    Un immense film, aux confins du western, d'une construction et d’une fluidité narrative exemplaire, qui excelle à la fois dans le social et dans l'intime.
    D'un point de vue social, il montre la naissance d'une société, dans ses aspects les plus importants, l'accès à l'éducation, l'apprentissage de la démocratie, la coexistence de communautés, la responsabilité de la presse.
    Il montre aussi une fabrication de l'Histoire officielle, qui ne correspond en l’occurrence pas à la réalité.
    Dans cet univers en évolution bouillonnante, les rapports entre les personnages principaux sont admirablement décrits. Ces sentiments essentiels que sont l'amitié et l'amour sont traités avec profondeur et une grande pudicité, même lorsque l'on assiste à l'émouvant sacrifice d'un bonheur personnel par amour pour la bien aimée.
    Ford exprime l'amour de son pays et des valeurs qui ont présidé à sa fondation, mais il reste lucide sur les dérives possibles : lorsque Poppy, l'élève noir a oublié l'article de la déclaration d’indépendance selon lequel tous les hommes sont créés égaux, l'instituteur répond avec amertume que c'est le cas de beaucoup de gens.
    Ford exprime aussi son amour des hommes, avec leurs défauts, leurs qualités et leur diversité : nous sortons débordant d'estime et d'affection pour Tom, à la générosité bourrue et pudique, et pour Ransom, à la générosité idéaliste, ces deux "héros" si différents que tout oppose et qui représentent deux mondes, symbolisant aussi le passé et l'avenir.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 22 février 2019
    Quelle déception. Rien ne sort ce film du lot que ce soit la réalisation, le jeu des acteurs ou même le scénario. Très peu d'émotions, de suspens, d'intensité. Le noir et blanc n'apporte rien et n'a rien d'exceptionnel. Et puis quand je lis western crépusculaire je gausse. Au final, je ne comprends pas que tout le monde s'extasie. Mystère.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 janvier 2019
    Ce film est pour les cinéphiles avertie et passionner de western classique à l'ancienne pour ceux qui aime pas le noir et blanc et le rétro passer votre chemin.
    Nous sommes en 2019 ce film a 60 ans à une année près je me demande comment certain peuvent critiquer ce film d'une autre époque quand on a réunit JOHN FORT en réalisateur, john WAYNE,james STEWART,lee MARVIN, lee VAN CLEEF non mais je rêve.
    Ce film reflète un bout de vie d'un avocat partie de l'EST pour s'installée à l'OUEST dans une contrée ou la loi n'a pas encore sa place.
    Il y fera la connaissance de personnage atypique de l'époque, jusqu'à croire qu'il a descendu le fameux LIBERTY VALANCE, une bonne mise en scène des stars citée ci-dessus au top un parfum comme seul les grand films on se pouvoir. A VOIR ABSOLUMENT INCONTOURNABLE.
    samuel h
    samuel h

    1 abonné 50 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 décembre 2018
    L'un des plus grands westerns, si ce n'est le plus grand. John Ford analyse finement les liens étroits entre la presse et la politique. Mythique !
    Mafoipourquoipas
    Mafoipourquoipas

    9 abonnés 704 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2018
    4 étoiles - L'homme qui tua Liberty Valance

    Un grand film ! Un grand western ! J'y ai vu une humanité rude et fragile. J'y ai vu aussi une rage de vie. Mise en scène talentueuse et scénario intelligent. James Stewart superbe. Je ne me suis pas ennuyé un seul instant.
    L_huitre
    L_huitre

    61 abonnés 344 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 février 2021
    « L’homme qui tua Liberty Valance », je ne peux pas revoir ce film sans connaître une profonde émotion. C’est mon film préféré, le film qui est pour moi le chef d’oeuvre absolu. Je peux le voir et le revoir, sans émousser les ressentis de la première fois. La dernière scène me laisse toujours la larme à l’oeil.
    Un western ? Beaucoup n’iront pas plus loin… Le western est un genre mineur, proprement désuet pour beaucoup de spectateurs. Quand on ajoute que le film est en noir et blanc, la cause est entendue pour les jeunes générations. Elles préféreront passer leur chemin. En quoi, elles passeront à côté du film majuscule…
    « L’homme qui tua Liberty Valance » est un film unique. Déjà son titre le différencie des autres par son côté mystérieux. Qui est ce Liberty Valance ? Pourquoi faire un héros de son tueur ? Un titre étrange, mais que vous retiendrez à coup sûr…
    Bien sûr, le tandem d’acteurs vedettes, pour la première fois réunis, John Wayne et James Steward fait beaucoup pour la réussite du film. Ils sont excellents, Steward en avocat intègre et idéaliste, Wayne en homme de l’ombre déchiré. Mais c’est surtout le scénario et la patte artistique de Jon Ford qui fait de ce film le plus beau de mon movie parade.
    L’histoire est magnifique, le scénario accompli au point d’être un objet d’étude dans toutes les écoles de cinéma. Quant à la photo, en noir et blanc, qui joue avec brio sur les jeux d’ombre, elle est confondante de beauté. Enfin, ce film est d’une modernité incroyable. Ford évoque tous les principes fondateurs des grands Etats d’Amérique : le besoin de droit, l’éducation des masses, le rôle puissant de la presse, et la vie politique ouverte à tous. Il faut voir la scène du migrant suédois, ému aux larmes et fier d’obtenir son droit de vote pour comprendre l’universalité des Etats Unis rêvés par Ford. Et que dire de la convention électorale entre les délégués des petites gens et les représentants des grands éleveurs de l’Ouest ? La folie, l’excès, la passion des enjeux électoraux chez le Grand Sam sont déjà inscrits dans ce film, précurseur en tout. Et le candidat des éleveurs, par son caractère primaire, est le parfait précurseur de Trump.
    Ford avait tout annoncé. Il le fait avec l’expression de sa forte foi dans les valeurs de l’Amérique. Mais, en même temps, « L’homme qui tua Liberty Valance » est le film le plus nostalgique de toute la filmographie de Ford. Le vieux sénateur rentré sur ses terres pour enterrer ce héros de l’ombre auquel il doit tout, est fatigué et aspire à quitter Washington pour revenir dans sa région. Une génération de conquérants, gagnée par l’âge, raccroche les gants. Que feront les successeurs ? Le récit ne le dit pas, mais la forte nostalgie qui imprègne le film jette un voile sur cet avenir.
    Alors, si une chaîne du cable, Netflix ou un DVD, vous donnent l’occasion de voir et revoir ce chef d’oeuvre, foncez !… Vous y découvrirez un récit différent en tout du western classique : un John Wayne pas du tout flambant, et torturé par des sentiments non partagés; un héros faisant la vaisselle et jouant les serveurs de restaurant ; un shérif qui ne pense qu’à manger et fuir la bagarre ; un duel non pas à deux, mais à trois… Tout est exceptionnel dans ce film.
    « L’homme qui tua Liberty Valance » est mon film préféré. C’est bien de réaliser que les valeurs sûres le restent au fil des générations. Espérons que demain saura apprécier, comme aujourd’hui, ce film magnifiant les valeurs des pionniers. Espérons aussi que Trump et ses électeurs sachent se replonger dans ses images porteuses d’espoir…
    Roub E.
    Roub E.

    729 abonnés 4 820 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juillet 2019
    C’est du western vraiment à l’ancienne, un peu trop propre avec John Wayne en tête d’affiche. D’habitude je ne suis vraiment pas client de cette période du western, les acteurs sur jouent trop et les personnages sont trop binaires: les bons d’un côté les méchants de l’autre, les bons sont très bons, les méchants très méchants. Et pourtant l’homme qui tua Liberty Valance est à mette à part car il montre un visage un peu moins glorieux de la conquête de l’Ouest qui se fait sur la violence et la loi de celui qui tire le premier. Il montre aussi la prédominance des puissants, qui grâce à l’argent maintiennent une hiérarchie sociétale qui met à mal le rêve américain. On voit avec plaisir dans les rôles des méchants un Lee Marvin qui s’amuse beaucoup avec son personnage de terreur et Lee Van Cleef dans un tout petit rôle. Alors même s’il a des défauts c’est avec un réel plaisir que j’ai découvert ce film.
    babidi
    babidi

    4 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mars 2018
    une piece maitresse dans les western américain

    une réalisation au cordeau pour un scenario plus qu intéressant et des acteurs admirables

    voir John Wayne avec James Stewart et Lee Marvin dans un meme plan que demander de plus

    un oeuvre d art du 7eme

    a voir
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top