Derniers Avis : Hooligans - Page 6

qu'est que Frodon saké fait ici,je ne l'imagine pas du tout en hooligans,film très loin de la réalité,ultra déçu a vrai dire!ne perdez pas votre temps

Film poignant extremement nerveux ;) avec une vrai bonne histoire de l amour de l amitié une superbe bande son et un bon panel d acteur...et vous avez tout simplement un chef d œuvre....

Superbe film emouvant et plein d'action , une lecon de vie et une tres belle histoire . Les combats de rue sont excellent.

Voilà un exemple typique de chef d'œuvre... Un film capable d'être violent et d'exposer la bestialité des clubs de supporters britanniques, phénomène bien réel, en étant honnête, visuellement pas résumé à d'impossible bagarres, et surtout violent sur un point: les conséquences d'une vie vouée à la haine! Et il faut aussi mettre le doigt sur quelque chose de fondamental dans ce film: le credo de vie adopté par le héros américain est incroyablement fondé..."quand on prend conscience que l'on n'est pas en sucre, on croque la vie!", ce qui est en plus très bien illustré! Puis finalement on ne peut pas nier la performance d'acteurs de tout le casting, qui excelle et qui offert une véracité troublante! En tout cas un véritable film choc, qui ne laisse pas insensible et superbement monté! God save the Queen....

Premier long métrage de Lexi Alexander, "Hooligans" présente déjà l'intérêt d'être un des rares films à aborder ce milieu des hooligans anglais, rendus célèbres en Europe depuis la tragédie du Heysel. Avec les yeux du yankee qui appelle le football "soccer", nous rentrons dans l'intimité de la bande, depuis son repère du pub "Abbey" jusqu'aux déplacements à Manchester. Loin d'être des lumpens, les membres du GSE sont profs, pilotes, traders en bourse, bref, à l'image de la société anglaise d'aujourd'hui, comme nous le montre la séquence où tous attendent sur leur lieu de travail le résultat du tirage au sort qui déterminera la localisation de leur prochain champ de bataille.

Dans la description de cette complicité arrosée de bière et de sang, la réalisatrice sait trouver des accents proches de Ken Loach, Peter Cattenao ("The Full Monty") ou Stephen Daldry ("Billy Elliott"). Chassé honteusement de sa fac et de son pays, depuis longtemps délaissé par un père grand reporter, Matt trouve la fraternité et le sentiment d'une appartenance conquise au prix du danger auprès de ses nouveaux compagnons, dont le chef peut à la fois laisser sa place à une femme dans le métro et traiter de "youpin" le leader d'un groupe adverse.

Lexi Alexander a fait appel à des "gueules" comme on en voit dans "My Name is Joe" ou "The Navigators", qui donnent une crédibilité à la description de cet univers schizophrène, où de bons pères de famille, des employés modèles ou de sympathiques pédagogues se transforment en brutes épaisses mus par des réactions tribales dignes des pires bandes de nos cités. A la tête de ce "club", l'acteur anglais Charlie Hunnam est très convaincant, mélange de Brad Pitt et de Pacino, sachant distiller à la fois un charisme indéniable et une brutalité animale. Il illustre à lui seul la dualité inquiétante de ces hooligans qui refusent le qualificatif de "gang", mais se comportent avec la même bestialité que les bandes de "Gangs of New York".

Malheureusement, le scénario n'évite pas l'ornière des situations convenues, vues et revues depuis "West Side Story". Outre le traumatisme du père absent, on retrouve tous les ingrédients du mélo : la spirale de la vengeance, l'enchaînement fatal des événements, la trahison, le remord... Et c'est là que le film trouve ses limites : à vouloir filmer cet affrontement de petites frappes lobotomisés comme une tragédie antique ou un drame shakespearien, à vouloir parer ses héros des vertus de la droiture et de la fidélité, la réalisatrice n'évite pas une certaine forme de complaisance ; et quand de retour à New York, Matt se venge pacifiquement de celui qui l'avait laissé payer à sa place, c'est en chantant l'hymne du GSE qu'il disparaît dans la nuit de Manhattan, histoire de montrer que cette expérience en a fait un homme nouveau.

Et cette ambiguité se retrouve dans la façon de filmer les affrontements, avec une chorégraphie faite de ralentis et de saccades, qui à la fois ne cache rien de la violence des combats, tout en manifestant une fascination proche du plaisir masochiste des protagonistes à prendre les coups. Simple déformation d'une ancienne championne d'arts martiaux ou manque de discernement ? Laissons à ce premier film quand même intéressant le bénéfice du doute, et attendons de voir ce que nous proposera à l'avenir Lexi Alexander.

http://www.critiquesclunysiennes.com/

Sujet original et très bien traité. Cette immersion en millieu hooligan est une bombe! Les deux acteurs principaux sont irreprochables, la musique cadre bien avec le film et nous rapproche encore plus de cette bande de supporters très violents, ca devient épique, certaines scènes m'ont fait frissoné. Que vous soyez supporter de football ou pas, vous allez vibrer pour Whestham United...

Le thème du hoologanisme est très peu abordé au cinéma.
Le film est plaisant et les bastons spectaculaires.

La partie sur le monde des hooligans est très juste et très amère. Quant à la partie sur le jeune étudiant en journalisme (E. Wood) qui vient d'être expulsé de sa grande école, je dois avouer que ça m'a franchement ennuyé. Malheureusement, Elijah Wood est transparent à côté de Charlie Hunnam, Geoff Bell & Marc Warren... Le résultat ? Un bon drame, ni totalement raté ni totalement réussi.

Super film, bien ficelé, transmet les émotions et les intérêts des personnages !
Pas prévisible, très original et un sujet pas souvent traité !

Excellent !

Un superbe film sur la violence du football qui est malheureusement encore d'actualité dans certains pays...

Cruel et impitoyable ,si Requiem for a dream est un plaidoyer contre la drogue ,Hooligans en est un contre la violence en général et contre celle des supporters en particulier.Les tronches d'hooligans Anglais sont bien choisies .

5 Pour augmenter la note car 3.6 n'est pas encore suffisant... Comme tout grand film il mérite un minimum de 3.8 ^^ Un classique, le meilleur en son genre bien avant la sortie des crow zero ...

Un film que j'ai bien aimé qui nous plonge dans l'Angleterre pure et dure. Charlie Hunnam que je n'avais vu que dans les Sons of Anarchy vaut vraiment le coup.

Un debut long , trés long ... mais que dire de la suite ! Un scénario poignant et une fin surprenante (pas tant que ca finalement) , hooligans nous plonge dans la peau d'un "gang" qui ne vit que pour son club et la baston ! Hooligans traite un sujet d'actualité et nous montre les limites de cette violence , un film qui reflechir ! A voir.

Un film brut de décoffrage tant dans sa photographie que dans son histoire. Ils sont radicaux dans ce milieu...il leur en faut peu pour tourner la situation en drame shakespearien :p
Mais...sans plus !