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    Le Violon
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    Travis.B33
    Travis.B33

    35 abonnés 724 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 janvier 2009
    Je l'ai trouvé moyen car le film est bien mis en scène,touchant mais cependant la fin m'a un peu déçu,j'aurai voulu que cela se finie bien.
    dejihem
    dejihem

    118 abonnés 659 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2007
    Dans un noir & blanc contrasté un film âpre et prenant avec des enjeux humains forts. L'action n'est pas datée et cela donne force conte à ce film où les interprètes sont criants de vérité. A voir pour faire pièce aux grosses productions marketing.
    didbail
    didbail

    23 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mai 2008
    Dans un somptueux noir et blanc contrasté, Francisco Vargas nous conte une bien belle histoire où s'entrecroisent poésie et éclairs de violence.
    Misoramengasuki
    Misoramengasuki

    54 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 août 2010
    Un beau film, qui rappelle par beaucoup d’aspects "Les démons à ma porte" de Jiang Wen. Le dispositif général – une armée d’oppression qui occupe un village et ses habitants qui tentent de gérer au mieux la situation –, le noir et blanc, la fin tragique... On retient bien sûr avant tout la figure pathétique de Don Angel Tavira. De la belle ouvrage même si, en jouant la carte de la retenue et de la simplicité, la réalisation de Francisco Vargas donne parfois l’impression de manquer quelque peu de personnalité.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 828 abonnés 3 958 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mars 2007
    un film exceptionnel, beau et tragique. les personnages sont attachants, repoussant, ils ne nous laissent pas indifférent. la fin est belle et la dernière réplique du personnage principal nous laisse cloué dans notre siège… un film qui sait émouvoir pour qui sait regarder. il nous montre un mexique brutal et violent. Un grand film qui aurait mérité un plus grand succès.
    velocio
    velocio

    1 182 abonnés 3 042 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 janvier 2007
    Le Mexique est un pays qui redevient de plus en plus intéressant en matière de cinéma. Certes, il y a, comme partout, de grosses daubes. Mais quand même, voici qu'après la trilogie de Inarritu ("Amours chiennes", "21 grammes", "Babel"), après "Japon" de Carlos Reygadas, sort "Le violon" de Francisco Vargas : 5 films de très, très grande qualité. L'histoire du "violon" ? Sous un régime miltaire, un vieux joueur de violon se retrouve contraint de donner des leçons de violon à un gradé sanguinaire. Dans un sens, cela l'arrange un peu car il peut en profiter pour passer des munitions vers la guérilla. Ce film, présenté à Cannes 2006 dans la sélection "Un Certain Regard", est réalisé dans un très beau Noir et Blanc, l'interprétation est excellente et le récit passionnant. Que demander de plus ?
    fredhiver
    fredhiver

    25 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2007
    De prime abord nous sommes saisis. Le noir et blanc, on a beau s’y attendre, ça dépayse, à l’heure où les télés racoleuses remisent à des heures nocturnes ces joyaux de la photographie. Un peu de courage au départ nous fait apprécier les ombres et lumières et les contrastes du noir et blanc qui offrit des chefs d’œuvre au cinéma. Mais avec ce « Violon », c’est bien d’une œuvre contemporaine qu’il s’agit, même si volontairement Francisco Vargas ne date pas l’intrigue pour symboliser de manière intemporelle la lutte des paysans mexicains contre un gouvernement arbitraire qui les brime. On nous fait toucher du doigt les injustices dont ils sont victimes. Un peuple est suivi par la caméra dans son errance, femmes, enfants, vieillards sur la route, et le petit-fils de Plutarco nous rappelle que l’histoire continuera. Suivons le pas lent de l’âne du vieillard digne et rusé, Don Plutarco, incarné génialement par Don Angel Tavira. Parfois nous voudrions accélérer le pas de l’âne, le rythme des allées et venues entre le champ et le Q.G. des soldats pour profiter davantage des conversations incroyables du violoniste et du Capitaine faussement jovial. Ces joutes verbales et psychologiques sont un jeu inégal auquel se livrent les deux hommes. Chacun avance ses pions, mais nous avons peur à chaque instant pour le vieil homme. Car la violence de la scène initiale sert d’avertissement et nous emplit de compassion pour ceux qui défient la soldatesque. Si le paysan donne au militaire une leçon de dignité, sa conduite servira d’exemple aux siens. Le film a mérité les prix qu’il a obtenus grâce à la force immense de la confrontation des deux personnages principaux et à leur complexité. Un thème rarement traité au cinéma, le destin des paysans d’Amérique latine, est abordé dans un esprit de solidarité par le cinéaste. Il faut découvrir, malgré quelques longueurs, cette œuvre attachante qui sort de ce que nous offrent habituellement nos grands écrans.
    norman06
    norman06

    305 abonnés 1 606 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 janvier 2007
    Joli film humaniste et émouvant. Le début laissait présager le pire (misérabilisme un peu trop voyant) mais la simplicité du récit et le jeu de l'acteur principal sont très attachants.
    al111
    al111

    19 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 janvier 2007
    Le fantôme de Buñuel plane sur ce film mexicain, aux superbes images noir et blanc. Personnages marqués par leur réalité sociale et par leur destin, récit guidé par la fatalité, longs plans souvent muets, musique aigrelette et presque guillerette mais révélant une forte tension dramatique, tout aurait pu faire naître un grand film.
    Mais l’histoire de sa fabrication fait comprendre pourquoi l’histoire semble étirée, et l’ensemble un peu ennuyeux. Il s’agit à l’origine d’un court métrage, qui aurait probablement dû le rester. D’un drame poétique et social, on passe à une longue exposition de photos, dont l’esthétique s’accorde mal avec la gravité du sujet.
    Gagor
    Gagor

    26 abonnés 273 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 août 2010
    A voir l'affiche, on s'attend plutôt à un drame noir, décousu et violent. On est déjà étonné que l'écran soit en noir et blanc (un problème dans la cabine?), et on se demande pendant les 5 premières minutes ce qu'on fait là parce qu'on ne comprend rien... Mais dès lors, c'est comme un souffle amer qui se serait répandu dans la salle. Et c'est là qu'on accroche, qu'on se sent porté... Francisco Vargas fait un premier film pormetteur, avec Don Angel Tavara au sommet de sa puissance. Tout pourraît laisser penser que les résistants vont gagner, mais on est surpris par la chute qui nous prend de cours. Un drame humain, universel et touchant comme certains devraient l'être plus souvent.
    thewall
    thewall

    12 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 janvier 2007
    Bel objet esthétique, "le violon" oublie malheureusement d'être autre chose qu'une succession de photographies poseuses d'où la vie semble totalement absente. Alors que le cinéaste s'évertue à filmer des choses dures, on ne ressent strictement rien devant cet étalage complaisant de "belles" séquences. Le sujet, pourtant intéressant, n'est finalement qu'effleuré dans cette oeuvre à la lenteur hypnotique. Narrativement pauvre, le film se perd dans des digressions inutiles et finit par franchement ennuyer. Pas de quoi fouetter un chat !
    BURIDAN
    BURIDAN

    19 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 septembre 2007
    Contrastes violents des noirs et des blancs lorsqu’il s’agit de scruter les visages et la terre brulée! La caméra à l’épaule utilisée comme une arme ! Il faut faire jaillir l’âme de ce peuple asservi, abusé, torturé, violé en toute impunité par une armée cliquetante de breloques, grossière, vulgaire et lourde, lourde, lourde comme une bête féroce. Point n’est besoin de dire la terre où cela se passe… Qu’importe ! L’injustice et l’arbitraire règnent. Des pays dont on ne parle pas au 20 h de TF1 ! Est-ce la nature des hommes ? Que faire sinon se battre ? Sortir les machettes, organiser la défense des plus faibles. Soutenir la guérilla !
    Il y a le peuple et son maigre quotidien. Chassé de son village, pillé et tué encore de son par les fronts butés de l’armée. Il y Plutarco, vieil homme et son violon. Il chemine pour joindre son fils et son village vidé par la soldatesque. Les paysages, en plan fixe, les seuls qui soient emplis des douceurs grisées de l’aube et du soir, voient le vieux musicien et sa mule cheminant. Il y a le capitaine qui confisque le violon de Plutarco. Tête carrée, mussolinienne. Il s’essaie au grattage des cordes : cacophonie… Plutarco accepte de jouer pour lui les jours suivants… Une « casquette» pourrait-elle ressentir quelque chose d’humain ? La musique est aigre, maigre, fragile comme le vieillard qui la fait naître ! La caméra donne à voir l’apparente proximité morphologique et la phénoménale distance psychologique des deux hommes face à face…
    La guerre est plus têtue, plus violente encore que le lien qui semble les unir un moment…
    Qu’importe le petit fils de Plutarco, guitare à la main, chants de révolte à la bouche, accompagné d’une gamine orpheline comme lui, continuera le combat pour la liberté
    Francisco Varga nous offre à voir une réalité absurde, injuste et surréelle illustrée par de magnifiques images et par une musique simple, authentique qui ne nous quitte pas de sitôt. Il y a du Chaplin, du Buñuel chez ce réalisateur! Génial!
    Serge_la
    Serge_la

    7 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2018
    Pas du tout le film États-Unien avec héros qui prévalent d'incroyables difficultés. Pas de pouvoirs supers ici. Seulement des résistants qui souhaitent avoir des armes.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 janvier 2007
    L'histoire d'un combat perdu d'avance entre une armée bien équipée et une bande de villageois résistants armés seulement
    de quelques munitions enterrées dans un champ. Apres avoir situé l'action et les enjeux par un prologue hyperviolent, Vargas
    reste ensuite dans la parabole de ce face à face inégal entre un militaire "mélomane" et un petit grand père manchot et joueur
    de violon. L'inquiétude plane constamment. La mise en scène est brillante bien que le rythme du film soit un peu lent au
    début. L'image en noir et blanc est une merveille. Don Angel Tavira est génial.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 juin 2008
    Ce film avait été présenté en 2007 à Cannes (Un certain regard), il y a été présenté à nouveau cette année (Vision sociale). Entre temps Don Angel Tavira a obtenu le prix du meilleur acteur dans un autre festival. Rien que pour la prestation de ce formidable acteur (musicien professionnel de 82 ans, mais pas acteur professionnel) il faut voir ce film, par ailleurs vibrant hommage à "los olvidados" d'une manière générale puisque le réalisateur, volontairement dit-il, ne situe pas précisément l'action : elle peut se situer n'importe quand durant la période des guérillas des fermiers contre l'armée dans n'importe lequel des pays d'Amérique latine où ces horreurs ont été perpétrées. Un film sombre et terrible où on est pris à la gorge dès la première séquence et dont on ne ressort pas indemne...
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