Derniers Avis : Batman, le défi - Page 3

Un bon Batman dans l univers gothico déjanté de Burton... La musique de Danny Elfman fait toujours son effet... Cependant ce Batman est moins marquant que le premier film... Quelques longueurs... Une Catwoman et un Pingouin plutôt réussis et charismatiques... Mais un Batman un peu trop en retrait de l histoire principale plutôt centrée sur les super villains... De plus je trouve la fin vraiment pas terrible...

Un Batman à tendance sado-masochiste où Michelle Pfeiffer manie le fouet avec grâce en Catwoman déjantée.Dany De Vito est très bon en effrayant Pingouin.Le film n' a pas de prétention politique à part parler un peu de pollution (à la différence de Nolan) Un film typique des années 90.pas mal d' humour

Bien meilleur que le précédent opus, à mon goût. D.deVito, en premier lieu, bien plus monstrueux que le joker-Nicholson (trop kitch - mais c'est peut-être la faute de l'époque?) ; M. Pfeiffer (sensuelle et charismatique en diable) et C.Walken (vénéneux au possible) relèvent généreusement la sauce Batman-Burton. Plus de personnages au bénéfice d'un scenario plus riche. Le Batman peut s'effacer (comme chez Nolan) pour se mettre au service de l'histoire - les vaches sont bien gardées!

Après le succès du "Batman" de 1989, la Warner demande à Tim Burton de réaliser une suite. Moyennement intéressé, le réalisateur se voit accorder une quasi carte blanche en guise de motivation. Résultat : il se lâche complètement ! Ainsi, si le premier film était teinté d'expressionnisme allemand, cette suite y plonge complètement, avec des références plus ou moins explicites au cinéma des années 20 (Max Schreck faisant référence à "Nosferatu", le costume du Pengouin est claqué sur le Dr Caligari, etc.). Mais surtout, des visuels sombres et complètement dingues. Qu'il s'agisse des décors intérieurs ou extérieurs cauchemardesques, des costumes originaux, ou de certains plans très impressionnants, Tim Burton est en très grande forme. Tandis que le scénario en profite pour tacler le système américain, égratignant ici la population crédule en quête de héros du jour, et le monde politique. Sans compter diverses références religieuses qui ajoutent de la profondeur à l'ensemble. L'intrigue soigne également ses méchants, chacun des trois ayant son background bien développé et des motivations distinctes. Les trois acteurs (Danny DeVito, Michelle Pfeiffer, Christopher Walken) semblent d'ailleurs beaucoup s'amuser devant la caméra. Le Bruce Wayne torturé et solitaire incarné par Michael Keaton (qui s'accorde aussi quelques touches d'humour) est plus en retrait, mais c'est visiblement une volonté maintenue par Burton. Laisser le chevalier noir en arrière plan, telle une figure mystique et violente, et se centrer sur des psychopathes qui menacent la ville. De manière certes moyennement vraisemblable, mais peu importe, le film affiche clairement un ton plus cartoonesque que réaliste. On soulignera également la très jolie BO de Danny Elfman, qui a ajouté de beaux thèmes en sus de celui de Batman (exit les tubes pop !), et les effets visuels très réussis pour l'époque. "Batman Returns" est au final une suite de haute volée pour le célèbre justicier, qui sera malheureusement contre-balancée par les deux volets suivants...

Confiant et avec tous les pouvoirs, cette fois Tim Burton pousse encore plus loin ses principes et ses préférences esthétiques. On constate un point commun avec le "Batman" et son Joker, à savoir que les méchants ont un traitement bien plus travaillés que le superhéros. La violence est encore plus pregnante, et cette fois les insinuations sexuelles sont plus parlant de par la personnalité "féline" de Catwoman. Par contre, Pfeiffer ne semble pas vraiment à l'aise dans son rôle, sans doute pas aidée par un costume particulièrement moulant. Un costume sur lequel on savourera les cicatrices chères à Burton mais sur lequel on s'interroge : comment croire en un costume en latex fabriqué en si peu de temps, à la machine à coudre avec une simple veste ?! On remarque plusieurs autres incohérences comme le fait que Catwoman a des talons hauts sauf quand elle fait ses acrobaties. Mais heureusement la dimension gothique et freaks est parfaitement rendu et on reconnaît là tout le style burtonien avec un Pingouin qui vampirise l'écran en prime.
Site : Selenie

certe ses un tres bon film mais je ne véré pas du tous le reregardé maintenant il date faut dire
pour l'époque, si javais du mettre une note a l'époque j'auré étais beuaucoup plus disposé
a metre une note comme tres bien voilà tous

L'ambiance sombre , gothique et fantastique du film est géniale . De plus il a eu la bonne idée de filmer gotham enneiger ce qui donne une ambiance encore plus énorme . On s'évade encore une fois avec grand plaisir dans l'univers de Batman 🦇superbement mise en scène par Tim Burton.👍🏼L'humour est très présente✌🏼

Après le très bon Batman, Tim Burton revient 3ans plus tard pour continuer de réaliser les aventures du chevaliers noir. Et ce second opus est plus réussis que son predesseur. Deux nouveaux antagonistes font leurs entrés dans ce long métrage : l'irrésistible Catwoman et le rusé Pingouin, des personnages aussi diabolique que attachant. La 1ère, interprèter avec brio par Michelle Pfeiffer, se révèle être une antagonistes séduisante, sexy et rusé qui saura très bien séduire Batman. Le deuxième, avec les traits de Danny DeVito se révèle être un antagoniste aussi diabolique et intelligent que tragique et grotesque. Avec ces deux personnages, et Batman aussi, les thème de la figures tragique et des masques, jalonnent le récit. Le thème de l'expressionnisme Allemand, est toujours aussi présent dans le film ; notamment avec les magnifiques décors de Gotham, ce qui rend le film reconnaissable, notamment avec son atmosphère sombre et lugubre. Les scènes d'actions sont correctes et la musique, composé par Danny Elfman, est toujours envoûtante et entraînante. Aussi, le film ne semble pas attaché à son predesseur, ce qui peut surprendre beaucoup de gens et qui en même temps, en fait vraiment un film à part.
Batman Returns est donc une excellente suite qui arrive à surpasser l'original et qui nous offre des décors magiques, des méchants géniaux ainsi qu'une réalisation impeccable. Le meilleurs batman avec the Dark Knight.

J'ai préféré ce deuxième film Batman au premier, même si encore une fois, je préfère certaines autres versions de Batman comme celle de The Dark Knight ou des jeux vidéos Telltale. Le personnage de Bruce Wayne reste bien trop lisse, le Pingouin a quelques très bonnes scènes comme celle d'ouverture avec la magnifique musique de Danny Elfman, mais est globalement un méchant bien trop manichéen et assez ridicule. Seul le personnage de Catwoman m'a totalement convaincu ! En revanche, un réel travail a été fait sur les scènes d'action par rapport au premier film : ces dernières ont beaucoup plus de punch, notamment grâce à la souplesse de Catwoman, et cela rend le film beaucoup plus divertissant que le premier. Bref, un deuxième film meilleur que le premier selon moi, même si je continue d'adhérer assez peu à cette vision du Chevalier noir de Tim Burton.

Michael Keaton toujours aussi excellent dans sont rôle face à Danny De Vito. Encore un excellent film pour Tim Burton après Beetlejuice et Batman.

Un Tim Batman. La rencontre de l'univers du cinéaste avec le super héros débouche sur une proposition inattendue. Sombre & gothique bien sûr mais également très sexualisé et surtout franchement glauque. La violence crue et le personnage malaisant du pingouin (la performance de De Vito est monstrueuse dans tous les sens du terme) est inimaginable dans un blockbuster actuel. Ce visionnage permet également de voir à quel point Hollywood a esthétisé la violence et le meurtre. Il n'y a pas plus de violence dans ce Batman que dans n'importe quel Marvel mais elle est sans conteste plus traumatisante. Le film a vieilli et les décors, effets spéciaux et les gadgets de la batmobile sont un peu désuet mais c'est surtout la différence de rythme avec les films d'actions contemporains qui frappe.
L'avantage de ce Batman par rapport à la trilogie plus récente orientée vers davantage de réalisme est qu'ici les incohérences sont légions mais à aucun moment Burton ne prétend le contraire. Il ne crée pas une œuvre naturaliste mais une proposition artistique dans lequel son pingouin s'envole en parapluie. Le scénario délaisse clairement son héro (Keaton traverse le film comme un fantôme) pour se concentrer sur ses monstres Shreck, Catwoman et le Pingouin. Le scenario aurait probablement eu plus de force si ce dernier n'avait tenté de se venger qu'après avoir été rejeté par la ville tout entière, pas juste par ses parents. Car lorsqu'il annonce souffrir de voir son humanité ignoré, le pingouin est bien accueillis par la ville. Mais il a dès le départ son projet atroce et avec cette lecture, Burton donne ainsi raison aux préjugés : ce qui est laid est forcément mauvais.

quel nullité insupportable !! j'ai cracké a même pas la moitié du film. entre le maire insupportable au cobol pot un un scénario fourré jusqu'à l'os, ont a le combo gagnant. une salina Kyle complètement hors du coup, ont dirait une parodie.

C'est un film opéra sans la magie de la musique de Mozart. C'est ça le problème. C'est d'une grande vulgarité, comme pour la scène de la langue avec Michelle Pfeiffer et Michael Keaton. Dans une autre scène Michelle Pfeiffer a la même coiffure que Gene Tierney dans The Shanghai Gesture, un des chefs-d’œuvre de Josef von Sternberg. Qu'elle aille se recoiffer la pauvrette, car on ne peut comparer l'incomparable. Michelle Pfeiffer manque de piquant, de charisme. Alors c'est vrai, les codes de la séduction ont changé. Mais je veux bien qu'on m'explique pourquoi des films hollywoodiens des années 40 subliment les actrices comme Rita Hayworth, Lauren Bacall, Gene Tierney ou Ava Gardner, et qu'on retrouve toujours à notre époque cette sublimation, et que cela ne fonctionne pas des dizaines d'années plus tard, alors que c'est le but. Michelle Pfeiffer est employée pour cette fonction, mais il n'y a pas de charme, encore moins d'envoûtement. Autant certains films des années 40 atteignent la perfection, autant Batman, le Défi sonne vieux et dépassé. Un autre problème évident et récurrent dans ce genre de film, est qu'on n'est pas dans une bande dessinée. Alors certes ici on est pas encore dans les combats de catch, mais plutôt au théâtre voire dans une mise en scène d'un opéra (opéra bouffe), mais ça ne tient pas car on nous joue une bien mauvaise partition. C'est un film décevant, ennuyeux voire lugubre. Quelques années plus tard, Joel Schumacher aura compris la leçon avec le fabuleux, Batman Forever, et créera avec Nicole Kidman, un personnage typique qui retrouve les codes de la séduction des héroines des films hollywodiens des années 40. Il ne faut surtout pas oublié que Batman est une bande dessinée publiée depuis 1940.

Wow, encore meilleur que le premier ! L'ambiance "Burtonienne" comme on l'aime : hyper créative, brumeuse, macabre à souhait, agrémentée d'humour, et même d'une touche de sexy dans quelques scènes. La sublime musique de Danny Elfman et la mise en scène sont captivantes, hypnotisantes par moments. On ne s'ennuie pas grâce à des personnages hauts en couleurs, incarnés par des acteurs bluffants et très investis dans leurs rôles. Je recommande vivement à ceux qui ne l'auraient pas encore vu ! Et dire que ce film date de 1992, l'incroyable qualité des images en fait un film qui vieillit extrêmement bien et qui traverse les décennies sans prendre une ride.

Cette suite de Batman est tres réussi et qui introduit de nouveaux personnages ; Michael Keaton joue son rôle a sa perfection et c est également le cas de Danny DeVito ! Super film et super Batman