Avis sur L'Aventure des Ewoks : la caravane du courage

Premier métrage du diptyque mettant en scène les Ewoks, La Caravane du courage est un film gentillet, que je n’appréciais pas énormément plus jeune, et que je redécouvre plus âgé sans vraiment être convaincu.
Pour ma part ce premier film souffre de plusieurs défauts assez pénibles dans un film de ce genre. L’interprétation est trop approximative d’abord. Je crois que les acteurs sont en effet trop jeunes (je parle des enfants), et le film est non seulement centré sur eux mais en plus l’impossibilité de parler des autres interprètes fait qu’on se focalise sur leur jeu à eux deux, et Aubree Miller et Eric Walker sont assez moyens, pour ne pas dire franchement à certains moments. A leur décharge il faut avouer que leurs rôles sont assez caricaturaux, surtout celui d’Éric Walker, le sceptique bien caricatural à l’égard des Ewoks. Ces derniers restent donc l’intérêt principal du film, et on les retrouve avec plaisir dans leur univers.
Autre défaut, la construction du film. Assez mou dans sa partie centrale, le métrage souffre d’une grande linéarité une fois les présentations faites et avant le final plus pêchu. La Caravane du courage n’est pas très dynamique, souffrant d’un faux rythme. Par ailleurs ça manque un peu de relief, avec un univers pas assez marqué, des personnages pas très dégrossis, en fin de compte après un départ canon le film s’enlise de trop, cherchant à mon sens trop à plaire aux enfants, et passant du coup sur tout ce qui pourrait être un peu trop grave, trop sérieux, trop proche de l’univers Star Wars en fait.
Après, La Caravane du courage propose aussi de bonne chose. Si les araignées ne sont pas terribles du tout, en revanche le géant est réellement très bien fait, et visuellement il y a des choses. De beaux paysages, une belle photographie, une ambiance magique qui s’installe plus d’une fois. En dépit d’une mise en scène assez plate et très téléfilmique finalement, La Caravane du courage a une belle allure formelle, et c’est là que le film marque le plus de point. Dommage que la bande son timorée ne suive pas pleinement, cela aurait été un atout certain pour un film d’ambiance qui là ne se loupe pas.
En conclusion je dirai que La Caravane du courage est un film trop convenu pour franchement convaincre. Je l’ai revu sans déplaisir particulier, certes, mais sans grand entrain non plus, et pourtant j’avais la curiosité de le revoir et je partais plutôt gentil. Je donne 2.

Tout d'abord, je tiens à préciser que je suis un grand fan de la saga Star Wars. D'ailleurs, mon pseudonyme (Miamsolo) est un clin d'œil à mon personnage préféré de cette fabuleuse saga. Hormis les 6 longs-métrages (plus le pilote de la série télévisée The Clone Wars), d'autres aventures ont été réalisées, notamment deux téléfilms sur les Ewoks. Oui, les Ewoks, créatures les moins intéressantes de la saga entière avec les Gungans. Ces deux téléfilms sont sortis dans les années 80, après la sortie du Retour du Jedi. En mettant le DVD dans le lecteur, je me suis dit que même si ce n'était peut-être pas un chef-d'œuvre, ça pourrait être sympa et plaire aux fans de Star Wars. Oui, ça peut plaire à des fans de Star Wars, mais seulement à ceux qui ont moins de 10 ans (ou bien les nostalgiques qui ont découvert ce téléfilm lorsqu'ils étaient jeunes). Certes, les longs-métrages originaux ont des moments parfois enfantins, mais ce premier téléfilm est entièrement enfantin, seule une scène est assez sérieuse dans l'ensemble. Ensuite, les effets spéciaux ne sont pas médiocres, mais carrément mauvais. Les araignées géantes ont été faites avec du carton et du papier, c'est flagrant. Mais surtout, les acteurs sont insupportables. Je ne parle pas des Ewoks, mais des deux jeunes héros de ce téléfilm, Cindel et Mace. Encore que la gamine, ça passe, elle n'est pas trop énervante. Par contre, son grand frère est insupportable, on a envie (excusez-moi) de le baffer. Pas étonnant que cet acteur n'ait pas fait carrière dans le cinéma. Notons aussi les différents petits détails qui rendent le film vraiment pas crédible. Les Ewoks émettent des sons, mais leur bouche ne bouge pas. Ce n'est peut-être qu'un détail, mais ça ruine assez bien le film. Imaginez que vous regardez le Muppet Show, et que vous entendez les voix de Kermitt et Miss Peggy, mais que leurs bouches ne bougent pas. Ce ne serait pas crédible du tout. Autre petit détail agaçant: la présence d'animaux comme des poneys ou des lapins. Citez-moi un seul épisode de Star Wars qui nous montre des animaux existant dans la réalité. Aucun! Car dans Star Wars, les créatures sont toutes imaginaires! Là, on se retrouve avec des animaux qui sortent tout droit d'une ferme. Et je ne vous parle même pas des dialogues, nullissimes au plus haut point! George Lucas a peut-être crée une fabuleuse saga cinématographique, mais il a aussi contribué à sa destruction en laissant faire ce genre de choses. Il y a un second téléfilm qui est une suite à celui-ci, je n'ai pour l'instant pas le courage de me lancer dans un second supplice.

Un assez bon film d'aventure pour toute la famille.
Les Ewoks sont adorables. Les effets spéciaux sont assez bien pour l'époque.

L'univers des Ewoks, petits nounours courageux de la saga Star Wars. Un scénario convenu mais divertissant.

Un film gentillet et divertissant mais franchement faible au niveau du scénario et l'ensemble manque de charme. Limité.

L'aventure des Ewoks : la caravane du courage est un téléfilm produit par George Lucas en 1984, ce téléfilm destiné à un public jeune fait partie de l'univers étendu de la saga Star Wars.
Un petit téléfilm mettant en scène les Ewoks et des enfants.
Pas de moyens gigantesques pour ce produit dérivé, qui a assez mal vieilli.
Les effets spéciaux sont assez limités et il est difficile de se projeter dans les personnages.
Les Ewoks sont de gros nounours malhabiles sans aucune expression du visage, les enfants sont parfois trop jeunes pour véritablement bien interpréter un rôle. Un scénario peu engageant. Une réalisation propre, une épique parfois sur-qualitative comparée aux scènes qu'elle illustre. C'est mignon mais ennuyeux.

Film culte de toute une gènèration que les jeunes cinèphiles en herbe ne cessaient de re-regarder en vhs! Sorti en 84, "The Ewok Adventure" avait ètè diffusè pour la première fois sur Canal Plus au dèbut des annèes 90 alors que la production de films pour enfants ètaient assez restreintes! Premier des deux contes fantastiques imaginès par George Lucas himself avec deux enfants abandonnès, des Ewoks de nature curieuse et des monstres immondes tels que le Gorax! La caravane est au complet! Partez avec eux dans une sèrie d'aventures et de trucages, dans une règion couverte de mares insalubres et de lacs dessèchès! La machine Lucas à divertir est huilèe et prête à commencer avec Wicket et l'adorable Cindel! A voir en famille, à une èpoque où les gosses pouvaient regarder la tèloche avec papa et maman, notamment le dimanche à 18h sur Canal Plus...

Un très bon film pour enfants avec les créatures enfantines les Ewoks de l'univers Star Wars crée par George Lucas.

The Ewok Adventure offre à Star Wars un prolongement tout à fait sympathique qui s’adresse explicitement à un jeune public, en témoignent le choix d’un enfant comme protagoniste principal ainsi que celui de le faire accompagner par une grosse peluche aussi câline que débrouillarde, Wicket. Il s’agit de composer des personnages auxquels s’identifier, proposant alors une porte d’entrée dans l’univers de la guerre des étoiles. Et l’importance de ce téléfilm est d’autant plus grande à l’heure de la conversion de la saga au numérique envahissant et stérile, puisqu’il rappelle que la simplicité de l’intrigue – nous sommes loin des enchâssements brouillons de différentes histoires concurrentes censées tout expliquer, alors qu’elles ne font qu’embrouiller et assommer – et le sentiment d’authenticité ressenti devant les costumes, l’animation image par image et les trucages (la société Industrial Light & Magic est aux commandes des effets spéciaux), participent de la magie d’un univers artisanal qui s’incarne à l’écran, porté par la partition de Peter Bernstein. Voilà une aventure pleine de rebondissements et de tendresse qui transmet également une série de petites leçons sur le savoir-vivre et l’altruisme devant la différence ; autant de valeurs que le spectateur peut faire siennes, preuve que la pédagogie n’est pas incompatible avec le divertissement grand public. Un téléfilm réussi, aujourd’hui trop facilement sous-estimé.

Surfant tout naturellement sur le succès de la trilogie Star Wars, George Lucas exploite ce qui a enchanté les bambins en regardant Le Retour du Jedi soit les inénarrables Ewoks. Après une série animée peu convaincante, il leur offre donc un téléfilm imaginé par ses soins où nos petits guerriers touffus vont se lier à des enfants astronautes perdus sur la lune d'Endor et confrontés à la dure faune étrangère... Et si le long-métrage est prévu pour être un simple téléfilm (d'un budget tout de même plus conséquent que d'ordinaire, Lucasfilm oblige), L'Aventure des Ewoks est pourtant sorti dans de nombreux pays au cinéma, comme la France par exemple. On comprendra donc aisément le bâclage de certaines séquences et la qualité médiocre de certains maquillages, en particulier ceux de créatures comme l'araignée ou quelques Ewoks malheureusement moins mignons une fois filmés en gros plan. Des défauts, cette gentille aventure en possède pas mal, allant de l'interprétation navrante notamment due à des protagonistes trop jeunes à un rythme pas très dynamique (le film met une éternité à démarrer) et un scénario pour le moins simpliste. Touchant un public finalement assez jeune, le film se concentre sur les mésaventures de Mace, adolescent presque adulte aussi arrogant qu'intrépide, protégeant sa petite sœur Cindel de tous les dangers les séparant de leurs parents enlevés par un géant baveux. Accompagnés des intrépides et rigolos Ewoks, ils vont former une caravane de secours et partir à l'aventure, rencontrant en chemin des fées malicieuses, des pièges dangereux et des araignées horriblement mal confectionnées tournant vite au ridicule plus qu'à l'effroi. Bref, de l'action, des créatures fantastiques plus ou moins réussies, un soupçon d'émotion et des Ewoks tout à fait attachants... Il n'en fallait pas plus pour que ce long-métrage soit divertissant, tout du moins pour les enfants. Les plus grands, eux, iront se remater Le Retour du Jedi.

Comme les Star Wars des années 80, il a mal vieilli. A noter également qu'il est destiné aux enfants (on y suit les aventures de deux gamins de plus ou moins 4 et 11 ans avec une multitudes d'ewoks). Il n'en demeure pas moins qu'il colle au monde de Star Wars et qu'il est divertissant.

Si je vous parlais récemment du plaisir de découvrir l'univers nanardesque d'Eliminators, il paraissait évident, dans une soirée détente, de se mater ensuite L'Aventure des Ewoks : La Caravane du courage, plaisir coupable de toute une génération ayant grandi avec. N'étant absolument pas de cette catégorie de spectateur, je m'attendais justement à tomber sur un nanar savoureux, pas sur l'éternel navet qui ne fait que très rarement sourire, et ne parvient presque jamais à divertir convenablement.

On passera sur la visée purement commerciale de l'entreprise, les Ewoks n'étant pas connus pour leur apport artistique à l'univers de Star Wars. Simples produits de merchandising, il fallait s'attendre à quelque chose de purement mercantile avec ces premiers spin-offs de l'univers de Lucas, heureusement pas canons à la nouvelle chronologie Disney.

Mais il était dur de s'attendre à quelque chose de si poussif, d'à ce point rabaissé pour plaire aux enfants qu'il ne cesse de nous répéter "amuse toi, idiot de spectateur, vois comme on te prend pour un idiot". Et cette sensation d'être pris pour un demeuré ne nous quitte jamais vraiment, rendant le projet carrément hostile à nos pauvres consciences de spectateurs. C'est à se demander comment on peut rater à ce point la représentation d'un univers déjà bien bâti par trois excellents films.

Tout, ou presque, paraît contradictoire avec l'univers de Lucas : les décors, les vaisseaux (c'est plus du Star Trek sans moyens), les dialogues, les personnages, leurs noms, la représentation d'Endor, des Ewoks, de leur mythologie, de leur faune (des animaux humains, vraiment? Poules, poneys et lamas dans Star Wars?) prouvent un je-m'en-foutisme absurde, preuve qu'on peut donner suite à l'univers d'un artiste sans chercher le comprendre.

C'est en cela que ce premier volet s'approche de la purge : on sent tellement la volonté de faire de l'argent sans se fouler que c'en devient presque palpable. Là où l'épisode 6 justifiant scénaristiquement l'arrivée des Ewoks, leur donnait une importance dans la quête initiatique de nos héros, cette Caravane du courage se contente de ressasser mollement des thèmes déjà rebattus par des dizaines d'animés et de divertissements pour enfants, les rendant souvent niais et caricaturaux.

Forcément manichéen, il affiche un manque de réflexion abrutissant, préférant tout miser sur la prétendue bêtise des enfants que sur la qualité de son travail; maquillages ratés, acteurs à la ramasse (les deux enfants sont insupportables), comportements illogiques des personnages, gestion du langage à vous en faire rougir de colère, mise en scène académique et bordélique, tout est si peu maîtrisé que le film, bien plus que de vous détendre ou simplement vous divertir, finira par taper sur le système du plus grand nombre.

Il en ira de même pour sa conclusion stupide, appuyée par ses sourires forcés et sa morale niaise, à penser que l'amour résout tous les problèmes. Des valeurs de famille, d'ouverture à l'autre, d'amitié d'ailleurs maltraitées par un développement anarchique de ces thèmes; à ne jamais trop savoir comment plaire à son spectateur, il se prend les pieds dans le tapis et ne l'intéresse jamais vraiment, si ce n'est en réveillant chez lui, par les séquences infantilisantes qui défilent, un sentiment de nostalgie purement subjectif.

Certes, l'avoir vu enfant pourra fausser le jugement; j'irai même jusqu'à dire que ceux qui l'appréciaient étant gosses ont cette chance de n'avoir pas passé le calvaire de devoir le suivre une heure quarante durant, le résultat s'étirant au longueur sans jamais se dire qu'on comprend tout dix minutes à l'avance. Pétri de mauvaises intentions, s'ajoutent à sa liste d'erreurs ses insupportables scènes d'exposition, ses incohérences et la bêtise de ses répliques, mollement interprétées par des acteurs jamais investis. C'est kitsch, sans charme, et même si quelques plans sympas se glissent ici et là (notamment grâce à certaines couleurs bien choisies), on passe la plupart du temps à se demander quand le carnage prendra fin, le clou du spectacle s'enfonçant avec l'apprentissage de l'anglais par les Ewoks, et la manière qu'ils ont d'y parvenir.

Plus jamais.

Mon père m’avait loué la cassette VHS quand j’étais enfant parce que j’adorais Star Wars; j’aurais mieux fait de le laisser à l’état de lointain souvenir. Car il a affreusement mal vieilli. Les Ewoks n’ont aucune expression sur le visage et sont plus effrayants qu’attendrissants,sans exagérer ils ressemblent à des animaux mal empaillés. Et pour tout dire le reste du bestiaire et la direction artistique en générale sont assez cheap. L’histoire est simpliste et ne donne lieu qu’à une succession de scènettes dont l’intérêt s’estompe au fur et à mesure. L’ado acteur qui tient le rôle principal ne sait pas jouer et devient rapidement insupportable. Bref c’est à réserver à un public très enfantin et très bon public.

Un film ou plutôt téléfilm sur les ewoks les personnage préférer des spectateurs dans star wars , les plus mignons aussi ou peut être même les meilleurs, mais le films si il a un scénario plutôt intéressant, les effaits acteurs ne sont pas très bons , les effets spéciaux sont pas terrible même pour l'époque alors que dans les stars wars les effets spéciaux était bien meilleur , interprétation des ewoks sont plutôt bon , le films de court durée et un réel plus . Mais c'est vraie que le scénario est plutôt bâcler mais les vraie fan des ewoks trouveront un plaisir que les fan de la guerre des étoiles ne trouveront probablement pas en regardant ce film .

résumer :

Le vaisseau spatial de la famille Towani s'écrase sur la lune forestière d'Endor. Les parents, Catarine et Jeremitt, n'arrivent pas à localiser leurs enfants : Mace, un adolescent, et Cindel, une fillette de cinq ans. En les cherchant, ils se font capturer par le géant Gorax. Les enfants sont alors livrés à eux-mêmes.

La planète est habitée par des Ewoks, de petits humanoïdes ressemblant à des ours en peluche. Trois d'entre eux, Deej Warrick et ses fils Weechee et Widdle, découvrent les enfants, qu'ils emmènent au village Ewok. Cindel, fiévreuse, est soignée par Shodu, la femme de Deej tous ensemble ils vont partir à la recherche des parents des enfant et apprendre l'amitié , le courage l'entraide.

Qu est ce c est cette bouse??? Comment gâcher en 2 pauvres films l univers star wars!!! C est censé se passer entre l episode 5 et 6 de la saga star wars... donc ils doivent connaitre les humains et leur langage, hors lorsque leia rentre en contact malgré elle avc les ewoks... Ils ne comprennent rien a ce qu elle dit!!!! complètement incohérent!!!!! Et ne parlons pas des effets spéciaux, Meme a l époque ce n étais pas terrible