Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
al29
1 abonné
22 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 29 septembre 2006
Ethnique bucolique ..initiatique ..presque poétique .bref, je vous conseille de suivre les traces de ce petit chien si sympathique mais je crois que je laurais préféré plus énigmatique .
Ce joli film prouve que la beauté magique de la nature et une vie simple et paisible suffisent malgré l'abscence d'un scénario rigoureux à nous faire passer un bon moment. La vie moderne avec son tumulte et son rythme trépidant ne nous donne pas beaucoup l'occasion de poser notre sac et laisser notre regard vagabonder,c'est bien dommage. Tout sonne juste dans la vie de cette famille de nomades mongols,on apprécie leur simplicité,leur humour et leur bel appétit de vivre. Pour ceux qui sont fascinés par ces paysages,sachez qu'il existe un endroit en France et à ma connaissance un seul qui ressmble à s'y méprendre aux sublimes steppes de Mongolie. Même dépaysement,même sentiment d'éternité;il s'agit du sublime causse Méjean dans le sud de la Lozère. Allez y ne serait ce qu'une journée,non seulement vous retrouvez(à échelle réduite,bien sûr)la poésie des paysages mongols mais vous en reviendrez apaisé et purifié.
Le Chien jaune de Mongolie est un merveilleux récit, rempli d'humanité et de tendresse, aussi récit si ce n'est plus que la précédente réalisation de Byambasuren Davaa, L'Histoire du chameau qui pleure. Cette fois, la réalisatrice nous raconte l'affection d'une petite fille nomade pour un chien errant, dans les immenses steppes de Mongolie. La jeune réalisatrice, originaire de Mongolie, s'inspire d'un conte traditionnel où elle observe la relation qui se noue avec la petite Nansa et le chien qu'elle a recueilli, contre l'avis de ses parents. Nansa, âgée d'environ six ans, est l'aînée de trois enfants d'une vraie petite famille de nomades. Elle est scolarisée à la ville, mais passe ses vacances à aider sa mère dans ses tâches quotidiennes comme ramasser les bouses, utile combustible pour chauffer la nourriture. Comme Le Chameau qui pleure, Davaa démontre un équilibre fragile entre modernité et le mode de vie traditionnel. La société nomade est ainsi en pleine mutation bien que l'on voit l'importance toujours vitale des croyances comme la réincarnation. La mise en scène est délicate, sensible, captant des tranches de vie de cette véritable famille d'acteurs non professionnels, est une succession d'images magnifiques, tournées dans les plaines et les montagnes du Nord de la Mongolie. Un bel hommage à une civilisation ancestrale peu à peu menacée. Captivant, non par l'histoire somme toute banale, mais par les rites, la vie qui se déroule sous nos yeux. Un bijou.
Paysages mongoles où la nature est encore préservé. Le message fort d'amour de la vie véhiculé par ce film est des plus sain pour les enfants et les adultes qui en ont bien besoin.
"Le chien jaune de mongolie" est une oeuvre cinématographique qui ne ressemble a aucune autre. Ce film est simple, pas de lutte complexe entre deux forces mais celle de cette petite fille et de ce chien. Et surtout ce désir que chacun avons eue de recueillir un chien errant. Dans le film pas de confrontation violente, pas de dispute et dans cette sérénité de la mongolie si appaisante tous est paisible.En plus ce film est une découverte des conditions de vie de ces agriculteurs des steppes. Bref un film magique où les acteurs sont plein d'humanité et leur parole si poétique, un délice pour petit et grand qui nous sort des confrontation toujours si "musclé" des films habituels.Bravo a la réalisatrice.