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    Les 400 coups
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    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    165 abonnés 2 428 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 janvier 2017
    Les Quatre Cent Coups est un film qui ne m'a pas tant séduit que ça.
    L'histoire est correcte, se tient amplement, mais j'ai trouvé qu'elle traînait un peu en longueur par moment. J'admets avoir eu du mal à m'identifier et avoir de l'empathie pour le jeune Antoine Daniel, ce qui fait que je n'ai pas trop accroché au film. La thématique du cercle vicieux dans la délinquance est plutôt bien traitée.
    Les acteurs ne sont pas mauvais. Les deux jeunes acteurs Jean-Pierre Léaud et Patrick Auffay jouent de manière très naturelle et très convaincante.
    Bref, c'était pas mal, mais sans plus.
    raffiki
    raffiki

    92 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 septembre 2016
    Grand classique du cinéma, ce film témoigne d'une époque assez lointaine aujourd'hui avec des relations parents enfants particulières de nos jours. Ce film permet de passer un bon moment avec quelques éclats de rire des moments de tristesse. A voir ou à revoir sans avoir peur de s'attaquer à un grand du cinéma.
    Kloden
    Kloden

    114 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juillet 2016
    Pas complètement conquis par cette œuvre retenue par l'Histoire comme instigatrice de la Nouvelle Vague française. Loin des envolées esthétiques que le mouvement cherchera par la suite, confinant souvent à l'abstraction et à une déconstruction totale de son matériau cinématographique pour atteindre la voix recherchée, Les Quatre Cents Coups demeure en fait assez proche des codes du classicisme. La liberté qu'il se permet, en fin de compte, est surtout celle des thèmes, qui mettent en avant la jeunesse contemporaine et la difficulté à grandir, cherchant leur vitalité directement dans l'existence des hommes de leur temps plutôt que d'élever ceux-ci à des considérations solennelles par le biais des codes narratifs et dramatiques habituels et un peu trop révérés pour ne pas sembler ronflants. Le mouvement naissant, tellement éclectique que sont unité est parfois difficile à retrouver a posteriori, se distinguait en fait surtout par une liberté neuve dans la possibilité de donner à ses thèmes de prédilection et à l'expression de son moi intime la prévalence totale sur la forme et sur la conduite d'un récit balisé. Cette liberté, on la retrouvait donc déjà dans ce premier Truffaut, comme élan artistique (dans les moyens employés) et aussi comme objet à atteindre, comme sentiment à embrasser. C'est donc un peu dommage, je trouve, de constater le peu de surprise qu'amène le récit, sa progression restant cadrée par un souci (presque toujours respecté) de réalisme par respect pour la teneur en partie autobiographique du scénario. Cette mort de l'enfance qu'on regarde partir comme Antoine devra regarder Paris le quitter à travers la grille d'un camion de police, je la trouve ici étouffée, trop contenue. Ce que je vois dans Les Quatre Cent Coups, c'est surtout le regard de l'adulte, et sa mélancolie est trop proche de la mienne pour la ranimer véritablement, lui insuffler le souffle qu'elle voit elle-même expirer.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 mai 2016
    Je n’avais pas revu le film depuis mon enfance, très tôt à l’âge de sept ou huit ans. Je me souvenais vaguement des bêtises d’Antoine Doinel, de sa gouaille. En revanche, je me souvenais davantage de ses errances nocturnes dans le Paris des années 50, magnifié par le noir et le blanc d’une photographie somptueuse d’Henri Decae qui rappelle l’oeuvre humaniste de Doisneau.
    J’ai grandi avec ce film et l’impression qu’il s’est imprégné en moi depuis cette première fois. Il a certainement influencé mes goûts artistiques et le fait que je sois attaché au cinéma réaliste, aux situations et personnages tirés du quotidien.
    Je l’ai redécouvert avec beaucoup de nostalgie et de bonheur. Je fus ému et émerveillé. D’ailleurs, il m’est difficile de trouver d’autres termes appropriés car le film ne se définit pas, il se vit, se pleure et se rit aussi. C’est aussi simple que ça.

    Les Quatre Cents Coups est un film vrai sur une jeunesse, un modèle familial, comme on en a rarement eu. Ce n’est pas seulement le portrait d’une adolescence difficile, c’est un film singulièrement vivant, plein de charme et d’amour.
    Il dit tant de choses sur l’enfance, l’éducation, la liberté, l’émancipation…des thèmes qui me sont très chers.
    Le film de Truffaut est un plaisir instantané.

    Aujourd’hui le cinéma français est si pauvre qu’il fait rarement de grands films. Après toute l’essence inspiratrice de la Nouvelle Vague, on tente seulement de maintenir la tête hors de l’eau.

    A lire sur :
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 janvier 2016
    Film reflétant une époque, le paris des années 1960, dialogues tres bien ciselés, Jean Pierre Leaud est remarquable en electron libre, lâché dans ce paris romantique.
    On en sort libéré d'un certain poids, de certaines conventions,
    A recommander
    Louis V
    Louis V

    26 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2016
    Nostalgie débordante, suante de tous les pores de ce chef-d'oeuvre inclassable. La beauté des plans, la réalisation, tout est déjà ''imperfectible et parfait'',
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    37 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 janvier 2016
    Eh bien, quel coup de maître ! Truffaut apporte au cahiers des charges de la Nouvelle Vague un regard semi-autobiographique et fait de sa première réalisation un grand film sur l'enfance. Les Quatre Cents Coups est profondément ancré dans son époque. Tous les éléments du long-métrage transpirent la fin des années 50, que ce soit les scènes de classe, les tenues des élèves ou la tournure des dialogues ("Ouais, tu vas pas nous dire qu'avec ta gueule de faux-jeton tu leur fais pas les poches de temps en temps !"). Pourtant, le film conserve un propos universel car on retrouve énormément de petits riens qui ont fait l'enfance de tous : courir après les pigeons pour les voir s'envoler, profiter du cours de sport pour sécher, etc. La scène où l'on voit des enfants en bas âge assister à un spectacle de marionnette est particulièrement réussie puisqu'elle renvoie à la position du spectateur (et puis c'est tout mignon en plus). La mise en scène est un modèle de réussite. La caméra s'accroche à Antoine et ne le lâche jamais. Le montage, et plus particulièrement les nombreux fondus qui relient les séquences, donnent l'impression que nous sommes témoins des moments les plus marquants de la vie du gamin, comme s'il s'en souvenait des années plus tard. Truffaut arrive à capter aisément le quotidien du jeune. Je regrette d'autant plus le fait que la dernière partie soit moins universelle. Ce qui arrive à Antoine relève du cas particulier et c'est bien dommage. Et soudain, la dernière scène du film surgit et marque les esprits. Je me souviens rarement du dernier plan d'un film, mais je me souviens très bien de celui de Jules et Jim ainsi que celui du Dernier Métro, ce qui me laisse penser que Truffaut est un réalisateur qui sait terminer ses histoires en beauté. Les Quatre Cents Coups est une réussite artistique qui, je pense, laissera peu de monde indifférent. Ce temps passé avec Antoine, à voir et comprendre ses joies, ses peines, c'était beau. L'ensemble est accompagné d'une musique très douce, comme une berceuse nécessaire pour évoquer les souvenirs d'une enfance déjà lointaine...
     Kurosawa
    Kurosawa

    523 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 octobre 2015
    Un classique du cinéma français, pierre fondatrice de la Nouvelle Vague, "Les quatre cents coups" est le film qui révéla un acteur emblématique de ce mouvement, Jean-Pierre Léaud. Enjoué et libre dans un premier temps, le film s'attarde sur les détails du quotidien d'une famille modeste, avec une précision et une sensibilité qui permet une identification totale du spectateur aux personnages, même à l'instituteur autoritaire, dont Truffaut se moque gentiment. L'école comme lieu de discipline; la famille comme celui de la protection mais aussi du déséquilibre, qui se manifeste par les différences marquantes entre le père et la mère, ces deux parties convergent progressivement vers l'éclatement, faisant ainsi émerger la figure rebelle et solitaire du jeune Antoine Doinel. Mais en prenant une direction plus sombre, le film trouve moins de variations dans son ton, moins de ruptures de rythme aussi, et s'expose inévitablement à quelques longueurs. Reste la satisfaction d'avoir vu un film original, doté d'une grande vitalité, qui offre par ailleurs une poignée de moments particulièrement émouvants, comme son final ambigu qui met en scène à la fois le désir de liberté et le vertige d'un avenir incertain.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 novembre 2015
    Mon premier Truffaut, et je ne suis pas déçu. On suit dans ce film Antoine Doinel, un cancre, que son professeur punit sans arrêt et avec une mère vraiment immonde avec lui. Doinel sait se faire dés le départ un personnage très attachant. On comprends ce qui le motive, pourquoi il fait des bêtises, mais le film n'est pas non plus manichéen, il pose juste un regard compréhensif et juste sur l'enfance, sa quête de liberté et de reconnaissance. Les acteurs sont tous formidables, la mise en scène de Truffaut est excellente, il y a de l'humour, de l'émotion, de la poésie... Bref un film touchant sur l'enfance.
    Acidus
    Acidus

    636 abonnés 3 663 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 septembre 2015
    Loin du style prétentieux et pédant de ses camarades de la Nouvelle vague, François Truffaut nous brosse le portrait (apparemment largement autobiographique) d'un jeune garçon délaissé par sa famille et qui sombre petit à petit dans la délinquance. Sur un scénario relativement simple, le cinéaste français fait montre de tout son talent de metteur en scène et nous happe littéralement dans son histoire. En prime, le jeune Jean Pierre Léaud nous livre une très bonne prestation malgrè son âge. Autant dire que "Les quatre cents coups" ouvre magnifiquement bien cette saga cinématographique.
    Alexis D.
    Alexis D.

    95 abonnés 873 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 octobre 2017
    Un classique du cinéma français, pierre fondatrice de la nouvelle vague, "Les quatre cents coups" est le film qui révéla un acteur emblématique de ce mouvement, Jean-Pierre Léaud. Enjoué et libre dans un premier temps, le film s'attarde sur les détails du quotidien d'une famille modeste, avec une précision et une sensibilité qui permet une identification totale du spectateur aux personnages, même à l'instituteur autoritaire, dont Truffaut se moque gentiment. L'école comme lieu de discipline, la famille comme celui de la protection mais aussi du déséquilibre, qui se manifeste par les différences marquantes entre le père et la mère, ces deux parties convergent progressivement vers l'éclatement, faisant ainsi émerger la figure rebelle et solitaire du jeune Antoine Doinel. Mais en prenant une direction plus sombre, le film trouve moins de variations dans son ton, moins de ruptures de rythme aussi, et s'expose inévitablement à quelques longueurs. Il reste la satisfaction d'avoir vu un film original, doté d'une grande vitalité, qui offre par ailleurs une poignée de moments particulièrement émouvants, comme son final ambigu qui met en scène à la fois le désir de liberté et le vertige d'un avenir incertain. Le réalisateur en toute simplicité nous livre un récit simple mais pourtant si riche en émotions et en intelligence. D'une très grande qualité d'écriture, abordant avec justesse et mélancolie la fin de l'enfance, il nous livre un récit tout le temps juste et touchant à travers un personnage très attachant, il ne tombe jamais dans la caricature ou la niaiserie, comme les films abordant ces thèmes en sont parfois propices. Les scènes d'ouverture et finales sont superbes et le réalisateur fait preuve d'une belle maîtrise technique et arrive à toujours capter les émotions avec brio. La photographie en noir et blanc est magnifique, tout comme les décors naturels, tourné dans un Paris que le réalisateur sait sublimer. Le jeune Jean-Pierre Léaud nous montre déjà toutes ses capacités d'interprète. Une très belle œuvre, un hymne simple mais puissant à la liberté, n'oubliant pas les touches d'humour et sachant se faire touchant et émouvant de manière simple. Sincère, brillant et intemporel
    Jonathan M
    Jonathan M

    115 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juin 2016
    École buissonnière, l'arrogance comme carapace, la bêtise comme révolte. Contre qui ? Des parents formellement absents. Doinel se soigne dans l'errance et le mépris. Une fugue dans Pigalle et ses environs. Il se veut seul et incompris. Mais tout ce qu'il veut au fond, c'est de l'amour. Le cinéma et son meilleur pote feront office de compensation. Il y a comme une destiné universelle. Truffaut filme son adolescence avec un besoin urgent de se libérer. A l'image du dernier des 400 coups, la nécessité de courir jusqu'à la mer afin de respirer, sous fond musicale respirant la mélancolie du cinéaste. Touché.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    529 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2015
    Ce n'est pas le meilleur film de Truffaut, loin s'en faut à cause de beaucoup trop d'approximations et d'une absence complète de scénario mais c'est sans doute son plus attachant à cause du personnage d' Antoine Doinel, merveilleusement interprété par un jeune garçon de 14 ans. C'est énormément autobiographique bien que Truffaut ne soit pas clair sur ce sujet, tantôt il le niera, tantôt il le reconnaîtra. C'est d'ailleurs cet aspect qui est le plus gênant  car le film étant tourné en décors naturels ( le son étant post synchronisé) en 1958, la circulation dans les rues, la vie parisienne, la classe qui devrait être un CM2 correspondent mal aux années 39/42 dans lesquelles s'étaient passés les faits réels, de plus sous occupation allemande. Il faut donc regarder les 400 coups avec des yeux naïfs. L'impression finale est douloureuse car si Truffaut porte un oeil attendri sur ses personnages, ils dégagent tous une vie difficile empreinte de fatalité. La beauté de la séquence finale se terminant par un ‘’ regard caméra'' de Doinel nous rappelant, hélas, le destin tragique de son créateur. Il est impossible aux jeunes spectateurs actuels de ressentir '' les 400 coups'' comme je peux le faire pour avoir vécu prés de la place Clichy à l'époque du tournage, je ne saurais être aussi objectif que je le souhaite. L'avenir lointain dira la place exacte de ce film dans l'histoire du cinéma français. Ce qui reste certain,c'est qu'il respire la vie et qu'il incite à suivre la ''saga Doinel'', rareté dans le cinéma mondial.
    Jahro
    Jahro

    44 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 mai 2015
    Dédié à la mémoire de son mentor André Bazin, cofondateur des Cahiers du cinéma dans lesquels il fourbira ses premières armes, Les quatre cents coups est le premier long de François Truffaut, et c’est déjà une pierre angulaire. Largement autobiographique, il introduit le personnage d’Antoine Doinel, qui rempilera pour trois nouveaux films, toujours sous les traits du souvent insupportable Jean-Pierre Léaud. Cette fois il est encore jeune, simple, attachant. Avec son pote René – Patrick Auffray, qu’on ne reverra pratiquement plus par la suite – il fait comme l’indique le titre : fugues, larcins, école buissonnière, insolence en classe et jeunes questionnements. C’est avec un regard d’une infinie justesse et un sens de la réalisation déjà au point que le grand chantre de la Nouvelle vague promène sa caméra entre les bancs du collège et dans les rues de la ville. Le rapport à l’autorité, l’assimilation des usages, les passions qu’il faut museler, les leçons de la vie ne sont pas de tout repos pour un gosse plein d’entrain et d’imagination. Au milieu des travellings fascinants, du cadrage étudié, des arpèges doucereux de Jean Constantin et des lumières du ponte Henri Decae (un des rares à ne pas débuter ici), on se laisse happer par ce quotidien empreint de nostalgie et de dangereuse malice, qui servira de phare à toute une génération. Assurément un pilier.
    Cthulhu Mantis
    Cthulhu Mantis

    18 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 avril 2015
    Il est très difficile d'imaginer Jean Gabin ou un Jean Paul Belmondo sans les dialogues de la gouaille Parisienne écrit par Michel Audiard. C'est idem pour le tout jeune Jean-Pierre Léaud qui a 14 ans à la sorti du tout premier long métrage de François Truffaut donc tous les deux seront liés a jamais par leur collaboration et leur liens qui les unissent pendant plus de 20 ans et qui marquera également la célèbre saga Antoine Daniel.

    C’est toujours un immense bonheur de faire découvrir un film qu’on aime à ceux qu’on aime. Ces plans presque aériens du petit Doinel déambulant dans sa ville. Avec son sourire, sa solitude et sa jeunesse. spoiler: Jusqu’au dernier plan, fabuleux, les pieds dans l’eau et vers l’horizon.


    Film qui a révéler Jean-Pierre Léaud et François Truffaut en 1959 qui deviennent mondialement connus pour les grands cinéphile du monde entier. Un an après A bout de souffle de Jean luc Godard qui révèlera au grand publique Jean-Paul Belmondo. Ce film est le tournant de l'arrivée de la fameuse nouvelle vague qui sont notamment François Truffaut, Jean luc Godard, Eric Rohmer, Claude Chabrol et Jacques Rivette.

    Cela reste certainement un souvenir vivifiant pour Jean-Pierre Léaud évidemment pour sa rencontre avec François Truffaut et ce lien qui les uniraient tant, donc Léaud n'a jamais sans doute réussi vraiment a faire le deuil.

    Il disait il n'y a pas longtemps lors d'un festival en Espagne pour le récompenser pour l'ensemble de sa carrière que quelque part dans le monde les gens l'identifier encore au gamin des quatre cents coups ce qui est incroyable alors qu'il doit maintenant avoir 70 ans et le film passer 50 ans. La jeunesse de Léaud qui est imprimé sur la pellicule est une image qui appartient définitivement au passé et à l'histoire du cinéma.
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