Avis : Alita : Battle Angel - Page 10

Nom de dieu ! Mais quel film ! Robert Rodriguez accompagné à la production par James Cameron nous pond une œuvre hybride, une bombe ! Le film s’impose comme les films marquants de SF de notre époque , là l’histoire est d’une telle beauté portée par un message fort que ça en fait un film sublime ! Les références n’en finissent plus et ne sont pas épuisantes à la longue, elles sont tout bonnement subtilement utilisées et ça peut aller de « rollerball » à « terminator » en passant par « sin city » et la trame de fond est d’une attractivité captivante à laquelle nous ne trouvons même pas une seconde de répit, nous entrons dans le film pour ne plus en ressortir même après la séance ! On ne prend rien d’autre qu’une sacré claque en regardant ce film !

Un vrai univers, de très jolis plans, un bon rythme, de la prouesse technique, de l'émotion et...ENCORE une fausse fin !!! Ça devient insupportable ces magouilles économiques...ou comment passer d'un chef d'oeuvre potentiel à du wait & see... D'autant que faute d'accords le film n'aura jamais de suite bien joué les gars !

Scénario gag, jeu d’acteur chaotique, on nous ressert le sempiternel récit initiatique sur fond d’un fumeux substrat philosophique pour les nuls.
Interdit aux plus de 13 ans !

Dans le milieu des blockbusters convenus au possible, Alita se révèle une bouffée d’air frais réussie et galvanisante.
Alita est une jeune cyborg amnésique. Alors qu’elle tente de survivre à Iron City, elle se découvre des talents de combat éblouissants…
Alita est de ces projets dont on parle depuis des années et qui débarquent du jour au lendemain avec une certaine crainte derrière. En effet, on parle ici d’une adaptation du fameux manga « Gunnm » et au vu des critiques entourant les transpositions de ce genre, les attentes étaient assez basses. Il suffit de se rappeler des retours incendiaires sur la version américaine de Death Note pour souligner la nature dangereuse du projet. C’est faire fi de la présence de Robert Rodriguez derrière la caméra et de James Cameron à la production, tous deux grands fans de la pop culture et ayant prouvé leur amour indéfectible pour les innovations technologiques cinématographiques. C’est ainsi ce qui frappe le premier dans le film : si la nature d’Alita est inhumaine (aussi bien par sa place de robot que sa création en performance capture), son humanité transparaît avec tellement d’éclat que l’on en oublie qu’elle n’est que fiction et que son corps n’a en soi rien d’humain.
Les questions sur la nature de l’humanisme et le rapport aux corps, bien que discrètes, sont dès lors passionnantes tout en étant ancrées dans une narration aux airs convenus mais arrivant à en sortir par certains aspects. C’est ainsi qu’en présentant Alita en élément étranger en début de récit que l’on introduit le fonctionnement d’Iron City comme logique. Jamais le film ne se retrouve à sur-expliquer certains points et il appelle le spectateur à relier les points qui lui sont donnés sans le prendre par la main. Pourtant, le film lui tend celle-ci dans des séquences au romantisme subtil et ne tombant jamais dans le méchoui émotionnel. Il y a ainsi une certaine logique dans l’avancement des protagonistes mais sans que ceux-ci n’apparaissent comme mécaniques. On est même surpris par la fluidité du récit alors qu’il raconte au final bien plus que ce qu’il n’y paraît.
Si l’on sent un travail de storyboarding intense de James Cameron au vu de son acharnement sur le projet, c’est bien Robert Rodriguez qui mène la barque dans ce qu’on n’hésitera pas à décrire comme son meilleur film. Toutes les scènes d’action sont d’une lisibilité exemplaire et (miracle) ne ralentissent jamais l’histoire. Bien au contraire même : c’est par ces moments d’action que les personnages avancent et se dessinent encore plus, comme Alita dont le surnom d’Ange de combat n’est pas démesuré. À une époque où les explosions servent à nourrir le besoin de sensation du spectateur en dépit de certaines logiques narratives, Alita est exemplaire dans sa manière de juxtaposer l’écriture et l’émotion de ses protagonistes pour mieux les dessiner au fil de séquences réjouissantes (rien que la scène du Motorball justifie la 4DX). On est au final tellement subjugué par l’avancement technique et narratif du film que l’on en oublierait presque la révolution visuelle qui se fait devant nous, repoussant les capacités de la performance capture avec brio, notamment par le biais de plusieurs contacts avec divers personnes et objets au point que l’existence même de notre héroïne n’est jamais remise en cause.
Est-ce qu’Alita Battle Angel est exempt de défauts ? Bien évidemment que non, souffrant par instants de sa nature resserrée et de certains dialogues. Cela ne l’empêche pas d’être LE blockbuster de ce début d’année, un souffle nouveau au sein d’une société de divertissement répétitive. Bref, si vous avez encore l’occasion de soutenir ce film en salles, n’hésitez surtout pas tant nous avons besoin de films à gros spectacle aussi éblouissants.

Un film futuriste et fantastique ! un très bon film avec de l’action et des couleurs ! J’ai adorées l’idée du film

Juste magnifique !! De la grande science fiction à la sauce James Cameron. Robert Rodriguez entre dans la cour des grands !!

Annoncé depuis un certain temps déjà comme un projet pharaonique de James Cameron, voilà que débarque au cinéma le film Alita Battle Angel, adaptation du manga culte Gunnm. Si la bande-annonce annonçait un très grand film, on a pourtant une sensation douce amère en sortant du film, comme l'aveu d'un semi-échec.

S'il faut reconnaître un talent certain pour la réalisation à Robert Rodriguez (son film Sin City est une vraie démonstration de son talent), son film se révèle très inégal. N'ayant jamais abordé l'oeuvre qui a inspiré ce film, je ne pourrai pas le juger en terme d'adaptation. Ce qui l'en ressort cependant, c'est une désagréable abondance d'instants niais et clichés : spoiler: la romance Alita-Hugo cucu à souhait, les méchants du film tous plus superficiels et plats les uns que les autres, le personnage d'Alita qui n'est paradoxalement profond qu'en surface...
. On peut très rapidement faire un petit commentaire sur la fin du film qui apparaît comme spoiler: le geste le plus artificiel pour signifier au spectateur que c'est le premier opus d'une trilogie... Le "vrai méchant" observant notre héroïne dans sa tour d'argent
: un tour de passe-passe à la Inspecteur Gadget...

Si on parvient à passer outre ce détail et à ne pas sortir le film, le problème est que l'on n'a pas forcément grand chose à se mettre sous la dent. On a un blockbuster de plutôt bonne facture, avec des scènes de combat époustouflantes servies par des effets spéciaux du même calibre. Est-ce vraiment ça l'ambition d'un tel blockbuster en 2019 ? Si c'est le cas il y a de quoi s'inquiéter, on est en droit de demander mieux qu'un film passable au possible.

Une écriture étonnante avec des effets visuels qui ne sont pas apparents
Une forme de poésie certaine teintée de naïveté
Bref un peu de fraîcheur avec des grands principes classiques de la SF
A voir pour la découverte et a revoir pour tous les détails

Très bonne surprise. Certes, on est loin du manga qui est à mon avis inadaptable parfaitement (à notre époque) du point de vue visuel mais le film a quand même son style et est très beau. L'univers est édulcoré tout en restant très inspiré. Les acteurs sont bien choisis et apportent de la crédibilité à l'ensemble. Alors, oui, ce n'est pas le manga mais si ça avait été le manga, je lui aurais donné mille sur 5.

La bande annonce était très prometteuse, mais malheureusement le film ne tient pas toutes ses promesses, la faute à des facilités scénaristiques. En particulier, l'histoire d'amour est très mal construite et sans intérêt. Il aurait été intéressant de creuser davantage la "personnalité" d'Alita et des autres protagonistes, mais on se contente d'une psychologie très sommaire. Les scènes d'action sont plutôt réussies mais là aussi la réalisation cède parfois à la facilité, notamment lors de la dernière course-poursuite. Dommage.

Déjà que je ne le sentais pas, mais au final j'ai trouvé ce film vraiment lamentable à 99.9 %. Le manga ne m'intéresse même pas, mais cela n’empeche, la réalisation aurait pu assurer alors qu'au final on a des images de synthèse partout totalement foirés, une héroïne 3D vraiment ratés et mal jouée avec des personnages normaux, et un goulbi goulba de science-fiction de supermarché !!

L’histoire ne tient pas la route et chaque scène est totalement prévisible quand elle n'est pas ridicule. J'ai bien fait de ne pas payer, je passe mon tour peu importe qui est le réalisateur.
Et en prime ce film m'a endormi.

Très très belle surprise. Une belle histoire dans un scénario qui se tient, des scènes d’actions époustouflantes.
C’est pour moi à cet instant le meilleur film de divertissement de l’année.
Bravo !
Merci

Vu plus ou moins au hasard. Cela ne me disait trop rien, mais le reste du programme de mon cinéma non plus, ou j'avais déjà tout vu. Et puis Robert Rodriguez produit par James Cameron pourquoi pas. Au final, sans parler de bonne surprise, j'ai passé un très bon moment. Le film est vraiment spectaculaire, grâce notamment à toutes les scènes de combats, formidables. Techniquement, c'est superbe. Un univers post-apocalyptique bien rendu, à défaut d'être vraiment original. Même chose pour le scénario (adapté d'un célèbre manga). Rien de bien nouveau, des gentils, des méchants, une héroïne dure à l'extérieur et tendre à l'intérieur, et pas vraiment de fin pour nous préparer à un numéro 2 (minimum). C'est rythmé, c'est coloré, c'est fun, c'est même un peu émouvant et on ne s'ennuie jamais. Bref, ça remplit bien le cahier des charges hollywoodiens, c'est très efficace. Un bon divertissement.

Wahou mais quelle bombe ce film !!
Ecrit et produit par James Cameron, cette adaptation du manga Gunnm est tout simplement visuellement sublime car intégralement tournée en prises de vue réelles afin d'accentuer la fusion entre réalité et animation.
L'action se déroule au 26ème siècle ou un docteur spécialiste en cyborgs (humains avec des greffes mécaniques ou électroniques) va découvrir dans une décharge ce qu'il reste d'une jeune androïde abandonnée. Il la baptise Alita et la ramène à la vie.
Derrière des grands yeux expressifs et une apparente candeur, Alita va petit à petit se souvenir d'où elle vient et de qui elle était avant...
Ce film de science-fiction est purement génial, Alita crève véritablement l'écran de bout en bout avec son look de petit ange et sa puissance physique hallucinante !
Attention, la fin reste très ouverte appelant sûrement à une suite future, cela peut déranger car certaines questions restent en suspens...
J'ai adoré : c'est brillant, intense et surpuissant.
Fantastique !
Site www.cinemadourg.free.fr

Le matériau d'origine est superbement mis en valeur dans ce film d'action et de science fiction, bel hommage à l'âge d'or de l'univers cyber punk et aux mangas du genre dans les années 80-90. On espère une suite.