Derniers Avis : Last Action Hero - Page 12

un film d'action atypique car il s'agit plus d'une parodie que d' un véritable blockbuster. un scénario excellent qui dénnonce les grosses ficelles des films d'action. une réalisation impecable et trés rytmmé on ne peut que passer un bon moment en regardant ce film avec deux pointures de ce genres de film (devant (ARNOLD SCHWARZENEGGER) comme dérriére la caméra (JOHN McTIERNAN)) c'est surment la raison de l'échec du film lors de sa sortie au cinéma

Un pure chef-d'oeuvre, "Last Action hero" est la critique des gros Block Busters des années 90, avec des tones de références cinématographiques. Un Schwarzenegger plein d'auto-dérision qui joue à merveille son propre rôle.

Last Action Hero est une comédie policière sympathique mais au rythme un peu bancal. On a droit à un film bourré de références et d'hommages au genre du film d'action. On suit les péripéties d'un ado, le spectateur privilégié de ce genre de spectacle. Le jeune acteur manque cruellement de charisme mais il fait le job. Heureusement il y a Arnold Schwarzenegger qui prend un malin plaisir à s'auto-parodier. Il y a également pas mal d'action très bien mise en scène par la papa de "Die Hard". Au casting il y a pas mal de bons acteurs comme F.Murray Abraham, Charles Dance, Tom Noonan qui reprend le même genre de rôle que dans "Manhunter" et l'apparition de Anthony Quinn. Un film donc fort sympathique mais qui sorti de ces nombreuses références et clins d'oeil, n'a pas d’intérêt intrinsèque.

Quel scénario très original! John MacTiernan a été très inspiré et la mise en scène est une véritable tuerie! Schwarzenneger signe une de ces plus grandes performance dans ce concentrée d'action et de personnages charismatiques à souhait! Un super film qui se regarde avec beaucoup de plaisir.

Ce film est une parodie des blockbusters qui inondaient déjà les salles de cinéma 20 ans auparavant. Nous retrouvons Schwarzy dans son meilleur rôle c'est-à-dire le sien. Ceux qui ont vu comprendront ... Bourré de références cinématographiques, d'humour et de scènes d'action géniales, ce Last Action Hero est un des meilleurs films d'action que j'ai pu visionné. Je reste encore accro aux punchlines de ce cher Slater et à son univers extraordinaire. C'est un conte de la fin du 20e siècle. Un must-have.

Si Schwarzenegger n’apparaissait pas sur l’écran, je ne pense pas que je l’aurais regardé. Voilà la première phrase qui me soit venue après le visionnage de « Last Action Hero ». Le film n’a pas de gros défauts, mais la sauce ne prend pas… c’est aussi simple que ça. Schwarzy est bon, comme à son habitude et certaines répliques sont assez drôles. L’action est parfaitement dosée, on s’en prend plein la gueule à chaque fois qu'elle intervient et les moments de répits sont plus enclin à l’humour (volontairement nanar). Mais durant deux heures, « Last Action Hero » donne l’impression de tourner en rond, la faute à un scénario mal exploité et à un gosse insupportable (je n’avais qu’une envie : buter sa tronche). Ce n’est pas forcément un énorme défaut qui handicape le film mais ça en reste tout de même un, assez considérable.
Une demi-déception, mais qui reste pas mal dans son ensemble (la fille de Schwarzy est bonne, miam ! ).

Idée de départ brillante, celle de passer derrière l'écran de cinéma (même si ce n'est pas le seul film à la proposer par ailleurs.) Last action hero est une parodie très réussie des films d'actions holywoodiens, truffée de références amusantes, qui forment comme un jeu de piste au travers du film. A côté il réussit à également être un film d'action plein de testostérones. En clair un film qui joue sur deux tableaux, et réussit très bien les deux, c'est donc une belle prouesse et un grand film qu'il serait dommage de rater.

Ne vous fiez pas aux premières images très kitchs et ridicules...avant d'avoir compris que c'est un film, dans le film (donc on pardonne). "Last action hero" est tout simplement l'histoire d'un enfant qui pénètre à l'intérieur d'un film de sa star préférée grâce à son billet magique. Le concept est intéressant, ça laisserait présager un bon scénario, mais sous cette faible réalisation et son ridicule (celui qui n'est pas fait exprès) ça devient dérangeant. Schwarzy en mode bottes de serpent et desert eagle va nous embarquer (avec du mal) dans son aventure face à un méchant dégueulasse qui a quand même le luxe de se payer la voix de Dennis Hopper. Monsieur Muscle va encore nous envoyer un sacré paquet de punchlines et...c'est malheureusement tout ce qu'on retient du film (ah non j'oubliais l'affiche de Terminator avec Stallone qui m'a bien fait marrer). Un film que j'adorais étant petit, et que je peux conseiller uniquement à une clientèle de minots pour ce trip d'action couplé à un univers fantastique.

Film complétement délirant bourré de second degrés, de références au cinema et d'auto dérision. Une équipe de choc aux commandes avec J. McTiernan à la réalisation et A. Schwarzenegger déchaîné dans le rôle de Jack Slater. Ajoutez à cela A. Quinn et d'autres, sans compter un paquet de cameo de guests stars à tout va (Sharon Stone, Robert Patrick, J-C Van Damme, James Belushi, Little Richard...) et une B.O. d'enfer avec du AC/DC, Alice In Chains, Megadeth, Def Leppard... et vous obtenez un cocktail explosif d'action et d'humour. Ce film mérite d'être vu !!!

"Last action hero" est la suite logique pour John McTiernan de "Die hard" ou il révolutionnera et termniera le genre film d'action avant de le re révolutionner avec "Die hard with a vengeance" et pour Arnold Schwarzenegger qui doit se recycler à l'aube des blockbusters numériques aux budgets défiant toute concurrence. A titre personnel, "Last action hero" est un rêve de gosse sur pellicule: un réalisateur et un acteur qui ont fait des films qui m'ont donné la passion du cinéma qui font un film sur l'amour du cinéma, c'est juste un délire que l'on croit impossible dans la réalité. Avec "Last action hero", McT et Schwarzy entame le chant du cygne du film d'action 80's, un genre qu'ils ont tous deux émancipés. Véritable déclaration d'amour au cinéma, ce monde parallèle ou l'impossible est possible, à cet échappatoire à la réalité trop dure, "Last action hero" est également une mise en abîme parodique du film d'action 80's. Mais point d'humour cynique à la "Scream" qui se fout ouvertement du genre qu'il aborde. McT ne prend pas ses spectateurs pour un idiot venu manger du pop corn dans le noir. L'humour tant référenciel que caricatural est savament dosé en partie grâce à Schwarzy qui s'auto parodie avec une joie communicative multipliant les blagues pourries, les punchlines bien placés, et les cascades. Mais aussi grâce à une mise en scène intelligente nous plaçant du point de vue du personnage de Danny. En parlant de mise en scène McT prouve une fois encore qu'il est un grand cinéaste pour qui film rime avec symphonie, et ou l'image à un sens. Cadrage précis, mouvements de caméra et montage fluide, le style McT est intemporel, privilégiant la digestion d'informations et le point de vue, offrant un film pensé en 3 dimension McT est un virtuose, bien plus qu'un faiseur il est un vrai cinéaste qui mérite la reconnaissance éternel. Avec "Last action hero" il offre bien plus qu'un film d'action, une parodie, une mise en abîme ou une déclaration d'amour, il offre également la meilleure réflexion sur notre rapport à la fiction.

Une comédie d'action barré, une parodie/hommage a un genre et a un acteur qui arrive a avoir beaucoup de second degré. Rêve de tous cinéphiles, le scénario raconte un gamin qui va rentrer dans son film préféré grâce a un ticket magique et va rencontrer son héros Jack Slater, joué par Schwarzy dans le film et le monde réel, un scénario pas si débile et qui parodie de façon géniale le genre de l'action (Hamlet version Schwarzy, hilarant), des références a la pelle et un humour qui fonctionne sauf quand le film veut être trop sérieux... Dans une pur auto-parodie, Schwarzy prouve qu'il est un bon acteur et maitrise toute la palette du héros d'action pur, dans un casting ou il est bien soutenu par des acteurs aussi renommés que F.Murray Abraham, Anthony Quinn ou encore Ian McKellen. Spécialiste lui aussi du ciné d'action (la saga Die Hard et Predator entre autres), John McTiernan s'amuse lui aussi et use et abuse d'effets pyrotechniques en tout genre mais les fait vraiment ressortir pour rendre le film encore plus drôle.
Une parodie d'actioner drôle, efficace et qui fait passer un vrai bon moment de fun.

Film d'action débridé, Arnie y est parfait dans le moquage de ses propres rôles habituels de gars invincible. Le scénario du film est loufoque mais on accroche du début à la fin, avec des personnages tous plus cultes les uns que les autres. Je dirais aussi que le film enchaine les scènes mythiques, à tel point que je pense que c'est ce film qui a finalement signé la fin du genre, le film de "gros bras baraqués avec plein d'explosions partout", genre qui était roi dans les années 90.

McTiernan / Schwarzy deuxième ! Vous rêviez de revoir l’homme considéré comme le maître du cinéma d’action et l’une des stars du genre depuis maintenant une trentaine d’années ? "Last Action Hero" l’a fait au travers de ce qu'on pourrait appeler un hommage parodique. Grâce à un billet magique qui lui a été offert, Danny Madigan se retrouve propulsé de l’autre côté de l’écran et peut ainsi partager les aventures de son héros Jack Slater en combattant contre le crime. Au lieu de revisiter les histoires nombreuses et variées de la filmographie de l’acteur, le film de McTiernan se contente d’offrir une simple comédie policière dont l’humour n’est pas toujours bien dosé. Comme pour palier à cela une quatité d'acteurs et d'actrices se prêtent au jeu du caméo. Pourtant le principal atout de ce film reste sans conteste Schwarzenegger qui fait preuve d’énormément d’autodérision dans ce rôle. Tout au long de ce film on ressent d'ailleurs bien que le réalisateur, tout autant de l’acteur, se fait plaisir grâce à cette histoire que le public américain a boudé lors de sa sortie 1993 malgré son statut culte acquit depuis. "Last Action Hero" aurait pu être un modèle pour les futurs films parodiques et ainsi éviter la décadence que l'on connait au genre, mais ce ne sera finalement rien de plus qu’un divertissement relativement sympathique.

J'adore ce film. Je l'ai toujours adoré. Quand j'étais ado, je l'avais en cassette et je l'ai flinguée à force de passages dans le magnétoscope. Alors qu'il était rediffusé ce dimanche sur France 2, vous pensez bien que je n'ai pas loupé l'occasion de me replonger dedans, avec au final, un plaisir toujours intact. Mieux encore, mon visionnage d'aujourd'hui me pousse à augmenter la note et à réécrire une critique. Et voilà que je ne sais pas par quel bout commencer... Arnold Schwarzenegger alors au meilleur de sa carrière d'un côté, et John McTiernan de l'autre, avec dans ses valises "Predator" et "Piège de cristal", ça ne pouvait que faire des étincelles ces retrouvailles, et ça n'a pas loupé. Ce film, tout en appliquant leurs codes, se moque ouvertement des grosses productions d'action hollywoodiennes dont Schwarzy était un digne représentant à l'époque. Ce dernier est comme un poisson dans l'eau dans son rôle, de toutes façons, s'il a toujours affiché des limites pour composer, il a toujours été excellent pour rire de sa propre image. Un auto dérision vraiment réjouissante. Si Scharzy joue avec plaisir, il n'est pas le seul. Tout le monde s'amuse là-dedans, quel que soit le rôle et son importance. Anthony Quinn est excellent en mafieux commettant souvent des fautes de langage. Austion O'Brien y met tout son coeur et Charles Dance campe un méchant imposant et cruel comme on en voit plus aujourd'hui. Les scènes d'action sont rondement menées et bien pétaradantes, comme on les aime. On oubliera pas également de mentionner cette histoire de ticket magique et ces nombreuses répliques truffées de références en tous genres et de calembours. Tout ce joli cocktail détonnant a bien mérité une note frappée de cinq belles étoiles.

Grosse critique du cinéma et de la société d'aujourd'hui, McTiernan prend un malin plaisir à tout prendre à contre pied et jongler entre le sérieux et le débile assumé. Un chef d'oeuvre du genre bourré de références et d'auto-dérision. Un vrai régal.