Avis sur Assaut sur le central 13

On pourrait reprocher beaucoup de choses à ce film: personnages caricaturaux (le flic rongé par la culpabilité qui se réfugie dans l'alcool et la drogue; le malfrat très méchant, sûr de lui et craint de tous...), scénario classique et sans trop de surprises. Certes ce n'est pas parfait, mais cela reste cependant un excellent film d'action et un très bon divertissement. Ce huis-clos oppressant dans la froideur impersonnelle de détroit, combat à armes très inégales, nous prend littéralement aux tripes grâce à son atmosphère et à sa réalisation impeccable (pour une fois on a droit à une réalisation qui n'est pas épileptique), le réalisateur prend le temps de filmer l'action et on n'a pas l'impression de voir un clip, comme c'est souvent le cas.

Seul film américain du français Jean-François Richet (à qui l'on doit l'excellent diptyque sur Jacques Mesrine avec Vincent Cassel), Assaut sur le central 13 est un très bon film d'action devant lequel on ne s'ennuie pas une seule seconde. Porté par un Ethan Hawke très à l'aise dans son rôle de flic et par un Laurence Fishburne crédible dans son rôle de gangster, le film nous livre de très belles scènes de fusillade avec un scénario, certes un peu simpliste, mais qui tient debout et qui nous tient éveillé jusqu'au bout. Un film d'action réussi donc, divertissant et qui se laisse regarder sans déplaisir. Les fans de films d'action devraient apprécier.

Escapade américaine pour le frenchy Jean-François Richet qui signait début 2005, bien avant son diptyque sur Mesrine, Assaut sur le central 13 ce remake tiré de l'original de 1976 de Carpenter qui était lui aussi largement inspiré de Rio Bravo et dont un autre français, Florent Siri, avait déjà rendu hommage avec Nid de guêpes. L'introduction du film donne tout de suite le ton et celle-ci justifiera la culpabilité qui ronge le sergent Jake Roenick joué par un très bon Ethan Hawke. Face à lui Laurence Fishburne dans le rôle du tueur de flic Marion Bishop, un roc monolithique avec qui il devra s'allier dans ce commissariat vétuste coincé par une tempête de neige un 31 décembre pour repousser cette menace extérieure. Richet arrive à nous scotcher à l'écran de la première à la dernière minute et n'épargne aucun des protagonistes de l'histoire même pas la toujours très sensuelle Maria Bello. Pari réussi donc pour Jean-François Richet qui, comme Siri avec Otages, arrive livrer un bon film d'action sans coup férir.

Assaut sur le central 13 : Remak du célèbre et culte film de John Carpenter. Cette nouvelle version n’est pas aussi convaincante que l’ancien a son époque. Mais, il reste divertissant et efficace car malgré tout, le scénario est très prenant mais, ça reste du déjà vu pour moi ayant vu le premier. Donc, c’est un film d’action un peu a la Die Hard : personnage alcoolique avec de l’humour, un seul lieu, des terroristes… Car, c’est un grand et redouté mafieux qui est enfermé dans un petit commissariat de police le jour de l’an. Donc, commissariat avec peu de flic, surtout un jour de fête et c’est la qu’une bande de terroriste veut tuer le mafieux donc ils vont devoir tous se protégé et faire face a l’assaut. Donc voila, scénario mêlant suspense, rebondissement, action et une pointe d’humour appréciable. Donc voila, le film a tout pour divertir, ça c’est sur. Bon après, la réalisation est banale et sans grand recherche, ça fait très typé film d’action. Mais malgré tout, ça reste correcte mais comparé a de la mise en scène de Carpenter, ça n’a rien avoir. Après, les acteurs sont plutôt convaincants mais rien d’exceptionnelles non plus. Donc voila, un film d’action prenant qui se laisse regarder même si je préfère l’original.

Le soir du rèveillon, des bandits font le siège d'un commissariat isolè pour s'emparer du dangereux malfrat qui y est retenu prisonnier! ça ne vous rappelle pas une oeuvre culte de 1976, un film hommage où l'angoisse ètait omniprèsente ? Avec "Assault on Precinct 13", Jean-Francois Richet (et futur metteur en scène du diptyque "Mesrine") signe son premier film amèricain avec ce remake musclè d'un classique de John Carpenter qui ne manque pas de temps forts! il exploite dans ce huis-clos oppressant les moindres recoins du commissariat dèsertè pour pièger Ethan Hawke et Laurence Fishburne, victimes d'assaillants armès jusqu'aux dents! Et dire que cette nuit là, le « Central 13 » ètait sensè fermer ses portes pour toujours! Mais des prisonniers extrêmement dangereux ont changè la donne pour notre plus grand plaisir! Ce qui a de plus dangereux que les criminels enfermès ici, ce sont les flics qui sont dehors! Du travail carrè et sans fioriture, efficace et jamais ennuyeux...

Parti de rien Jean François Richet à bien progressé . On le voit dans ce film ou la réalisation tient la route . Bon film à voir !

Remake inutile du film de John Carpenter avec des acteurs un peu plus connus que ceux de l'époque, Ethan Hawke et Laurence Fishburne, mais malgré un budget nettement supérieur, le réalisateur français Jean-François Richet n'a pas su ajouter sa touche personnelle et se contente de rééditer l'histoire. Superflu.

Ce remake du film culte de John Carpenter est assez réussi. Les personnages sont plutot bien construits et la mise en scène de Jean-Francois Richet très efficace. Ce film d'action se regarde donc avec plaisir, surtout que le suspense est bien au rendez-vous lui aussi, et que les acteurs semblent très en forme, à l'image d'Ethan Hawke et Laurence Fishburne. Pas mal.

Archétype du film inutile, l'"Assault" de Richet ne sait même pas où poser son gros cul de remake blockbusterisé. Paumé entre l'hommage, le pillage ou le je-m'en-foutisme totale à l'égard de l'original (tant les éléments réellement essentiels de l'oeuvre de Carpenter sont ici absents), Richet remplit de la pellicule à grands coups de clichés et nous montre au moins un chose: l'idée que se font les réalisateurs français du cinéma américain, c'est-à-dire pas grand chose si ce n'est qu'entre deux critiques acerbes débitées dans les Inrocks, ils sont tellement fascinés par ce dernier en fait (et surtout pas ses éléments les moins recommendables) qu'ils régressent au niveau de la crise de puberté. Sur un point au moins je ressens la même chose qu'eux: ce genre de film me donne de l'acnée.

En 2005, le réalisateur Français Jean-François Richet se lance dans le remake du célèbre « Assaut » de John Carpenter. Il en garde l'idée principale du Commissariat assiégé par de nombreux attaquants, pour en faire un huis-clos encore plus angoissant et « claustrophobique ». Le décor du commissariat délabré est parfaitement reconstitué et l'idée de plonger l'intrigue au cœur d'une terrible tempête de neige se révèle vite excellente. En effet, elle ajoute une nouvelle dimension à la sensation d'isolement que ressentent les policiers piégés et sans espoir de pouvoir s'échapper. Une grande partie de la réussite du film vient de la complexité des personnages et de la qualité hors-pair de leurs interprètes. Tous les acteurs et les actrices du petit groupe font le job avec une conscience et une implication qui sont visibles à l'écran. Ils parviennent d'ailleurs à rendre crédible cette attaque improbable qui manque quand même pas mal de réalisme (sans vouloir dévoiler le dessous du complot). Du coup, chaque personnage à son importance et pèse sur les choix qui sont fait par les défenseurs pour survivre. Le résultat est passionnant est s'inscrit dans la liste (assez courte) des remake réussis. Ça ne doit pas nous exonérer, pour autant, de redécouvrir l’œuvre originale qui ne manquait pas de qualités non plus !

Ce remake s'il est correct ne fait malgré tout pas le poids face au film de Carpenter, beaucoup plus nerveux et ayant un certain charme. Je ne suis pas parvenu à apprécier Assaut sur le central 13, les scènes de fusillades ne sont pas particulièrement fantastiques.

Ce film est excellent. Je m'en souviens très bien. L'histoire est excellente, l'action est parfaite, et l'ensemble des roles des acteurs et actrice, rien à dire, est correcte.

Le soir du réveillon, l’un d’un transfert de détenus, Bishop l’un des membres les plus dangereux de la mafia se retrouve derrière les barreaux d’un commissariat en banlieue. Au beau milieu de la nuit, une escouade d’hommes armés s’attaque au central non pas pour libérer Bishop mais pour le tuer. En sous-effectifs et pour faire face à l’attaque dont ils sont la cible, flics & détenus vont devoir s’unir s’ils veulent avoir une chance de s’en sortir indemne.

Premier long-métrage américain pour le réalisateur français Jean-François Richet qui s’était connaître avec Ma 6-T va crack-er (1997), véritable brûlot sur les cités et banlieues en France. Juste avant qu’il ne réalise le diptyque sur Mesrine, il s’attelait au remake du film culte de John Carpenter : Assaut (1976), quelques années après Nid de guêpes (2002) de Florent-Emilio Siri, qui était un (mauvais) remake officieux.

Cette fois-ci, tout est dans la légalité puisque que c’est Carpenter lui-même qui a vendu les droits à une société de production française. Cette relecture se démarque énormément de l’œuvre d’origine, oubliez tout ce qui faisait la saveur, l’originalité (et la réussite !) du film culte. Oubliez le côté mystique voir surnaturel qui caractérisait le gang qui s’en prenait au central (en ne leur donnant jamais la parole), idem pour cette tension et cette ambiance oppressante, vous ne la retrouverez nulle part. Reste au final, un sympathique polar urbain survitaminé, certes plombé par une inutile distribution de stars n’apportant aucune plus-value (John Leguizamo, Gabriel Byrne, Maria Bello ou encore Ja Rule). Quand le film d’origine se contentait de peu et évitait cet étalage de stars, ce remake aurait pu en faire autant en se limitant à Ethan Hawke & Laurence Fishburne.

Un remake parfaitement inutile, d’autant plus que l’œuvre d’origine n’a rien perdu de sa vigueur plus de quarante ans après. Une relecture tout juste divertissante mais nullement mémorable.

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Sympathique et plutôt esthétique à défaut de passionnant même si dans le même genre, "Nid de guêpes" est bien plus efficace à tous points de vue

Des acteurs connus pour certains, avec une histoire quelque peu légère et interprétée sans grand enthousiasme. A ceux qui pensent le voir, n'avez pas mieux à faire?