The Great Ecstasy of Robert Carmichael : Critique presse
The Great Ecstasy of Robert Carmichael
Note moyenne
3,1
22 titres de presse
Libération
Positif
Studio Magazine
Brazil
Fluctuat.net
Le Figaro
Le Monde
MCinéma.com
Rolling Stone
TéléCinéObs
Zurban
Cahiers du Cinéma
aVoir-aLire.com
L'Express
Les Inrockuptibles
Ouest France
Paris Match
Première
Score
Chronic'art.com
Ciné Live
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Libération
par Alexis Bernier et Didier Peron
["The Great Ecstasy"] frappe sans trembler et dénude l'époque dans son absolue dureté.
Positif
par Franck Kausch
"The Great Ecstasy of Robert Carmichael" procède très adroitement en disséminant au cours du film les éléments disjoints dont l'assemblage soudain, lors de la séquence finale, révélera le sens (...).
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Brazil
par Mathieu Beaudou
Avec ce premier long-métrage, Thomas Clay (...) frappe un grand coup. Son portrait de la jeunesse dépourvue de sens moral (...) est dressé comme un miroir au monde. Conseillé à ceux qui sont préparés aux expériences extrèmes.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Fluctuat.net
par Laurence Reymond
(...) un film brillant et ambigu, dont l'obsessionnel questionnement sur la violence quotidienne ne laisse pas indifférent. Objet troublant à identifier.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-François Rauger
(...) ni la maîtrise, ni la brutalité de [la] fin ne suffiraient à définir les qualités particulières [de "The Great Ecstasy of Robert Carmichael"].
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
[Clay] est conscient de la force de son propos et n'hésite pas lui aussi à jouer de son talent, naissant mais déjà incontestable, de metteur en scène (...)
Rolling Stone
par Gregory Alexandre
On peut trouver le principe artificiel, n'empêche que ce que ce film dit de l'abyme existentiel au bord duquel on marche aujourd'hui fait sacrément froid dans le dos.
TéléCinéObs
par Bernard Achour
(...) un de ces rares films susceptibles de hanter le spectateur plusieurs mois après sa vision.
Zurban
par Charlotte Lipinska
Clay filme le désoeuvrement avec une maîtrise redoutable.
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Intéresse (...) cette compensation mutuelle d'un réel cru et d'une forme léchée, celle-ci faisant cependant tôt pencher la balance en sa faveur, et le film vers une facture contemplative.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Un voyage au bout de la nuit aussi cauchemardesque que choquant. (...) Impossible d'aimer mais impossible d'oublier.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morin
(...) un film sentencieux qui ferait du Ripolin pour dissimuler les engrenages de sa pesante fabrique de sens et les rouages que sont ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La rédaction
Une mise en scène rigoureuse et travaillée, mais pour un final insupportable.
Paris Match
par Alain Spira
Traumatisant, malsain, voyeuriste, ce film extrême vous laissera groggy et nauséeux.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gaël Golhen
(...) les bouffées de violences semblent un peu gratuites (...) Il y a même une certaine forme de voyeurisme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Vincent Guignebert
Le journaliste américain qui a fait rimer "I'm singing in the rain" avec "I did it again" est au moins aussi inconscient que ce film qui mélange viol collectif au rostre d'espadon, images de la Seconde Guerre Mondiale, critique du blairisme et citations poétiques obscures.
La critique complète est disponible sur le site Score
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Le réalisateur sait très bien où il nous mène, et c'est bien le problème de ce genre de films de petits (ou gros) malins (...) qui savent tout sur tout avant de commencer, donc ne cherchent rien (...) font mine de vous perdre en route avant de revenir vous prendre par derrière et vous en mettre plein la vue.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Arnold
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Télérama
par Frédéric Strauss
Ici, les intentions sont si grossières, si naïves, qu'elles réduisent le film à un cliché, une provocation de jeune cinéphile cérébral et un peu décérébré.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
["The Great Ecstasy"] frappe sans trembler et dénude l'époque dans son absolue dureté.
Positif
"The Great Ecstasy of Robert Carmichael" procède très adroitement en disséminant au cours du film les éléments disjoints dont l'assemblage soudain, lors de la séquence finale, révélera le sens (...).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Brazil
Avec ce premier long-métrage, Thomas Clay (...) frappe un grand coup. Son portrait de la jeunesse dépourvue de sens moral (...) est dressé comme un miroir au monde. Conseillé à ceux qui sont préparés aux expériences extrèmes.
Fluctuat.net
(...) un film brillant et ambigu, dont l'obsessionnel questionnement sur la violence quotidienne ne laisse pas indifférent. Objet troublant à identifier.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
(...) ni la maîtrise, ni la brutalité de [la] fin ne suffiraient à définir les qualités particulières [de "The Great Ecstasy of Robert Carmichael"].
MCinéma.com
[Clay] est conscient de la force de son propos et n'hésite pas lui aussi à jouer de son talent, naissant mais déjà incontestable, de metteur en scène (...)
Rolling Stone
On peut trouver le principe artificiel, n'empêche que ce que ce film dit de l'abyme existentiel au bord duquel on marche aujourd'hui fait sacrément froid dans le dos.
TéléCinéObs
(...) un de ces rares films susceptibles de hanter le spectateur plusieurs mois après sa vision.
Zurban
Clay filme le désoeuvrement avec une maîtrise redoutable.
Cahiers du Cinéma
Intéresse (...) cette compensation mutuelle d'un réel cru et d'une forme léchée, celle-ci faisant cependant tôt pencher la balance en sa faveur, et le film vers une facture contemplative.
aVoir-aLire.com
Un voyage au bout de la nuit aussi cauchemardesque que choquant. (...) Impossible d'aimer mais impossible d'oublier.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
(...) un film sentencieux qui ferait du Ripolin pour dissimuler les engrenages de sa pesante fabrique de sens et les rouages que sont ses personnages.
Ouest France
Une mise en scène rigoureuse et travaillée, mais pour un final insupportable.
Paris Match
Traumatisant, malsain, voyeuriste, ce film extrême vous laissera groggy et nauséeux.
Première
(...) les bouffées de violences semblent un peu gratuites (...) Il y a même une certaine forme de voyeurisme.
Score
Le journaliste américain qui a fait rimer "I'm singing in the rain" avec "I did it again" est au moins aussi inconscient que ce film qui mélange viol collectif au rostre d'espadon, images de la Seconde Guerre Mondiale, critique du blairisme et citations poétiques obscures.
Chronic'art.com
Le réalisateur sait très bien où il nous mène, et c'est bien le problème de ce genre de films de petits (ou gros) malins (...) qui savent tout sur tout avant de commencer, donc ne cherchent rien (...) font mine de vous perdre en route avant de revenir vous prendre par derrière et vous en mettre plein la vue.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Télérama
Ici, les intentions sont si grossières, si naïves, qu'elles réduisent le film à un cliché, une provocation de jeune cinéphile cérébral et un peu décérébré.