Derniers Avis : Cars - Page 14

J'adore les Pixar, en particulier parce qu’ils sont destinés aux enfants comme aux adultes et Cars est le seul que je n'avais regardé car je sentais d'une part qu'il était plus enfantin que les autres et que d'autres part les voitures ne sont pas ma came. Malheureusement mes a priori se sont révélés exacts au point que je n'ai même pas pu tenir jusqu'à la fin. Dommage que le plus mauvais ait donné une suite...vive Pixar quand même !

Et un Pixar de plus, un ! Cars, de John Lasseter, en plus de ses nombreux clins d'oeil pour les autres productions de la fameuse lampe, possède les mêmes caractéristiques que les autres Pixar, à savoir une idée fortement novatrice, de bons personnages (mêmes si bien clichés) et une qualité visuelle à n'en pas déplaire. Cachant dans ses images beaucoup d'easter eggs donc et de liens avec les autres productions, ce nouveau métrage se révèle au final un peu moins réussi que les précédents, mais s'ancre parfaitement dans le bon trip pour enfants entre autres pour sa morale américanisée et l'inventivité du studio de production.

film à un seule lecture avec les gentils, les méchants...

Un Pixar dont l’humour et les bons sentiments ne toucheront que les plus jeunes.

Ce que j'ai pu regarder ce film... j'adore tout, du début à la fin... un de mes Pixar préféré...

Cars prend place comme son nom l'indique dans le millieu automobile et plus précisément des courses motorisées. Autant tout de suite annoncé la couleur, du côté du scénario il n'y a pas grand chose, Flash McQueen désire remporté la piston cup, une coupe prestigieuse. Au passage il va recevoir une vraie leçon de vie et d'humilité lors de son voyage pour rejoindre le départ de cette course. C'est une voiture ambitieuse à qui le le succès lui est monté à la tête, mais au fil de ses rencontres, notament Sally il va apprendre plus de chose sur la vie et changer pour devenir quelqu'un de mature. Un voyage initiatique en quelque sorte qui est un sujet maintes et maintes fois utilisé au cinéma. Mais certes jamais de cette façon avec des voitures comme personnages principaux ! Et le principal problème est qu'en suivant les aventures de ces machines le récit perd beaucoup en émotion. pourtant plus tard Wall-E sera une merveille d'émotion avec ses deux petits robots. De plus si on n'accroche guère au circuit automobile et son monde à part on n'est pas très bien parti pour accrocher au film. Et si on n'accroche pas et bien le film à beaucoup moins de saveur. Ce film est tout de même un bon Pixar malgré un scénario léger, il délaisse aussi un peu trop l'émotion et l'univers auquel il touche pourrait en rebuter plus d'un.

Le scenario m'a l'air plus travaillé que le premier mais j'ai moins accroché etrangement et j'ai trouvé le film long

Un film d'animation visuellement d'excellente qualité. L'univers est original et très réussi.

J'ai passé un bon moment malgré quelques longueurs assez répétées. Mais une histoire quand même touchante et amusante.
Je ne comprend pas vraiment l’engouement si présent chez les tous petits mais peut etre ai-je perdu un peu d'imagination?!
Je le conseil quand meme à tous!

Le moins bon des films des studio Pixar.. En fait, c'est le seul (avec peut-être Cars 2, que je n'ai pas encore vu a ce jour) a ne pas être vraiment bon. Les films des studios Pixar sont tres touchants, abordant avec une pertinence remarquable de nombreux sujets, faisant usages de symboles très bien choisis, imaginant la vie d'univers différents toujours dans le monde que l'on connait.. Mais "Cars" n'a rien de tout ça, la morale est très simpliste, les personnages sont inintéressants ce sont des voitures qui vivent dans un monde de voitures, c'est presque ridicule, et l'histoire tourne un peu en rond. Évidemment il y a quelques qualités comme l'animation, évidemment de qualité, quelques scènes a peu près sympathiques et tout cela reste assez divertissant, mais on a vraiment beaucoup de mal a admettre qu'il s'agisse d'un film de John Lasseter, réalisateur pour Pixar d'excellents films, et notamment du légendaire "Toy Story".

L'histoire d'une voiture qui aura bien des choses à apprendre avant de devenir une vraie championne et de comprendre les autres.
Inutile de tourner autour du pot d'échappement, je n'ai pas cru à ce film à sa sortie, et c'est avec un DVD que je l'ai vu beaucoup plus tard. Et je m'en suis mordu les doigts jusqu'au sang, d'ailleurs, je ne sais même pas comment je fais pour taper cette critique !
Non pas que ce soit un très grand Pixar, mais l'anthropologie qui me semblait vouée à l'échec avec des yeux dans le pare brise au lieu des phares est en fait correcte et sûrement très réfléchie. Ensuite, les blagues sont vraiment bien trouvées par rapport au sujet, et tout fonctionne finalement parfaitement.
Le scénario est souvent à la limite du sirupeux, mais l'humour à la Lasseter permet d'échapper à la niaiserie. Tandis que la réalisation en image de synthèse, notamment les paysages, est au dessus de tous soupçons.
Une vraie surprise, sur le sujet le plus masculin et etasunien qui soit, mais tourné avec l'intelligence et la nuance proverbiale des studios Pixar. Encore une réussite.

Magnifique film d'animation Pixar , belle histoire et on s'attache encore une fois .

Le retour de John Lasseter à le barre de réalisateur n'a fait qu'augmente le nombre d'attentes pour ce nouveau Pixar. Mais même si il faut admettre que Cars a un certain charme, il reste avec Cars 2 (ben voyons) le moins bon des Pixar sortis à ce jour. Le début met en scène un personnage pas du tout attachant, et, passé le choc causé par l'éblouissante beauté graphique, on a du mal a accrocher. C'est à l'arrivée dans Radiator Springs qu'on commence doucement à s'amuser. Et petit à petit on s'enthousiasme et on finit vraiment par se plaire, jusqu'au final dément vraiment haletant qui fait monter le suspense jusqu'à ce qu'on soit pendu au film en retenant notre respiration, pour être finalement moitié surpris moitié déçu et certes un peu blasé mais s'en aller ontent et bien divertit. Cependant, même si on pardonne l'éternelle morale écologique qu'on nous ressasse sans cesse et qu'on commence à connaître par cœur, même si on ferme les yeux sur l'amourette on ne peut plus prévisible et moyennement convaincante, il y a quand même un aspect de Cars qui dérange : on a beaucoup de mal, nous autre français, à saisir la force du message et des thèmes sur l'Amérique qui y sont développés et auxquels le réalisateur tient tant. On se sent peu concerné par tout ceci, et de plus, les voitures sont certes très réussie dans leur « humanisation » mais on a plus de mal à s'y attacher qu'aux jouets et aux fourmis. Donc on a une sorte de double problème d'identification pour ceux qui ne connaissaient pas cette vielle Amérique. Donc forcément, Cars ne parvient pas à se hisser au niveau des autres Pixar. Reste qu'on sourit beaucoup, qu'on rigole un peu, qu'on ressent beaucoup de plaisir à découvrir ces paysages fabuleux et qu'on se rembrunit dans les moments tristes (mais pas une larme de versée, bien entendu). Honorable donc, puisqu'on en tire une bonne dose de joie.

John Lasseter (maintenant chef de la production Pixar) mitonne une assez bonne histoire de voitures personnifiés. "Cars" ou comment reprendre goût à la vie grâce à Flash McQueen qui s'humanise au contact des gens habitant une petite ville sur la route, ô combien mythique, sixty-six.
En dépit de son gnan-gnan habituel (et qui pêche un peu ici), les sentiments, l'amour, nous avons affaire à des bolides merveilleux où l'animation et les effets numériques sont très bien réalisés.
L'ayant vu en VF (avec Guillaume Canet au doublage, on est pris dans les tourments de ce McQueen), je ne connais pas le ressenti de la VO. En tout cas, la VO promet au moins le duo de charme Owen Wilson ("Mon beau père et moi")/Paul Newman (qui double pour la dernière fois).
Décors assurés, scénario maîtrisé, on a droit à des aventures à 200 km/h où l'humour frise le 50. Dommage. On se console par des références ciné pas très foisonnantes mais qui jalonnent le parcours de ce Flash, qui s'identifie à merveille au légendaire Steve McQueen (pour le plus grand bonheur de Monsieur Paul Newman je pense).
Nous voilà embarqué sur la route 66 et les déboires amicaux de ce pauvre Flash. Vous avez dit sur les rotules, amis spectateurs ? "Je dirais même plus" : sur les jantes !
PS : la musique so rock n'roll and so blues collent parfaitement à l'esprit sixty-six (façon Memphis). Surtout devant une chanson de notre Chuck Berry international (créateur de grands standards rock n'roll : "Johnny B. good", "Carol", "C'est la vie, You never can tell", "Sweet little sixteen"...), "La route sixty-six".
Il y a du culte dans l'air ...du temps !

Difficile de croire que ce touchant premier volet ait un quelconque rapport avec le second, si ce n'est l'univers et les personnages. En effet, tout ce qui est vrombissement dans le deuxième, est réflexion dans le simplement mais bien nommé "Cars". Le film, comme vous l'aurez sans doute remarqué, se déroule dans un univers peuplé d'avions, de voitures, ou même de dirigeables. On peut même apercevoir une mouche-voiture à un moment ! Le film s'ouvre sur une des scènes de course de voitures les plus maîtrisés jamais vues sur un écran (je parle de courses, pas de courses-poursuites). Rythmée, au son de la chanson "Real Gone" de Sheryl Crow, elle contient de nombreux plans de roues forts impressionnants, et est à ce jour l'entrée en matière la plus stupéfiante réalisé dans un film d'animation, que ce soit un Disney des fifties, ou un DreamWorks du 21ème siècle. Si cette première scène est jubilatoire, c'est le coeur du film qui est le plus important. Magnifique réflexion sur la tolérance, l'arrogance, l'importance de ne pas faire de croix sur le passé, et tant d'autres sujets. Le graphisme est sublime, et confirme l'ultra-supériorité de Pixar dans le domaine. La course finale est tout aussi réussie, mais cette fois, est plus axé sur l'entraide dont il faut faire preuve que sur le côté ludique. "Cars" s'impose donc comme un chef d'oeuvre de l'animation, empreint aussi bien d'humanisme que d'un rythme impressionnant.