Derniers Avis : Che - 1ère partie : L'Argentin - Page 12

Parfait substitut au somnifère

Pour avoir réussi à relever le défi d'un film à la fois spectaculaire, divertissant et didactique, il y a de quoi tirer son chapeau (encore une fois) à Steven Soderbergh. On a parfois l'impression de rentrer dans les pensées du Che, et surtout de le découvrir à travers des scènes superbes de guérilla dans la jungle d'un côté, et de l'autre maîtrisant le verbe aux Nations Unis. Le corps et la pensée de cette légende nous est ainsi révélé. Le film est à ce point didactique que j'en ai eu le tournis:0) mais au final nul ne niera qu'on en ressort enrichi de la connaissance d'un des plus grands personnages de l'histoire du XXè siècle.

Bon film en general. Benecio Del Toro impecable il merite largement les prix qu'il a recu ( Cannes, Goya, etc,).

soderbergh passe à coté de son sujet. Il fait de la révolution cubaine un banal western où les enjeux politiques et les motivations de Guevara sont à peine évoqués. Se basant principalement sur le journal de Guevara le film ne peut avoir le recul critique nécessaire à l'analyse. De plus le montage à la manière d'un thriller est inapproprié au sujet. Reste les paysages exotiques et l'ambiance bucolique de la guerilla aux parfums de cigare et de rhum...

Très bon film historique, belle épopée centrée sur les forces des relations humaines et de la solidarité qui sait se créer autour d'une cause commune et de principes, chapeau à Benicio Del Toro ainsi qu'à l'acteur jouant Fidel Castro.

La scène en ville est tout particulièrement réussie.

bon film BONICIO DEL TORO est un geni il mérite un oscar pour ce film vive la revolution

Ca se regarde mais un peu confus et lent

Meilleur que le second.
Le film ne se limite pas aux scènes de combat comme on pourrait s'y attendre, il arrive à tracer un portrait très intéressant du Che. Benicio del Toro est très bon.

Comme il est triste que d'assister pendant 2 heures à la descente aux enfers de l'incroyable Steven Soderbergh. Del Toro mérite à peine son prix d'interprétation et que dire du scénario trop ennuyeux ainsi que de la mise en scène trop descriptive. Grosse deception.

Un film génial, et un super intérprétation du Che par Benicio Del Toro!!!!! Seul point de défaut(c'est pour la raison que jai mis 3 étoiles) est sa longeur, ils auraient du couper certains scenes.
Sinon film absolument a voir!!!!

Je plaçais beaucoup d'espoirs dans ce film, le résultat est que c'est une grosse DAUBE en puissance, je me suis ennuyée tout le film....Gâchis d'argent, aucun intérêt de nous montrer les personnages pendant 2h dans la jungle..

J'ai aimé ce film. Même si j'aurai préféré un autre traitement pour le CHE - 2.5 en gros !!

Faire un film sur un homme devenu un symbole, presque un mythe, sans tomber dans l'adoration ou la caricature, voilà le défi qui attendait Soderbergh et Benicio Del Toro. Attendus au tournant par les cinéphiles, les fans ou les détracteurs du Che, ils nous offrent deux films tout en finesse, un visage humain et réaliste du personnage. Le premier film, L'Argentin, est un savoureux mélange de scènes de guérillas dans la forêt et d'images mondaines de la face politique du Che. Et au milieu de tout ça se dessine son amour de la culture et de l'Homme, plus généralement. Le film peut sembler long mais reflète les attentes et les mois passés dans la jungle à monter la lutte armée. Rome ne s'est pas faite en un jour et la prise de pouvoir de Cuba non plus.

Un tres bon film, bien joué, réalisé. Il se base sur un scénario solide et bien agencé. Un bon début pour ce film en deux parties.

Beau film, assurément. De très belles images dans la jungle cubaine, et des personnages attachants. Peut-être une petite réserve sur Del Toro qui accuse quand-même ses 20 ou 25 ans de plus que le personnage qu'il incarne. Quand on sait qu'il ne s'écoule qu'une poignée d'années entre les "Carnets de Voyages" et le début de ce film, la différence d'âge entre les deux acteurs fait "mal aux yeux".
Enfin saluons l'effort du tournage en espagnol, qui permet de faire oublier un peu son "américanitude", comme dirait qui vous savez...