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Synopsis
Interdit - 16 ans
Trois jeunes Anglais sont entraînés dans une spirale de violence et de tentation. Ils ne vont pas tarder à faire se révéler les jalousies secrètes de leur petite ville.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Orange Mécanique 30 ans après. Mêmes problèmes, mêmes angoisses, mêmes tristesse et toujours cette radicalité soudaine qui finit par bondir. Certes, Clay n'est pas kubrick. Néanmoins il y a vraiment quelque chose.
Malevolent Reviews
891 abonnés
3 207 critiques
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3,5
Publiée le 13 juillet 2018
Un film-choc. Réalisé avec soin et de façon intimiste, The Great Ecstasy of Robert Carmichael est un petit bijou anglais d'une sauvagerie déconcertante. Un drame choquant, déroutant, écœurant. Une descente aux enfers dont on ne sort pas indemne. L'histoire d'un brillant étudiant anglais, excellent violoncelliste aimé de sa famille et à l'avenir prometteur mais qui, dans une insouciance déséquilibrée, préfère trainer avec une bande ...
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norman06
292 abonnés
1 595 critiques
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5,0
Publiée le 29 septembre 2006
Un très beau film sur la violence et le désarroi social et une perle du cinéma anglais. L'horreur surgit dans la chronique d'un petit village ordinaire et le cinéaste révèle un sens aigu de la mise en scène. C'est un peu Ken Loach revu par Kubrick. Un auteur est né.
JeremGar
78 abonnés
1 568 critiques
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4,0
Publiée le 23 mars 2007
Premièrement il est important de signaler l'avertissement de la limite d'âge...16 ans est la limite,sincèrement j'aurai plutot interdit ce film aux moins de 18ans tellement la dernière scène est choquante et immorale...Comme certains l'ont dit pendant 1h15 il ne se passe quasimment rien, il n'y a aucun lien entre les histoires des personnages, on ne sait pas vraiment qui est qui, pourquoi ils sont là etc... Par contre la dernière scène ...
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The Great ecstasy of Robert Carmichael a été présenté en 2005 au Festival de Cannes, dans le cadre de la Semaine de la Critique. Il a suscité bien des remous sur la Croisette, notamment en raison de sa dernière séquence, dont la violence a été jugée insoutenable par bien des spectateurs. On a ainsi pu lire dans le magazine américain Variety que The Great ecstasy... faiser passer "Orange mécanique pour un clip de Britney Spears". Le film a égaleme
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Spencer marqué
Interrogé par Allociné, le comédien Daniel Spencer alias Robert Carmichael, se souvient de la projection particulièrement houleuse du film à Cannes : "C'était incroyable, Il y avait des filles qui pleuraient. Je ne pensais pas qu'un film pouvait avoir un tel effet sur les gens... Le plus étonnant, c'est que les gens se battaient pour aller voir le film, il y avait des queues interminables, mais dès le début de la dernière scène, avec la violence
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L'origine de la violence
Pour le réalisateur Thomas Clay, les actes de son personnage Robert Carmichael trouvent une origine autant sociale qu'humaine: "Malgré notre première impression, les actes de Robert Carmichael ne sont pas une rébellion ou une transgression mais plutôt la manifestation la plus pure et primaire de la société dans laquelle il vit. Ces actions nous parlent, témoignant des nôtres, de nos attirances vers le succès, la richesse, le sexe, le pouvoir, de
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2,5, je me suis ennuyé, pas tenue plus de 30minutes.
julyane
Un film noir glauque et sans concession une fin qui laisse un malaise certain...
thproject
Ptin j'ai du le voir y'a quelques années, bien glauque.
Sadique-master
Quel claque ce film !!Une décadence qui monte en décadence jusqu’à la fin du film pour un final choquant et ultra violent ...un culte !
Alexandre Ayza Palacin
Une production assez choquante, particulièrement avec sa fin apocalyptique. Le film est une plongée dans l'univers morose de la jeunesse "working class", un peu à l'image de Trainspotting. Sauf qu'ici, le réalisateur va plus loin. Il dénonce l'ennui, l'indifférence et la passivité, qui conduiront toutes trois à la sombre scène finale. Robert, à la base serviable, se retrouve pris dans l'engrenage d'un entourage démotivé, délaissé, et en fracture avec la petite bourgeoisie. La musique classique est ici utilisé comme le socle de la violence. Film intéressant.