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    Harry Potter et l'Ordre du Phénix
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    3,8
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    2 676 critiques spectateurs

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    HawkMan
    HawkMan

    151 abonnés 1 118 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 avril 2019
    5ème film de la saga, L'ordre du Phénix baisse à mon sens en intensité pour laisser le temps aux héros de grandir encore car à cet âge, un affrontement direct avec le maléfique Voldemort ne donnerait pas grand chose. Donc ce film tourne autour de la mise en place d'une "armée", celle de Dumbledore... mais bon le film est loin du précédent.
    Bref : un film d'attente.
    Michael R
    Michael R

    85 abonnés 1 164 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 avril 2019
    Je n'étais pas spécialement fan d'Harry Potter, même si j'avais trouvé de l'intérêt au Prisonnier d'Azkaban avant que mon intérêt retombe dans une coupe de feu. Mais tout ça c'était avant cet Ordre du Phénix noir, adulte et spectaculaire. Je crois avoir trouvé tout ce que j'espérais dans cet épisode dont le duel entre Voldemort et Dumbledore est le parfait climax.
    Mister-Dore1648
    Mister-Dore1648

    30 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 mars 2019
    Très subjectif, c'est selon moi le meilleur film de la saga Harry-Potter, les relations entre les personnages sont excellentes, très biens travaillées. Les combats à la fin sont parfaits, ce sont les meilleures scènes de toute la saga. L'histoire est trop bien, bref j'ai pris un pieds monstrueux et c'est devenu mon préféré.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 mars 2019
    Très bon film dans l acemble les acteurs son super jusque que pour le li tes livre le plus raccourcir le film et ne pas mètre le passage de l hôpital sainte mascouste domage
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 décembre 2018
    Harry Potter devient plus adultes et l'ambiance du film aussi mais le scénario est vide, sans intérêt.
    la magie n'opère pas cette fois ci
    la dernière demie heure sauve le naufrage.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 décembre 2018
    Harry Potter : et l'ordre du phénix - En un mot " SUBLIME " des rebondissements, de l'action, de l'humour, de l'acting de ouf WOW, l'un des meilleurs film de la saga. La fin du film est un rebondissement sans gentillesse, spoiler: j'ai été profondément choqué quand Sirius Black à été tué par Bellatrix Lestrange
    et le combat de fin entre spoiler: Dumbledore et Voldemor
    t ÉNORME, la bataille du ministère est le moment le plus épique de la saga pour moi. Excellent film
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    65 abonnés 1 648 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 décembre 2018
    Épisode nettement moins bon que les deux précédents. Celui ci est longuet, scénario pauvre et pourtant parfois incompréhensible, enchaînement hasardeux et le tout est du coup un tantinet ennuyant... Bof bof quoi...
    FlecheDeFer ..
    FlecheDeFer ..

    38 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 novembre 2018
    Très mauvais scénario, beaucoup de mauvais acteurs, thèmes simplistes, grands sentiments réchauffés, péripéties insipides, dialogues poussifs, parfois carrément gênant, franchement, c'est encore plus mauvais que les précédents.
    Brandon B.
    Brandon B.

    23 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 novembre 2018
    Un cinquième volet très très bon qui est digne d’un Harry Potter ! Magie sur magie c’est super ! Et la fin est juste waouw !! Très bon !!
    Barry.L
    Barry.L

    20 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 octobre 2018
    ‘’Harry Potter et l’ordre du Phénix’’, sorti en 2007 voit arriver à sa tête David Yates, à l’heure actuelle le réalisateur ‘’officiel’’ de la franchise. Et cette arrivée est hélas une mauvaise nouvelle. Ce n’est pourtant pas ce que laisse présager le début du film car la scène d’ouverture a beaucoup d’impact sur le spectateur. Yates filme avec une rapidité nerveuse cette ouverture. Le soleil brille sur Privet Drive. Tout à coup, le ciel devient noir, comme si, soudainement, la fin du monde approchait. Puis Harry et Dudley dans un tunnel extrêmement glauque sont attaqués par des détraqueurs. L’apparition du logo de la Warner, avec sa sombre couleur bleue et ses inquiétants chuchotements l’annonçait : l’univers d’Harry n’est plus enfantin. Voldemort est de retour, l’obscurité va très vite gagner du terrain. La scène d’ouverture par son radicalisme montre d’emblée le ton. Une noirceur qui est aussi accompagnée de réalisme. Yates sera celui qui tentera d’apporter à la série une dimension plus terre-à-terre, moins enchantée. Mais qu’en est-il de la réalisation de ce volet. Disons le tout net : David Yates n’est pas un bon réalisateur. Excepté la scène d’ouverture, aucune idée de Yates n’est véritablement convaincante. En basculant dans un monde plus politique et plus réaliste, Yates supprime toute la magie que parvenait à insuffler Rowling au livre (on y reviendra plus tard avec des exemples concrets). Evidemment, de la magie, il y en a, des sorts, des créatures etc, etc. Mais on ne rêve plus comme avant (et même, on ne cauchemarde plus comme avant). Yates filme juste efficace, mais la majorité de ses plans est oubliable. Il est, il est vrai délicat de tracer une frontière entre réalisation et effet spéciaux. Mais ce sont bien deux domaines différents. Car si les effets spéciaux font le café (le duel Voldemort/ Dumbledore, en multipliant les prouesses visuelles, nous donne largement plus envie de voir un film sur ces deux hommes plutôt qu’un film sur Harry…), Yates, lui, ne fait rien de marquant. Au contraire d’un Cuaron qui ne se reposait pas uniquement sur la qualité des effets spéciaux. Yates filme ce qu’il y a à filmer, sans que sa caméra ne fasse ni ne réalise la moindre prouesse magique. Par exemple, pour les scènes de vision d’Harry, Yates a recours à un montage épileptique, quasi-clipesque et sans aucune once d’originalité. Mais le plus grave de l’ère Yates se situe au niveau de la colorimétrie des films. Au prétexte de faire plus noir, Yates et ses différents chefs-opérateurs optent pour une esthétique totalement uniforme, jouant ce qui est très limité sur une seule gamme de couleur. Ici, le directeur de la photo est Slawomir Idziak. Ce choix est représentatif du réalisme que travaille David Yates. Idziak était en effet le chef-op’ de la nouvelle vague polonaise et est habitué à travailler des teintes monocordes (pour ne pas dire très austères). Et si ce choix est idéal pour parler de la Pologne des années 80-90, pas sûr qu’il soit vraiment très heureux pour parler d’un autre monde que le nôtre. Un monde qui peut être sombre et noir mais un autre monde quand même. C’est bien simple, ‘’Harry Potter et l'ordre du Phénix’’ est le premier volet à ne plus présenter un environnement où on veut se rendre. A cause de cette photo outrancièrement bleutée (sérieusement, on a l’impression d’être devant des schtroumpfs avec les scènes qui se passent dans le bureau de Rogue et dans le département des mystères !), les décors de Stuart Craig n’ont plus le moindre attrait cinématographique. Oui, David Yates travaille le réalisme. Conséquence logique : l’univers est moins marquant cinématographiquement parlant. Ce 5ème volet est un plat plutôt fade. Même les sources de magie, entre les mains de Yates sont sans saveur : la salle sur demande est vide, les sombrals sont peu sinistres… Et encore, cela empirera avec l’épisode suivant. L’humour propre à la saga n’a pas encore totalement disparu : on sent malheureusement que David Yates n’a pas bu la même boisson que Mike Newell, son prédécesseur. Cette absence de saveur se situe aussi par rapport à la BO. Patrick Doyle est remplacé (ouf!) par le peu connu Nicholas Hooper. Et… rendez nous John Willams! La partition de Nicholas Hooper a le malheur d’être juste honnête. Et c’est tout. A part un où deux morceau bien vus (dont celui d’Ombrage), on nage dans une monotonie musicale, symbolique du peu d’attrait qu’offre ce film.

    En tout cas, il y a dans cette entreprise cinématographique un vrai petit malin. Ce petit malin, c’est Steve Kloves. Le scénariste qui avait livré des adaptations pas forcément très convaincantes des tomes 3 et 4 décide de faire une pause et de ne pas être de la partie. Il choisit le bon moment car adapter ‘’Harry Potter et l’Ordre du Phénix’’ (soit un bouquin de plus de 900 pages!) est un pari extrêmement ardu. Il est remplacé par le dénommé Michael Goldenberg. Et l’adaptation est sans surprise un échec. Déjà, il faut se rendre compte d’une évidence : le film souffre d’être vraiment trop court. Le tome 5 est le plus long de la série littéraire. Est-ce normal d’en tirer le film… le plus court de la série cinématographique ? Bien sûr que non ! Le film à force de n’aborder que superficiellement les thèmes du bouquin finit par ressembler davantage à un résumé qu’à une véritable adaptation. Le livre et le film se fondent sur deux axes : d’abord, ils abordent l’idée de résistance face à un pouvoir aveugle (le Ministère et Ombrage) et face aux forces des ténèbres (Voldemort et ses mangemorts). Sont mis en avant les deux institutions qui résistent à l’oppresseur : l’Ordre du Phénix et l’armée de Dumbledore. Ensuite, le livre et le film approfondissent l’étrange connexion et même la dualité entre Harry et Voldemort. A tel point qu’ Harry en venait à penser être contaminé par l’esprit de Voldemort. Mais voilà, le film ne conserve que l'ossature du livre. Sur la résistance, Goldenberg a mis en avant les agissements de l’AD et leur entraînement. Seulement voilà, le film se nomme ‘’Harry Potter et l’ordre du Phénix’’ et non ‘’Harry Potter et l’armée de Dumbledore’’. Et ça, Goldenberg semble l’avoir oublié. Qu’en est-il de l’ordre du Phénix ? Une seule scène, il n’y a au début du film qu’une pauvre scène pour nous expliquer qui ils sont. On entendra plus jamais les mots ‘’ordre du Phénix’’ pendant toute la suite du film (on le revoit simplement se battre en fin de film). De coup, on se retrouve devant un film au titre mensonger, qui ne fait que dans le superficiel. Pas dans le mauvais, juste dans le superficiel. Puis il y a les troublantes ressemblances entre Harry et Voldemort. Mais rebelote, cette fascinante dualité n’est pas vraiment creusée dans le film. Le peur, presque la honte de se faire souiller l’esprit par le plus grand mage noir de tous les temps hante Harry (lequel se fait, disons-le presque violer mentalement). Dans le film, la peur d’ Harry de se faire posséder par Voldemort est à peine effleurée. En fait, tout est là : tous les thèmes du livre sont à l’écran à peine traités. Par conséquent, le fait que rien ne soit véritablement traité en profondeur (en 2h03, c’est mission impossible) est source de clichés et de maladroites ellipses. De plus, si cela s’apparente à des diminutions, Goldenberg fait aussi de grosses coupes et va même jusqu’à charcuter le livre de Rowling. Certaines de ces coupes n’étaient pas nécessaires. Par exemple, Goldenberg coupe tout ce qui touche au quidditsh. Et pour une fois que le quidditsh dans le livre offre un intérêt scénaristique séduisant, il est regrettable de l’avoir supprimé. Car la dictature d’Ombrage en théorie doit s'instaurer dans toutes les activités de la vie d’Harry ( spoiler: Harry était en effet renvoyé de l’équipe de quidditsh pour avoir tabassé avec George Weasley Malefoy
    ). Or, dans le film, Ombrage ne semble polluer la vie d’Harry qu’au niveau scolaire. Mais la coupe la plus scandaleuse, et même carrément honteuse, c’est celle où Harry et la famille Weasley se rendent à l’hôpital St-Mangouste pour voir Arthur Weasley. Quelle raison a pu pousser Michael Goldenberg à couper la scène la plus bouleversante (et en même temps insoutenable) du livre ? spoiler: Dans cette scène, nos héros croisaient Neville, lequel rendait visite à ses parents qui, rendus fous par les mangemorts, ne reconnaissaient plus leur fils. Pourquoi l’enlever ? Parce que on ne veut pas choquer le pov public ? Espérons que ce ne soit pas la raison… Voilà en plus d’être très forte, une scène qui aurait pu enrichir l’Ordre du Phénix. La scène montrait l’héroïsme de ses membres et montrait à quel point ces derniers étaient prêt à perdre la raison pour défendre leur cause.
    Dans le film, on a une vague scène où Neville révèle à Harry le sort qu'a réservé Bellatrix Lestrange à ses parents. c'est expédié et abordé par-dessus la jambe. Mais bon, l’ordre du Phénix, on s’en fiche un peu, non ? C’est ce que devait pensait le scénariste… Même chose : les intensives révisions pour les BUSE, c’est négligeable non ? De toute façon, ça ne fait pas avancer l’intrigue… Donc, on va à peine l’effleurer et ce sera parfait ! Et bien non ! Evidemment qu’il fallait faire des sacrifices. Mais fallait-il autant massacrer le bouquin ? Pourquoi ne pas avoir rajouté au film une demi-heure en plus ? On aurait eu un film de 2h 33, ce qui pour un blockbuster, n’est pas non plus interminable.

    Dernier point : la distribution. Pas grand-chose à dire de ce côté là. L’accumulation de personnages allant de pair avec l’affligeante diminution de la durée des films Harry Potter a forcément une conséquence logique et néfaste : on a pas le temps de développer les protagonistes ! Des nouveaux personnages, il y en a la pelle. Mais comme dans l’opus précédent, beaucoup ont trop peu de temps à l’écran ! Les seuls nouveaux un tant soit peu développés sont Luna Lovegood et Ombrage. Pour la première, le choix de casting est payant : la jeune Evanna Lynch en impose déjà plus que nos trois héros. C’était déjà le cas dans le livre : Luna était dans le tome 5 un sacré personnage haut en couleur (pour le coup, une vraie sorcière). Ensuite, il y a Imelda Staunton en Ombrage. Dans un premier temps, on peut être entièrement convaincu par son interprétation. En même temps, Ombrage est typiquement un rôle en or : donc, il convenait de ne pas le rater. Ce qui en soit n’était pas très compliqué, Ombrage étant déjà très caricaturale dans le livre. Pourtant, la Ombrage du livre alternait entre une petite bonne femme minaudante tout en rose et une véritable furie dangereuse. Et si le film retranscrit son goût pour le rose et sa cruauté, il manque à Imelda Staunton le caractère de fou furieux que peut revêtir par moment Ombrage (dans le livre, cela s’illustrait par les multiples confrontations entre Ombrage et McGonagall). Imelda Staunton ne ressemble pas en plus à un crapaud comme décrit dans le livre (mais bon à ce niveau là c’est du pinaillage). On a fait aussi grand bruit de la présence de Helena Bonham Carter. Et pourquoi ? Présente à tout casser dix minutes dans le film, elle en fait des méga-tonnes et rend outrancier un personnage (Bellatrix Lestrange) déjà bien chargé à la base. Non vraiment, plus la saga Harry Potter avance, moins les personnages sont mis en valeur.

    ‘’Harry Potter et l’Ordre du Phénix’’ marque les débuts de David Yates. Et si pour ce film, il n’est pas entièrement responsable de l’échec artistique (le pompon, c’est quand même le scénario!), il le sera complètement pour le prochain film. David Yates, rend le monde d’Harry Potter plus réaliste, mais aussi plus fade. Nous voici au début de la fin : désormais, il ne sera plus possible pour la franchise Harry Potter d’avoir à sa tête un réalisateur au style très prononcé. Les producteurs, trop contents d’avoir un yesman malléable et peu exigeant à leur disposition feront tout pour le maintenir en place. C’est chose faite : Yates semble accepter tout ce qu’on lui confie, esclave d’un gros studio (le genre de réal qui fait pour la Warner des Harry Potter… et un ‘’Tarzan’’ en 2016!). Triste fin pour cette franchise...
    Benjub
    Benjub

    40 abonnés 597 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 octobre 2018
    Dans un style un peu différent des précédents avec davantage d’humour, ce nouvel opus légèrement décalé tient la route et marque par ses personnages très consistants et un scénario malin et bien mené. L’évolution d’Harry Potter suit son cours de manière intéressante.
    Aurore T.
    Aurore T.

    2 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 octobre 2018
    Pas trop suivi le truc de la boule de cristal dans l'histoire mais voir un peu plus l'intérieur du ministère étais agréable
    Fred B.
    Fred B.

    9 abonnés 673 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 septembre 2018
    Vu le 28/09/2018
    Dans l'ensemble le film est bon, malheureusement pour lui, il pâtit du fait que je lis systématiquement le livre avant de regarder le film, dommage. Car celui qui est jusqu'à maintenant le livre le plus long accouche d'un des films le plus courts, c'est bien malheureux
    Certains acteurs sont assez bons (Imelda Staunton en Ombrage que l'on aime détester, Emma Watson en Hermione toujours piquante, ou Evanna Lynch en Luna Lovegood qui semble aussi un peu à l'ouest mais en mème temps aussi plein de malice que dans le film), d'autres par contre beaucoup moins (Rupert Grint par ex en Weasley est juste ridicule, je comprends pas à quoi il peut bien servir ou Ralph Fiennes en Voldemort)
    Mais si certaines scènes sont bien faites et si les effets spéciaux sont assez sympas, je trouve que trop de scènes sont bâclées ou oubliées. Par exemple, quand les élèves arrivent à la Tête de Sanglier pour leur première réunion secrète, on passe d'un plan où nos 3 héros arrivent, à un plan ou tous les élèves sont arrivés et ça en 5s chrono, juste n'importe quoi. L'histoire d'amour entre Cho et Harry est occultée, pas le long baiser bien sur mais tout le reste notamment la crise de jalousie de Cho vis à vis d'Hermione. Idem, dans le livre McGonagall est victime d'un sortilège de stupéfaction ce qui est un peu les prémices de la révolte des jumeaux Weasley, rien de tout ça dans le film. En fin l'arrivée au département des mystères est bien mieux rendu, plus longue, plus complexe à trouver dans le livre
    On passe tout de même un bon moment, certaines scènes sont bien rendues, mais dans l'ensemble trop de scènes occultées pour permettre une meilleure note même si je conçois bien qu'on ne peut pas faire un film aussi long qu'un livre
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 septembre 2018
    « L’Ordre du Phoenix » est plus sombre que les précédents, Harry Vs Voldemort plus que jamais, le bien contre le mal, on retrouve un Harry torturé, mal dans sa peau, sombrant dans la folie.
    Un opus plus court soit (2h15), mais qui paraît plus long que ses prédécesseurs tant son rythme est lent avec beaucoup moins d’action qu’à l’accoutumée, ça ronronne, quelques moments ennuyeux.
    Le moins réussi de la saga.
    Malgré cela il n’en reste pas moins agréable à regarder.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 août 2018
    Mon livre préféré de la série. Le film que j'aime le moins. Je le trouve très décevant.
    Déjà pourquoi garder l'Ordre du Phœnix dans le titre alors qu'il en est si peu question dans le film ?
    Tout ce que je trouvais passionnant dans le livre disparaît dans le film.
    Les aventures dans l'aventure. (Comme la recherche de la salle ou le sort que subit Chow...), on n'en voit que les résultats.... Et le tout pour privilégier de longues scènes de combats qui n'apportent rien à l'histoire... À vouloir en mettre plein la vue avec des effets spéciaux, l'essentiel est perdu...
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